rupture-désinsertion-du-mésentère.pdf
Rupture / Désinsertion des zones de Rupture / Désinsertion musculaire ... Lésion mésentérique et intestinale lors d'un traumatisme abdominal fermé.
Traumatismes graves abdomino-pelviens fermés : démarche
désinsertion mésentérique) ;. – les phénomènes de compression à basse énergie sont généralement bien tolé- rés en raison de la compliance abdominale.
Seat-belt syndrome
éviscération intestino-mésentérique et/ou colique s'intègre dans un ensemble lésionnel lié au port de la désinsertion ou une déchirure du mésentère.
96 cas daspergillose invasive en secteur de réanimation Apport
Lésions à ne pas rater. ? Fuites actives. ? Indications d'embolisation. • Lésions subtiles. ? Mésentère + digestif (Seat-belt). ? Diaphragme.
ITEM 329 : TRAUMATISME ABDOMINAL
5 nov. 2020 et colon par le biais d'une désinsertion mésentérique) lors d'une décélération brutale. Complication. - Hémorragie par rupture d'un organe ...
Présentation PowerPoint
malrotation (mésentère commun). Malposition des vaisseaux mésentériques ... Chirurgie désinsertion mésentérique nécrose de 50 cm de grêle
LES RUPTURES TRAUMATIQUES JEJUNO-ILEALES : A PROPOS
désinsertion mésentérique 1 rupture totale du jéjunum et 1. b r è che jéjunale étendue. Une splénectomie partielle était.
Diapositive 1
hépatiques à la prise en charge déjà perturbés. – 1 cas de cholangiopathie ischémique après désinsertion mésentérique infarctus hépatique…
Pendu par la ceinture
4 juin 2015 Traumatisme mésentérique. Diagnostic ? ... Ecrasement des anses digestives / du mésentère contre ... Œdème/hématome mésentérique.
PEC des infarctus mésentérique ( A propos de 05 cas)
De même une décélération brutale peut causer une désinsertion mésentérique traumatique. Les ischémies intestinales secondaires à un volvulus intestinal à une
L’ischémie mésentérique aiguë - FMC-HGE
Une lésion d’une branche de l’artère mésentérique supérieure d’origine traumatique constitue une cause rare d’ischémie mésentérique mais doit néanmoins toujours être envisagée
ITEM 329 : TRAUMATISME ABDOMINAL
-Désinsertion d’organe plein (rate (long pédicule) et foie (masse importante)) ou creux (intestin grêle et colon par le biais d’une désinsertion mésentérique) lors d’une décélération brutale Complication -Hémorragie par rupture d’un organe plein (splénique ou hépatique dans > 2/3 des cas) ou rupture
Traumatismes de l’abdomen
Désinsertion mésentérique avec ischémie intestinale Lésions pariétales: Paroi abdominale: Contusion: ecchymose hématome désinsertion musculo-aponévrotique Plaie: brûlures excoriation décollement sous-cutané avec délabrement pariétal
Qu'est-ce que l'artère mésentérique inférieure ?
L’artère mésentérique inférieure (AMI) qui vascularise le colon depuis l’angle droit jusqu’à la charnière recto-sigmoïdienne Il existe de nombreuses variantes anatomiques et d’importantes collatérales afin de protéger le circuit digestif de l’ischémie.
Quels sont les symptômes de l’ischémie mésentérique ?
Aspect nécrotique et grisâtre d’ulcérations plus ou moins étendues, témoignant d’une ischémie sévère de la muqueuse et de la sous-muqueuse. Cet aspect n’est pas en soi une indication opératoire. L’iléocoloscopie. Deux situations doivent être distinguées : Le diagnostic d’ischémie mésentérique est connu.
Qu'est-ce que l'ischémie mésentérique ?
Elle peut être artérielle ou veineuse, aiguë ou chronique, occlusive ou non occlusive. L’ischémie mésentérique a une physiopathologie multi-étapes qui explique son évolution clinique inexorable en l’absence de traitement, depuis la douleur abdominale aigue jusqu’à la nécrose intestinale étendue, la défaillance d’organes et le décès.
Quels sont les causes de vasoconstriction mésentérique ?
