Chapitre 15 : Fonctions vectorielles, courbes et surfaces – Corrigé des exercices - 2 - En effet, en notant C1, , Cn ces colonnes, elles sont toutes dérivables
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Chapitre 15 : Fonctions vectorielles, courbes et surfaces - Corrigé des exercices. - 1 -
Fonctions vectorielles, courbes et surfaces (corrigés). Continuité, dérivabilité de fonctions vectorielles de variable réelle.1. a. Il suffit ici de proposer une fonction qui répond au problème, par exemple :
" t Î [0,1],10001000.21
LOOMMOL
t tfElle est bien continue de [0,1] dans M
n() car ses n2 fonctions composantes le sont de [0,1] dans . De plus les valeurs en 0 et 1 sont bien celles attendues. b. Ici la réponse est non. En effet, si une telle fonction existait on pourrait définir j, de [0,1] dans en posant : " t Î [0,1], ))(det()(tft=j. j serait alors continue, par composition de f avec det, elle-même continue de Mn() dans .De plus on aurait :
1))1(det()1(-=-=-fj, et : 1))1(det()1(=-=-fj.
Donc le théorème des valeurs intermédiaires garantirait l"existence d"une valeur : a Î [0,1], telle que :
0)(=aj, autrement dit une valeur où la matrice )(af ne serait pas inversible.
2. Notons tout d"abord : " t Î I,
)(.)()(tyitxtf+=, où x et y sont respectivement les parties réelle et imaginaire de f. f étant supposée dérivable sur I, x et y le sont aussi.De plus : " t Î I,
22)()()(tytxtf+=, et cette fonction est dérivable sur I par opérations.
En effet : t a
22)()(tytx+, est dérivable de I dans +* comme somme de produits de fonctions de I dans
dérivable, et f ne s"annulant pas, les valeurs obtenues sont bien dansDe plus
est dérivable sur +*, donc par opérations f est bien dérivable sur I.Puis : " t Î I,
22)()()(").()(").()("
tytxtytytxtxtfPar ailleurs : " t Î I,
tftftftf tftf, et donc : " t Î I,22)()())(").()(").((
)()("Retytxtytytxtx tftfIl est alors clair que : (
f est croissante) Û (" t Î I, 0)(").()(").(³+tytytxtx) Û (0"Re³ ff3. · Toutes les fonctions composantes de la fonction : t a
)()(.)(tBtAtC+=a, sont dérivables sur I, et : " t Î I, )(")(".)(",,,tbtatcjijiji+=a, autrement dit : "".)".(BABA+=+aa. · De même, toutes les fonctions composantes de la fonction : t a ))().(()(tBtAtC=, sont dérivables sur I et : " t Î I, n k jkkijkkin k jkkiji tbtatbtatbatc 1,,,,1,,,))(").()().("()(".)(",
autrement dit : ".".)".(BABaBA+=.· On montre de la même façon que :
")"(AAtt=, que : )"())"((AtrAtr=, et que : ")"(AA=.On peut aussi dans ces trois cas indiquer qu"on compose une fonction dérivable j de I dans avec une
application -linéaire u et que donc dans chaque cas : ")"(jjuouo=.· Pour cette dernière fonction, on peut utiliser des développements limités de chaque colonne de la
fonction matricielle A.Chapitre 15 : Fonctions vectorielles, courbes et surfaces - Corrigé des exercices. - 2 -
En effet, en notant C1, ..., Cn ces colonnes, elles sont toutes dérivables de I dans Mn,1() ou Mn()
puisque leurs composantes sont elles-mêmes dérivables sur I du fait de la dérivabilité de A sur I.
Puis : " t Î I, " h Î , tel que :
)(ht+ Î I, on a : Si on développe alors cette expression, on obtient plusieurs termes :· on conserve tous les termes C
i : ))(det())(),...,(det(1tAtCtCn=,· on conserve tous les termes C
i sauf 1 : ∑ n i niiii tCtChhtChtCtC1111))(),...,(),(.)(".),(),...,(det(e,
ou : n i niiin i niii tCtCttCtChtCtCtCtCtCh 1111et la deuxième somme tend vers 0 quand h tend vers 0 du fait des fonctions e i,
· on conserve moins de (n - 2) termes C
i.Dans toutes les expressions qui apparaissent il y a alors au moins deux places où on peut factoriser par h.
Une fois factorisées par h
2, les expressions restantes (soit q(h)) tendent vers 0 ou ont une limite finie.
