Il était une fois un couple heureux
IL ÉTAIT UNE FOIS. UN VIEUX COUPLE. HEUREUX. Né en 1941 à Trafraout
Un roman maghrébin contemporain : Il était une fois un vieux couple
faire lire le texte ; cours dialogué ; exposé des recherches de l'élève ; prise de notes. Support : Il était une fois un vieux couple heureux KhaïrEddine.
Résumé de lœuvre «il était une fois un vieux couple heureux»
Il était une fois effectivement
Il était une fois un vieux couple heureux de M. Khaïr-Eddine: L
Apr 3 2020 Khaïr-Eddine confiait : « Quand j'écris s'exhalent dans mes textes toutes les odeurs du pays
www.9alami.com
TEXTE : Le magasin du village qui s'était considérablement agrandi au fil du temps et qui Extrait de « Il était une fois un Vieux Couple Heureux.
conference conférence C conferencia
Oct 23 1995 concernant le texte de la résolution
Référentiel religieux et éducation aux valeurs dans le système
et de voir ce que disent les textes officiels de l'enseignement du fait religieux. Khair-Eddine M. (1993) Il était une fois un vieux couple heureux.
Il était une fois un vieux couple heureux
L'incipit de l'œuvre identifie l'énoncé comme une narration romanesque : loin du conte et ses particularités. Ainsi l'incipit détermine la nature du texte à
LAutre Camus. [Dossier] dans Actualités et culture berbères
Il était une fois un vieux couple heureux de M. Khaïr-Eddine. On notera aussi un appareil de notes riches d'informations bibliogra-.
La part sensible de lacte de Joëlle Libois est mis à disposition selon
d'un extrait quelconque de ce livre par quelque procédé que ce soit
International.
Comité de lecture de la collection
le social dans la cité »Yves Delessert
Monique Eckmann
Jean Kellerhals
Catherine Rosselet
Kim Stroumza
Jacques Vallet
Sabine Voélin
La part sensible de l'acte
Présence au quotidien en éducation sociale
Joëlle Libois
le social dans la cité, 20 2013professeure à la Haute école de travail social, Genève
Dépôt légal, décembre 2013
Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproductionéditions ies
Haute école de travail social, Genève
Sommaire
Remerciements
Introduction13
Métiers de l'humain, métiers du lien13
Entre le prescrit et le réel
: complexité de l'action15La professionnalité dans les espaces-temps
du " vivre ensemble Approche clinique de l'activité professionnellePlan de l'ouvrage 21
Première partie
Faire de la recherche sur l'acte éducatif
Chapitre premier
La profession en mouvement
L'intervention sociale au détriment du travail social Contrôle social et émancipation de la personne 30L'autonomie comme nouvelle norme sociale35
Une pratique intégrative très normative
Les nouveaux modes de gestion
Le déff du social est de faire valoir l'altéritéAdhésion du jeune au placement
Le " risque zéro » comme nouvelle norme sociale52 Deux foyers d'hébergement investis dans la recherche injonction à l'autonomie53Un espace-temps d'intervention souple et
délié d'autoritarismeL'étrangeté du quotidien
Difficile conceptualisation du quotidien
Chapitre 2
Accéder à l'agir professionnel par l'analyse de l'activitéCo-construction et coproduction de l'activité
Etude clinique des situations de travail
Clinique et travail social
: positionnements en miroirTrois situations pour interroger l'activité
Chapitre 3
Ouverture à l'activité des éducateurs
115Chapitre 4
Situation événementielle
: créer un incident à visée éducative 123Vignette 1
: L'aspirateur 130133
Irruption 133
Quête de sens135
Ouverture à un déplacement
Le jeu de l'éducateur social
L'adressage de l'agression
L'intention éducative
Le risque dans l'acte
Subtilité du travail en duo 153
Présence corporelle en situation 155
Chapitre 5
Situation normative et régulatrice
: le corps présent et oubliéVignette 2
: La priseL'acte incertain
: que faire ?La présence à autrui
: rester làPasser à autre chose
Maintenir la paix sociale à tout prix
Le risque est inhérent à l'acte
La sexualité révélée par les adolescentsLe corps sexué oublié
La tendresse, un sentiment propice à l'épanouissementChapitre 6
Situation empêchée
