[PDF] le 11 mars La réponse humanitaire va é





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Protocole de Prise en Charge Intégrée de la Malnutrition Aiguë au

3) L'intégration des standards de 2006 de l'OMS dans les critères d'admission des enfants malnutris aiguës en retenant la table P/T des garçons comme référence 



Projet Intégré dappui à la lutte contre la malnutrition en milieu

Prise en Charge Intégrée de la Malnutrition Aiguë L'ACF-E est présent au Mali depuis 1996 avec des programmes de nutrition



PÉRIODE:

d'assistance alimentaire et d'appui à l'agriculture. prévention et une prise en charge de qualité de la malnutrition aigüe modérée et de la malnutrition ...



Alima

86 764cas de malnutrition aigüe sévère(MAS) Un programme de prise en charge de la MAS a d'abord été mis en ... L'activité de chimio-prévention.



protocole national prise en charge integree de la malnutrition aiguë

PRISE EN CHARGE EN AMBULATOIRE DE LA MALNUTRITION AIGUË SEVERE (PCA) de la formation sur la PCIMA dans les programmes des écoles/institutions de ...



PROGRAMME DE PREVENTION DE LA MALNUTRITION AIGUË

Le Fond des Nations Unies pour l'Enfance (UNICEF) au Mali PCIMA Protocole de Prise en Charge Intégrée de la Malnutrition Aiguë.



le 11 mars

La réponse humanitaire va également continuer à intégrer la protection des civils conformément au Droit. Page 7. MALI APPEL GLOBAL 2013 – ACTIONS PRIORITAIRES.



Appel Global

malnutrition aigüe au Mali dont 210 000 de malnutrition aiguë sévère (estimation basée minimum d'intervention la prise en charge de la malnutrition.



PLAN DE RÉPONSE

15 nov. 2016 malienne sont en situation d'insécurité alimentaire. La signature de l'accord de ... Malnutrition Aigüe Sévère (MAS) sont respectivement.



MALI RÉPONSE RAPIDE PLUSIEURS SITUATIONS DURGENCE

d'urgence la prise en charge psychosociale collective et individuelle



La prise en charge de la malnutrition sévère : Manuel à l

La prise en charge de la malnutrition sévère : manuel à l’usage de médecins et autres personnels de santé à des postes d’encadrement 1 Troubles nutrition — thérapeutique 2 Troubles nutrition enfant — thérapeutique 3 Manuel 4 Ligne directrice 5 Personnel sanitaire — manuel 6 Auxiliaire santé publique — manuel



PROTOCOLE POUR LA PRISE EN CHARGE DE LA MALNUTRITION - UNICEF

8 2 Evaluation et classification de la malnutrition 8 2 1 Enfants en âge de scolarisation (5-9 ans) 8 2 2 Adolescents (10-18 ans) 8 2 3 Adultes (plus de 18 ans) o 8 3 Antécédents et examens o La gestion de la nutrition o L’échec thérapeutique o Préparation à la sortie de l’hôpital et à la fin du traitement 14

MALI APPEL GLOBAL 2013 ACTIONS PRIORITAIRES

Credit : UNHCR/Helene Caux

le 11 mars

MALI APPEL GLOBAL 2013 ACTIONS PRIORITAIRES

iii

TABLE DES MATIÈRES

1. SITUATION GÉNÉRALE ................................................................................................. 1

2. SITUATION HUMANITAIRE ............................................................................................ 1

3. CONTRAINTES/DÉFIS ................................................................................................... 3

4. ................................................................................................. 4

Tableau I : Besoins totaux de financement et actions prioritaires par groupe sectoriel ........ 5

5. SYNTHÈSE DES PLANS DE RÉPONSE ............................. 6

Tableau II: Liste de projets prioritaires par groupe sectoriel .............................................. 20

6. COMMENT FINANCER ................................................................................................. 28

MALI APPEL GLOBAL 2013 ACTIONS PRIORITAIRES

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1. SITUATION GÉNÉRALE

Depuis le 10 janvier, la dynamique de la crise malienne a fortement changé sur les plans

sécuritaire, politique et humanitaire. même de nouvelles tensions. De même, la question des minorités ethniques mettra probablement du temps à se résoudre. Les conditions sécuritaires vont probablement rester volatiles pendant de nombreux mois, et

pourraient même se dégrader davantage au nord du pays, comme le laisse présumer les

attaques récentes de militants islamistes à Gao. explosifs artisanaux et des munitions non explosées représente une menace sérieuse pour la population civile et les acteurs humanitaires actifs dans le nord du pays. s ont un impact très négatif sur le transport et le commerce au nord du pays. Selon les témoignages reçus, dans les grands centres urbains (Gao, Tombouctou notamment), de nombreux commerçants ont fui. La

conséquence est un accroissement des coûts, alors que la disponibilité des denrées alimentaires

