[PDF] Tunisie - Convention fiscale avec les Pays-Bas signee le 16 mai





Previous PDF Next PDF



NOTE COMMUNE N°14

dans des pays dont la convention de non double imposition conclue avec la. Tunisie permet une telle imposition. - aux bénéfices réalisés au cours de l'année 



Convention avec la Tunisie

Etat à une imposition supplémentaire répartie suivant la même proportion que l'imposition c) Les dividendes imposés en Tunisie au titre des articles 14 et 15 ...



Note commune N°25 2016

non imposition en Tunisie des bénéfices provenant de l'exportation. c- revenu exonéré d'impôt en Tunisie par la convention de non double imposition.



Chapitre 2 - La politique de dividende

Quel est le taux d'imposition des actionnaires ? III. Le dividende et la théorie de l'information. Les changements de la politique des dividendes communiquent 



Tunisie - Convention fiscale avec le Danemark signee le 5 fevrier

Le present paragraphe n'affecte pas l'imposition de la societe au titre des benefices qui servent au paiement des dividendes. 3) Le terme « dividendes » employe 



Tunisie - Convention fiscale avec la Grande Bretagne signee le 15

- Dividendes. Page 5. www.Droit-Afrique.com. Tunisie. Convention fiscale avec la cevoir aucun impôt sur les dividendes payés par la société sauf dans la ...



Tunisie - Convention fiscale avec la Suisse signee le 10 fevrier 1994

Le présent paragraphe n'affecte pas l'imposition de la société au titre des bénéfices qui servent au paiement des dividendes. 3) Le terme « dividendes » employé 



note commune n°9/2021

la réduction de 25% à 15% du taux de l'impôt dû sur la plus-value réalisée par les personnes morales non résidentes non établies en Tunisie et provenant de 



Tunisie Convention fiscale avec la Suède

Ce paragraphe ne concerne pas l'imposition de la societe pour les benefices qui servent au paiement des dividendes. Tunisie peut assujettir a l'impot sur le ...



Les retenues à la source

imposition avec la Tunisie : Certaines conventions de non double imposition n'imposent les Le droit d'imposition des dividendes revient au pays de la ...



NOTE COMMUNE N°14

29 du code de l'impôt sur le revenu des personnes physiques et de l'impôt sur les les bénéfices distribués aux personnes morales résidentes en Tunisie ;.



Convention fiscale entre la Tunisie et le Cameroun (www.droit

26 mars 1999 Les dispositions du présent paragraphe n'affectent pas l'imposition de la société sur les bénéfices qui servent au paiement des dividendes. 3) ...



Tunisie - Convention fiscale avec lItalie signee le 16 mai 1979

2) Toutefois ces dividendes peuvent etre imposes dans l'Etat contractant dont la societe qui paie les dividendes est un resident



Note commune N°25 2016

imposition en Tunisie c'est le cas d'un revenu bénéficiaire d'un dividendes réalisés par les résidents de Tunisie de leurs participations au capital.



Tunisie - Convention fiscale avec lEspagne signee le 12 juillet 1982

4) Les dispositions du paragraphe 2 n'affecteront pas l'imposition de la société au titre des bénéfices qui servent au paiement des dividendes. 5) Le terme « 



Tunisie - Convention fiscale avec la Grande Bretagne signee le 15

v) l'impôt sur le revenu des valeurs mobi- tuée au-delà des eaux territoriales de la Tunisie ... cevoir aucun impôt sur les dividendes payés par la.



convention-tunisie-mauritanie.pdf

entre la République Tunisienne et la République Islamique Mauritanienne paiement d'un impôt sur les dividendes et qu'elle possède un ou plusieurs ...



Tunisie - Convention fiscale avec Malte signee le 31 mai 2000

31 mai 2000 Tunisie. Convention fiscale avec Malte. 1/14. Tunisie. Convention fiscale avec Malte ... l'impôt maltais sur les dividendes peut ex-.



Tunisie - Convention fiscale avec les Pays-Bas signee le 16 mai

(iv) l'impôt sur les dividendes (de dividend- belasting) ;. (ci-après dénommés : « impôt néerlandais ») ; b) en ce qui concerne la Tunisie :.



Convention avec lInde

i) l'impôt sur le revenu (income-tax) et toute taxe additionnelle (surcharge) ; reçoit les dividendes en est le bénéficiaire effectif l'impôt ainsi ...

www.Droit-Afrique.com Tunisie

Convention fiscale avec les Pays-Bas

1/12

Tunisie

Convention fiscale avec les Pays-Bas

Signée le 16 mai 1995, entrée en vigueur le 30 novembre 1995

Chapitre 1 - Champ d'application de la

convention

Art.1.- Personnes visées

La présente convention s'applique aux personnes qui sont des résidents d'un Etat contractant ou des deux Etats contractants.

