RDAS actu _passage CP 10 juillet 2014_m
31 juil. 2014 L'admission à une prestation d'aide sociale est prononcée au vu des conditions d'attribution telles qu'elles résultent des dispositions ...
VILLE DE ROSNY-SOUS-BOIS
Le programme local de l'habitat comporte un diagnostic sur le fonctionnement des marchés du logement et sur la situation de l'hébergement analysant les
RDAS actu _passage CP 10 juillet 2014_m
10 juil. 2014 2 - La Maison Départementale des Personnes Handicapées (M.D.P.H.). 207. 1.1 Création de la M.D.P.H.. 207. 1.2 Composition du G.I.P. M.D.P.H..
Introduction de la démarche qualité dans les établissements d
êtres humains et en a fait le point central de sa théorie sur les soins infirmiers. 24 VERCAUTEREN Richard Animer une maison de retraite
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La réussite en gestion privée est la résultante du savoir faire et du temps. Dans le climat de cordialité et de profes- sionnalisme propre à SOPROFINANCE.
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La Jaune et la Rouge. N° 497-AOÛT/SEPTEMBRE1994. Revue mensuelle de la. Société amicale des anciens élèves de l'Ecole polytechnique.
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LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE. 3 Le paradoxe de la sécurité routière. Christian GERONDEAU (57). 4 L'Union européenne et les accidents de la circulation.
à la
METEO FRANCE
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Loire65 147
ISSN 0021-5554
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CONTaOLE
Sommaire
LAChristian
4 L'Union européenne et les accidents de la circulation
Christian
7 La route et la sécurité routière
Anne BERNARD-GÉLY (74)
13 La sécurité sur les autoroutes concédées
Gérard
19 La sécurité dans le bouclage de l'autoroute A86, une première
application des tunnels réservés aux véhicules légersJérôme
23 Apports de la statistique automobile des assureurs
Marcel
29 La route intelligente
Jean32 Variabilité comportementale en matière de pratique des déplacements :
Yves37 La desserte
Christian
40Daniel
45 Entretien
Propos
LIBRES
Philippe
62 Les défenseurs de l'environnement et leurs censeurs :
à irrationnel, irrationnel et demi...
Michel
67 Hommage à
Gérard
69 VIE DE L'ÉCOLE
74 FORMATION
75 VARIÉTÉS
81 LIVRES
VIE DEL'à l' Arc de Triomphe
Bal de l'X, vendredi 29 novembre
Et si vous adoptiez une autre conception de la stratégie ?Vous connaissez sûrement de ces
dirigeants qui aimentEt vous-même ?
Au cours des douze derniers mois,
quelle a été dans votre ·entreprise votre unitéà chaud, adaptation en temps
vous pensez que ça n'en est que vous y aider.Notre apport : des méthodes
vos contraintes et de vos possibles vos choixà la
75008u a.. LE
Christian GERONDEAU (57),
à la
T ous d' oepour la secunte routlere se sont trouvés confrontés au même para doxe : les accidents de la route sont admis passivement par nos contemporains.Qu'un avion s'écrase dans les
marais de Floride avec cent huit personnes à bord et les médias en parleront pendant des semaines.Qu'il y ait un vague soupçon
qu'une maladie bovine ait pu être transmise à deux ou trois per sonnes, et l'Europe est boulever- sée. 'Que certaines études
laissent entendreMais qu'il y ait sur les routes de
l' ensemble de l'Europe chaque jour de l'année près de trois cents morts et près de dix mille blessés fait partie de laÀ partir du moment où un res
ponsable peut être désigné, l'esprit est satisfait : il y a eu erreur ou faute, et il y a sanction .. .. comme si la peine de mort n'avait pas été supprimée dans tous les pays d'Europe occidentale.Mais les apparences sont trom
peuses. Certes, chaque usager de la route est individuellement respon sable de son comportement. Mais il ne l'est pas du système dans lequel il évolue et qui détermine en définitive le niveau de sécurité deà l'école, des
conditions de préparation, de déli vrance, et de suivi du permis de conduire, des campagnes d'infor mation, de la définition de la régle mentationà respecter et du contrô
