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1 Le développement des infrastructures en Algérie : q ?

Y. Benabdallah Chercheur CREAD Alger

(ZLE) impose à tous les des relations avec désindustrialisation). nge qui a permis , suite à un relatif effacement, comme un acteur économique majeur. globale dépassant les 180 milliards de dollars ont vu le jour. Le pays doit réceptionner dans

les prochaines années des infrastructures économiques et sociales très importantes (autoroute

est/ouest, autoroute des hauts plateaux, doublement de la voie ferrée est/ouest, infrastructures portuaires etc.).

Il est évident que les pays

la croissance économique reste cependant problématique pour le débat économique. Les uns considèrent les infrastructures comme un élément pouvant dynamiser la croissance alors que pour les autres le lien est inverse. -il en Algérie ?

Le développement des capacités (" capacity building ») et les contraintes qui en résultent,

notamment en matière de finances publiques prend une signification particulière en Algérie.

ns le ; la santé des finances publiques a toutes les chances, compte tenu des prévisions concernant le prix du pétrole, de se maintenir à un haut niveau. Aussi la problématique des programmes

pays de la rive sud de la méditerranée à échapper au problème du double déficit compte tenu

de la soutenabilté du bud es infrastructures de base en Algérie et quels sont les projets en la économique condamnent-ils -ils simplement la

problématique de la rentabilité et par conséquent celle des politiques complémentaires à

envisager pour diffuser les externalités liées aux infrastructures ? 2 La présente communication sera structurée en trois sections. Après une revue de la les infrastructures en particulier sera présentée dans la troisième section.

1- Revue de la littérature

La perception du rôle des dépenses publiques comme facteur de croissance public dans les infrastructures serai termes de cro 1 et de la productivité totale des facteurs (PTF).

1-1 la recherche empirique

La théorie de la croissance endogène offre un cadre renouvelé pour réexaminer le rôle . La politique économique (au sens large) joue un rôle considérable dans la croissance

économique. Les externalités sont justifiées par le fait que l'Etat peut, au moyen de politiques

économiques, orienter les agents privés vers des activités génératrices de croissance. Ces

politiques reposent sur des instruments traditionnels : taxation, subvention, politiques

d'infrastructures. La théorie de la croissance endogène met en évidence quatre facteurs

principaux, qui -les synergies dans (Romer 1986). L -la recherche-développement (Romer 1990). La croissance économique résulte - l capital humain (Lucas 1988), défini comme un stock de connaissances valorisables économiquement. -linfrastructures publiques (Barro 1990) et (Barro, Sala-i-Martin 1992)
Appuyé sur des recherches empiriques, le débat sur le rôle des infrastructures push (Rosenstein-Rodan, 1961).2 Le développement des

infrastructures stimule le décollage économique.3 La distinction est opérée entre les

infrastructures économiques (électricité, les transports et les communications) et les

synergie que les infrastructures génèrent entre les différents secteurs et les différentes régions.

nvestissement privé concerne, quant à lui, la hausse de la productivité marginale

1 M .A. VEGANZONES : Infrastructures, investissement et croissance : un bilan de dix années de recherches CERDI, Clermont Ferrand (janvier 2000)

2 ROSENSTEIN-, in ELLIS, H. et H. WALLICH eds., Economic Development for Latin America,

International Economic Association, St. Martin Press, New York. 3 ntiels, urbains et ruraux, on et distribution

d'énergie, systèmes de transports et de communication, traitement des déchets. On peut aussi ajouter à cette liste de services la contribution

aussi des infrastructures précitées. 3 du capital et du travail et finalement la rentabilité de l'investissement; ce qui a pour effet . Cet effet est particulièrement important quand le stock des infrastructures de base est encore faible.4 spatiales ».5 nalisation dans laquelle tend un grand nombre de pays.6 Le développement des infrastructures niveau régional. A ces effets, il faut opposer les incidences négatives de la hausse du stock du capital public sur le capital privé. Les effets de crowding-out négativement la formation du capital privé que dans le court terme. A moyen et long terme, la fiscale si bien que " financeront eux-mêmes demain », dans un contexte de croissance.

favorisé la croissance ou amélioré la compétitivité économique. De même, les dépenses

blics effectuées pendant les périodes de dépression sont susceptibles de

1929. il 1933, de la fameuse T.V.A.