Art.2.- Impôts visés

1) La présente Convention s'applique aux impôts

sur le revenu perçus pour le compte d'un Etat contractant, de ses subdivisions politiques ou de ses collectivités locales, quel que soit le système de perception.

2) Sont considérés comme impôts sur le revenu, les

impôts perçus sur le revenu total, ou sur des élé- ments du revenu, y compris les impôts sur les gains provenant de l'aliénation de biens mobiliers ou immobiliers, les impôts sur le montant global des salaires payés par les entreprises, ainsi que les im- pôts sur les plus-values.

3) Les impôts actuels auxquels s'applique la

Convention sont notamment :

a) en ce qui concerne les Pays-Bas : (i) l'impôt sur le revenu (de inkomstenbelas- ting) ; (ii) l'impôt sur les traitements, salaires et pen- sions (de loonbelasting) ; (iii) l'impôt des sociétés y compris la part du

Gouvernement dans les bénéfices nets de

l'exploitation de ressources naturelles établie selon la loi minière de 1810 (" Mijnwet

1810 ») par rapport aux concessions qui sont

concédées dès 1967, ou selon la Loi Minière pour le Plateau Continental de 1965 (" Mijnwet Continentaal Plat 1965 ») (de ven- nootschapsbelasting) ; (iv) l'impôt sur les dividendes (de dividend- belasting) ; (ci-après dénommés : " impôt néerlandais ») ; b) en ce qui concerne la Tunisie : (i) l'impôt sur le revenu des personnes physi- ques ; (ii) l'impôt sur les sociétés ; (ci-après dénommés : " impôt tunisien »).

4) La Convention s'applique aussi aux impôts de

nature identique ou analogue qui seraient établis après la date de signature de la Convention et qui s'ajouteraient aux impôts actuels ou qui les rempla- ceraient. Les autorités compétentes des Etats contractants se communiquent les modifications importantes apportées à leurs législations fiscales respectives.

Chapitre 2 - Définitions

Art.3.- Définitions générales

1) Au sens de la présente Convention, à moins que

le contexte n'exige une interprétation différente : a) le terme " Pays-Bas » désigne le territoire européen du Royaume des Pays-Bas et les zo- nes adjacentes aux eaux territoriales des Pays- Bas sur lesquelles, en conformité avec le droit international, les Pays-Bas peuvent exercer des droits souverains à fin d'exploration et d'exploitation de ces zones et de leurs ressour- ces naturelles ; b) le terme " Tunisie » désigne le territoire de la République Tunisienne et les zones adjacen- tes aux eaux territoriales de la Tunisie sur les- quelles, en conformité avec le droit internatio- nal, la Tunisie peut exercer des droits souve- rains à fin d'exploration et d'exploitation de ces zones et de leurs ressources naturelles ; www.Droit-Afrique.com Tunisie

Convention fiscale avec les Pays-Bas

2/12c) les expressions " un Etat contractant » et

" l'autre Etat contractant » désignent, suivant les cas, les Pays-Bas ou la Tunisie ; l'expression " les deux Etats contractants » dé- signe les Pays-Bas et la Tunisie ; d) le terme " personne » comprend les person- nes physiques, les sociétés et tous autres grou- pements de personnes ; e) le terme " société » désigne toute personne morale ou toute entité qui est considérée comme une personne morale aux fins d'impositions ; f) les expressions " entreprise d'un Etat contractant » et " entreprise de l'autre Etat contractant » désignent respectivement une en- treprise exploitée par un résident d'un Etat contractant et une entreprise exploitée par un résident de l'autre Etat contractant ; g) l'expression " trafic international » désigne tout transport effectué par un navire ou un aé- ronef exploité par une entreprise dont le siège de direction effective est situé dans un Etat contractant, sauf lorsque le navire ou l'aéronef n'est exploité qu'entre des points situés dans l'autre Etat contractant ; h) le terme " nationaux » désigne : - (i) toutes les personnes physiques qui pos- sèdent la nationalité d'un Etat contractant ; - (ii) toutes les personnes morales, sociétés de personnes et associations constituées conformément à la législation en vigueur dans un Etat contractant ; i) l'expression " autorité compétente » dési- gne : - (i) dans le cas des Pays-Bas : le Ministre des Finances ou son représentant autorisé ; - (ii) dans le cas de la Tunisie : le Ministre chargé des Finances ou son représentant autorisé.