Les autres causes de vasoconstriction mésentérique sont les états de choc quels qu’ils soient, la déshydratation, la dialyse, la chirurgie cardiaque ou abdominale majeure, les doses importantes de vasoconstricteurs sans prise en compte de l’hémodynamique splanchno-mésentérique (11,21). IMA occlusive.
Révision 05/11/2020
ITEM 329 : TRAUMATISME ABDOMINAL
: 15 à 20% des lésions de traumatologie, associée à une mortalité élevée = 20%-Lésion fermée (majorité) : contusion d'organe plein (rate, foie, pancréas, rein), perforation d'organe creux (duodénum, grêle,
colon), déchirure mésentérique, déchirure diaphragmatique - Cause : AVP surtout (75 à 90% des cas), chute d'une grande hauteur, accident de sport (ski)La gravité initiale d'un traumatisme abdominal fermé repose essentiellement sur le risque de choc hémorragique
En expiration complète, le diaphragme peut remonter jusqu'au 4 e espace intercostal : toute plaie pénétrant le grill costal en dessous du 4 eespace intercostal (niveau du mamelon) est susceptible de blesser un organe abdominalPhysiopathologie
Mécanisme
-Compression à basse énergie : généralement bien tolérée (bonne compliance abdominale)
-Compression à haute énergie : risque de lésion intra-abdominale hémorragique, notamment dans les
régions basithoraciques (rupture splénique ou hépatique) et pelvienne (fracture du bassin)-Ecrasement des viscères pleins (rate, foie, reins, pancréas) ou creux (tube digestif) entre la sangle
musculaire antérieure et le plan rigide postérieur (ceinture pelvienne, côtes et rachis)-Arrachement des organes pédiculés = rate, reins, intestin grêle et parties mobiles du colon : lors d'un
traumatisme tangentiel ou oblique-Eclatement d'un organe creux à collet étroit = estomac, duodénum, vessie : surtout en réplétion
-Désinsertion d'organe plein (rate (long pédicule) et foie (masse importante)) ou creux (intestin grêle
et colon par le biais d'une désinsertion mésentérique) lors d'une décélération brutale
-Hémorragie par rupture d'un organe plein (splénique ou hépatique dans > 2/3 des cas) ou rupture
vasculaire : - Généralement intra-péritonéale, ou rétropéritonéale dans 20% des cas, notamment en
cas de lésion pelvienne (fracture du bassin) ou de lésion rénale, duodéno-pancréatique, des vaisseaux
mésentériques ou plus rarement aorte et VCI -Perforation d'organe creux : risque de péritoniteDiagnosticExamen du
Schéma ATLS : - A = Airway : liberté et protection des voies aériennes supérieures -B = Breathing : ventilation -C = Circulation : choc hémorragique dans les 1ère
heures (atteinte d'organe plein), choc septique dans un 2 nd temps (atteinte d'organe creux) -D = Disability : défaillance neurologique, HTIC, traumatisme vertébro-médullaire -E = Environnement/Exposure : hypothermie, intoxication, brûlure
-Douleur abdominale : irradiant à la scapula gauche (lésion splénique) ou droite (lésion hépatique)
-Ecchymoses pariétales, hématomes de paroi - Palpation : douleur provoquée, défense, contracture -Météorisme abdominal avec : . Matité : hémopéritoine ou hémo-rétropéritoine (lésion d'organe plein) . Tympanisme : pneumopéritoine (lésion d'organe creux) Syndrome péritonéal : douleur abdominal, défense ou contracture, psoïtis Syndrome occlusi: douleur abdominal, météorisme, vomissementsStratégie
Grade 1
= Patient instable malgré la réanimation : non transportable -RP standard et Rx du bassin -FAST-échographie : échographie abdominale, péricardique et pleuropulmonaire Thérapeutique de sauvetage en salle de déchocage = Patient stabilisable par les mesures de réanimation -RP, Rx du bassin et FAST-écho en salle de déchocage -Scanner corps entier (body-TDM) : séquences abdominales avec injection = Patient stable d'emblée : suspicion de lésion sur la cinétique du traumatisme -Scanner corps entier dès que possible FAST-= Mise en évidence d'un hémopéritoine sur lésion d'organe plein : épanchement hypo- ou anéchogène
recherché au cul-de-sac de Douglas, en péri-splénique et dans l'espace de Morisson ( inter-hépatorénal)- Faux positif : suffusion dans l'espace péritonéal d'un hématome rétropéritonéal sur lésion du bassin,