: expression de l'émotion 200Vignette 3
: " Je vous adore » 210La dimension collective de l'émotion215
La rapidité de répartie et le mode mineur de l'acteFaire silence pour laisser place220
L'expression des sentiments au sein d'un collectif223La dynamique d'équipe
: trouver sa place225Emotion et féminité
Emotion et présence
Chapitre 7
Le temps de l'autoconfrontation collective
les afiects engagés dans l'acte235Histoire de mots
L'empathie comme transposition imaginative
L'action rationnelle instituée par l'organisation 251Chapitre 8
La présence à l'autre
: une pratique risquée et engagée255La qualité de présence
Présence à autrui et enjeux de pouvoir
Présence tranquille
Le trajet en lieu et place du projet
La nécessité de la marge
Conclusion
Redonner de la voix et du pouvoir d'agir à autruiFavoriser la résistance créatrice
L'acte professionnel comme une aventure
La mètis
: capacité à régir des forces contrairesBibliographie
Remerciements
Je remercie Guy Jobert pour son accompagnement tout au long de l'écriture de ma thèse, pour la liberté qu'il m'a accordée et tout ce qu'il a su me transmettre. Je remercie les éducateurs et éducatrices qui m'ont fait conffance dans cette délicate aventure qui consiste à converser sur leur activité réelle et ainsi, participer à la rendre visible. Je remercie la HETS, plus spéciffquement la responsable des éditions ies, Monique Eckmann, ainsi que Stéphanie Fretz, responsable administra- tive et technique, pour les judicieux conseils qu'elles m'ont promulgués en vue de l'édition de ce manuscrit. Je remercie le Fonds national suisse de la recherche scientiffque (FNS) et la Haute Ecole Spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO) qui ont par- ticipé au ffnancement de cet ouvrage.Les menus événements du
quotidien ont un sens.Ce texte est dédié aux travailleurs sociaux
qui engagent dans leur activité une qualité de présence. Cet écrit provient d'un travail de thèse en éducation des adultes. Il ne représente que la partie empirique de la recherche liée à l'analyse de l'acti- vité des éducateurs sociaux. L'articulation entre la complexité de l'agir relevée à partir de situations du quotidien et la formation professionnelle tertiaire n'a pas été retenue pour cet ouvrage. Cet aspect est voué à publication sous forme d'articles scientifiques dans des revues spécialisées.Introduction
Métiers de l'humain, métiers du lien
Le travail social se situe comme une activité professionnelle inscrite dans les métiers de service et plus spéciffquement dans les métiers de l'humain. Dans son activité quotidienne, le travailleur social est en constante interaction. Nous pensons que les métiers de l'humain mobili- sent des compétences relationnelles nécessaires à la compréhension de la demande d'autrui affn de co-construire, en interaction, un projet mobili- sateur. Ion et Tricart relèvent que, au-delà du langagier, " l'essentiel - non mesurable - est dans la présence et l'ineffable de la relation vécue avec autrui 1 qu'il s'agisse d'un individu ou d'un groupe» (1984 : 60). L'identité du tra-
vail social, quel que soit le niveau de formation, est fondée centralement sur la capacité à maintenir le lien là où celui-ci fait défaut. Si de nombreux auteurs s'intéressent aujourd'hui aux mutations du travail social (Cho- part, 2000 ; Dubet, 2002 ; Chauvières, 2004), nous tenterons pour notre part de chercher ce qui peut encore aujourd'hui se déffnir comme l'es- sence, la nature même des pratiques professionnelles de niveau expert. Les théoriciens de l'action sociale soulignent que le dénominateur commun des travailleurs sociaux est bien la pratique de la relation et l'importance du langage dans la maîtrise de cette dernière (Autès, 1998, 200 ; Fustier, 1993,2000, 2009
; Brichaux, 2001 ; Soulet, 1997, 2001 ; Ion, 2005 ; Chauvières, 2005; Robinson, 2009 ; Rouzel, 2004, 2010). Au vu des transformations de l'action sociale, l'ineffable de la relation (Ion & Tricart, 1984) demande aujourd'hui à être exploré. Rendre visibles 1
En italique dans le texte.