2) Pour l'application de la Convention par un Etat

contractant, toute expression qui n'y est pas défi- nie, a le sens que lui attribue le droit de cet Etat concernant les impôts auxquels s'applique la Convention, à moins que le contexte n'exige une interprétation différente ou que les autorités compé- tentes ne se mettent d'accord sur une interprétation commune sur la base de l'article 24 de la présente

Convention.

Art.4.- Résident

1) Au sens de la présente Convention, l'expression

" résident d'un Etat contractant » désigne toute personne qui, en vertu de la législation de cet Etat, est assujettie à l'impôt dans cet Etat, en raison de son domicile, de sa résidence, de son siège de di-

rection ou de tout autre critère de nature analogue. Toutefois, cette expression ne comprend pas les

personnes qui ne sont assujetties à l'impôt dans cet Etat que pour les revenus de sources situées dans cet Etat.

2) Lorsque, selon les dispositions du paragraphe 1,

une personne physique est un résident des deux Etats contractants, sa situation est réglée de la ma- nière suivante : a) cette personne est considérée comme un résident de l'Etat où elle dispose d'un foyer d'habitation permanent ; si elle dispose d'un foyer d'habitation permanent dans les deux Etats, elle est considérée comme un résident de l'Etat avec lequel ses liens personnels et éco- nomiques sont les plus étroits (centre des inté- rêts vitaux) ; b) si l'Etat où cette personne a le centre de ses intérêts vitaux ne peut pas être déterminé, ou si elle ne dispose d'un foyer d'habitation perma- nent dans aucun des Etats, elle est considérée comme un résident de l'Etat où elle séjourne de façon habituelle ; c) si cette personne séjourne de façon habi- tuelle dans les deux Etats ou si elle ne séjourne de façon habituelle dans aucun d'eux, elle est considérée comme un résident de l'Etat dont elle possède la nationalité ; d) si cette personne possède la nationalité des deux Etats ou si elle ne possède la nationalité d'aucun d'eux, les autorités compétentes des

Etats contractants tranchent la question d'un

commun accord.

3) Lorsque, selon les dispositions du paragraphe 1,

une personne autre qu'une personne physique est un résident des deux Etats contractants, elle est considérée comme un résident de l'Etat où son siège de direction effective est situé.

Art.5.- Etablissement stable

1) Au sens de la présente Convention, l'expression

" établissement stable » désigne une installation fixe d'affaires par l'intermédiaire de laquelle une entreprise exerce tout ou partie de son activité.

2) L'expression " établissement stable » comprend

notamment : a) un siège de direction ; b) une succursale ; c) un bureau ; d) une usine ; e) un atelier, et f) une mine, un puits de pétrole ou de gaz, une carrière ou tout autre lieu d'extraction de res- sources naturelles. www.Droit-Afrique.com Tunisie

Convention fiscale avec les Pays-Bas

3/12

3) Est considéré comme établissement stable, le

chantier de construction ou des opérations de mon- tage, ou des activités de surveillance s'y exerçant, lorsque ce chantier, ces opérations ou ces activités ont une durée supérieure à six mois.

4) Nonobstant les dispositions précédentes du pré-

sent article, on considère qu'il n'y a pas " établissement stable » si : a) il est fait usage d'installations aux seules fins de stockage, d'exposition ou de livraison de marchandises appartenant à l'entreprise ; b) des marchandises appartenant à l'entreprise sont entreposées aux seules fins de stockage, d'exposition ou de livraison ; c) des marchandises appartenant à l'entreprise sont entreposées aux seules fins de transforma- tion par une autre entreprise ; d) une installation fixe d'affaires est utilisée aux seules fins d'acheter des marchandises ou de réunir des informations, pour l'entreprise ; e) une installation fixe d'affaires est utilisée aux seules fins d'exercer, pour l'entreprise, toute autre activité de caractère préparatoire ou auxiliaire ; f) une installation fixe d'affaires est utilisée aux seules fins de l'exercice cumulé d'activités mentionnées aux alinéas a) à e), à condition que l'activité d'ensemble de l'installation fixe d'affaires résultant de ce cumul garde un caractère préparatoire ou auxiliaire

5) Nonobstant les dispositions des paragraphes 1 et

2, lorsqu'une personne -autre qu'un agent jouissant

d'un statut indépendant auquel s'applique le para- graphe 7- agit pour le compte d'une entreprise et dispose dans un Etat contractant de pouvoirs qu'elle y exerce habituellement lui permettant de conclure des contrats au nom de l'entreprise, cette entreprise est considérée comme ayant un établis- sement stable dans cet Etat pour toutes les activités que cette personne exerce pour l'entreprise, à moins que les activités de cette personne ne soient limitées à celles qui sont mentionnées au paragra- phe 4 et qui, si elles étaient exercées par l'intermédiaire d'une installation fixe d'affaires, ne permettraient pas de considérer cette installation comme un établissement stable selon les disposi- tions de ce paragraphe.

