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Eglise Famille de Dieu et loyauté ethnique au Bénin Par Sylvain

FLTE : Faculté Libre de Théologie Evangélique. GBU : Groupes Bibliques Universitaires. ICAO : Institut Catholique de l'Afrique de l'Ouest.



UNIVERSITÉ DE STRASBOURG Faculté de théologie catholique LA

Considérations bibliques et théologiques de la fraternité………15 Cohabitation problématique : le cas des Missions Africaines256.



GUIDE DE LsETUDIANT

PERSPECTIVES DE LA La formation biblique et théologique de ceux qui n'ayant pas une vocation ... grammes de stages respectifs de la FLTE ou de la FJC.



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1 avr. 2021 Coran ou de la Bible par la différence de ... celle d'une cohabitation à apprendre



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Pauvreté ou paupérisation en Afrique. Une étude exegético-ethique

EN AFRIQUE. Une étude exegético-ethique de la pauvreté chez les Beti-Fang du Cameroun. Jacques Fulbert Owono. BiAS - Bible in Africa Studies.

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Edition Neuchâtel

/ N° 45 /

Journal des Eglisesc réformées romandes

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zRV@cR4VLmEh.VEc51VbI en fonction depuis le 1 er mars. Le secrétaire général Stefan Keller est à la tête de lCadministration. Il est garant de la cohérence des décisions et de lCaction menée par lCadministration. Il est entouré de deux adjoint·e·s. Eléonore Gonnet est chargée de la gestion (Rnances et immobilier). Le pasteur Emmanuel Rolland est chargé de la coordination de la mission dans le cadre dCune pastorale dCensemble. roissial des personnes morales. La question fait suite à la forte implication des Eglises lors de certaines votations. Plusieurs parlementaires sont montés au créneau pour demander de rendre facultatif lCimpôt paroissial en déposant une motion, retirée par la suite. En réaction, un autre groupe plus modéré a également déposé un texte demandant à ce que cet impôt soit uniquement aVecté à des buts socioculturels. 1 lCAssociation vaudoise des amis du sentier des huguenots a édité un guide pour par- courir ses itinéraires vaudois. Depuis 2013, des dizaines de kilomètres de sentiers ont été balisés, le long de trois parcours. Il ne manquait plus quCun guide explicatif, cCest chose faite avec ce fascicule joliment illustré qui, outre des informations his- toriques autour du refuge huguenot et des illustrations soignées, recense tous les points dCintérêt architectural sur le trajet.

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de questions sur lCimpact de nos actesA: on pense à lCalimentation durable, à la mobilité verte, mais nos comportements et nos outils en ligne posent eux aussi question. La responsabilité économique, envi- ronnementale et sociale passe-t-elle aussi par nos claviersA? Po- ser la question, est-ce participer à une énième poussée idéolo- gique dCune époque WAmoralisatriceA»A? Avant de nous soucier de durabilité à tous les étages, ne ferions-nous pas bien dCéduquer tout simplement au numériqueA? La fracture digitale est bien là et elle ne touche de loin pas que les seniors (voir p. 7). Du côté des entreprises, certaines vivent x notamment les PME x une marche forcée vers la digitalisation. Rajouter une couche de règles éthiques risquerait de compliquer encore cette étape. EVectivement, être responsable prend du temps. Pour un·e dirigeant·e, comme pour un éditeur de logiciels, des parentsF CCest rendre des comptes sur son fonctionnement, ses règles, pouvoir expliquer ses choix. Donc, sCexposer, prendre le risque dCenvisager dCautres options, faire face à la contradiction. Pour rappel, les premières démonstrations de télévision en Suisse datent de 1949, la première émission de télévision genevoise de 1954. Ses organes de régulation mettent des années à se structurerA: lCAutorité indépendante dCexamen des plaintes en matière de radio-télévision (AIEP) naît en

1984. A lCheure où 95 % des 15R55 ans utilisent internet quo-

tidiennement en Suisse, selon lCOFS, quel temps avons-nous pris pour avoir des discussions collectives, dans nos entre- prises, nos familles, sur nos usages et nos outils numériquesA?

DOITRIL ÊTRE RESPONSABLEA?

RENDEZRVOUS

aborde des questions

éthiques, philosophiques et religieuses

suit l'actualité des Eglises de Bienne et région sur A trliA 2iAarldinANAescusA2gANAeécusAou sur /0zà@

Décryptez l'actualité religieuse avec les

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Allier culture et spiritualité en chemi-

nant vers Pâques. CCest ce que proposent le Centre culturel des Terreaux et lCEs- pace Saint-François.

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sacrés ou profanes, sera proposé

NAebc4Awww.sainf.ch.

Carolina Costa, pasteure à Genève, par-

tage chaque jour une pensée méditative sur lCapplication de messagerie Telegram. www.t.me/pasteurecarolinacosta.