2. SITUATION HUMANITAIRE

Avant le déclenchement du conflit début janvier, la population déplacée au Mali était estimée à

227 000 par la Commission Mouvement de Population. Le conflit a exacerbé les problèmes

affectées par la violence. Depuis début janvier, près de 38 000 personnes ont fui le nord du Mali

(au 11 février près de 16 000 PDI et près de 22 000 réfugiés). Les déplacements du nord vers le

sud du Mali se maintiennent à un rythme élevé depuis plusieurs semaines. pu poursuivre alimentaire et nutritionnelle

humanitaire, il apparait que la situation humanitaire reste fragile et peut se détériorer

rapidement. Plusieurs organisations humanitaires sont prêtes à intervenir dans les zones où des

besoins urgents ont été identifiés.

Les évaluations multisectorielles effectuées par des ONG dans les régions de Ségou, Mopti

(Konna et Douentza) et Tombouc

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2

besoins dans les domaines de la protection, nutrition, sécurité alimentaire, santé, EHA et

situation de fragilité qui poupour les personnes les

visent à renforcer les capacités économiques et moyens de subsistance est critique à cet égard.

Dans la région de Kidal, les évaluations multisectorielles des ONG font état de problématiques

humanitaires aigües, particulièrement dans la zone de Tin Zaoutin proche de la frontière

algérienne où plus de 6 000 les partenaires humanitaires a permis de répondre aux besoins les plus urgents. en janvier violences basées sur le genre. Depuis le 10 janvier des violations graves du DIH et des droits de lences contre des civils et des destructions de biens des civils ont également été observées. Elles font craindre une plus grande polarisation ethnique qui est probablement une des causes principale du déplacement des populations observé depuis le début de populations, dans certaines gares de transports, font état du retour de près de

2 300 personnes, soit seulement 13% des flux de populations observés entre le 12 janvier et le

10 février. Les 87% de flux restants sont des déplacements des régions du nord vers les régions

du sud. Les trois destinations principales de retour des mouvements convergent du sud vers le nord, sont Tombouctou (45%, 1 028 personnes), Mopti (42%, 962) et Gao (13%).

Selon une étude effectuée début février auprès de déplacés à Bamako et Koulikoro, la très

des conditions de sécurité, mais également de nombreux autres facteurs tels que: le

rétablissement des services sociaux de base (notamment éducation), accès à la nourriture, la

disponibilité du transport, etc. La majorité des 836 ménages interviewés proviennent des centres

urbains de Gao et Tombouctou. Selon les informations disponibles, les réfugiés ont une attitude

encore plus prudente " wait and see ».

retours. Dans le contexte actuel très imprévisible et difficile à analyser, il est impossible de faire

des projections quant à un possible retour en nombre de PDI et de réfugiés. Le contrôle effectif

par les forces de la MISMA des centres urbains et des principaux axes pourrait être déterminant.

déplacée et réfugiée prenne le chemin du retour, soit 80 000 à 100 000 personnes.

MALI APPEL GLOBAL 2013 ACTIONS PRIORITAIRES

3

3. CONTRAINTES / DÉFIS

contraintes sécuritaires plus au nord, dans les régions précédemment sous contrôle des groupes

armés,

environnement sécuritaire dégradé et moins lisible. Il est probable que le contexte malien

demeurera pour de nombreux mois très volatile, imprévisible et dangereux.

Les contraintes et défis principaux:

Manque de ressources et de capacités pour la gestion opérationnelle de la sécurité et de , tant pour les ONG que pour le système des Nations unies.