la part sensible de l'acte et dicibles les pratiques du lien, donner de l'intelligibilité aux compétences mises en oeuvre dans la présence à autrui sont pour nous indispensables à la définition et à la compréhension du métier. Etre au front de l'activité revient à la fois à " neutraliser » ce qui est source de rejet et de peur et à préserver des rapports sociaux privilégiés avec les personnes porteuses de ces stigmates. " La fonction de lien au coeur du travail social s'exerce aux limites du social, confrontées aux subjectivités déchues et aux liens défaillants» (Lhuilier, 2009 : 53).
Au regard des référentiels de compétences liés aux formations de niveau universitaire, l'axe de l'implication affective dans la relation estétonnamment relégué en "
arrière-fond » des métiers du social, comme si le relationnel devenait gênant, ne relevant pas de dimensions scientifiques. Pourtant, nous pensons que le travail social se caractérise autant par l'application de savoirs validés à des objets et méthodes d'intervention que par une capacité relationnelle à engager des comportements chez autrui. Le professionnel de l'intervention sociale est impliqué dans des transactions interpersonnelles et affronte des situations plus ou moins éprouvantes, qui ébranlent, par leur nature ou/et par leur répétition, les dimensions émotionnelles de son équilibre psychique. Le praticien est confronté à la problématique récurrente de la gestion de la " bonne distance » vis-à-vis de ses interlocuteurs : distance ni trop grande (froideur proche du désintérêt perceptible par l'interlocuteur) ni trop courte (risque d'une trop grande implication affective dans la relation qui pourrait alors perdre son caractère professionnel et " faire souffrir »). Il n'y a pas de gestion facile de l'engagement de soi envers autrui, spécifiquement lorsque l'on sait qu'une des dimensions psychologiques du burnout ressort de la dépersonnalisation de la relation qui coïncide avec une gestion de l'interaction devenue distante, répétitive (Villatte et al., 2005). Nous pensons les compétences communicationnelles et relationnelles comme intrinsèques aux métiers du travail social, compétences instruites par les savoirs disciplinaires ouvrant aux dimensions critiques et émanci- patrices lorsque l'action vise à redonner du pouvoir d'agir à autrui. Les compétences interactives relèvent d'un savoir de base, rendu complexe à mettre en oeuvre, au vu de la diversité des publics et des problématiques sociales. Savoirs sur lesquels la littérature fait cruellement défaut. " Quand les mots viennent à manquer pour coder ces situations, cela peut entr aîner de graves tensions psychiques entre ce qu'on sait, ce qu'on fait, ce qu'on peut mettre en mots et ce qu'on peut en dire à autrui» (Boutet & Gardin,
introduction 15 2005: 109). Mettre en lisibilité les savoirs de métier sera au coeur de notre démarche. Pour cela, nous aurons le souci de mener de front théorisation et démarche empirique. Un champ d'intelligibilité est à construire, articulant savoirs incorporés et savoirs cognitifs. Il convient [...] de prendre en considération tout un registre affectuel, émotionnel, sentimental, qui permet de comprendre les connaissances dans leur diversité et les visions du monde dans leur pluralité, et qui se trouve pourtant habituellement classé dans le domaine " extracognitif ». (Farrugia & Schurmans, 2008 : 20) L'a priori de base et le discours commun se déclinent ainsi : cela se construit dans la pratique professionnelle, c'est une affaire de travail sur soi.