Donc :
1111hhhhtCtCtCtCtChtAhtA
n i niiiqe+++=+∑ Si enfin, on calcule la limite du taux d"accroissement, on aboutit à : n i niiih tCtCtCtCtChtAhtA autrement dit la fonction )det(A est dérivable sur I et : " t Î I, ∑ n i niiiCCCCCA
1111),...,,",,...,det())"(det(.
4. Raisonnons par l"absurde.
Si f s"annule une infinité de fois sur [a,b], alors on peut construire une suite de valeurs, toutes distinctes,
incluse dans [a,b].De cette suite, on peut en extraire une suite (x
n) convergente et cette suite vérifie donc :· " n ¹ p,
pnxx¹,· " n Î ,
0)(=nxf,
· $ a Î [a,b],
nnx+¥®=lima, et :· a est distinct de tous les termes de la suite (et peut être égal à un seul d"entre eux).
Puisque f est continue sur [a,b], elle l"est en particulier en a, et : )()(lim0afxfnn==+¥®.De plus : $ n
0 Î , " n ³ n0, nx¹a, et : 0)()(=--aannxfxf.
Or puisque f est dérivable en a, on a aussi :
)(")()(limaaa afx fxf x=--Donc comme (x
n) tend vers a, on en déduit que : 0)()(lim)("=--=+¥®aaann nxfxff.Finalement, on a donc :
0)(")(
22=+aaff, ce qui est impossible.
f ne s"annule donc au plus qu"un nombre fini de fois sur [a,b].5. Notons g la fonction proposée, définie donc par : " x ³ a,
)().(.)(.)(..22..2xfxfexfexgxxll--==. Par opérations, g est alors dérivable sur [a,+¥), et : " x ³ a, ))(").()().(".()(...2)("..22..2xfxfxfxfexfexgxx++-=--lll, car l"application : zza, est - linéaire dans vu comme -espace vectoriel de dimension 2. On peut aussi regarder à la main la dérivée de : x a )(xf, à l"aide des parties réelle et imaginaire.On en déduit donc que :
" x ³ a, ))().(")(..(.2))().("Re(..2)(...2)("2..2..22..2xfxfxfexfxfexfexgxxx+-£+-=---lllll, ce qui
Chapitre 15 : Fonctions vectorielles, courbes et surfaces - Corrigé des exercices. - 3 -
entraîne : " x ³ a, ))(.)("()(..2)("..2xfxfxfexgxll-£-, puisque : " x ³ a, )()(xfxf=.Finalement : " x ³ a,
0)("£xg.
g est donc décroissante sur [a,+¥), et puisque :0)(.)(
2..2==-afeagal, elle reste négative sur [a,+¥).
Comme il est de plus immédiat que g est positive sur cet intervalle, g est donc nulle.Conclusion : " x ³ a,
0)(.2..2=-xfexl, soit : 0)(=xf.
6. Puisque le mouvement est circulaire on a : " t Î I,
0)(¹tOM, sinon le point est immobile en O.
Donc : " t Î I, $ l(t) Î ,
)().()(tOMttal=.Puis : $ C Î , " t Î I,
CtOMtOMtOM==))()(()(
2, et en dérivant : 0))()(.(2=tOMtv.
Si alors
)(ta est non nulle, alors l(t) aussi et on en déduit : 0))()(.()(2=tatvtl, donc : 0))()((=tatv, et si
)(ta est nulle, cette dernière relation est encore vérifiée.Donc : " t Î I,
0))()((=tatv.
On en déduit que la dérivée de la fonction : t a2)(tv, est nulle puisqu"elle vaut ))()(.(2tatv.
Donc cette dernière fonction est constante, tout comme )(tv et le mouvement est uniforme.Courbes en cartésiennes.
7. a. Cette première courbe correspond à la fonction f définie sur par : " x Î ,
32)6.()(-=xxxf.
Elle y est continue et elle est dérivable sur \ {0,6}.De plus : " x Î \ {0,6},
232232
2)6.()4.().12.3.())6.(.(31)("
xxxxxxxxxf f est donc croissante sur -, décroissante sur ]0,4[, puis à nouveau croissante sur ]4,+¥). En 4, f présente un minimum local où elle vaut :34.2)4(-=f.
Pour x tendant vers ±¥, f(x) tend vers ±¥, donc la courbe G présente deux branches infinies.