Suivez jour après jour lCactu religieuse

sur www.reformes.ch. 1

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avec Joseph et ses frèresRecourant aux images et aux récits fondateurs, lCenseignement du fait religieux initie

les jeunes Vaudois·e·s de 3 e P au pluralisme. De manière ludique, chaque élève apprend à se situer tout en intégrant ses émotions. groupes de trois ou quatre élèves, qui re-

çoivent une demi-douzaine dCimages colo-

rées, imprimées sur un support cartonné.

WVCherchez le point commun quCil y a sur

les photos, et mettez-les dans lCordreV», leur demande lCenseignante Anne Morel

Richard. Pour sa classe de 3

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P (7 ans),

cCest lCheure dCéthique et de cultures reli- gieuses, ce mercredi matin de mars, dans lCétablissement primaire de Beaulieu, à

Lausanne. Et voilà les enfants plongés

sur des reproductions dCédiRces religieux pour les uns, de textes sacrés ou de mo- ments rituels juifs, musulmans et chré- tiens pour dCautres.

Penché autour dCune table, un groupe

est à la peine. WVCCest une étoile de DavidV», reconnaît BorisV 1 . WVIci aussiV!V», indique Ta- mara. WVNon, regarde, il y a un croissant de luneV», rétorque le premier. Nicolas tente de les concilierV: WVPeut-être que ce nCest quCune partie qui est représentée làFV»

Seule lCintervention de la maîtresse par-

vient à les départager. Un peu plus loin, en revanche, les élèves distinguent au premier coup dC8il les textes sacrés de la Torah, du

Coran ou de la Bible, par la diIérence de

calligraphie et les symboles qui les ornent. enfants mettent en commun les connais- sances ainsi glanées. LCinstitutrice rappelle les acquis déjà assimilés lors de leçons pré- cédentes. Sur la base des images, elle ap- profondit les pratiques et les symboles des trois monothéismes. Les élèves distinguent les éléments avec perspicacité, se souve- nant des signes déjà rencontrés, rappelant des récits évoqués.

WVChaque élève vient dCun terreau so-

cial et religieux différentV», commente

Anne Morel Richard après la leçon. WVIl est

important quCils reconnaissent que leur pratique religieuse, ou leur absence de pratique, nCest pas la norme. Que dCautres croyances existent. LCapproche davantage

éthique que religieuse de ce cours permet

dCouvrir la parole, pour légitimer les di- verses appartenances et pour que chaque enfant apprenne à se situer.V» Elle sent ses élèves curieux et généreuxV: WVIls dé- couvrent avec intérêt et respect les pra- tiques et les croyances des autres.V» chard embraye alors sur le récit biblique de Joseph et ses frères, que lCon retrouve dans les textes fondateurs des trois re- ligions abrahamiques. LChistoire à re- bondissements du fils préféré de Jacob

éveille les émotions des enfants, que lCen-

seignante stimuleV: la jalousie, la Rerté, la peur, la colèreF En racontant lChistoire de la tunique resplendissante et des songes du patriarche, elle les fait participer hu- mainement à ses vicissitudes. Lesquelles sont transposées dans leur réalité, par le recours aussi aux images que la tradition a données du récit.

Car lChistoire de Joseph est précisément

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accueil de la diIérence. WVIls sont emballés, et ils participent bien. Ils font des liensV», remarque lCenseignante, qui se réjouit que ses élèves partagent ensuite lChistoire au- près de leurs proches.

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absence de pèlerins dévastatrice Les Palestiniens chrétiens vivant en Israël ou dans les territoires occupés travaillaient massivement dans le domaine du tourisme. La crise qui dure devient leur chemin de croix à lCheure dCune deuxième Pâques sans visiteurs. magasins fermés. Des visages crispés. A Bethléem, lCambiance était tendue à la mi- mars à la Rn dCun conRnement de douze jours, décidé par lCAutorité palestinienne au vu de lCaugmentation du nombre de ma- lades graves pris en charge par les hôpi- taux. La situation se dégrade et les vaccins tardent à arriver, alors que de lCautre côté du mur de séparation, le gouvernement is- raélien x parvenu à immuniser 50 % de sa population x rechigne à approvisionner les

Palestiniens. En même temps, il a fermé

lCespace aérien plusieurs semaines, empê- chant ses propres ressortissants de rentrer chez eux. Une inflexibilité qui, en cette

Pâques 2021, augure dCun long chemin vers

la résurrection économique, particulière- ment pour les Palestiniens travaillant dans le tourisme. Si le secteur pèse 3 % du PIB israélien selon le haut fonctionnaire du mi- nistère du Tourisme Pini Shani, il repré- sente un tiers de lCéconomie palestinienne selon le Palestinien Tony Khashram, vice-président des tour-opérateurs de

Terre sainte. WVLe chiIre oAciel de 10 %

ne prend pas en compte tous ceux qui bé- néRcient indirectement du tourisme, du boucher qui livre la viande aux hôtels au marchand de chocolat de la Vieille Ville de

Jérusalem, auquel les groupes achètent des

friandisesV», aArme-t-il.

