Non-Unicite du Probleme de Cauchy
iV) K> 1/2. Exemple. Considerons le cas d'un operateur hyperbolique a caracteristique de multiplicite constante deux etudie par Alinhac et Zuily
1 Suites de Cauchy
Suites numériques II. 1 Suites de Cauchy. Exercice 1.1 (Une suite de Cauchy dans Q non convergente) (a) Soient. (rn)n?N une suite de nombres réels telle
1 Suites de Cauchy
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Suites numériques - Chapitre 3
Jan 17 2012 LIMITE D'UNE SUITE : EXEMPLE DE SUITE DIVERGENTE. Une suite {xn} converge si ... SUITES DE CAUCHY : PORTRAIT DE AUGUSTIN LOUIS CAUCHY.
Chapitre 1 Suites réelles et complexes
Exemple. La suite de Syracuse d'un nombre entier N est définie par récurrence Si une suite de Cauchy admet une valeur d'adhérence
Leçon 241 : Suites et séries de fonctions - exemples contre-exemples.
Proposition 1. La convergence uniforme d'une suite (fn) est équivalente au critère de Cauchy uniforme : ?? > 0 ?N ?
Suites convergentes et suites de Cauchy dans R
Sep 27 2020 <. ?. 2. +. ?. 2. = ?. Exemple 1.2. Soit (un)n?N la suite définie par un = 1 n pour tout ...
Leçon 262 - Modes de convergence dune suite de variables
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205. Espaces complets. Exemples et applications
May 29 2010 (E
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Suites de Cauchy 1 1 1 Notion de suite de Cauchy L’inter´ et des suites de Cauchy est que dans des espaces mˆ etriques´ convenables (les espaces complets – voir plus loin) on peut veri?er´ la convergence de certaines suites sans avoir a conna` ˆ?tre a priori la limite
Feuille d’exercices n 1 Suites - u-bordeauxfr
1 Montrer que la suite u n = ( 1)n converge au sens de Ces aro vers une limite que l’on d eterminera 2 Montrer que si (u n) nconvergente vers lalors (c n) nest egalement convergente de limite l Exercice 8 (suites de Cauchy) 1 Montrer que la suite u n= ( 1)n n n+1 n’est pas une suite de Cauchy 2 Montrer que la suite u n= 2+( n1) n est
Exercicesd’Analyse(suite) - Département de Mathématiques
1 Montrer que toute suite convergente est de Cauchy Montrer que toute suite de Cauchy est born´ee 2 Soit un = 1 + 1 2 + + 1 n Montrer que pour tout p ? N u 2p > p+2 2 En d´eduire que (un)n?N tend vers l’in?ni 3 Une suite (un)n?N satisfait au crit`ere C ? lorsque pour tout ? > 0 il existe N ? Ntel que si n >N
Suites convergentes et suites de Cauchy dans R
Suites convergentes et suites de Cauchy dans R Chapitre II 27 septembre 2020 1 Suites Intuitivement une suite numérique est la donnée pour tout n2N d’un réel noté u n: Dé?nition 1 1 Une suite est une application de N vers R : u: N !R n7!u(n) souvent noté u n: La suite sera notée uou bien (u n) n2N:u ns’appelle le terme général
Suites de Cauchy et construction des nombres réels
Exercice 3 On note C l’ensemble des suites de Cauchy à valeurs rationnelles 1 Montrer que si uv sont dans C alors la suite somme u+v est également dans C 2 Montrer que si uv sont dans C alors la suite produit u×v est dans C (On utilisera le fait qu’une suite de Cauchy est bornée) 3
MélinandBenjamin,PierreOlivier
Dans tout ce qui suit, on considérera pour simplifier des fonctions à valeurs dansK=RouC.1 Modes de convergence, propriétés
1.1 Suites de fonctions
Définition 1.Soientfn,f:X→K.
On dit que la suite(fn)n≥0converge simplement versfsi pour toutx?X, la suite(fn(x))n≥0 converge. La suite(fn)n≥0converge uniformément versfsi : Remarque 1.La convergence uniforme implique la convergence simple. La réciproque est fausse : considérer la suite de fonctionsfn(x) =xx+npour toutn?N, etx?R+. Proposition 1.La convergence uniforme d"une suite(fn)est équivalente au critère de Cauchy uniforme : ?ε >0,?N?N,?m,n≥N,?x?X,|fn(x)-fm(x)|< ε.1.2 Continuité, dérivabilité
Ici,Xsera un espace métrique.
Théorème 1.Soitfn:X→Kune suite de fonctions continues ena?X, et qui converge uniformément versf. Alorsfest continue ena, et de plus : lim x→alimn→+∞fn(x) = limn→+∞limx→afn(x). Remarque 2.Il suffit que(fn)converge uniformément au voisinage dea. Contre-exemple :Soitfn(x) =xnpourx?[0,1]etn?N. Alorslimn→+∞fn(x) = 0pour Théorème 2. (Dini)SoientXun compact deR,(fnune suite de fonctions continues convergentAlors(fn)converge uniformément versfsurX.
