[PDF] Différents types de raisonnement en mathématiques





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Chapitre 4 Quelques types de raisonnement

Le raisonnement par contraposition s'utilise lorsque l'assertion (non Q) est plus facile ` vérifie (non P(x)) : on dit qu'on a trouvé un contre-exemple.



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IV Raisonnement par contre-exemple. Exemple : Soit la propriété P : « ?x ? R x. 2. +2x +1 = 0. On veut montrer que cette proposition est fausse.



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Comprendre le raisonnement par contraposée Mener un raisonnement par l'absurde ou par disjonction des cas en étant guidé Exhiber un contre-exemple

  • Quand utiliser le raisonnement par contre-exemple ?

    Quand utiliser le raisonnement par contre-exemple ? Il faut utiliser le raisonnement par contre-exemple quand nous voulons réfuter une affirmation plus générale.
  • Comment trouver un contre-exemple ?

    Quand un énoncé commence par « Pour tout… », il suffit, pour prouver qu'il est faux, de trouver un élément (« il existe… ») qui réalise les conditions imposées dans l'hypothèse sans que soit vérifiée la conclusion. C'est la donnée du contre-exemple.
  • Comment faire un raisonnement par contraposition ?

    Le raisonnement par contraposition s'appuie sur le fait qu'il y a équivalence entre une implication et sa contraposée : Exemple : Les fleurs de coquelicot sont rouges est équivalent à : ce qui n'est pas rouge ne peut être une fleur de coquelicot.
  • Il s'agit de supposer qu'une proposition est vraie et `a démontrer que cela conduit `a une absurdité. Cette forme de raisonnement est fondée sur le principe du tiers-exclu qui stipule que toute proposition est soit vraie soit fausse et cela de façon exclusive.

Chapitre 4

Quelques types de raisonnement

1. Aide `a la r´edaction d"un raisonnement

1.1. Analyse du probl`eme

La premi`ere chose est de distinguer les hypoth`eses (= propositions vraies) de la question (=proposition `a d´emontrer) : il faut savoir clairement distinguer ce qui est connu ou admis de ce qui est `a montrer.

Une fois reconnues toutes les hypoth`eses, il faut les expliciter, ´eventuellement les ´ecrire sous

une forme synonyme : introduisez des notations (il faut nommer les objets afin de pouvoir en parler), rappelez-vous des propri´et´es que les hypoth`eses peuvent entrainer. Remarque -Les hypoth`eses interviennent g´en´eralement au cours du raisonnement; elles en sont rarement le point de d´epart. Il faut trouver le bon endroit o`u les utiliser. On s"int´eresse ensuite au probl`eme `a montrer : →essayer de le rapprocher d"un probl`eme d´ej`a r´esolu →faire une figure peut ˆetre une aide (mais non une d´emonstration) →regarder des cas particuliers (pour se faire une id´ee) →ne pas oublier d"hypoth`eses et ne pas les affaiblir

1.2. R´edaction d"une d´emonstration

→Annoncez ce que vous allez faire et donnez vous conclusions :structurez vos d´emonstra- tions

→Fixez vos notations : si vous introduisez une nouvelle notation, d´efinissez-la clairement :

"soitxun r´eel positif"

→Justifiez les ´etapes de votre d´emonstration : citez les th´eor`emes avec leurs hypoth`eses et

v´erifiez ces hypoth`eses (multiplication d"une in´egalit´e par un terme positif)

→Relisez la d´emonstration pour voir si elle est claire et v´erifier que vous n"avez pas oubli´e

de cas

1.3. Quelques erreurs `a ´eviter

→attention aux n´egations →quelques exemples ne font pas une d´emonstration

→attention aux notations : ne pas donner le mˆeme nom `a deux objets diff´erents et ne pas

supposer que deux objets ayant deux noms distincts sont distincts.

2. Montrer que (P ou Q) est vraie

Pour montrer que l"assertion (P ou Q) est vraie, on peut montrer que l"une des deux assertionsPouQest vraie. On peut ´egalement montrer que si l"une des deux propositions est fausse, alors l"autre est vraie. En pratique, on utilisela deuxi`eme m´ethode sauf si l"une des deux propositions est v´erifi´ee de mani`ere ´evidente. Exercice -Soitxun entier relatif. Montrer que(xest impairou x2est pair).

M´ethodes indirectes

3. Montrer une implication

3.1. M´ethode directe

Soit deux assertionsPetQ. On veut montrer que l"assertionP=?Qest vraie. SiPest fausse, l"assertionP=?Qest vraie, quelle que soit la valeur de v´erit´e deQIl suffit donc de se placer dans le cas o`uPest vraie et montrer queQest vraie. Le d´ebut de la d´emonstration s"´ecrit donc : "Supposons quePsoit vraie. Montrons alors queQest vraie".