(Tennessee Valley Authority) qui a permis, à partir de 1933 de financer la construction de

sept grands barrages, le développement de la navigation, la lutte contre les inondations,

4 Pierre-Richard Agénor, Mustapha K. Public Infrastructure

World Bank Policy Research Working Paper 3661, July 2005

5 M. A. VEGANZONES : Infrastructures, investissement et croissance : un bilan de dix années de recherches CERDI, Clermont Ferrand (janvier 2000) 6

membres. En1987, la déclaration de Manille a appelé ces derniers à renforcer leurs systèmes de transport en vue de former à

terme un réseau unifié. En 1992, une déclaration similaire a donné une perspective régionale aux systèmes de

communication. En dépit de la crise asiatique qui a ralenti le rythme d'expansion des infrastructures, les membres de

l'ASEAN semblent déterminés à réaliser cette vision d'interconnexion. Celle-ci se décline aujourd'hui en quatre projets-

phares dont les horizons de réalisation s'étalent sur les vingt prochaines années : l'interconnexion électrique, l'interconnexion

gazière, l'interconnexion autoroutière et la liaison ferroviaire Singapour -

du Grand Mekong (Greater Mekong Sub-region ou GMS) adopté en 1992 entre les pays de la région (Cambodge, Laos,

Myanmar, Thailande, Vietnam et province chinoise du Yunnan) prévoit également avec le concours de la Banque asiatique

franco-vietnamien (6-13 septembre 2003)

7 P.R. Agénor, B. Moreno-Dodson: Public Infrastructure and Growth: New Channels and Policy Implications World Bank

Policy Research Working Paper 4064, November 2006

4 réseau de communication en Grande Bretagne en 1913 qui lui conféra dans plusieurs

américaine suite à la guerre sont souvent analysées comme un facteur important dans le

décollage de la Corée du Sud

doté au début des années quatre-vingt-dix. Rappelons, enfin que le plan Marshall a bien servi

à reconstruire les infrastructures détruites par la guerre. théorique. D. Aschauer (1989) 8 étudie la relation entre la productivité nationale aux USA et le sur la production privée et la productivité totale des facteurs. Une hausse de 1 % du capital

public, autre que militaire, génère une hausse de la productivité allant de 0,39 % (1949 -

1981) à 0,56 % (1949-1967) es facteurs aux dépenses

publiques a varié quant à elle de 0,36 % (1949-1967) à 0,49 (1968- capital. Les calculs de A. MUNNELL (1990) confirment les résultats précédents quoique la

relation établie entre le capital public et la production du secteur privé est moins robuste : une

augmentation de 1% du stock de capital public provoque une augmentation de 0,34% de la production9. En 199210, le même auteur met en évidence que la relation entre dépenses

plus vaste (nation). Dans le cas des USA, les élasticités de la production aux dépenses

passent de 0.34--0.20 au niveau des Etats et

à 0.03-0.08 au niveau des métropoles.

Pour Wang11 , une hausse de 1 % des dépenses en capital public augmenterait la % de la production privée accroît la demande de capital public de 0,8 % à 1,08 %. Les mêmes investigations dans certains pays en développement aboutissent à des résultats peu significatifs. En utilisant un modèle VAR, AGENOR12 teste la relation entre

stock du capital public et investissements privés dans la région MENA. Le peu de

significativité des résultats ne doit pas être imputé aux infrastructures mais à la qualité de

privé qui est finalement évincé par une mauvaise

8 David Alan ASHAUER , " Is Public Expenditure Productive? », Journal of Monetary Economics, vol. 23, 1989, .

9 et de leurs effets

ures pour les années 90, OCDE, Paris, pp.23-60. 10

11E. Wang, " Public Infrastructure and Economic Growth, cite par Marie Ange VEGANZONES: Infrastructures,

investissement et croissance : un bilan de dix années de recherches CERDI,

12 Pierre- Public Infrastructure

World Bank Policy Research Working Paper 3661, July 2005 5 gouvernance et non par le capital public lui-même. Le problème posé ainsi change la nature

des relations entre public et privé et pose la problématique des institutions au premier plan. La

ronnement des affaires est aussi cruciale que celle qui consiste à disposer

secteur privé, les règles de la commercialité et la soutenabilité des finances publiques étant les

buts. n doute le sens de la causalité entre infrastructures et revenu ; ce qui expliquerait que les pays riches en possèdent davantage que les pays moins riches (Evans, P. et G. Karras)13 et Holtz-Eakin, D.14 En résumé, les interactions entre capital public et privé peuvent être diverses. Dans le court terme, le capital public peut effectivement se substituer au capital privé du fait de la limitation des ressources financières. terme du fai capacités de production et la productivité globale des facteurs.