Alors que de nombreuses évaluations ont été conduites dans les zones des régions

centrales où des combats ont eu lieu (surtout dans les villes) sous contrôle des forces maliennes et des alliées a fortement limité le nombre et des évaluations en dehors de ces zones, surtout dans les trois régions du nord et en milieu rural. Capacités insuffisantes pour répondre à des urgences ou en cas de retours importants de déplacés et réfugiés (infrastructure et ou de la fourniture de services de base dans les communautés de retour (services trop limités, absence de personnel). Risque que attention trop importante soit portée sur le nord du pays au détriment des reconstruction/réhabili pas de

également très importants.

désormais considérées par ces acteurs comme accessibles. Il est important que cette

présence ne remette pas en cause la sécurité des acteurs humanitaires qui étaient

parvenus à travailler sur place pendant la période de contrôle de ces régions par les groupes armés. Il est également important que les nouveaux acteurs se coordonnent

entre eux et avec ceux déjà présents, en tenant compte du travail déjà accompli par les

partenaires des réelles e Risque de confusion entre le domaine humanitaire et les agendas politique et sécuritaire (cf. assistance humanitaire ). 6%).

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4. TIONS

Les projections et analyses effectuées dans le cadre du CAP 2013 demeurent pertinentes, de

même que les objectifs stratégiques. Les actions de la communauté humanitaire doivent

permettre de: Assurer une réponse efficace aux besoins les plus importants des populations affectées par le conflit, selon des modalités opérationnelles qui prennent adéquatement en compte les contraintes sécuritaires et qui respectent les

1) Sécurité et accès

Mobiliser urgemment les ressources nécessaires pour renforcer la gestion opérationnelle de la sécurité. Cela inclut: le renforcement de DSS et des télécommunications , la révision du plan de contingence sécuritaire, le renforcement de la coordination au niveau de la cellule sécurité et la communication entre les divers acteurs, ONG et agences NU, incluant également des éléments de formation. Renforcer les activités dans le domaine " mine action » et adapter le dispositif logistique aux nouvelles contraintes sécuritaires. Renforcer les actions cross-border. Renforcer la coordination civilo-militaire à Bamako et dans les régions en fonction des besoins (par ex. à Mopti).

Renforcer le dialogue dans les régions avec les acteurs locaux (autorités civiles et

militaires, autres).

2) Réponse humanitaire

Renforcer la coordination des actions dans tous les domaines de la protection et augmenter les capacités dans les zones accessibles. Cela inclut notamment: prévention, monitoring, cohésion sociale, mine action, suivi des mouvements de population, intersectorielle dans le domaine de la protection. Effectuer dès que les conditions de sécurité le permettent des évaluations multisectorielles dans zones affectées par le conflit. partenaires coordonnent ces évaluations et soient conscients que celles-ci peuvent être très sensibles. Augmenter les capacités pour répondre à des urgences.

Dans les zones affectées par le conflit,

domaines de la sécurité alimentaire et de la nutrition, de même que pour le renforcement des services sociaux de base y compris les services de santé. La réponse humanitaire

va également continuer à intégrer la protection des civils conformément au Droit

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5 . En fo Renforcer le travail / partenariat avec les acteurs locaux.

3) Communication et plaidoyer

humanitaires et faire le plaidoyer pour la re rappeler la responsabilité première des autorités maliennes de subvenir aux besoins de la population. Son objectif devrait être de communiquer sur les besoins et défis dans ifique sur les régions affectées par le conflit. Développer des messages clés au niveau du HCT. centres urbains au nord.

Plaidoyer pour la réouverture en toute sécurité, des accès commerciaux vers les régions

du nord, y compris pour le commerce transfrontalier. Tableau I : Besoins totaux de financement et besoins prioritaires, par groupe sectoriel

Appel global pour le Mali

Au 11 mars 2013

Compilé par OCHA sur la base d'informations fournies par les agences

Groupe sectoriel

Fonds requis

originaux

Fonds requis révisés

Besoins prioritaires

(janvier-avril 2013)

ABRIS ET ARTICLES NON-

ALIMENTAIRES 5 861 488 5 861 488 4 510 000

EAU, HYGIENE ET

ASSAINISSEMENT 54 840 118 54 840 118 17 710 000

EDUCATION 18 784 515 18 784 515 4 696 129

LOGISTIQUE 4 340 600 4 340 600 1 844 000

NUTRITION 73 766 627 73 766 627 18 250 000

PROTECTION 36 994 652 46 921 847 15 000 000

SANTE 28 885 768 28 885 768 5 130 700

SECURITE ALIMENTAIRE 139 794 957 143 559 576 82 407 722

SERVICES COMMUNS ET

COORDINATION 4 934 220 7 100 065 1 577 393

TELECOMMUNICATIONS

D'URGENCE 2 231 313 2 231 313 900 000

Grand Total 370 434 258 386 291 917 152 025 944

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5. SYNTHÈSE DES PLANS DE RÉPONSE SECTORIEL

(Voir le tableau II ci-dessous pour la liste détaillée des organisations et projets qui devraient réaliser les actions prioritaires, selon la planification

commune.)