le de celle-ci. Ce sont encore eux LA LA qui sont en charge des réseaux autoroutiers et routiers, des normes de sécurité des véhicules, ainsi que de l'organisation des secours aux blessés. Ce sont donc eux qui peu vent influer sur le niveau global des accidents. En 3La sécurité routière
en EuropeChaque année, les accidents de
la route sontà l'origine d'environ
cinquante mille morts et de plus d'un million et demi de blessés sur les routes d'Europe de l'Ouest.Depuis
coûts humains et écono miques exceptionnels, les diverses instances européennes ne se sont longtemps impliquées que d'une . manière incidente dans le traitement de l'insécurité routière, à l' excep tion de la Conférence européenne des ministres des Transports qui, de longué date, a consacré une partie importante de ses activitésà la lutte
contre les accidents de la route.Christian
UneTel ne fut pas le cas de l'Union
européenne. a fortiori mise en oeuvre contrairementà ce qui se
passe dans d'autres secteurs d'activité, tels que l'environne ment ou la santé.Pourtant, depuis plusieurs
années, un certain nombre de nou veaux et importants projets de directives élaborés par laCommission de Bruxelles et ayant
trait à la limitation de vitesse de certaines catégories de véhicules ou à l'abaissement à LA de divergences d'appréciation sur les compétences de l'Union dans le domaine du comportement des conducteurs. Ces divergences n'ont été que partiellement atté nuées par le Traité de Maastricht.Certes, celui-ci comprend un
article qui stipule expressément que l'Union est compétente en matière de sécurité des transports, mais l'on peut se demander QEntre les États européens occi
dentaux les plus avancés et ceux qui obtiennent les résultats les moins bons, les taux d'accidents mortels exprimés par kilomètre parcouru varient en effet dans un rapport de un à plus de sept, ce qui donne une indication de l'ampleur des progrès possibles, même s'il faut tenir compte des différenceséconomiques et géographiques.
Selon le même critère, le risque
moyen sur les routes d'Europe occidentale est de près du double de celui des il y a lieu de penser qu'une action communau taire et déterminée pourrait contri buer à réduire fortement le nombre des victimes dans de nombreux pays européens, sinon dans l'ensemble d'entre eux.La liste des mesures qu'il serait
possible d'envisager et qui ont fait leur preuve dans tel ou tel des pays deInterventions
communautaires traditionnellesComme dans de nombreux
autres secteurs d'activité, le mode traditionnel principal d'interven tion de il convient de souligner que, pour l'essentiel des actions susceptibles de concourir à l' amé lioration de la sécurité routière, une telle procédure ne peut être envisa gée, le rôle des États nationaux et de leurs collectivités régionales et locales restant à l'évidence le plus important. Il en est ainsi, par exemple, de la plupart des mesures concernant la: formation et l'infor mation des conducteurs, le contrôle des comportements et les sanctions correspondantes, l'aménagement de réseaux routiers, l'organisation des secours et, d'une manière plus LA générale, la politique de conduite de la lutte contre les accidents. l'évidence, celles-ci ne peuvent il· doit alors revêtir des formes différentes.De nouvelles modalités
d'interventionL'on peut recenser trois types
de besoins qui sont mal couverts à l'heure actuelle et à la satisfaction desquels la Communauté pourrait apporter un concours déterminant en agissant essentiellement par la voie de l'information et de l'incita tion, cette méthode d'approcheétant également valable pour les
pays non membres de il faut savoir que ceux-ci avaient été généralisés enGrande-Bretagne depuis
5 6quotesdbs_dbs42.pdfusesText_42[PDF] ANNEX 12. Marketing brochure (See attached document) & Visit: http://www.choisymaurice.com/
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