[PDF] Classe: TSspé chapitre5 : Puissance n-ième dune matrice- Limite





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Puissance n-ième dune matrice Limite

A et C sont triangulaires B et D strictement triangulaires. Propriété 2. Les puissances d'une matrice triangulaire sont triangulaires de même forme. Les 



CALCUL DES PUISSANCES N-IÈME DUNE MATRICE CARRÉE

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PUISSANCES D’UNE MATRICE - Maths-coursfr

3 b) La valeur de a 1 est –1 L'expression de a n + 1 en fonction de a n est 3 c) D'après ce qui précède : an 2 n 1 a n 1 En substituant dans le second membre de cette égalité a n – 1 par 2n 2 a n 2 puis en faisant de même avec a n – 2 et ainsi de suite



Exo7 - Cours de mathématiques

Soient A= (aij) une matrice n p et B = (bij) une matrice p q Alors le produit C = AB est une matrice n q dont les coef?cients cij sont dé?nis par : cij = Xp k=1 aikbkj On peut écrire le coef?cient de façon plus développée à savoir : cij = ai1b1j +ai2b2j + +aikbkj + +aipbpj Il est commode de disposer les calculs de la façon



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étant nulles le calcul de puissance de matrice se fera seulement par rapport a sa diagonale et non en considérant toute les valeurs de la matrice A P Rappel : Une matrice diagonale est une matrice carrée dont les coefficients en dehors de la diagonale principale sont nuls Les coefficients de la diagonale peuvent être ou ne pas être nuls

Comment calculer l’ensemble des matrices triangulaires supérieures?

0 1 0 0 0 1 est l’ensemble des matrices triangulaires supérieures. ExempleLe plan Pde R3d’équation 2x?y+3z=2 est le sous-espace af?ne de direction Vect € (1,2,0),(0,3,1) Š passant par (0,?2,0). En résumé : P=(0,?2,0)+Vect € (1,2,0),(0,3,1) Š .

Comment calculer la puissance d'une matrice triangulaire ?

Si T est une matrice triangulaire supérieure stricte d'ordre 3, alors pour tout entier naturel supérieur ou égal à 3, on a T3 = . Remarque : C'est la raison pour laquelle il est utile de les repérer ! Pour une matrice diagonale, il suffit d'élever à la puissance n les coefficients de la diagonale.

Comment calculer le déterminant d'une matrice triangulaire ?

Si A est une matrice triangulaire inférieure, le déterminant de A est le produit de ses coefficients diagonaux ai i : on a . On raisonne par récurrence. On développe par rapport à la première colonne si la matrice est triangulaire supérieure et par rapport à la dernière colonne si la matrice est triangulaire inférieure.

Comment calculer la matrice d'une base triangulaire?

• Veri?er que la matrice de´ u dans une telle base est triangulaire inferieure puis en´ deduire que´ Sp(u) = {Tr(u)?? 2, Tr(u)+? 2}. Que peut-on alors dire de u?

Classe: TSspé chapitre5 : Puissance n-ième dune matrice- Limite

Classe: TSspé chapitre5 : Puissance n-ième d'une matrice- Limite

Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. Euclide d'Alexandrie

Indexobjectif bac page 168 Étude asymptotique d'une marche aléatoire .......................................................... 1

objectif bac page 169 Étude d'une suite de matrices ................................................................................ 5

TP1 page 170 le modèle des urnes d'Ehrenfest ...................................................................................... 8

TP3 page 174 Modèle proies-prédateurs de Lokta-Volterra ......................................................... 16

9 page 176 ............................................................................................................................................... 19

10 page 176 ............................................................................................................................................. 21

48 page 184 Étude asymptotique d'une marche aléatoire. ............................................................ 21

51 page 185 Approximation de nombres réels .................................................................................... 24

Remarque et complément : Suite de Fibonacci .................................................................................. 30

57 page 188 Le modèle de Leslie ........................................................................................................... 32

objectif bac page 168 Étude asymptotique d'une marche aléatoire Un graphe probabiliste : Étant sur une page, le lien est choisi

équitablement.

ou un arbre

1) La matrice (pi,j) où les coefficients pi,j désigne la probabilité, étant à la page i, d'aller à la page j. (i et j

sont les entiers 1 ou 2 ou 3).

Remarque : pi,j est la probabilité conditionnelle qui pourrait être notée pi(j) avec les notations utilisées en

probabilités dans le programme obligatoire.

M = (pi,j) =

(00,50,5

0,500,5

010).

2) Pn en fonction de M et de P0.

Xn est la variable aléatoire donnant la page sur laquelle se trouve le surfeur au n-ième clic.