3.2. Par contraposition

Proposition -Les assertions (P=?Q) et?(non Q) =?(non P)?ont la mˆeme valeur de v´erit´e. Le raisonnement par contraposition s"utilise lorsque l"assertion (non Q) est plus facile `a formaliser quePou lorsqu"il parait plus simple de passer de (non Q) `a (non P) que deP`a Q. Exercice -Soitn?Z. Montrer que, (n2impair=?nimpair).

4. Montrer une ´equivalence

4.1. Par deux implications

Il est fortement conseill´e de d´emontrer une ´equivalenceP??Qen montrant que les deux implicationsP=?QetQ=?Psont vraies.

Exercice -R´esoudrex=⎷2-x.

4.2. Cas de plusieurs ´equivalences

Pour montrer queP??Q??R, on n"est pas oblig´e de montrer 6 implications. Il suffit de montrer que les trois assertionsP=?Q,Q=?RetR=?Psont vraies.

5. Ensembles

5.1. Montrer une inclusion d"ensembles

SoitAetBdeux sous-ensembles d"un ensembleE.Pour montrer queA?B, on cosid´ere un ´el´ement quelconque de l"ensembleAet on montre qu"il est ´el´ement deB.

Exercice -Montrer queA?A?BetA∩B?A.

5.2. Montrer une ´egalit´e d"ensembles

Pour montrer que deux ensemblesAetBsont ´egaux, on montre queA?BetB?A.

6. M´ethodes indirectes

- 18 -

QUELQUES TYPES DE RAISONNEMENT

6.1. Raisonnement par l"absurde

dans une th´eorie math´ematique, une assertion est soit vraie, soit fausse; elle ne peut ˆetre

les deux `a la fois. Montrer qu"une assertionPest vraie est donc ´equivalent `a montrer que l"assertion (non P) est fausse. Le raisonnement par l"absurde consiste `a supposer que (non P) est une assertion vraie (on rajoute donc une hypoth`ese) et`a essayer de trouver une contradiction, par exemple qu"une assertionQest vraie ainsi que sa n´egation. Exercice -Montrer que 0 n"est pas racine deA(x) =x4+ 12x-1. On raisonne par l"absurde. Supposons que 0 soit racine deA. Par d´efinition, on aurait doncA(0) = 0; or le calcul montre queA(0) =-1, d"o`u-1 = 0. On obtient une contradiction. Remarque -Le raisonnement par l"absurde s"utilise en particulier pour montrer qu"un

ensemble est vide (on suppose qu"il ne l"est pas et on consid`ere un ´el´ement de cet ensemble)

ou encore pour montrer l"unicit´e d"un certain ´el´ement (on suppose qu"il y en a deux distincts

et on cherche une contradiction).

6.2. Disjonction des cas

Une assertionPpeut se manipuler plus facilement si on suppose qu"une propositionQest ´egalement vraie. Dans ce cas, on d´emontre les deux assertions (P et(Q) et?P et(non Q)?.

Exercice -R´esoudre⎷x-1≥x-4.

7. Raisonnement par r´ecurrence

On noteNl"ensemble desentiers naturels.

Le raisonnement par r´ecurrence s"applique aux propositions dont l"´enonc´e d´epend d"un entier

natureln.Il est une cons´equence de la construction de l"ensemble desentiers naturelsN (bas´ee sur les axiomes de Peano). Ce raisonnement peut prendre diff´erentes formes; nous ´etudierons le cas de la r´ecurrence simple. Si les hypoth`eses suivantes sont v´erifi´ees •la propri´et´e est vraie enn0, •lorsque la propri´et´e est vraie pourk≥n0, elle est vraie pourk+ 1, alors la propri´et´e est vraie pour tout entiern≥n0. Exercice -Montrer que, pour tout entier natureln,2n> n. Remarques -•D´efinissez clairement l"hypoth`ese de r´ecurrence, donnez-lui un nom qui mette en ´evidence qu"elle d´epend d"un entier. •Si l"hypoth`ese de r´ecurrence ne vous est pas donn´ee, il faut essayer de la d´ecouvrir avec les casn=n0, n=n0+ 1,...

SOMME ET PRODUIT

i=pf(i) la somme des nombresf(i) lorsqueivarie dep`aq: q i=pf(i) =f(p) +f(p+ 1) +···+f(q-1) +f(q). q i=pf(i) le produit de ces mˆemes termes : - 19 -

Raisonnement par r´ecurrence

q i=pf(i) =f(p)×f(p+ 1)× ··· ×f(q-1)×f(q).

Remarques -•q?

i=pf(i) =q? j=pf(j). n? i=1f(i) =n-1? i=1f(i) +f(n).

Exemples -•n?

i=11 =n n? i=11 = 1

Remarque -La r´ecurrence ne sert pas qu"`a d´emontrer certaines propri´et´es sur l"ensemble

des entiers naturels; elle permet de donner des d´efinitions. Par exemple, le symbole?est d´efini de mani`ere correcte par pourq-p= 0q? i=pf(i) =f(p) siq≥p≥0q+1? i=pf(i) =q? i=pf(i) +f(q+ 1)

Exemple -Pournentier naturel, calculer la somme

S n=n? i=0(2i+ 1). On peut commencer par ´etudier les casn= 1,n= 2, etc. On trouveS0= 1, S1= 4, S2= 9 et on peut deviner que l"on aSn= (n+ 1)2pour toutn. Reste `a le v´erifier en ´ecrivant une d´emonstration de cette proposition. •D´emonstration -On va montrer que pour tout entiern, on a :n? i=0(2i+ 1) = (n+ 1)2.

