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Introduction à la théorie des mécanismes Mobilité

Introduction à la théorie des mécanismes Mobilité, hyperstatisme, singularité et même indice de mobilité : im=(6x1)-3x(6-5+1)=0 1 4 Rang(E c)=6 La seule



Théorie des mécanismes - Free

L’étude cinématique et l’étude statique conduisent à la même valeur de l’indice de mobilité à condition qu’il y ait dualité entre le torseurs cinématiques et ceux des efforts transmissibles des liaisons Cette dualité est acquise lorsque les liaisons sont parfaites 3 A propos des mécanismes hyperstatiques et isostatiques



Théorie des mécanismes Mobilité ­ Hyperstatisme

Conservatoire National des Arts et Métiers Versailles Théorie des mécanismes Mobilité ­ Hyperstatisme Exercice 1 : Liaison glissière •En écrivant une fermeture de chaîne cinématique, déterminer la liaison équivalente aux deux liaisons pivots glissants reliant la pièce 1 et la pièce 2 du



Cours CIN-5 : Hyperstatisme 1 Interprétation cinématique de l

On parle d'hyperstatisme lorsque la cinématique d'un mécanisme ne permet le montage qu'avec des conditions sur la position ou l'orientation des liaisons On parle d'isostatisme lorsque l'on peut réaliser la fermeture de la chaine cinématique quelle que soit la position et l'orientation des directions caractéristiques des liaisons



AV Analyse des mécanismes

personnelle des mobilités m (ou de l’hyperstatisme h) permet de mener une étude correcte des mécanismes en en déduisant le rang et donc l’autre valeur recherchée (h ou m) Dans certains cas, la mobilité n’est pas déterminable par lecture visuelle du schéma cinématique



Solutions TP3 - Systèmes hyperstatiques

l - la somme des liaisons m - mobilités restantes n - degrés de liberté hors liaisons n = 6c, c étant le nombre de corps Figure 1 Système 1 Le système est formé par le bâti (numéro 0), 2 cylindres (2 et 3) et la pièce numéro 1 On peut donc calculer le nombre de degrés de liberté : n = 36 = 18 (6 $3 translations et 3 rotations) (2)



2-Corrigé TD Hyperstisme-mat-reacteur - Free

page 1/2 Figure 5 Figure 6 Figure 7 Etude d’hyperstatisme : Mât-Réacteur A 320 ; 1- liaison équivalente entre (1) et (0) réalisée par la biellette (4) : C’est un ensemble de solides reliés par des liaisons en série (figure 5) ; utilisons



Liaison équivalente – association série - Free

Ic inconnues à l'exception des m paramètres qu'il est possible de fixer arbitrairement, soit 6n-h=Ic-m On en déduit h=6n-Ic+m=6x4-21+5=8 C'est un hyperstatisme très important 6 Dans le cas plan, n reste égal à 4, les mobilités internes disparaissent (ce sont des rotations dans le plan) et la mobilité utile reste : m=1



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Analyse des mécanismes Théorie des mécanismes Fichier : AnalyseDesMecanismes_cours Analyse des mécanismes, page 1/14 1 Définitions 1 1 Degré de mobilité d’un mécanisme Le degré de mobilité d’un mécanisme se note m et correspond au nombre mu de paramètres à imposer pour obtenir une configuration géométrique donnée du système

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Analyse des mécanismes

Théorie des mécanismes

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Analyse des mécanismes, page 1/14

1. Définitions

1.1. Degré de mobilité d'un mécanisme

Le degré de mobilité d'un mécanisme se note m et correspond au nombre m u de paramètres à imposer pour obtenir une configuration géométrique donnée du système augmenté du nombre de mouvements mi que pourraient avoir certaines pièces du mécanisme.

Exemple

0 1 2 3

L01 L12

L23 L30

Figure 1

X Y Pour obtenir une configuration donnée du mécanisme, il suffit d'imposer .: mu = 1. Les liaisons L12 et L23 sont des liaisons rotules la pièce 2 a donc une mobilité en rotation autour de l'axe passant par le centre des deux rotules. On qualifie cette mobilité d'interne : m i = 1. Elle n'a aucune influence sur la loi entrée-sortie du mécanisme.

La mobilité de ce mécanisme est m = mu

+ m i = 1 + 1 = 2.

1.2. Degré d'hyperstatisme ( ou d'hyperstaticité) d'un mécanisme

Le degré d'hyperstaticité se note h. Il correspond au nombre d'inconnues statiques (Ns) du mécanisme diminué du nombre de relations indépendantes (rs) entre ces inconnues. Le degré d'hyperstaticité h, correspond aussi au nombre de conditions géométriques et/ou dimensionnelles qu'il faut imposer au mécanisme pour que celui-ci fonctionne correctement. Lorsque h = 0, on qualifie le système d'isostatique. Lorsque h > 0, on qualifie le système d'hyperstatique.