Abris/NFI

Besoins prioritaires

Hypothèses / scénarios retenus à court terme (sur trois mois environ) comme base de calcul, à la suite des réunions OCHA du 8 et du 15

février retournent dans les zones de Mopti et du nord.

Les maisons en banco non-

réhabilitation soit 3 000 habitats (20% de 15 000 habitats, 1 habitat par ménage) dans le nord.

Be dans

les zones de Bamako, Ségou, Mopti. ionnelles qui ont été perdues.

En termes de NFI

Lacunes

Familles de PDI qui ne Selon

plusieurs enquêtes de terrain, les familles déplacées, notamment sur Bamako et Koulikoro font face à des difficultés grandissantes pour payer leur

subvenir aux besoins sation (ne plus payer les frais scolaires, diminuer les dépenses de santé, etc.). lus haut)

En termes de NFI

Gap à couvrir, à court terme dans le cas du scénario retenu: 15 000 ménages soit 90 000 personnes qui retournent dans les régions de

Mopti et du nord.

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Abris/NFI

Contraintes

-Gao; Gao-Kidal, route vers Tombouctou).

Les projets ls et

en matériaux de construction); (ii) si le réseau bancaire est déficient.

Réponse prioritaire

"cash transfer» aux familles de PDI dans les zones de Bamako, Ségou et Mopti, qui ne parviennent plus à

s changements fréquents de

65% des ménages IDP de Bamako/Koulikoro sont locataires.

Assister les familles qui accueillent un grand nombre de déplacés dans un espace restreint.

Si les mouvements de retour vers le nord se confirment et que la situation sur le plan sécuritaire le permet, appuyer la réhabilitation

tériaux de "cash transfer». environ 3 000 habitats qui nécessiteraient une réhabilitation. biens domestiques de première nécessité.

Fournir une assistance aux retournés nomades à travers la fourniture de tentes traditionnelles.

Projets prioritaires Deux projets prioritaires

Partenaires

opérationnels

En matière de reconstruction (en date de février 2013): DGPC / Ministères techniques, Croix-Rouge Malienne, NRC,

OIM. : ACTED, CRS, OXFAM (point focal du sous-groupe technique Cash transfer), Care, Mercy corps, OIM.

En matière de NFI: ACTED, ALIMA, UNICEF, USAID, Care, Croix-Rouge Mali, CRS, AVSF, Intersos, DGPC, OIM, MDM-B, MDM-F, IRC, HCR.

Coût chiffré

Total: $ 4 510 0001 (régions Mopti et nord) pour deux projets : MLI-13/S-NF/53868/R/298, MLI-13/S-NF/54593/120.

$ 4.51 millions montant total requis immédiatement pour les projets prioritaires dont: $ 2 750 000 en termes de NFI

1 Tous les signes $ dans ce document font référence à des dollars des États-Tout financement pour cet appel devrait être signalé au Service de Suivi Financier (Financial

Tracking Service/FTS, fts@un.org). FTS donne les dernières mises à jour concernant projets, besoins financiers, et contributions humanitaires. (Voir http://fts.unocha.org.)

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Eau Hygiène et Assainissement (EHA)

Besoins prioritaires

Distribution d'articles non alimentaires EHA et promotion de l'hygiène aux populations déplacées et d'accueil.

Assistance EHA en urgence aux personnes déplacées dans les camps informels (e.g. Tin Zaoutin).

Assistance technique et matérielle à l'infrastructure d'approvisionnement en eau directement endommagés ou affectés.

Pré-onflit

pour couvrir la possibilité d'une interruption en approvisionnement en eau. ent de santé (CSCOMs et CSREFs) directement endommagés ou affectés par les interventions militaires.

