Le conjugué de z ∈ CI est le nombre noté z∗ ou z tel que : z = e[z] − i m[z] 0 2 1 Fonction exponentielle réelle et complexe Série enti`ere Pour des
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(e) partie imaginaire de z le nombre réel mpzq “ b ; (f) conjugué de z le nombre complexe ¯z “ a ´ ib ; (g) module de z le nombre réel postif ou nul z “ a a2 ` b2
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La fonction exponentielle x → ex est d'une grande importance en analyse réelle mais aussi les différences, entre les exponentielles réelles et complexes
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Démonstration : La conjugaison complexe est une application R- linéaire, donc continue Il en découle que le conjugé de exp(z), c'est- à-dire le conjugué de la
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x2+y2 (on a multiplié par le conjugué) 2 Arguments d'un nombre complexe non nul On a alors z = reiθ (écriture exponentielle) avec r = z et θ = arg(z)
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Le conjugué du nombre complexe = + est le nombre ̅ Exemple : Passage de la forme exponentielle à la forme trigonométrique, puis
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![[PDF] Nombres complexes - ENS [PDF] Nombres complexes - ENS](https://pdfprof.com/Listes/17/43850-17LM100_Chap0.pdf.pdf.jpg)
Chapitre 0
Nombres complexes :
z=x+i y x=Fig.1 {
ztel que : z=2+y22IR+:
zest le m^eme que celui dezou de¡z. On noteL'argument
0(x) =1X
n=0nxn¡1 n!=1X p=0x p p!= exp(x):(4)N.B.On peut aussi utiliser la relation (
3 exp(x+h)¡exp(x) h = exp(x)exp(h)¡1 h 'exp(x)1 +h+h2=2 +¢¢¢ ¡1 h f0(x) =df(x)
dx =®exp(®x) =® f(x):(5)Exponentielle complexe
2 5 g(x) = cosx+isinx)g0(x) = (¡sinx) +i(cosx) =i(isinx+ cosx) =i g(x):Document disponible sur
http://www.phys.ens.fr/~hare cosx+isinx= exp(ix):(6) e i¼=¡1:Module
Tout d'abord, nous pouvons constater que le nombre complexeexp(iµ)est de module1, puisquecos2µ+
sin intervalle de longueur2¼.Il s'ensuit que la relation (
1 z=jzj £z jzj=jzjexp(iArg(z)); z=jzjexp(¡iArg(z))et¡z=jzjexp(i(Arg(z) +¼)):(7) z zdonne d'ordre), et µa titre d'exemple,p fa»con naturelle. Il en est de m^eme pour les racines d'ordren >2.2π/5 = 72◦Fig.2 {
Les cinq racines cin-
n µ=p2¼oµup2ZZ: denou d'un multiple dendonnent la m^eme solution. En conclusion, les z n=1 = 1; pournpair il est en outre
Document disponible sur
http://www.phys.ens.fr/~hare 2 ) et ( 6 sinµ: cosµ=1X p=0(¡1)px2p (2p)!etsinµ=1X p=0(¡1)px2p+1 (2p+ 1)!:(8)0.2.3 Formules de Moivre
La relation (
6 d'un polyn^ome encos(x)et desin(x). On a en e®et : cos(nx) +isin(nx) = exp(inx) = (cosx+isinx)n vement aux puissances paires et impaires deisin(x): (eiµ)n=nX p=0µ n cos n¡px(isinx)p nX p=0;pair(¡1)p 2 µn cos n¡pxsinpx+inX p=0;impair(¡1)p¡1 2 µn cos n¡pxsinpx 0 @E(n 2 )X q=0(¡1)qµn cos n¡2qxsin2qx1 A +i0 @E(n¡1 2 )X q=0(¡1)qµn cos n¡2q¡1xsin2q+1x1 Asinx, et est donc une fonctionpaire, tandis que lesinusqui comporte une puissance impaire desinxest une
fonctionimpaire.0.2.4 Fonction logarithme
3 ), µa savoirlog(z1z2) = log(z1) + log(z1). En 7 ) pourz2CI, il vient alors : log(z) = log(jzj) + log(exp(iArg(z))) = log(jzj) +iArg(z):(9)logarithme ne sera une((vraie fonction))que si l'on impose en outre une condition sur les valeurs prises par
Arg(z).
0.3 Polyn^omes et racines
0.3.1si l'on suppose, contrairement µa ce qui a pu ^etre fait jusqu'ici, que les coe±cientsa,betcsont des nombres
complexes, et que l'inconnuexle soit aussi : ax