Exemple :fn(x) =?1 +xn
n-----→n→+∞exsur[0,1]. Théorème 3.SoitIun intervalle deR, etfn:I→K. On suppose que lesfnsont dérivables surI, avec(f?n)convergent uniformément vers une fonctiong, et qu"il existea?Itel que(fn(a)) converge. Alors la suite(fn)converge uniformément vers une fonction dérivablef, avec de plusf?=g.Contre-exemple :fn(x) =sin(n2x)n
2. 11.3 Séries de fonctions
Définition 2.On dit que?fnconverge simplement versfsurXsi la suite des sommes partielles(? Définition 3.On dit que?fnconverge uniformément versfsurXsi?fnconverge simple- ment, et si la suite des restes(? k≥nfk)converge uniformément vers 0. Définition 4.On dit que?fnconverge normalement versfsurXsi la série??fn?∞converge. Remarque 3.La convergence normale implique la convergence uniforme. La réciproque est fausse : considérer? n≥1(-1)nn xnsur[0,1]. Remarque 4.Il est important de noter qu"en considérant la suite des sommes partielles, on obtient les mêmes théorèmes de continuité et de dérivabilité sous la signe somme.Contre-exemples :
- La série? n≥1sin(nx)n converge uniformément sur tout compact de]0,2π[, mais n"est pas continue en 0. -x?→? n≥0d(4nx,Z)4 ndéfinit une fonction continue surRmais nulle part dérivable.2 Intégrabilité de suites et de séries de fonctions
Dans cette section,(X,A,μ)est un espace mesuré.2.1 Convergences dans un espace mesuré
Définition 5.On dit que(fn)convergeμ-presque partout versfsurX, s"il existeN?X négligeable (i.e.inclus dans un ensemble de mesure nulle), tel que(fn)converge simplement vers fsurX\N. et silimn→+∞?fn-f?Lp= 0. Remarque 5.La convergenceLpn"implique pas la convergenceμ-presque partout. Considérer la suite de fonctions(fn)n≥1définies par : f n(x) =1[k2N,k+12
2.2 Théorèmes principaux
Théorème 4. (Beppo Levi)
Soit(fn)une suite croissante de fonctions deL1(μ), telle quesup n≥0? X f ndμ <∞. Alors(fn) convergeμ-presque partout vers une fonctionf?L1(μ), et de pluslimn→+∞?f-fn?L1= 0.Théorème 5. (Fatou)
Soit(fn)une suite de fonctions positives deL1(μ), telle quesup n≥0? X f ndμ <∞. Alors : X X f n. Contre-exemple :On peut avoir inégalité stricte : considérerfn=n1[0,1n Remarque 6.La convergenceμ-presque partout n"implique pas la convergenceLp(pourp <Théorème 6. (Convergence dominée)
Soit(fn)nune suite de fonctions deL1(μ), convergentμ-presque partout versf. S"il existe lim n→+∞?f-fn?L1= 0. 2 Exemple :On peut montrer les égalités suivantes : 0 e-xln(x)dx= limn→+∞? n 0? 1-xn nln(x)dx=-γ. Bien que la convergenceLpn"implique pas la convergenceμ-presque partout (p <∞), on peut cependant s"y ramener, comme le montre le théorème ci-après. fen normeLp. Alors il existe une sous-suite(fnk)kconvergentμ-presque partout versf. De même, sous certaines hypothèses, la convergenceμ-presque partout peut entraîner la convergenceLp.Théorème 8. (Brezis-Lieb)
sup n?fn?p<+∞). Si(fn)nconvergeμ-presque partout versf, alorsf?Lp(μ), et on a : lim n→+∞?fn?pp- ?fn-f?pp=?f?pp.Nous en déduisons le corollaire suivant.
Corollaire 1.Soit(fn)nune suite deLp(μ)qui convergeμ-presque partout versf, avec ?fn?p-----→n→+∞?f?pp. Alors(fn)nconverge versfen normeLp. Nous disposons donc d"une condition nécessaire et suffisante pour que la convergenceμ- presque partout entraîne la convergenceLp.2.3 Interversion somme et intégrale
Théorème 9. (Fubini)
Soit(fn)nune suite de fonctions deL1(μ), telle que la série??fn?1converge. Sifdésigne la somme de la série?fn, on a alorsf?L1(μ)et? n≥0? X f n=? X? n≥0f n. Théorème 10.On considère icifn: [a,b]→K, continue sur[a,b](pour toutn?N). Si(fn)n converge uniformément versfsur[a,b], alors : b a f(x)dx= limn→+∞? b a f n(x)dx.Contre-exemple :Ce résultat est faux si l"intervalle considéré n"est plus compact. Considérer
une suite de fonctions "triangles" s"aplatissant de plus en plus surRet donc l"aire est constanteégale à 1 :
f n(x) =? ?xn 2+1n six?[-n,0], xn 2+1n six?[0,n],0sinon.
