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Le marché de la rénovation énergétique de lhabitat privé POINT DE
13 janvier 2015. AUDITION DE C. TURINI D.GILLET A. BERGER DU GROUPE BPCE e groupe BPCE comprend des banques de détail (Caisses d'Épargne et.
EmPLOIS D’AvEnIR GUIDE DE L’OPÉRATEUR
du déploiement des emplois d’avenir pour l’État (Pôle emploi missions locales Cap emploi) le cadre général des emplois d’avenir ainsi que les différentes étapes du processus à mettre en œuvre pour assurer la réussite du programme SOmmAIRE I QU’EST-CE QU’Un EmPLOI D’AvEnIR ? 4 A Les objectifs de l’emploi d’avenir 4
Les emplois d’avenir vus par les employeurs et les missions
Les principaux résuLtats Le dispositif des emplois d’avenir a fait évoluer la nature du travail des conseillers des missions locales qui se sont trouvés placés à l’interface entre les jeunes et les employeurs Les usages des emplois d’avenir difèrent selon les employeurs interrogés
![Rapport dactivité 2014 Rapport dactivité 2014](https://pdfprof.com/Listes/21/3302-21dge-rapport-d-activite-2014.pdf.pdf.jpg)
RAPPORT D'ACTIVITÉ 2014
PERSPECTIVES 2015TOURISME
INDUSTRIE
COMMERCE
SERVICESPME
ARTISANATNUMÉRIQUE
Cap compétitivité
1SOMMAIRE
SOMMAIRE
Éditorial
Organigramme
Faits marquants
1La naissance de la DGE et
le projet stratégique Cap Compétitivité2 La politique de ? lières
3 L'amélioration de la compétitivité des entreprises
4 La simpli? cation pour les entreprises
5La réindustrialisation et
l'attractivité économique de la France6 L'entrepreneuriat
7 L'économie numérique
8 L'innovation
9 L'économie touristique
10Le développement des services,
du commerce et de l'artisanat11 Les actions dans les territoires
12 Les publications de la DGE
p. 3 p. 5 p. 6 p. 8 p. 11 p. 17 p. 21 p. 23 p. 26 p. 29 p. 32 p. 35 p. 38 p. 41 p. 442RAPPORT D'ACTIVITÉ 2014 • PERSPECTIVES 2015
3ÉDITORIAL
L'année 2014 a été l'an I de la Direction générale des entreprises. Si le décret fondateur en a été publié au Journal of? ciel le 16 septembre, c'est depuis février 2014 que tous les agents de la DGE mettent en oeuvre les orientations de son plan stratégique à trois ans, " Cap Compétitivité ». Avec un seul objectif : contribuer à la prospérité nationale et au développement de l'emploi en oeuvrant pour la compétiti vité de toutes les ? lières et tous les secteurs de notre économie. une expertise micro-économique sanséquivalent dans l"administration et une
connaissance intime des entreprises françaises. Le coeur de notre plan stra- tégique à trois ans " Cap Compétitivité » consiste précisément à accroître encore cette expertise et à la mobiliser à la mesure de sa richesse potentielle.Trois services de la DGE au niveau
central (respectivement consacrés à l"industrie manufacturière, à l"économie numérique et au commerce, à l"arti- sanat, au tourisme et aux services au sens large) et une grande partie de nos agents territoriaux dans les Direccte ont pour mission de rencontrer et d"analyser quotidiennement les entreprises denotre pays. Leur expertise permet à la DGE de disposer d"une vision propre extrêmement aigüe des fi lières et des secteurs de notre économie, de l"évolu-tion des marchés mondiaux, des atouts français pour y exceller. Elle est le fonde-ment indispensable pour une action publique clairvoyante et étayée, tout à la fois pleine du recul nécessaire à la poursuite de l"intérêt général et de l"empathie indispensable vis-à-vis des chefs d"entreprise.