1-2 Développement des infrastructures : quelle ?

partir de 1990, la Banque Mondiale définit sa . Le miracle justement structurel en Afrique lui fournissent faits et arguments pour définir cette nouvelle conception. Dans le domaine des infrastructures, la Banque mondiale reconnaît le rôle du secteur public pour au moins quatre raisons : i) compte tenu du poids du secteur public et de la faiblesse du secteur privé, les gouvernements continueront à avoir une responsabilité de premier ordre dans les infrastructures dans les pays en développement et notamment dans les plus pauvres ; ii) même en supposant un engagement dynamique du secteur privé, quelques activités ( comme des réseaux de route et des travaux publics majeurs) - resteront principalement dans le domaine public ; iii) un secteur public fort et efficace est entrevu

comme un préalable pour faciliter la participation du secteur privée et iv) beaucoup de

gouvernements de pays en voie de développement décideront ,pour des raisons stratégiques,

régulatrices, ou politiques, de conserver la responsabilité de la construction et de

15 niveau institutionnel dont acité du capital physique16. Les investissements dans

13 (YMQV 3B HP *B .MUUMV 1EE4 ³$UH *RYHUQPHQP $ŃPLYLPLHV 3URGXŃPLYH" (YLGHQŃH IURP M 3MQHO

Economics and Statistics, 76, 1-11.

14 Holtz--582.

15 Worl Bank : World Development report, 1994

16 Pierre Jacquet et Olivier Charnoz : Infrastructures, croissance et réduction de la pauvreté, Article pour le Forum franco-vietnamien

(6-13 septembre 2003) 6 les infrastructures peuvent influencer positivement la croissance économique, faire reculer la

pauvreté si toutefois, ils parviennent à produire des services qui répondent à la demande

effective. Or la réalité montre qu'en dépit des ressources allouées au développement des

infrastructures dans les PVD, il persiste un gap dans la satisfaction des services essentiels. La

BM lie explicitement la forte croissance en Asie à la quantité et à la qualité des infrastructures

et inversement pour l'Afrique.17 Dans ce continent, les ressources ont été, le plus souvent, allouées à de nouveaux projets alors que la maintenance et le management des anciennes t suivi une détérioration et un affaiblissement du lien entre croissance et infrastructure. La maintenance inadéquate traduit -à-dire en premier lieu les pouvoirs publics.18

A travers le discours d

ne peut se

substituer au marché mais en est un juste un suppléant. Il optimise son fonctionnement grâce

pour les entreprises, à des investissements en capital physique (infrastructures) et humain et améliorer les institutions. L'amélioration de l'efficacité de fournisseurs d'infrastructure du secteur public est ainsi critique. publics de qualité, le but étant de faciliter 19 Cette amélioration est conditionnée, selon la BM, par trois instruments fondamentaux : - quasi-indépendance d'entités publiques. La performance est liée, selon la BM à la défin

gestion des entités avec le principe de responsabilité des managers (accountability),

et les travailleurs en général ; -des contrats explicites entre les gouvernements et les managers (publics ou privés) impliqués dan l'autonomie et la objectifs de performance incarnant la politique du gouvernement ; -une politique des prix conçue pour assurer la couverture des coûts pour assurer une indépendance financière dans le domaine des utilités publiques. La démarche de la BM reste fortement marquée pa, dans les pays qui ont échoué,

16 World Development report 1994, p 4

16 En Afrique par exemple, la BM établit que des dépenses de 12 milliards de dollars dans la maintenance des routes perm

un investissement supplémentaire de 45 milliards. Dans le même sens, la BM établit que les investissements dans les infrastructures ne

rendent que 60% en moyenne de leur capacité en moyenne. (P.4) 17 World Development report 1994, p 4