Pn est la matrice ligne donnant dans cet ordre : le surfeur est à la page 1, à la page 2, à la page 3 ;

Pn = (P(Xn = 1) P(Xn = 2) P(Xn = 3))

P0 =(a b c) avec 0  a  1 ; 0  b  1 ; 0  c  1 et a + b + c = 1. État probabiliste initial.

" L'essence des mathématiques réside précisément dans leur liberté " Georg Cantor

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Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. Euclide d'Alexandrie P1 = P0M et Pn+1 = PnM Par récurrence, on montre que : Pn = P0Mn.

3) Soit la matrice P =

(112 11-4

1-24). On admet que P est inversible et que P-1 =

1

18 (486

8-2-6

3-30).

a) Q = P-1MP. Q = 1

18(486

8-2-6

3-30)(00,50,5

0,500,5

010)(112

11-4

1-24) =

1

18 (486

-1-23 -1,51,50)(112 11-4

1-24) =

1

18 (1800

0-918

00-9).

Q = (100

0-0,51

00-0,5) = (100

0-0,50

00-0,5) + (000

001 000)

On pose : D =

(100

0-0,50

00-0,5) et T = (000

001

000), d'où, Q = D + T.

3 b) T² =

(000 001

000)(000

001

000) = (000

000

000) = 03.

DT = (100

0-0,50

00-0,5)(000

001

000) = (000

00-05

000) = -0,5(000

001

000) = -0,5T

TD = (000 001

000)(100

0-0,50

00-0,5) = (000

00-05

000) = -0,5T

Remarquer :

Lorsqu'une ligne i de la matrice à gauche est nulle, la ligne i de la matrice produit est nulle.

Lorsqu'une colonne j de la matrice à droite est nulle, la colonne j de la matrice produit est nulle.

Montrons l'égalité : Pour tout n ∈ ℕ*, DnT = (-0,5)nT.

Par récurrence :

Initialisation : n = 1. Le calcul précédent initialise la proposition. Hérédité : Soit un entier n  1 tel que DnT = (-0,5)nT. Dn+1T = D. DnT = D((-0,5)nT) = (-0,5)nDT = (-0,5)n(-0,5T) = (-0,5)n+1T . Conclusion : D'après l'axiome de récurrence, pour tout n ∈ ℕ*, DnT = (-0,5)nT. " L'essence des mathématiques réside précisément dans leur liberté " Georg Cantor

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Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. Euclide d'Alexandrie

3c) Proposition à démontrer par récurrence: Pour tout n ∈ ℕ*, Qn = Dn + n(-0,5)n-1T.

Initialisation : n = 1.

Q = D + T et D + 1×(-0,5)0T = D + T L'égalité est vérifiée. Hérédité : Soit un entier n  1 tel que Qn = Dn + n(-0,5)n-1T.

Qn+1 = QnQ = (Dn + n(-0,5)n-1T)(D + T)

= Dn+1 + n(-0,5)n-1TD + DnT + n(-0,5)n-1T²

Or, T² = 03, TD = -0,5T et DnT =

(-0,5)nT.

On a donc : Qn+1 = Dn+1 +

n(-0,5)n-1(-0,5T) + (-0,5)nT = Dn+1 + n(-0,5)nT + (-0,5)nT = Dn+1 + (n + 1) (-0,5)nT. Conclusion : D'après l'axiome de récurrence, pour tout n ∈ ℕ*, Qn = Dn + n(-0,5)n-1T. d) On sait : Q = P-1MP. En multipliant à gauche par P et à droite par P-1, on a : PQP-1 = P(P-1MP)P-1 Par associativité : PQP-1 = (PP-1)M(PP-1) = M puisque PP-1 = PP-1 = I3 . On a : M² = PQP-1PQP-1 = PQ²P-1 (et par récurrence ...)

Mn = PQnP-1

3 e) Étude de la limite en +∞ de la suite

(Qn).

On sait : pour tout n ∈ ℕ*, Qn = Dn +

n(-0,5)n-1T.

Étude de Dn en +

Comme -1 < -0,5 < 1, on sait :

limn→+∞ (-0,5)n = 0 La matrice D étant une matrice diagonale, on a : Dn = (100

0(-0,5)n0

00(-0,5)n) et quand n tend vers +∞, (Dn)

tend vers la matrice (100 000 000).

Étude de la limite de

n(-0,5)n-1 n(-0,5)n-1 = 2 n

2×(-1)n-1×1

2n-1 = (-1)n-1×2×n

2n

Il reste à étudier la limite de n

2n Comme 2n = enln2 , posons x = nln2, et, étudions la limite de 1 ln2 x ex

D'autre part, on sait : limx→+∞ex

x = +∞, d'où, limx→+∞x ex = 0, ( soit : limx→+∞ xe-x = 0.) " L'essence des mathématiques réside précisément dans leur liberté " Georg Cantor

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Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. Euclide d'Alexandrie

La limite en +∞ de n

2n est la limite en +∞ (car ln2 > 0) de 1

ln2 x ex, donc, limn→+∞ n

2n = 0.