Pournentier naturel, notonsSnla somme

S n=n? i=0(2i+ 1). etP(n) la propri´et´eSn= (n+ 1)2. Il faut montrer queP(n) est vraie pour toutn. On proc`ede par r´ecurrence surn.

Montrons queP(0) est vraie. Pourn= 0, on a :

S 0=0? i=0(2i+ 1) = 1 et (n+ 1)2= 1.

DoncP(0) est vraie.

Soitkun entier tel queP(k) est vraie; montrons qu"alorsP(k+ 1) est vraie. L"hypoth`ese estSk= (k+ 1)2et on veut montrer que l"on aSk+1= (k+ 2)2. Or on a : S k+1=k+1? i=0(2i+ 1) =Sk+ (2k+ 3).

En utilisant l"hypoth`ese, on obtient :

S k+1= (k+ 1)2+ (2k+ 3) =k2+ 4k+ 4 = (k+ 2)2. - 20 -

QUELQUES TYPES DE RAISONNEMENT

DoncP(k+ 1) est vraie.

On a donc montr´e queP(n) est vraie pour toutn, ce qui est ´equivalent au r´esultat cherch´e.

•Commentaire -L"utilisation d"une r´ecurrence permet tr`es souvent de r´epondre `a ce type de

question. Il faut prendre la peine de bien pr´eciser l"hypoth`ese de r´ecurrence, de lui donner un

nom (iciP(n)) et de bien signaler les ´etapes. Il faut ´egalement faire attention au d´emarrage :

v´erifiez que le passage dek k+1 marche d`es le d´epart et qu"il n"y ait pas un cas particulier

pourn0,n0+ 1,... Exercice -1◦) Montrer, par r´ecurrence surn, quen? i=1i=n(n+ 1)/2.

8. Les quantificateurs

8.1. Le quantificateur universel

Supposons que l"on ait `a d´emontrer une assertion du type??x?E, P(x)?. La d´emonstration

consiste g´en´eralement par : soitxun ´el´ement (quelconque) deE, montrons que l"assertion

P(x) est vraie.

Cette ´ecriture fixe l"´el´ementxmais ne lui impose aucune particularit´e autre que d"appartenir

`aE.

Remarque -SiE=N, penser `a la r´ecurrence.

8.2. Contre-exemple

Pour montrer qu"une assertion du type

??x?E, P(x)?est fausse, il suffit de montrer que sa n´egation??x?E, non P(x)?est vraie. Il suffit donc de trouver un ´el´ementxdeEqui v´erifie (non P(x)) : on dit qu"on a trouv´e un contre-exemple.

8.3. Le quantificateur existenciel

On veut d´emontrer une assertion du type

??x?E, P(x)?. Ces propri´et´es sont souvent plus

difficiles `a montrer, sauf si on peut se rattacher `a un th´eor`eme d"existence d´ej`a connu. Le plus

souvent, on est amen´e `a construire l"´el´ementxv´erifiantP. Il faut alors essayer d"analyser le

probl`eme pour avoir l"intuition d"une solution possible.Il ne reste ensuite qu"`a v´erifier que lexainsi construit v´erifie bienPet qu"il est bien ´el´ement deE. Exercice -Montrer qu"il existex?Rtel quex=⎷x+ 6. Sixexiste, alors il v´erifie(x-6)2=x, d"o`ux= 4oux= 9. On v´erifie quex= 9 convient. - 21 -

TABLE DES MATIERES

IV - Quelques types de raisonnement

17

1. Aide `a la r´edaction d"un raisonnement . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . 17

1.1. Analyse du probl`eme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . 17

1.2. R´edaction d"une d´emonstration . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 17

1.3. Quelques erreurs `a ´eviter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 17

2. Montrer que (P ou Q) est vraie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . 17

3. Montrer une implication . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . 17

3.1. M´ethode directe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . 18

3.2. Par contraposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . 18

4. Montrer une ´equivalence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 18

4.1. Par deux implications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . 18

4.2. Cas de plusieurs ´equivalences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 18

5. Ensembles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . 18

5.1. Montrer une inclusion d"ensembles . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . 18

5.2. Montrer une ´egalit´e d"ensembles . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . 18

6. M´ethodes indirectes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . 18

6.1. Raisonnement par l"absurde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . 18

6.2. Disjonction des cas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . 19

7. Raisonnement par r´ecurrence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . 19

8. Les quantificateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . 21

8.1. Le quantificateur universel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . 21

8.2. Contre-exemple . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . 21

8.3. Le quantificateur existenciel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 21

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