6) Nonobstant les dispositions précédentes du pré-

sent article, une entreprise d'assurance d'un Etat contractant est considérée, sauf en matière de réas- surance, comme ayant un établissement stable dans l'autre Etat si elle perçoit des primes sur le terri-

toire de cet Etat ou assure des risques qui y sont encourus, par l'intermédiaire d'une personne autre

qu'un agent jouissant d'un statut indépendant au- quel s'applique le paragraphe 7.

7) Une entreprise n'est pas considérée comme

ayant un établissement stable dans un Etat contrac- tant du seul fait qu'elle y exerce son activité par l'entremise d'un courtier, d'un commissionnaire général ou de tout autre agent jouissant d'un statut indépendant, à condition que ces personnes agis- sent dans le cadre ordinaire de leur activité.

8) Le fait qu'une société qui est un résident d'un

Etat contractant contrôle ou est contrôlée par une société qui est un résident de l'autre Etat contrac- tant ou qui y exerce son activité (que ce soit par l'intermédiaire d'un établissement stable ou non) ne suffit pas, en lui-même, à faire de l'une quel- conque de ces sociétés un établissement stable de l'autre.

Chapitre 3 - Imposition des revenus

Art.6.- Revenus immobiliers

1) Les revenus qu'un résident d'un Etat contractant

tire de biens immobiliers (y compris les revenus des exploitations agricoles ou forestières) situés dans l'autre Etat contractant, sont imposables dans cet autre Etat.

2) L'expression " biens immobiliers " a le sens

que lui attribue le droit de l'Etat contractant où les biens considérés sont situés. L'expression com- prend en tous cas les accessoires, le cheptel mort ou vif des exploitations agricoles et forestières, les droits auxquels s'appliquent les dispositions du droit privé concernant la propriété foncière, l'usufruit des biens immobiliers et les droits à des paiements variables ou fixes pour l'exploitation ou la concession de l'exploitation de gisements miné- raux, sources et autres ressources naturelles ; les navires et aéronefs ne sont pas considérés comme des biens immobiliers.

3) Les dispositions du paragraphe 1 s'appliquent

aux revenus provenant de l'exploitation directe, de la location ou de l'affermage, ainsi que de toute autre forme d'exploitation de biens immobiliers.

4) Les dispositions des paragraphes 1 et 3

s'appliquent également aux revenus provenant des biens immobiliers d'une entreprise ainsi qu'aux revenus des biens immobiliers servant à l'exercice d'une profession indépendante. www.Droit-Afrique.com Tunisie

Convention fiscale avec les Pays-Bas

4/12Art.7.- Bénéfices des entreprises

1) Les bénéfices d'une entreprise d'un Etat contrac-

tant ne sont imposables que dans cet Etat, à moins que l'entreprise n'exerce son activité dans l'autre Etat contractant par l'intermédiaire d'un établisse- ment stable qui y est situé. Si l'entreprise exerce son activité d'une telle façon, les bénéfices de l'entreprise sont imposables dans l'autre Etat mais uniquement dans la mesure où ils sont imputables à cet établissement stable.

2) Sous réserve des dispositions du paragraphe 3,

lorsqu'une entreprise d'un Etat contractant exerce son activité dans l'autre Etat contractant par l'intermédiaire d'un établissement stable qui y est situé, il est imputé, dans chaque Etat contractant, à cet établissement stable les bénéfices qu'il aurait pu réaliser s'il avait constitué une entreprise distincte exerçant des activités identiques ou analogues dans des conditions identiques ou analogues et traitant en toute indépendance avec l'entreprise dont il constitue un établissement stable.

3) Pour déterminer les bénéfices d'un établissement

stable, sont admises en déduction les dépenses ex- posées aux fins poursuivies par cet établissement stable, y compris les dépenses de direction et les frais généraux d'administration ainsi exposés, soit dans l'Etat où est situé cet établissement stable, soit ailleurs.

4) Aucun bénéfice n'est imputé à un établissement

stable du fait qu'il a simplement acheté des mar- chandises pour l'entreprise.

