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AUDIT DES
PROCESSUS
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DE LA COMMISSION AUDIT INFORMATIQUE DE LA CRCC DE PARISFrédéric Burband
Associé, Saint-Honoré Partenaires
président dqhonneur de lqAFAIÀ LA RÉDACTION DE CE GUIDE
Florian Abegg
de Consulting du cabinet CTF,Compagnie des Techniques Financières
aux comptes, Groupe AFIGEC conseil et dqaudit en Système dqInformation audit de données, lutte contre la fraude T QXN- ÈAOSOEIATRÈ Tt
T uPERÈ formatisées, collectant et traitant des millions de données. Elle doit intégrer les systèmes dqinformation dans son approche dqaudit aGn de maintenir une qualité et une pertinence de ses contrôles sur les informations Gnancières soumises à sa certiGcation. Lqimpulsion conjuguée des exigences réglementaires et de la normalisation technique (avec notamment le Gchier des écritures comptables, bientôt la facture électronique) accroît actuellement les besoins et exigences en la matière. Cqest pourquoi la CRCC de Paris se mobilise pour apporter le soutien nécessaire à nos cons7urs et confrères visant à les sensibiliser sur les risques et enjeux de la digitalisation des processus de lqentreprise. La Commission Audit Informatique de la CRCC de Paris 7uvre maintenant depuis 3 ans aGn dqacculturer la profession à lqaudit informatique. Elle propose dans ce cadre trois guides visant à rendre accessibles à tous les professionnels la démarche dqaudit des sys- tèmes dqinformations. >AUDIT INFORMATIQUE, TOUS CONCERNÉS raux informatiques (ITGC Information Technology General Controls). Les contrôles généraux informatiques sqappliquent à tous les com- posants, processus et données des systèmes dqune organisation, ou dqun environnement de systèmes. Ils ont pour objectif de veiller au développement et à la mise en 7uvre appropriés des applications, à lqintégrité et sécurité des applications, opérations et données, ainsi que des opérations informatiques. >AUDIT INFORMATIQUES DES PROCESSUS : CONTRÔLESSPÉCIFIQUES DES APPÉLICATIONS ET PROCESSUS
Technology Application Controls). Ces contrôles visent à sqassurer du respect de la qualité et de la sécurité des données générées ou sup- portées par les applications informatiques métier, en particulier celles qui impactent les Uux Gnanciers. Ils sont par construction spéciGquesà chaque application.
>AUDIT PAR LES DONNÉES EN UÉTILISANT DES OUTILSINFORMATIQUES
ordinateur (CAATs : Computer-Aided Audit Tools). Il présente une bibliothèque de tests et contrôles possibles dqaudit par les données, qui est implémenté soit dans le cadre de la vériGcation du fonction- nement des processus ou pour réaliser des contrôles dits substantifs basés sur l'exhaustivité d'une population à auditer. dFAGDAdicABurbiccFcabÉncA
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Informatique,
tous concernés "F:diA informatique des processus de tests d"audit de données XIPNLPIETMÈTUSUTÈ OYEMTSDÈA-THTÈ>SDEAÈNTTMÈ TUIAON,MÈ TSXXMEUSOEC
TÔ aux comptes acquiert une connaissance suIsante de lqentité, notam- ment de son contrôle interne, aGn dqidentiGer et dqévaluer le risque dqanomalies signiGcatives dans les comptes et aGn de concevoir et de mettre en 7uvre des procédures dqaudit permettant de fonder son opinion sur les comptes (NEP 315). Lors de la prise de connaissance de lqentité, notamment de son contrôle interne, eDectuée en application de la norme dqexercice professionnel relative à la connaissance de lqentité et de son environnement et à lqévaluation du risque dqanomalies dans les comptes, et tout au long de son audit, le commissaire aux comptes peut relever des faiblesses dudit contrôle interne qui doivent être communiquées à lqentité (NEP 265). Après avoir pris connaissance de lqentité et évalué le risque dqanomalies signiGcatives dans les comptes, le commissaire aux comptes adapte son approche générale, conçoit et met en 7uvre des procédures dqau- dit lui permettant de fonder son opinion sur les comptes (NEP 330). Être en mesure dqidentiGer et de sqappuyer sur les forces de contrôle interne dqune entité dont les processus sont très informatisés, implique dqévaluer la qualité et lqeDectivité des contrôles applicatifs embarqués dans les diDérents processus de cette entité.Le terme de -
semble de tâches corrélées ou en interaction qui utilise des éléments dqentrée pour produire un résultat escompté. On décompose ainsi un processus en diDérents sous-ensembles tité tels que le Quote to Cash (de la cotation à lqencaissement), Procure to pay (de lqapprovisionnement au paiement), Compta- bilité/Gnance, Paie, Etc cessus. Pour lqexemple du macro-processus Quote to cash, on identiGera notamment le processus prise de commande, Plani-Gcation de production, fabrication, -