Les chrétiens sont les premières vic-

times de cette crise. Ils comptent en eIet pour WV95 % des 50 tour-opérateurs pales- tiniens, ils représentent la grande majori- té des 650 guides touristiques accrédités et tiennent la plupart des 210 hôtels et guest houses de Cisjordanie et de Jéru- salem-EstV», détaille Tony Khashram. La situation est extrêmement inquiétante à

Bethléem et dans les municipalités envi-

ronnantes de Beit Sahour et Beit Jala où tout le monde, du guide à lCartisan, gagnait son pain grâce au visiteur. WVIl y a là des gens qui ont faimV», dit Tony Khashram. Côté israélien aussi, les chrétiens sont particulièrement touchés. WVLa fermeture de lCespace aérien a poussé les profession- nels à se rabattre sur le tourisme intérieurV; or les lieux de pèlerinage chrétiens nCont aucun intérêt pour la grande majorité des juifs israéliens. Nous connaissons des sites, autour du lac de Tibériade notamment, qui nCont accueilli aucun visiteur depuis des moisV», relève Pini Shani.

Quant à lCaide apportée à ce secteur

laminé, elle est très différente selon que lCon travaille en Israël ou dans les terri- toires occupés. WVLe gouvernement a oc- troyé 300 millions de shekels (84 millions de francs) aux entreprisesV», affirme Pini

Shani. LChomme est optimiste depuis que,

le 7 mars, Israël a largement rouvert hôtels, restaurants et lieux culturels aux personnes vaccinées. Côté palestinien, les résidents de Jérusalem-Est reçoivent bien lCaide so- ciale de lCEtat dCIsraël, en revanche ceux de Cisjordanie sont privés de tout, déplore

Tony Khashram.

La chute est dCautant plus brutale

que 2019 avait été lCannée de tous les re- cordsV: 4,5 millions de visiteurs, dont 1,5 million de pèlerins. LCaLux dCargent a in- cité les professionnels du tourisme à faire des investissements dont ils ne peuvent aujourdChui plus honorer les créances. WVAprès avoir utilisé toutes leurs écono- mies, les gens commencent à vendre leurs biens pour acheter à mangerV», aArme le catholique qui chapeaute plusieurs asso- ciations de secours.

Le coronavirus nCest pas le premier

soubresaut que traverse ce Proche-Orient chaotique. Au tournant des années 2000, la Deuxième Intifada avait vidé la Terre sainte de ses visiteurs. WVMais nous re- cevions tout de même des missions, des médias et puis il y avait toujours des cou- rageux pour se rendre sur placeV», relève

Tony Khashram. LCénergie pour aIronter

la situation, les chrétiens de Terre sainte la puisent donc plus loin. Famines, guerres et occupations se sont succédé, permettant lCaccumulation dCun savoir de résilience.

Sans compter la profonde solidarité qui

fait la force de cette société. WVPersonne ne fermera la porte au voisin venu quéman- der un morceau de painV», conclut Tony

Khashram.

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à lCémotionnel de chacunA»Vendredi 5 mars, la plupart des églises de Suisse ont sonné leurs cloches pour rendre

un vibrant hommage aux victimes de la Covid. Un choix qui peut étonner à notre époque moderne. Eclairage avec Fabienne HoVmann, historienne et campanologue vaudoise. wJ Li2iAFrldAd21Ed2A.2gAcrIIRJ2 A7

Plusieurs raisons

expliquent le choix fait par le Conseil fédé- ral. Il sCagissait premièrement de suivre une tradition séculaire. De plus, chaque ville et village possèdent une ou des cloches.

Sonner les cloches est un moyen dCunir

les habitants de toute la Suisse au même moment. LCaudition de la cloche délimite un territoire sonoreV; le son constitue un réseau dCappartenance à une communauté.

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Non, les cloches sonnent également les

moments de liesse, comme en France lors de la Libération où on les a mises en volée avec une telle force que certaines se sont même fêléesV! Depuis des siècles en Occident, le son de la cloche accom- pagne divers moments de la vie.

De manière inconsciente, la sonne-

rie des cloches parle à lCémotionnel de chacun. Sonner les cloches, cCest donc choisir un médium ancestral qui parle,

à chacune et à chacun à travers le pays.

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Autrefois, lorsque la cloche était mise en

volée à la main, on arrivait à donner un langage propre à chacune des sonneries. Une petite cloche était tintée très rapi- dement pour avertir dCun danger (sonne- rie du tocsin) ou, au contraire, lors dCun enterrement, on sonnait la plus grande cloche du beIroi le plus lentement pos- sible pour favoriser la solennité (sonne- rie du glas). La motorisation des cloches au milieu du XX e siècle a simpliRé ces modes de sonnerie, mais lCémotion est toujours au rendez-vous.

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personnes migrantes et âgéesAvec la disparition des rencontres de visu, lCEPER a dû trouver une solution pour garder

le contact avec ses bénéIciaires. Son nouvel outil, le podcast, permet aussi de répondre à

lCillettrisme numérique. et bosniaque, missions catholiques, salles associativesF Avant la pandémie, lCEPER, à travers son programme WVAge et migrationV», organisait des rencontresquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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