5) Aux fins des paragraphes précédents, les bénéfi-

ces à imputer à l'établissement stable sont détermi- nés chaque année selon la même méthode, à moins qu'il n'existe des motifs valables et suffisants de procéder autrement.

6) Lorsque les bénéfices comprennent des éléments

de revenu traités séparément dans d'autres articles de la présente Convention, les dispositions de ces articles ne sont pas affectées par les dispositions du présent article.

Art.8.- Navigation maritime et aérienne

1) Les bénéfices provenant de l'exploitation, en

trafic international, de navires ou d'aéronefs ne sont imposables que dans l'Etat contractant où le siège de direction effective de l'entreprise est situé.

2) Si le siège de direction effective d'une entreprise

de navigation maritime est à bord d'un navire, ce siège est considéré comme situé dans l'Etat

contractant où se trouve le port d'attache de ce na-vire, ou à défaut de port d'attache, dans l'Etat

contractant dont l'exploitant du navire est un rési- dent.

3) Les dispositions du paragraphe 1 s'appliquent

aussi aux bénéfices provenant de la participation à un groupe, une exploitation en commun ou un or- ganisme international d'exploitation.

Art.9.- Entreprises associées

1) Lorsque :

a) une entreprise d'un Etat contractant parti- cipe directement ou indirectement à la direc- tion, au contrôle, ou au capital d'une entreprise de l'autre Etat contractant, ou que, b) les mêmes personnes participent directe- ment ou indirectement à la direction, au contrôle ou au capital d'une entreprise d'un

Etat contractant et d'une entreprise de l'autre

Etat contractant, et que, dans l'un et l'autre

cas, les deux entreprises sont, dans leurs rela- tions commerciales ou financières, liées par des conditions convenues ou imposées, qui dif- fèrent de celles qui seraient convenues entre des entreprises indépendantes, les bénéfices qui, sans ces conditions, auraient été réalisés par l'une des entreprises mais n'ont pu l'être en fait à cause de ces conditions, peuvent être inclus dans les bénéfices de cette entreprise et imposés en conséquence.

2) Lorsqu'un Etat contractant inclut dans les béné-

fices d'une entreprise de cet Etat - et impose en conséquence - des bénéfices sur lesquels une entre- prise de l'autre Etat contractant a été imposée dans cet autre Etat, et que les bénéfices ainsi inclus sont des bénéfices qui auraient été réalisés par l'entreprise du premier Etat si les conditions convenues entre les deux entreprises avaient été celles qui auraient été convenues entre les entrepri- ses indépendantes, l'autre Etat procède à un ajus- tement approprié du montant de l'impôt qui y a été perçu sur ces bénéfices. Pour déterminer cet ajus- tement, il est tenu compte des autres dispositions de la présente Convention et, si c'est nécessaire, les autorités compétentes des Etats contractants se consultent.

Art.10.- Dividendes

1) Les dividendes payés par une société qui est un

résident d'un Etat contractant à un résident de l'autre Etat contractant sont imposables dans cet autre Etat.

2) Toutefois, ces dividendes sont aussi imposables

dans l'Etat contractant dont la société qui paie les dividendes est un résident, et selon la législation de www.Droit-Afrique.com Tunisie

Convention fiscale avec les Pays-Bas

5/12cet Etat, mais si la personne qui reçoit les dividen-

des en est le bénéficiaire effectif, l'impôt ainsi éta- bli ne peut excéder : a) 0 % du montant brut des dividendes si le bénéficiaire effectif est une société qui détient directement au moins 10 % du capital de la so- ciété qui paie les dividendes ; b) 20 % du montant brut des dividendes, dans tous les autres cas. Les autorités compétentes des Etats contractants règlent, si elles le jugent nécessaire, les modalités d'application de ces limitations. Le présent para-quotesdbs_dbs1.pdfusesText_1
[PDF] imposition des sociétés immobilières en suisse

[PDF] impot maroc immobilier

[PDF] impot maroc resident francais

[PDF] impot sur le revenu global definition

[PDF] impot sur le revenu global en anglais

[PDF] impot sur les bénéfices des sociétés pdf

[PDF] impôt sur les sociétés burkina faso

[PDF] impots sur le revenu au maroc

[PDF] impression chemise rabat a4

[PDF] impression du stage

[PDF] impression stage en entreprise

[PDF] imprimante hp deskjet 2540 cartouche

[PDF] imprimante hp deskjet 2540 code wifi

[PDF] imprimante hp deskjet 2540 comment scanner

[PDF] imprimante hp deskjet 2540 probleme