Contrat de séjour
FONDATION HOPALE - BERCK SUR MER (62). « VILLA CLE DES DUNES ». Maison d'Accueil Spécialisée pour cérébro-lésés. CONTRAT DE SEJOUR. 72 esplanade Parmentier.
Elaboration du Projet détablissement MAS Vfinal_01_12_11
La Maison d'Accueil Spécialisée « Villa Clé des Dunes » résulte d'une adultes cérébro lésés stabilisés dépendants pour les actes de la vie courante.
PROJET DETABLISSEMENT DU F.A.M LA VILLA NORMANDE
En 1987 s'ouvre "la Villa Normande" à Berck-sur-Mer foyer d'hébergement Il s'agit de la Maison d'Accueil Spécialisée « La Villa Clé des Dunes ».
Guide 2009* des établissements et services sociaux et médico
La mention des prestations d'action sociale ou médico-sociale éducatives
Faciliter laccès au milieu ordinaire des jeunes enfants handicapés
10 nov. 2009 1 - Palette de l'offre de scolarisation en milieu ordinaire pour les enfants handicapés. 29. 2 - Le nombre d'enfants handicapés scolarisés ...
Réseau TC-AVC Hauts-de-France Convention constitutive
Tous les patients traumatisés crâniens ayant fait un séjour en centre de Fondation Hopale de Berck et l'ensemble CHU d'Amiens – Centre Hospitalier de ...
REVUE SUR LE TRAUMATISME CRÂNIEN ET LA CÉRÉBROLÉSION
14 juin 2018 Il a été de tous les combats au sein de l'UNAFTC en réalisant plu- sieurs mandats d'administrateur
résurgences 52
20 oct. 2019 FAM Cérébrolésés Pierrefitte (Seine Saint-Denis) ... 35 Un atelier d'art plastique dans un foyer d'accueil médicalisé pour traumatisés ...
résurgences 55
7 juin 2017 2017 à Paris
résurgences 53
26 juin 2016 l'AAH pour les personnes dont la situation de handicap n'est pas susceptible d'évoluer ;. 2. le maintien de l'AAH au-delà de. 62 ans.
Un modèle américain
de technique rééducative pour les personnes traumatisées crâniennesHandicap et emploi
accompagné auRoyaume-Uni
Pourquoi proposer
des activités physiques aux victimes d'un traumatisme crânien ?APPEL À PROJETS
2016On a tous un talent
, partageons-le ! Vous avez un projet permettant le partage de services, de savoir faire, d'entraide entre personnes handicapées et personnes valides Participez à l'appel à projets 2016 de la Fondation MAAF Assura nces150 000€ de dotation globale*
Déposez votre dossier avant le 31/03/2016
Infos et dossier de candidature à télécharger sur www.maaf.com/fondation * Dotation globale attribuée partiellement ou intégralement au lau réat dont le projet est primé ou répartie entre les lauréats si plusieurs projets sont primés. Appel à projets 2016 en faveur d es personnes handicapées sans droit d'inscription organisé à compter du 15/11/2015 par la Fondation MAAF Assurances, Fondation d'entreprise (Siège social: Chauray - 79180 Niort) Règlement complet disponib
le surwww.maaf.com/fondation ou adressé gratuitement à la Fondation MAAF Assurances (remboursement du timbre sur demande, une seule demande par personne) Création: La Boîte à Films - Crédit Photo: Bruno Warion1. Loi du 11
février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées.Voici ce qu'écrivait Julia
Kristeva il y a plus de dix ans,
avant même que la loi du 11 février 20051 ne voie le jour. Alors que les organisations internationales n'ont de cesse de promouvoir les droits fondamentaux, les pra- tiques politiques nationales déri- vent vers des réformes qui ané antissent ceux-ci. Deux exemples récents, l'un éthique, l'autre con- tingent, illustrent cet état d'esprit.
Le premier est celui de la loi
sur la n de vie, pour laquelle l'UNAFTC demandait simple- ment que l'avis des familles puisseêtre pris en compte, cette position
étant d'autant plus légitime que les
rapporteurs du projet indiquaient vouloir étendre le champ de la loià la très grande dépendance. Cette
demande n'était pas ubuesque mais s'inscrivait dans les suites d'un avis du Comité national con- sultatif d'éthique (CCNE) remis auConseil d'État le 5 mai 2014, dans
lequel celui-ci précisait sa posi- tion. Le CCNE écrivait ceci En une telle situation d"incertitude, de limite des savoirs et de limite de la vie, il apparait juste que soient pris en compte collectivement, à partégale, et sans hiérarchie, les argu-
ments retenus au cours de ce pro- cessus de délibération collective, et de ne pas considérer le point de vue médical comme seul habilitéà rendre le verdict" d"une déci-
sion. En d"autres termes, le CCNE considère qu"une rérexion devraitêtre engagée pour que ce processus
de délibération collective puisse aboutir à un véritable processus de décision collective. (avis n° 121)Le CCNE rappelait égale-
ment que le Coma Science GroupComment limiter
les dérives de nos institutionségueéncé énuenéunéeéné
nénéné ené n e ne un n ngge c ue nne gene gene uee c ne e nc n ncc n u nu uee c e ce n ucn uue nu u nc eu n ue en n n n ce n n ne n en gge ncn nc n nc cn n n n e nu nue ue c c cc gn cn n cen cne r de l'Université de Liège, dirigé parSteven Laureys, avait récemment
publié les résultats d'une vaste enquête, menée auprès de 2 475 soignants, médecins et non méde- cins dans 32 pays membres duConseil de l'Europe, qui concer-
nait notamment la conduite à tenir pour les personnes en état de con- science minimale depuis plus d'un an. Moins d'un tiers des soignants ont jugé acceptable l'interruption de la nutrition et de l'hydratation artificielles chez des personnes en état de conscience minimale.Pourtant, la Cour européenne des