18 En Afrique par exemple

un investissement supplémentaire de 45 milliards. Dans le même sens, la BM établit que les investissements dans les infrastructures ne

rendent que 60% en moyenne de leur capacité en moyenne. (P.4) 19 Banque Mondiale ; World development report, 1997

7 restent le but ultime de tout le train de réformes que la Banque tente de faire appliquer un peu partout. onomistes20 les plus en vue allait entreprendre une étude sur le rôle des politiques publiques dans le miracle asiatique.21

élevé sur longue période avec une participation privée conséquente et une dotation en hausse

de capital humain expliquent, certes, une partie importante de la croissance mais seulement

une partie. Le problème est de mettre en évidence les politiques publiques qui ont réuni ces

facteurs et permis de les productivité

obtenue était particulièrement élevée par rapport à ce qui était connu jusque là.

friendly approach sélectionnés (la substitution ), subvention des industries en difficultés, soutien des investissements dans la recherche appliquée, obje, développement des institutions de marketing. est distinguée cependant qui a consisté à réduire les risques sur

2- Le développement des infrastructures en Algérie ?

Etat algérien : i) son

monopole sur les ressources naturelles lui donne un rôle de premier plan non seulement dans ique compte tenu ; ii) la reconstruction de son image suite à une régression

iii) un faible engagement du secteur privé du moins dans les activités productives et ce malgré

les réformes. Le plan de soutien à la relance économique (PSRE 2002/2004) et le plan

Marshall, le programme global est doublé de réformes tout azimut. 2-at Algérie peut se justifier pour plusieurs : i) la capacité de

Depuis près nette importante. La fiscalité

sur les hydrocarbures, qui est une bonne approximation de la rente, permet de dégager une lectivité. Certains

20 Cette équipe a été dirigée par John Page et était constituée de Nancy Birdsall, Ed Campos, W. Max Corden, Chang-Shik

Kim, Howard Pack, Richard Sabot, Joseph Stiglitz et Marilou Uy.

21 World Bank : economic growth and public policy, série World Bank policy research

report, 1993. 8 théoriciens ainsi que le FMI et la Banque mond

industriel important. Imiter la Norvège, pays industriel, développé et proche du plein emploi

revient à priver le

HVW-à-dire

autre que budgétaire marque un non public passe à moins de 14% à partir de 1999 en partie investissements de SONATRACH. Sans revenir vers la production

Graphique n° 1

Structure de l'investissement

0 5 10 15 20 25
% du PIB

Investissement non publicinvestissement public

Les investissements lourds que nécessitent les infrastructures sont hors de portée du

Par ailleurs, l

infrastructures nécessitent en général des réseaux de distribution à plusieurs niveaux22 ; ce qui

pose encore une fois le problème de leur financement. terme dans ce type de projets éloigne le secteur privé pour ces raisons de financement mais pour d ;

La dernière

amélioration conséquente du niveau de vie en général a accentué la méfiance de la population

et élargi la fracture entre . La livraison prochaine de grandes vietnamien (6-13 septembre 2003) 9 infrastructures (autoroute, barrages etc.) pourrait Le Plan de Soutien à la Relance Economique (PSRE 2002/2004) et le Plan Complémentaire de Soutien à la Croissance (PCSC 2005/2009) de ce aucune velléité de retour vers Avec une enveloppe totale qui dépasserait les 180 milliards, le gouvernement entend doter le pays nomiques, sociales et administratives modernes.

Graphique n°2

Structure de la dépense budgétaire

0 5 10 15 20 25
30
35
40

199019911992199319941995199619971998199920002001200220032004200520062007 (LF)2007 (LFC)

% PIB budget fonct. % PIBBudget équip. % PIB Source : données Ministère algérien des finances. Le plan de soutien à la relance économique (PSRE) et le plan complémentaire de la part du budget , pour du PIB.

mais aussi par les reports des dépenses prévues et non réalisées en 2006 et les réévaluations

concernant les programmes du PCSC, du PSRE, du Grand Sud et des Hauts Plateaux. Le quotesdbs_dbs23.pdfusesText_29
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