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C'est la raison pour laquelle nous avons décidé d'intégrer le projet PMTIC En effet leurs usages : l'email, les réseaux sociaux, les outils de communication
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usage social e ectif, ce qui est évidemment la Communication (en abrégé usuel PMTIC) est un dispositif de ce côté-là : avec les réseaux sociaux est
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La Belgique est un des 27 Etats membres de l'Union européenne, sa structure Pour l'enseignement de promotion sociale, les priorités arrêtées sont Sur base de dossiers pédagogiques propres aux réseaux dont relèvent Dispositif de sensibilisation et de formation, le PMTIC est destiné à un public de demandeurs
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Le développement des réseaux de télécommunication nels (sinon immatériels) dans l'économie est une tendance ou d'usage entre classes sociales, entre pays et régions, et Communication (PMTIC) est un dispositif créé par le
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Le travail edu partage
Problématiques sociales de plus en plus complexes et optimisation des moyens poussent institutions erprofessionnels à travailler en réseau. onventrons, groupements d'in- térêts économiques, syndicats inter-établissements, rcgrou- pements, fusions sont autant de pistes qui conduisent toutesà un même objectif: décloi-
sonner le secteur sanitaire et sociâl en mettant en place de véritables Éseaux sociaux et médico-sociaux. La loi du2 janvier 2NZ incite fortement les établissements et
les seryices à organiser leur action en termes de convention, de coordination, de complémentarité etde conûnuité de prise en charge (/)." Réseau", le mot est lâché ! Au mieux. il suscite
le questionnement, au pire, Ia peur. Il faut dire que le concept de travail en réseau est loin d'être intégré au travail social, plus habitué à une intervention clas- sique cenûée sur une démarche d'assistance, orga- nisée et légitimée en inteme, dans laquelle chaque éta- blissement développe sa propre logique. Or, avec le réseau, il s'agit au contraire de s'ouvrir à I'envin:n- nement extérieur et de développer des collaboratons pour garantir la qualité et I'adéquation des services aux problématiques de plus en plus complexes des usagers. k Éseau peut se développer au sein d'une même stlucture, organisation transversale au delà de I'organigramme hiérarchique, et ente Fofessionnels. Détinir précisément des missions et des objectifs.. Garantir des règles de fonctionnement.. S'assurer que I'intérêt des participants est satisfait,. Faire circuler régulièrement un même niveau d'information.. Entretenir le lien avec les institutions auxquelles appartiennent lespa icipants,. Ouvrir en permanence le réseau à de nouveaux acteurs.. Prévoir une évaluation.
22DIR ECTt0N lsl Nor2 0cToBRE 2o04
n réseau, culture E ELer eniar[ du trôyâit en rÉseau . s'owrir à lenvircnnement extérieur ct déYeloppcr des coltâborâtions.
d'institutions et de secteun différents. Cette forme de travail peut, au niveau local, entre établissements et professionnels, s'enrichir de Éseaux nationaux entre institutionnels. Mais quelle que soit l'échelle adop- tée, cette nouvelle organisalion du travail nécessite rme sérieuse autocritique, aussi bien au niveâu tech- nique que déontologique. Confronté à un taux de mortalité périnatale élevé, le Conseil général de Seine-SainçDenis â initié un réseau intermatemités au début des années 90. UneDIRECTI0N lsl N"12 0CToBRE 2oo4
Une organisationqui exige de faire
initiative qui a débuté par une remise en question des pratiques. ' A la f.n des années 80, rnus disposions de près de 118 centres d.e PMI, mais cel.a ne nous empêchait pas d'avoir u taux dc mortalité péùw' lale dans le rouge. Il ne sffiait pas dc dire que ce laux était lié à une population invnigrée et sans cou- verhrre sociale, ae vJuvient Claude Romô, diecteur de l'Enfance et de la Famille dans le departement. En fait, la PMI, I'hôpital et la médzcine générale qui son autocritique. 23OSSIER [[e travail en réseau, culture du partage inten)enaient suc c e s sivenent perulant le s groJsesses ne communiquaient pas." lae Éseau s'est alors consti- tué avec des rencontes pilotées par le dépafiement; ces demières ont rassemblé chaque mois les profès- sionnels des secteurs privé et public. Objectif: exa- miner ensemble les différents cas de mortalité et en tirer des recommandations. Un an apÈs, chaque par- ticipant était suff,samment en confiance pour accep- ter une discussion commune autour d'exemples pÉ- ss. " lz réseau a réusi àfairc passer la coûidmtialité au second plan. L'essentiel est d'avoir créé un lieu pour trouver une solution. Izs participants se sont rendus compte qu'ils ne pouvaient agir seuls, parce que les situations économiques et sociales sont trop dfficiles. Chacun detient une paft de compétence et doil meIîe stm srnoirjoire m commun pour pennellre une pise en charge globale. Nous avions excessive- ment travaillé dttns la spécialisation. Maintennnl, il faut décloisonner Cela nécessite une certaine humi- litl ", pounuit Claude Roméo.
A Ia manière de MonsieurJourdain
[€s temps ont un peu changé. Uaction socialeavance aujourd'hui à visage découvert: il est plutôt" tendance " de brandir le travail en réseau comme
une modalité inconioumable du développement social, alors qu'il s'agit d'un concept plutôt exigeant. Mais,quotesdbs_dbs3.pdfusesText_6