En 2014, nous avons commencé à
mettre en oeuvre les orientations deCap Compétitivité qui visent à affermir
encore cette capacité d"expertise. D"une part, en organisant la revue régulière et la validation au plus haut niveau de la DGE de notre vision stratégique des " En 2014, nous avons commencéà mettre en oeuvre les orientations
de Cap Compétitivité qui visentà affermir encore
notre capacité d'expertise. » $ Pascal Faure, Directeur général© DGE
Q uand on évoque la compéti- tivité, le débat sur les actions que doit mener l"État n"est jamais loin. Faut-il privilégier des dispo- sitions transverses, c"est-à-dire propresà créer un cadre favorable à toutes
les activités économiques ? Faut-il au contraire suivre une logique secto- rielle, selon laquelle chaque secteur ou fi lière économique requiert des actions publiques particulières et adaptées, spécifi quement conçues ?Pour la DGE, les deux approches
sont nécessaires, complémentaires, indissociables. La spécificité de son action réside ailleurs, dans les fonda- tions mêmes des politiques publiques qu"elle propose à ses ministres, à savoirÉDITORIAL
4RAPPORT D'ACTIVITÉ 2014 • PERSPECTIVES 2015
secteurs et filières. D"autre part, en développant des méthodes de travail transverses, qui permettent de décloi- sonner les expertises, car c"est souvent aux frontières des activités tradition- nelles que gisent les opportunités les plus riches pour nos entreprises.Cette somme d"expertise est le creuset
qui permet à la DGE de proposer aux ministres des politiques économiques pertinentes, sectorielles ou transverses.Ainsi, en 2014, la validation des feuilles
de route des plans de la nouvelle France industrielle, portés par la DGE au côté des industriels, a permis l"établissement d"un vademecum très complet pour l"action publique à moyen terme en faveur des grandes fi lières industrielles de notre économie. Dans le cadre deCap Compétitivité, nous déclinons
cette approche pour les autres fi lières : tourisme, services aux entreprises,commerce...Cap Compétitivité vise aussi à gagner en réactivité dans la mobilisation de notre expertise sectorielle pour construire des politiques transverses de compétitivité. Nos experts en droit du travail, en fi scalité, en innovation, en propriété industrielle, en entrepreneu-riat, en simplifi cation administrative... peuvent ainsi proposer au gouverne-ment des nouvelles mesures incitatives pragmatiques, fondées sur les réalités économiques de terrain. La DGE a été partie prenante de toutes les grandes initiatives engagées en 2014 en la matière : le Pacte de responsabilité, les programmes en faveur de l"entrepre-neuriat et la montée en puissance de la French Tech, la préparation du projet de loi pour la croissance et l"activité...
Enfi n, Cap Compétitivité se donne pour
objectif de développer les interfaces de la DGE. À l"international, en Europe etau-delà, et avec nos territoires, par le biais des Direccte, qui, dans le cadre des réformes territoriales engagées par le gouvernement, seront mobilisées tant dans la mise en oeuvre réactive des politiques économiques nationales que comme capteurs sensibles de l"état de notre tissu économique. C"est pourquoi un service entièrement nouveau a été créé, qui regroupe nos collaborateurs en charge de ces relations extérieures.
Avec l"appui efficace de notre
Secrétariat général, qui veille au bon
fonctionnement de la direction et aux carrières de ses agents, la DGE a mis en place en 2014 les fondations de CapCompétitivité : une capacité d"expertise
renforcée et des interfaces réactives et perméables pour mobiliser cette exper- tise et nous ouvrir davantage à l"exté- rieur. Nous poursuivrons nos efforts en2015 et 2016 pour la bonne exécution
de cette stratégie, au service de la pros- périté économique et sociale française.Pascal Faure
Directeur général
LA DGE EN CHIFFRES
EFFECTIFS :
1 358 PERSONNES
52,5 % FEMMES47,5 % HOMMES
(696 EN ADMINISTRATION CENTRALE + 662 DANS LES DIRECCTE ET DIECCTE)73 % DE CADRES A ET A+ POUR
L'ADMINISTRATION CENTRALE
58,2 % POUR LES DIRECCTE
ETDIECCTE.