Lacunes

Accessibilité limitée dans certaines zones. Vision partielle sur des besoins en EHA pour les réseaux d'eau qui ont été potentiellement

affectés directement ou indirectement par les interventions militaires. UNICEF fait actuellement une évaluation téléphonique des plus

grands opérateurs de réseaux urbains dans la zone de conflit pour évaluer l'impact potentiel des manques des carburants, des manques

cours et il est possible que les besoins pour les réseaux d'eau soient plus importants que prévu.

Manque de vision claire sur des besoins en EHA dans les établissements de santé (CSCOM, CSREF) touchés directement ou

indirectement par le conflit. Plus d'efforts de coordination doivent être faits avec le Cluster Santé concernant les besoins EHA dans les

CSCOMs et CSREFs.

Contraintes

Accessibilité limitée dans certaines zones.

Insuffisance des financements pour 2012 (totale reçu = $13 503 000) Financement en EHA pendant 2013 sont encore nécessaires et

urgent à soutenir 227 206 personnes déplacées, 150 000 personnes hôtes, 1.56 million de personnes vivant dans des régions à risque de

choléra, 42 000 couples (mère accompagnant enfant sévèrement malnutri) et les 1.72 million personnes vivant dans les zones touchées

par le conflit tels que décrits dans la CAP de 2013.

Réponses prioritaires

s et 15 000 potentielles.

10 000

potentielles (soit 2/3 des PDIs chez une famille hôte).

Assistance EHA en urgence (traitement et t

formels (comme sur la frontière Algérienne à Tin Zaoutin).

Assistance technique EHA et matérielle (carburant, pièces de rechange, du chlore, des groupes électrogènes, des panneaux solaires, des

pompes, des réservoirs et de réhabilitation des points d'eau) à 12 systèmes d'eau municipaux endommagés par le conflit ou le pillage.

Pré-

approvisionnement en eau erratique (en raison des pillages, dommages des conflits, le manque de carburant, manques des pièces de

rechange, problèmes avec l'électricité, manque des opérateurs) pour 100 000 personnes.

Evaluation des besoins en EHA dans les structures de santé de Gao, Mopti et Ségou avec assistance technique et matérielle (carburant,

pièces de rechange, du chlore, groupes électrogènes, panneaux solaires, la réhabilitation des réservoirs, points d'eau et latrines) à 80

structures de santé (CSCOMS, CSREFS, URENIS, URENAS).

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Eau Hygiène et Assainissement (EHA)

Projets prioritaires Six projets prioritaires (MLI-13/WS/52733/8058, MLI-13/WS/52769/6458, MLI-13/WS/52840/5179, MLI-13/WS/52843/6079, MLI-

13/WS/52909/124, MLI-13/WS/54554/5120).

Partenaires

opérationnels

CARE, CRS, OIM, CRM, Solidarités, IRC, ACTED, ACF, Plan, World Vision, Aidement, DGPC, WaterAid, TDH, TearFund, OMS, UNICEF,

SC, Eau Vive, PROTOS, AVSF, Oxfam-GB, GRAD, HI, Islamic Relief

Coût chiffré $ 17.71 millions montant total requis immédiatement pour les projets prioritaires.

Education

Besoins

prioritaires

Au nord et au centre du Mali

sage y compris en manuels scolaires.

1 528 écoles ayant un besoin soit en dépollution, réhabilitation, construction de nouvelles salles de classes et mise en place de cantines

scolaires, équipements suite aux différentes attaques. ques et de formation sur des e, à la paix et à la tolérance au sein des communautés.

Au niveau national

754 724 enfants en âge scol

s lors des confrontations à Konna et

Douentza, écoles du nord) ayant un besoin soit en réhabilitation, construction de nouvelles salles de classes et mise en place de cantines

scolaires, équipements. e, à la paix et à la tolérance au sein des communautés.

Lacunes

Capacités opérationnelles et financement:

Le sous- Non

uation des dans le secteur de l

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Education

Contraintes

Insécurité et accès aux régions directement affectées:

éducatives (structures de gesti

du nord du Mali.

Réponse

prioritaire école des enfants affectés par le conflit au nord et au centre du Mali à travers: t pédagogiques. veil). compétences de vies courantes.

(éducation, protection, sécurité alimentaire, eau, hygiène et assainissement, abris, nutrition)

qui assure et favorise:

La protection et le bien-être d

-cognitif des enfants malnutris, éducation aux risques des mines).

Le maintien d

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