pondent aux unités qui composent un processus. Pour lqexemple du processus planiGcation, on évoquera ainsi lqactivité contrôle des Uux, gestion et prévision, contrôle des gains et des coûts, - du contrôle des Uux, on évoquera le rapprochement bancaire. meilleure maîtrise des fonctions opérationnelles ainsi ququne Uui- diGcation de la circulation de lqinformation par leur capacité à com- muniquer entre elles. Elles permettent ainsi la traduction de Uux opérationnels en Uux comptables. La gestion commerciale, la gestion des stocks, la gestion de la pro- duction et bien dqautres modules du système dqinformation déversent continuellement des Uux dqécritures comptables rendant marginale la saisie manuelle des écritures comptables. Les comptes annuels prennent ainsi en grande partie leur source dans les systèmes dqinformation. Quelle que soit lqapplication utilisée, les processus eux-mêmes pré- sentent un risque inhérent. Cqest pourquoi nombre dqorganisations associent des contrôles automatisés et manuels pour gérer ces risques dans les applications transactionnelles. Ces contrôles automatisés, généralement qualiGés de contrôles applicatifs sont spéciGques aux processus concernés. iAcFuAAÉiAgXubÔn
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mX:i comptes peut intervenir dans deux cadres comptes doit sqassurer que les applications garantissent lqintégrité des données entrées tout en se fondant sur lqexhaustivité et lqexactitude des données reçues. Le CAC évalue ainsi le contrôle interne, teste les procédures et sqassure de la qualité du fonctionnement du système dqinformation. En fonction des points forts et points faibles relevés, il ajuste son risque dqaudit. Le CAC, dans sa démarche dqaudit, doit sqassurer de la qualité de la donnée depuis son à input » dans le sys- tème dqinformation jusquqà sa transformation, son extraction et son déversement dans les logiciels avals. Cette évolution de lqinformatisation a comme incidence une inter- connexion entre les Uux de données et une forte volumétrie. Les états Gnanciers sont alimentés par ces Uux dqinformation et conditionnent leur Gabilité. disposer dqun diagnostic approfondi sur lqeIcacité dqun processus informatisé. Ce processus peut être stratégique, complexe ou ancien- nement mis en place aGn de garantir notamment la qualité et la sécurité des données. La mission conGée au commissaire aux comptes permet de donner un avis ou de fournir des éléments dqinformation. Elle peut nécessiter la mise en 7uvre de travaux non requis pour la certiGcation des comptes. Ces avis peuvent être assortis de recom- mandations contribuant à lqamélioration de la qualité et de la sécurité des données de lqentité. Ils sont destinés à lqusage propre de lqentité. Le présent guide peut être utilisé dans les deux contextes décrits ci-dessus.UIDDÈAOTMÈTUSUT-0SMPÈYOYEMTT
MÈ TUIAON,MÈ TSXXMEUSOEC
TÔ du présent guide qui se présente sous la forme dqun ensemble de Gches couvrant les principaux processus dqune entité. Ces Gches ont pour objectif de guider le commissaire aux comptes dans sa démarche dqaudit en arborant une structure logique et des applicatifs concernés trepris par le commissaire aux comptes applicatifs (sur les données entrées, les traitements de données, et les sorties de données) caractère approprié) piste dqaudit traçabilité).FICHE 01
FICHE 02
FICHE 03
FICHE 04
FICHE 05
FICHE 06
FICHE 07
Glossaire 148
XN-SDéPMÈT
opérations économiques de lqentreprise retraduite dans les bonnes normes comptables. Les ERP permettent dqautomatiser le traduction des événements de gestion en écritures comptables, laissant place à des saisies manuelles dqécritures comptables plus réduites. Dans le cadre dqun Système dqInformation plus simple avec une appli- cation comptable et des applications métiers dédiées, la comptabilité est plus manuelle. Le CAC aura pour objectif de sqassurer que lqapplication comptable reUète les Uux et opérations de lqentreprise retraduits en termes Gnanciers. Elle reUète ainsi le patrimoine et les performances de lqentreprise.XNIUÈ P TUIDXOSéMÈ
AUXILIAIRE
FOURNISSEURS
COMPTABILITÉ
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GÉNÉRALE
COMPTABILITÉ GÉNÉRALE
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OUSC DEELSCE
RIAA-È TXÈNDSAÈAOÈÉ
>PLAN DE COMPTES >JOURNAUX D"ÉCRITURE >SCHÉMAS COMPTABLES >RÉFÉRENTIEL CLIENTS >RÉFÉRENTIEL FOURNISSEURS >LISTE DES DEVISES >LISTES DES ENTITÉS JURÉIDIQUESAPPLICATIF
PU ÈLEAPLAfTELAG,DL RE
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A ,TAGUImRTfD,DRÈA"È ÈCT,L acomptes et garanties de paiementGUIILCGDT,LEAPT EA,TAGUImRTfD,DRÈAG,DL RE
la comptabilité clientsGUIILCGDT,LEAPT EA,TAGUImRTfD,DRÈA
OUSC DEELSCE
la comptabilité fournisseursPnlYoXanegYYlYLnskay"gGÀYJlg
Générale
Gestion des données
comptablesUtilisation des clés de comptabilisation.Saisie comptable incorrecte impactant la validité des états Gnanciers.
Comptabilité
Générale
Gestion des données
comptablesLes groupes de comptes sont correcte-
ment assignés à un intervalle de numé- ros de compte.Comptabilité
Générale
Gestion des données
comptablesValidité des modiGcations de données
comptables. Des modiGcations inappropriées ou non valides apportées aux don- nées comptables pourraient ne pas être détectées.Comptabilité
Générale
Gestion des données
comptablesDéGnition dqun seuil de tolérance sur les
cours de conversion entrés manuellement. Un taux de conversion incorrect pourrait être utilisé pour une saisie comptable GL, impactant lqintégrité des états Gnanciers.Comptabilité
Générale
Gestion des données
comptables (plan de comptes)Restriction des accès à la gestion des
données comptables (plan de comptes). L'accès aux transactions relatives à la gestion des données comptables par des personnes non habilitées peut permettre de contourner lesquotesdbs_dbs6.pdfusesText_12[PDF] CONTRAT TYPE VRP - Maison étrangère
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