Ou encore
: si l'on ne possède pas cette capacité de base, alors pourquoi se lancer dans le travail social ? Nous pensons au contraire que les savoirs rela- tionnels des métiers du social s'acquièrent. Comme le disent Couturier etChouinard
Le caractère relationnel ici en question ne se réduit cependant pas qu'à la seule dimension psychoaffective de toute activité impliquant des personnes ; il est pour nous performatif, en ce sens qu'il produit par la relation des effets constitutifs de l'agir professionnel. (2008 : 214) Notre ouvrage s'appuie sur des apports issus de l'ergonomie de lan- gue française (coopération interdisciplinaire des pays francophones en matière de sciences appliquées au travail humain), qui a posé la différen- ciation éclairante entre travail prescrit et travail réel. Cet écart n'est pas pensé comme un objet problématique, mais au contraire comme un espace nécessaire permettant aux professionnels de déployer leur créativité dans l'agir pour répondre à ce qui n'a pas été prévu par les prescripteurs. C'est bien de cet écart dont il s'agira lorsque nous chercherons à montrer la complexité des situations de travail auxquelles les professionnels du travail social sont quotidiennement confrontés. Au vu du contexte de transformation des pratiques professionnelles, il nous a paru essentiel de nous arrêter sur des situations qui mettent en visibilité la complexité de l'action, dans les temps de la vie quoti- dienne, complexité engageant des savoirs professionnels de haut niveau. la part sensible de l'acte Notre enjeu étant d'interroger le professionnalisme à l'oeuvre, qui montre une certaine efficacité dans l'action ou parallèlement qui révèle les dif- ficultés que posent pareilles situations. A l'occasion d'incidents parfois forts banals, une action éducative se construit. A quoi se réfère-t-elle ? En d'autres termes, en quoi les activités " spontanées » du quotidien peuvent- elles être sources d'actions éducatives de haut niveau au sens professionnel du terme S'intéresser aux situations de la vie quotidienne et aux activités non formelles demandent des réponses professionnelles se référant à des savoir- agir spécifiques liés au vivre ensemble et à la capacité de travailler dans et sur le lien social. Il est ici question de spécialisation professionnelle peu lisible et peu visible, qui découle d'une proximité apparente avec les activi- tés courantes de la vie ordinaire. Au sein de cet ouvrage, nous nous centrerons sur l'analyse de l'activité d'éducateurs travaillant en foyer pour jeunes en difficultés. Pour construire notre objet, nous posons une différenciation entre deux niveaux principaux d'activité dans le champ de l'action éducative l'un relevant des méthodes et techniques du travail social, identifiées dans des espaces-temps réservés, dans des bureaux ou salles de réunion et d'entretien coupés de la vie collective (niveau 1), l'autre se définissant autour de la dimension du " vivre ensemble » (niveau 2), zone plus diffuse, peu nommée et peu investie dans les formations de niveau tertiaire. Le premier niveau recouvre des temps dévolus à l'action sociale tels qu'entretiens, synthèses, colloques. Actes professionnels identifiables, sur rendez-vous, dans un espace clos, décrit ainsi par FustierUne personne (un usager de l'institution) "
coincée » dans un lieu spécifique serait là pour écouter, qu'elle le veuille ou non, ce que l'autre (un éducateur par exemple) aurait à lui dire. Cette personne ne dispose plus, dans la contrainte d'une situation close, du droit de non- entendre. (2008 : 46) Le second niveau comme temps de la vie quotidienne : temps de pré- sence, de disposition à l'autre, à ce qui advient dans le " brouhaha » de la vie ordinaire de l'institution. Temps peu identifié, difficile à reconnaître comme impliquant des compétences métier de niveau expert.quotesdbs_dbs8.pdfusesText_14[PDF] île roman
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