Comme, pour tout n ∈ ℕ*, (-1)n-1 = -1 ou 1, limn→+∞ (-1)n-1×2× n

2n = 0

la matrice Qn a donc pour limite en +∞, la matrice (100 000 000). Étude de la limite en +∞ de la suite (Mn). Comme Mn = PQnP-1, on a quand n tend vers +∞, Mn tend vers P (100 000

000)P-1.

Calcul de : 1

18 (112 11-4

1-24)(100

000

000) (486

8-2-6

3-30) =

1

18 (100

100

100)(486

8-2-6

3-30) =

1

18 (486

486

486) =

(2 9 4 9 3 9 2 9 4 9 3 9 2 9 4 9 3 9

On note

M∞ la matrice

(2 94
93
9 2 94
93
9 2 94
93
9).

4) P0 =(a b c) avec 0  a  1 ; 0  b  1 ; 0  c  1 et a + b + c = 1. État probabiliste initial.

Pn = P0Mn donc

Pn tend vers la matrice

P∞ = P0M∞ = (a b c)

(2 94
93
9 2 94
93
9 2 94
93
9) = (2

9(a+b+c)4

9(a+b+c)3

9(a+b+c))Comme a + b + c = 1, la suite

(Pn) converge vers P∞ = (2 94
93
9). la page 2 est celle qui est la plus probable après de nombreux clics. " L'essence des mathématiques réside précisément dans leur liberté " Georg Cantor

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Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. Euclide d'Alexandrie objectif bac page 169 Étude d'une suite de matrices

Xn = (pn

qn rn ) avec X0 = (12 16

10) et Xn+1 = AXn + C où A = (0,50,250,25

0,250,50,25

0,250,250,5) et C = (0

3 -3).

1 a) Soit X =

(16 20

12). AX + C = (0,50,250,25

0,250,50,25

0,250,250,5)(16

20

12) + (0

3 -3) = (8+5+3

4+10+3

4+5+6) + (0

3 -3) = (16 20

12) = X

Remarques et point-méthode :

1) recherche et existence de X

On cherche s'il existe une matrice constante X vérifiant AX + C = X. Si cette matrice existe, elle vérifie (I3 - A)X = C.

On pose B = I3 - A.

Lorsque B est inversible X =

B-1C.

2) Dans l'étude des suites arithmético-géométriques, l'étude est semblable.

Soit un+1 = aun + b.

On résout : ax + b = x. si a

≠ 1, il existe un réel  = b

1-a tel que  = a + b.

par différence : un+1 -  = a(un - ), d'où, l'introduction de la suite (vn) définie par vn = un - . (vn) est une suite géométrique de raison a. vn = anv0, puis : un -  = an(u0 - ) un = an(u0 - b) On pose Yn =

Xn - X.

Plusieurs méthodes pour disposer les calculs ....

On cherche

Yn+1, on pose donc par définition Yn+1, et, on remplace Xn+1 par AXn + C et X par AX + C.

Yn+1 = Xn+1 - X = AXn + C - (AX + C) = A(

Xn - X) = AYnou bien on pose les deux égalités : Xn+1 = A Xn + C et X = AX + C, puis on fait la différence membre-à- membre , {Xn+1=AXn+C

X=AX+C mène à Xn+1 - X = A Xn - AX = A(Xn - X) = AYn, soit : Yn+1 = AYnUne récurrence évidente permet alors de montrer : Yn = AnY0

Comme Yn = Xn - X et Y0 = X0 - X, il vient : Xn - X = An(X0 - X)

Conclusion : Xn = =

An(X0 - X) + X

" L'essence des mathématiques réside précisément dans leur liberté " Georg Cantor

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Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. Euclide d'Alexandrie

2 a) 4A - 2I3 = (011

101

110) = B

b) B² = (011 101

110)(011

101

110) = (211

121

112) = (200

020

002) + (011

101

110) = 2I3 + B.

On pose An =

αnI3 + βnB avec

{αn+1=1

2αn+1

2βn

βn+1=1

4αn+3

4βn

initialisation : A0 = I3 = 1.I3 + 0.B α0 = 1 et β0 = 0 A = 1 2I3 + 1

4B α1 =

1

2 et β1 =

1

4 α1 = 1

2×α0 +

1

2×β0

β1 = 1

4×α0 + 3

4×β0

hérédité :

Soit un entier n tel que An =

αnI3 + βnB.

An+1 =

AnA = (αnI3 + βnB)(1

2I3 + 1 4B) = 1quotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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