3 Séries entières, fonctions holomorphes.
3.1 Séries entières
Dans ce paragraphe,(an)n≥0désignera une suite de nombres complexes, etΩun ouvert de C.Théorème 11. (Lemme d"Abel)
S"il existez0?Ctel que la suite(anzn0)nsoit bornée, alors la série? n≥0anznconverge normalement sur tout disque ferméD(0,r), où0< r <|z0|.Définition 7.Une fonctionf: Ω→Cest dite développable en série entière (DSE) au voisinage
V ad"un pointadeΩs"il existe une suite de nombres complexes(an)telle que : ?z?Va,f(z) =? n≥0a n(z-a)n. 3Exemple :exp(z) :=?
n≥0znn!définit une fonction entière surC. Proposition 2.Sifest DSE ena, alorsfest de classeC∞surVaetan=f(n)(a)n!.Contre-exemple :f(x) = e-1x
1R?+(x)estC∞surRmais non DSE en0.
Théorème 12. (Théorème taubérien de Hardy-Littlewood : premier développement) Soit(an)n≥0une suite de réels telle quean=O?1n ?en+∞. Si la fonctionF(x) :=? n≥0anxn est bien définie pourx?[0,1[, et vérifielimx→1-F(x) =s, alors la série? n≥0anconverge et vauts.3.2 Fonctions holomorphes
Définition 8.Une fonctionf: Ω→Cest dite holomorphe si elle estC-dérivable.Proposition 3. (Formule de Cauchy)
Soienta?Ω, etr >0tel queD(a,r)?Ω. Alorsfholomorphe surΩsatisfait la formule deCauchy :
?z?D(a,r),f(z) =?C(a,r)f(ω)z-ωdω.
Corollaire 2.Sifest holomorphe surΩ, alorsfest DSE en chacun de ses points. Théorème 13.Soientfn,f: Ω→C, avec lesfnholomorphes surΩ. Si(fn)nconverge unifor- mément sur tout compact deΩversf, alorsfest holomorphe surΩ, et pour toutk?N, la suite (f(k)n)nconverge uniformément versf(k)sur tout compact. n≥01n sest holomorphe sur{s?C,?(s)>1}.4 Séries de Fourier
On se placera sur le toreT=R2πZ.
4.1 Définitions
Définition 9.On dit quef?L1(T)si12π?
-π|f(t)|dt <+∞.On noteraen:t?→eintpourn?Z.
Les coefficients de Fourier def?L1(T)sont définis parˆf(n) =12π? -πf(t)e-intdt.Proposition 4. (Lemme de Riemann-Lebesgue)
Sif?L1(T), alorslimn→+∞ˆf(n) = 0.
4.2 Théorèmes principaux
Définition 10.On définit les sommes partielles de Fourier associées àfparSn(f) =n? k=-nˆ f(k)ek. Les sommes partielles de Fejér associées àfsontσn(f) =1n+ 1n k=0S k(f).Théorème 14. (Théorème de Dirichlet)
Soitf? C1m(T)(i.e.de classeC1par morceaux). Alors(Sn(f))converge simplement vers˜f:t?→12 (f(t+) +f(t-)). 4Exemple :Calcul de la série?
n≥01n2à l"aide def(t) =1-t2π
2.Théorème 15. (Fejér)
Sif? C(T), alors(σn(f))nconverge uniformément versf. Corollaire 3.Les polynômes trigonométriques sont denses dansC(T). Proposition 5.L"applicationF:L1(T)→CZqui àfassocie la suite de ses coefficients deFourier(ˆf(n))nest injective.
Proposition 6.Soitf?L1(T)telle que?
n?Z|ˆf(n)|<∞. Alorsfest égale à la série deFourier et est continue.
Application : Formule sommatoire de Poisson (deuxième développement) pour toutx?R. Supposons que? n?Z|ˆf(n)|<∞, alors : n?Zˆ f(n) =? n?Zf(n).Exemple :On définit la fonctionθ(t) =?
n?Ze-πn2tpourt >0.Alorsθ(t) =1⎷t
θ?1t
4.3 ThéorieL2
Théorème 16.L"espaceL2(T)est hilbertien dont une base hilbertienne est donnée par(en)n?Z. Corollaire 4.Pour toutf?L2(T), on aSN(f)L2-----→n→+∞f.Exemple :La fonction?
n≥0(-1)n⎷n enn"est pas dansL2(T)car ses coefficients de Fourier ne sont pas de carré sommables. 5quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40[PDF] suite de cauchy exercices
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