des vaisseaux abdominaux ou des reins, uro-péritoine sur lésion vésicale - Faux négatif : faible volume d'hémopéritoine, examen réalisé trop précocementEn cas d'hémopéritoine : laparotomie exploratrice en salle de déchocage ou au bloc opératoireBody-scan
- Mise en évidence d'un hémopéritoine ou d'un hémo-rétropéritoine (meilleure sensibilité que l'écho)
Re cherche de lésion hémorragique active - Recherche d'une lésion parenchymateuse des organes abdominaux - Recherche d'un pneumopéritoine (lésion d'organe creux)Révision 05/11/2020
CauseLésion
= Hématome sous-capsulaire, lacération, rupture (ou fracture), hématome parenchymateux, hématome péri-viscéral, lésion canalaire (biliaire, urinaire) ou vasculaire... - Atteinte : splénique (la plus fréquente), hépatique, plus rarement rénale ou pancréatique - Pancréatite aiguë post-traumatique : rare, souvent sous-évaluée par le scanner initialLésion
= Plaie linéaire, perforation ou lésion d'arrachement : rare au cours des traumatismes fermés
- Par ordre de fréquence : grêle > colon > duodénum > estomac - Scanner : pneumopéritoine (présent dans seulement 50% des cas) - Diagnostic souvent retardé, lors de l'apparition d'une péritoniteLésion
- Ischémie/nécrose d'un segment digesti - Hémorragie par arrachement d'un pédicule vasculaire Plaie - Analyse des points d'entrée (localisation, type d'arme...) - Stratégie particulière : - Patient instable : admission d'emblée au bloc opératoire - Patient stable : scanner thoraco-abdominal injecté TTTPrise en charge dans un centre de traumatologie bénéficiant d'équipes de radiologie interventionnelle, de chirurgie et
de réanimation - Geste d'urgence : - Traumatisme du bassin : clamp de bassin ou ceinture pelvienne Saignement rétropéritonéal majeur : ballon d'occlusion intra-aortiqueDamage
= Prise en charge médicale par le réanimateur :- Correction hémodynamique : remplissage, amine, transfusion par accélérateur-réchauffeur
- Contrôle de la coagulopathie : transfusion, système de récupération de sang et d'autotransfusion,
traitement de l'hypothermie et de l'acidose - Prise en charge des défaillances associées : neurologique, respiratoire... - Contrôle des lésions hémorragiques : compression, garrot... Concept de golden hour : tout retard à la prise en charge entraîne une surmortalitéDamage
= Prise en charge chirurgicale : concerne les patients instables avec mise en évidence d'un hémopéritoine à l'échographie arrêt du saignement le plus rapide possible - Laparotomie écourtée : - Exploration péritonéale afin de localiser le saignement - Splénectomie d'hémostase, packing hépatique, clampage hépatique... - Evacuation-lavage de l'hémopéritoine - Fermeture cutanée exclusive ou laparotomie permettant un 2 nd look chirurgical rapide après stabilisation - Dans un 2 e temps (patient stabilisé) : body-scanner, embolisation pour compléter le traitement chirurgical ou contrôler d'autres foyers hémorragiquesEmbolisation
= Prise en charge radio-interventionnelle : concerne les patients stables ou stabilisés - Cathétérisme d'une artère, généralement fémorale - Localisation du saignement sous scopie après injection de produit de contraste - Mise en place de substances thrombogènes métalliques (coils) ou biologiquesLésion splénique
- Suspectée devant tout traumatisme abdominal fermé, plaie de l'hypochondre gauche ou thoracique basse à gauche et
en cas de fractures des dernières côtes gauches - Tableau d'hémopéritoine abondant avec douleurs voire défense de l'hypochondre gauche - Symptomatologie parfois retardée en cas de rupture secondaire d'un hématome sous-capsulaire- Scanner injecté : hémopéritoine, contusion splénique, fracture splénique, hématome sous-capsulaire, lésions
vasculaires du hile TTT Patient instable - Traitement chirurgical en urgence : splénectomie d'hémostasePatient stable
= Traitement conservateur : 2 attitudes - Embolisation de l'artère splénique (ou de ses branches) : lésion de grade 4 ou 5 - Surveillance clinique, biologique et scanographique en USC ou réanimation : lésion de grade1, 2 ou 3