5ORGANIGRAMME
ORGANIGRAMME
SOUS-DIRECTION
DES MATÉRIELS
DE TRANSPO
RT,DE LA MÉCANIQUE
ET DEL"ÉNERGIE
SOUS-DIRECTION DES
INDUSTRIES DE SANTÉ
ET DES BIENS DE
CONSOMM
ATIONSOUS-DIRECTION
DELA CHIMIE,
DES MATÉRIAUX ET
DES ÉCO-INDUSTRIESSOUS-DIRECTION
DES RÉSEAUX
ET DES USAGES
NUMÉRIQUES
SOUS-DIRECTION DES
COMMUN
ICATIONS
ÉLECTRONIQUES
ET DES POSTESSOUS-DIRECTION
DEL"ÉLECTRONIQUE
ET DU LOGICIEL SOUS-DIRECTION
DU TOURISME
SOUS-DIRECTION
DES ENTREPRISES
DE SERVICES ET
DES PROFESSIONS
LIBÉRALESSOUS-DIRECTION
DU COMMERCE,
DEL"ARTISANAT ET
DE LA RES
TAURATIONSOUS-DIRECTION
DEL"INNOVATION
ET DEL"ENTREPRENEURIAT
SOUS-DIRECTION DE
LA NORMALIS
ATION,
DE LARÉGLEMEN
TA TIONDES PRODUITS ET
DE LA MÉTROLOGIESOUS-DIRECTION
DU DROIT DES
ENTREPRISES
SOUS-DIRECTION DE
LA PROSPECTIVE,
DES ÉTUDES ET
DEL"ÉVALUATION
ÉCONOMIQUESSOUS-DIRECTION
DE LARÉINDUSTRIALIS
ATIONET DES
RESTRUCTUR
ATIONS
D"ENTREPRISES
SOUS-DIRECTION
DEL"EUROPE ET DE
L"INTERNATIONALSOUS-DIRECTION
DEL"ACTION
TERRITORIALE ET DU
DÉVELOPPEMENT
ÉCONOMIQUE
SOUS-DIRECTION
DES CHAMBRES
CONSULAIRESSOUS-DIRECTION
DES RESSOURCES
HUMAINES ET DE
LA COMMUNIC
ATIONSOUS-DIRECTION
DES AFFAIRES
FINANCIÈRES
ET DES MOYENS
SERVICE DE
L'INDUSTRIE
SISERVICE DE
L'ÉCONOMIE
NUMÉRIQUE
SENSERVICE
DU TOURISME,
DU COMMERCE,
DE L'ARTISANAT
ET DES SERVICES
STCASSERVICE DE
LA COMPÉTITIVITÉ,
DE L'INNOVATION ET
DU DÉVELOPPEMENT
DES ENTREPRISES
SCIDESERVICE DE
L'ACTION
TERRITORIALE,
EUROPÉENNE ET
INTERNATIONALE
SATEISECRÉTARIAT
GÉNÉRAL
SGDIRECTEUR
GÉNÉRAL
Pascal
FAUREDU CONSEIL
NATIONAL DE
L'INDUSTRIE
MISSION
STRATÉGIEAGENCE DU
NUMÉRIQUESECRÉTARIAT
GÉNÉRAL
SERVICE DES BIENS
À DOUBLE USAGEMISSION NATIONALE
DE CONTRÔLE
DES PRÉCURSEURS
CHIMIQUES
COMMISSARIAT
GÉNÉRAL
À LA FÊTE DE LA
GASTRONOMIEMISSION
DES SERVICES
À LA PERSONNE
SERVICE GUICHET
ENTREPRISES
6RAPPORT D'ACTIVITÉ 2014 • PERSPECTIVES 2015
FAITS MARQUANTS
JANVIER
02 •
Promulgation de la loi n° 2014-1
habilitant le gouvernement à simpli- fi er et sécuriser la vie des entreprises16 • Signature du contrat de présence postale territoriale pour 2014-2016
30 •
Ordonnance n° 2014-86 allégeant
les obligations comptables des micro et petites entreprises AVRIL04 •
Colloque " Les services mobiles
sans contact aujourd"hui et demain » (Bercy)7-13 •
4 eédition de la Semaine de
l"industrie MAI07 •
Validation de la feuille de route
de 4 plans de la nouvelle France industrielle : Usine du futur,Réseaux électriques intelligents,
Logiciels et systèmes embarqués,
Supercalculateurs
14 •
Publication du décret n° 2014-479
relatif aux investissements étrangers soumis à autorisation préalable22 •
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[PDF] (en millions d euros) 2012 2011 2010