droits de l'homme prenait récem- ment une position contraire, ce qui avait pour conséquence un avis dissident de près d'un tiers de ses membresAprès mûre
rérexion, [...] nous pensons que ce qui est proposé revient ni plus ni moins à dire qu"une personne lour- dement handicapée, qui est dans l"incapacité de communiquer ses souhaits quant à son état actuel, peut, sur la base de plusieurs afér- mations contestables, être privéede deux composants essentiels au maintien de la vie, à savoir la nourriture et l"eau, et que, de plus, la Convention est inopérante face à cette réalité. Nous estimons non seulement que cette conclusion est effrayante mais de plus - et nous regrettons d"avoir à le dire - qu"elle équivaut à un pas en arrière dans le degré de protection que la Conven-
tion et la Cour ont jusqu"ici offerte aux personnes vulnérables. »Le second exemple est celui
des prestations.La loi du
11 février 2005 indique que toute
personne handicapée a droit à la solidarité de l"ensemble de la col- lectivité nationale, qui lui garantit, en vertu de cette obligation, l"accès aux droits fondamentaux recon- nus de tous les citoyens ainsi que le plein exercice de sa citoyenneté.La Convention internationale sur
les droits des personnes handi- capées rappelle, en son article 28, que les États parties reconnaissent le droit des personnes handicapéesà un niveau de vie adéquat pour
elles-mêmes et pour leur famille, notamment une alimentation, un habillement et un logement adéquats, et à une amélioration constante de leurs conditions de vie, et prennent des mesures appropriées pour protéger et promouvoir l"exercice de ce droit sans discrimination fondée sur le handicap.C"est pourtant dans un tel contexte
qu"à l"automne 2015, le projet de budget français a prévu de prendre en compte à partir de 2016, dans le calcul de l"allocation aux adultes handicapés (AAH), les intérêts non imposables des comptesd"épargne, tels que le livret A, sous prétexte d"harmonisation entre minima sociaux. Cette mesure réduirait le montant de l"AAH (actuellement 807 euros par mois au maximum) pour les bénérciaires ayant de l"argent pla-
cé, mais surtout leur ferait perdre des droits connexes qui ne sont ouverts qu"à ceux touchant l"AAHà taux plein (complément de res-
sources de 179 euros par mois, ou majoration pour la vie autonome de 105 euros mensuel).En 2015, le seuil de pauvreté en
France est fixé à 987 euros par
mois. Comment expliquer qu"une autorité publique puisse s"attaquer frontalement aux personnes les plus vulnérables, celles qui cumu- lent la fragilité économique et l"exclusion sociale, et ce à contre- courant des droits fondamentauxIl est évident que ces deux exem-
ples démontrent l"état d"esprit extrêmement préoccupant de ceux qui sont en charge de la norme sociale ou de la gestion des êtres.Le militantisme et la mobilisation
citoyenne sont les seules répons- es aux dérives des institutions.Sachons les faire vivre
Émeric Guillermou,
président de l'UNAFTCEn 2015, le seuil de pauvreté
en France est xé à 987 euros par mois. Comment expliquer qu'une autorité publique puisse s'attaquer frontalement aux personnes les plus vulnérables, celles qui cumulent la fragilitééconomique et l'exclusion
sociale, et ce à contre-courant des droits fondamentaux Comment limiter les dérives de nos institutions ?Un a utomne 2015 riche en réunions
et rencontres organiséesLoi sur la n de vie : action de l'UNAFTC
Le partenariat UNAFTC/ANCV
Les 10 km de l'Hexagone, 2
eédition
Co mment valoriser l'expertise d'usage des blessés et de leurs proches ?Le Gr oupement national
de coopération sociale et médico-socialeÉlection de nouveaux membres au conseil
d 'administrationLes actions de France Traumatisme Crânien
Les activités physiques adaptées et nous
Jean Foret
Pourquoi proposer des activités physiques aux victimes d'un traumatisme crânien ? Nolwen Frapsauce
Un m odèle américain de technique rééducative pour les personnes traumatisées crâniennesYehuda Ben Yishay
Ha ndicap et emploi accompagné au Royame-Uni
Jean-Michel Laborde
Groupes de paroles pour des proches de personnes traumatisées crâniennes Olivier GarciaAide-soignant en établissement médico-social : un métier très varié Élise Leridon et Pascal Aure
Un atelier d'art plastique dans un foyer d'accueil médicalisé pour traumatisés crâniens Mathieu Adam et Mireille Guithon
Au rl d es pages
(sommaire en images)Co lloques et formations
As sociations de l"UNAFTC
Éta blissements et services adhérents à l"UNAFTCGro upes d"entraide mutuelle
App el à témoignage - À vous tous
rLe mardi 1
er septembre nousétions à Grenoble pour préparer,
avec l'AFTC Isère et ses parte- naires, la journée d'étude et l'as- semblée générale 2016 qui sera l'occasion de célébrer nos 30 ans ensemble. En effet, l"assemblée générale de l"UNAFTC aura lieu à Grenoble et sera précédée d"une journée d"étude organisée conjointement par l"AFTC Isèrequotesdbs_dbs32.pdfusesText_38[PDF] Accréditation : par où commencer? Méthode, exemples et pièges à éviter
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