Risque de rupture splénique différée (jusqu'à 30 jours en post-traumatique) : surveillance
hospitalière pendant > 2 semainesPrévention chez
= En cas de splénectomie ou de lésion splénique étendue - Vaccination antipneumococcique et anti-Haemophilus - Antibioprophylaxie orale par oracilline (discutée)Révision 05/11/2020
Lésion hépatique
- Suspecté devant tout traumatisme abdominal fermé, plaie de l'hypochondre droit, de l'hémithorax droit et en cas de
fractures des dernières côtes droites- Tableau d'instabilité hémodynamique avec épanchement intra-abdominal en cas d'hémopéritoine abondant
- Si signes d'angiocholite associés = hémobilie- Scanner injecté : hémopéritoine, contusion hépatique, fracture hépatique, hématome sous-capsulaire
TTTPatient instable
- Traitement chirurgical pour hémostase en urgence : packing hépatique et/ou clampage temporaire du pédicule hépatiquePatient stable ou
- Surveillance clinique, biologique et scanographique en USC ou réanimation - Embolisation si : - Fuite active de produit de contraste - Patient stabilisé après prise en charge chirurgicale - Chirurgie en cas de lésion des veines hépatiques centralesLésion pancréatique
- Mécanisme : compression du pancréas contre la face antérieure du rachis (chute à vélo contre guidon par exemple)
- Isthme pancréatique souvent touché, lésions duodénales fréquemment associées - Douleurs solaires et tableau d'abdomen chirurgical - Bio : amylase et lipase augmentées- Imagerie : scanner injecté distingue hématome, fracture et contusion. Si lésion du conduit de Wirsung suspectée : IRM
- Risque évolutif : pancréatite aiguë nécrotico-hémorragique puis pseudo-kystes et fistules pancréatiques
Tt médical - Traitement de la pancréatite aiguë plaies par arme à feu ou blanche, lésions avec instabilité hémodynamique, lésions canalaires - Explorations des lésions puis traitement conservateur (suture et drainage) ou duodéno- pancréatectomie céphalique si lésions canalaires ou fracture complète - Traitement endoscopique possible si lésion canalaire circonscriteAutres lésions
Lésions du tube digestif
- Evoquée en cas de traumatisme abdominal ouvert, plaies par armes blanche ou armes à feu, traumatisme fermé surtout si mécanisme de décélération- Sd de la ceinture de sécurité : ecchymose abdominale + fracture vertébrale + lésion d'un
organe creux intra-abdominal - Tableau clinique : initialement asymptomatique, puis apparition d'une défense, trouble de transit, signes infectieux - TDM avec injection : hémopéritoine, pneumopéritoine, épaississement pariétal - TT : chirurgie en urgence pour exploration puis suture simple ou résection suture avec ou sans rétablissement immédiat de la continuitéLésions du diaphragme
- Bruits hydroaériques dans la cavité thoracique - TDM : confirme le diagnostic - TT : chirurgical avec réintégration des organes digestifs dans la cavité abdominale et réparation pariétale par suture diaphragmatique +/- mise en place d'un treillis de renforcementHématome
- Consécutif à traumatisme du bassin, du rachis, rénal - Risque de choc hémorragique +++- TT : compensation des pertes sanguines, recours large à l'artério-embolisation, stabilisation
des lésions - Si lésion du bassin : mise en place d'une ceinture pelvienne en pré-hospitalier puis ttchirurgical en urgence si instabilité. Si artério-embolisation inefficace, réalisation d'un packing
pelvienPlaies abdominales
- Bien rechercher à l'examen clinique d'un traumatisé, y compris à la face postérieure +++
- Bio : recherche d'un sd inflammatoire, anémie - Echographie : épanchement intra-abdominal - TDM : lésions viscérales, perforations- TT : simple suture cutanée en cas de plaie non pénétrante. Exploration chirurgicale si plaie
pénétrante avec suture ou résection-suture. Si choc : laparotomie en urgence. Si rupture d'un
organe creux : réparation viscérale associée à toilette péritonéale avec antibiothérapie
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