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Cinétique, page 2/14

Exemple :

O 1 L1 L2

Figure 2

La pièce 1 est guidée par rapport à la pièce 0 par deux liaisons " pivot glissant ». Pour que le mécanisme fonctionne correctement, il faut : - que l'entraxe des deux cylindres de 1 soit le même que l'entraxe des deux alésages de 0. Ce qui fait 1 condition dimensionnelle. - que les axes des deux alésages de 0 soient parallèles ce qui fait 1 condition géométrique. - que les axes des deux cylindres de 1 soient aussi parallèles ce qui fait 1 nouvelle condition géométrique. Au total, il faut imposer 3 conditions pour que le système fonctionne correctement. Le degré d'hyperstatisme h est donc égal à 3.

1.3. Isostatisme ou hyperstatisme (isostaticité ou hyperstaticité) ?

Un mécanisme isostatique présente les avantages suivants : - Il est constitué de pièces plus faciles à réaliser du point de vue des contraintes dimensionnelles et géométriques. - Il se prête aussi beaucoup mieux aux calculs de mécanique car on a l'assurance que les surfaces de liaison sont bien en contact.

Il présente les inconvénients suivants :

- Il est souvent moins rigide qu'un mécanisme hyperstatique - Il est parfois plus complexe en termes de nombre de pièces.

Un système hyperstatique est à l'inverse constitué de pièces plus " difficiles » à réaliser

du fait des contraintes dimensionnelles et géométriques. Les calculs de mécanique sont plus complexes, il faut faire intervenir la déformation des pièces. Il est, en revanche, souvent plus rigide et comporte généralement moins de pièces pour une même fonction. On peut régler les problèmes dus à l'hyperstaticité : - en donnant des jeux suffisants dans les liaisons quand cela est possible, - en prévoyant des dispositifs de réglage, - en faisant de l'appairage, - en combinant les trois propositions précédentes.

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2. Etude des chaînes de solides indéformables

2.1. Graphe des liaisons

Dans le graphe de liaisons d'un mécanisme, les solides sont représentés par des cercles dans lesquels on indique le repère du solide et les liaisons sont représentées par des arcs joignant ces cercles. Exemple : graphe de liaisons associé au mécanisme de la figure 1 : 0 1 2 3 L12 L03 L01 L23

Figure 3

L12 : liaison rotule

L23 : liaison rotule

L03 : liaison glissière d'axe x

L01 : liaison pivot d'axe z

2.2. Liaison équivalente

La liaison équivalente à un ensemble de liaisons situées entre deux solides (S1) et (S2) est une liaison théorique qui a le même comportement que cette association de liaisons, c'est à dire qui transmet la même action mécanique et qui autorise le même mouvement relatif de ces deux solides.

2.2.1. Torseur de la liaison équivalente à un ensemble de liaisons en parallèle

L1 L2 Li Ln

S1 S2 S1 S2

Leq

Figure 5

Torseur statique

Notons, pour simplifier,

eq F le torseur statique de la liaison équivalente (torseur des efforts transmissibles de S1 à S2 par la liaison équivalente) et i

F le torseur des efforts

de S1 sur S2 transmissibles par la liaison Li. Alors : n eq i i1 FF

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Cinétique, page 4/14

Torseur cinématique

Notons, pour simplifier,

eq V le torseur cinématique de la liaison équivalente et i V le torseur cinématique de la liaison Li. Alors : eq12 i n

V V V ... V ... V

Hyperstaticité, mobilité

On montre que :

h = Ns - rs m = 6 - rs

Exemple :

O x y S1 S2 figure 6 L1 L2 S1 S2 L1 L2

Torseur statique de la liaison équivalente :

1 1112
11

MO,x x,y,z MO,x x,y,z

00 X0

FYMF00

ZN 0 0

eq 1 2 FFF eq eq 1 eq eq eq 1 1 eq eq 1 1

O x,y,z O x,y,zOx,y,z

eq 1 eq eq 1 eq 1 eq 1 eq 1

Ox,y,z

XL 00 X0

FYM YM 00

ZN ZN 00

XXL0 YYMM ZZNN

5 équations statiques indépendantes et 5 inconnues statiques

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eq

Ox,y,z

X0 FYM ZN Torseur statique correspondant à celui d'une liaison pivot d'axe O,x. Torseur cinématique de la liaison équivalente : 11 2 1222
22

O x,y,z M x,y,z

xvx x0

V00 V yvy

00 zvz

eq 1 2 eq eq 1 1 2 eq eq 2 2 eq eq 2 2

O x,y,z O x,y,zOx,y,z

VVV xvx xvx x0 yvy 0 0 yvy zvz 0 0 zvz quotesdbs_dbs15.pdfusesText_21