[PDF] Les méthodes dorganisation du travail : le Lean en question





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note de positionnement - les methodes dorganisation du travail : le

LES METHODES D'ORGANISATIONS DU TRAVAIL : LE LEAN EN QUESTION. 01. AVANT-PROPOS. Le réseau Anact-Aract travaille depuis plusieurs années sur les processus 



Les méthodes dorganisation du travail : le Lean en question

Le Lean comme toute autre méthode d'organisation du travail



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déterminer l'organisation du travail souhaitée ;. • établir un plan d'action pour y parvenir. Team-up propose une méthode participative qui permet :.



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MÉTHODES DE TRAVAIL EFFICACES - HEC Montréal

Toutefois puisque toutes les méthodes de travail intellectuel ont en commun de nécessiter un minimum de concentation cetaines ègles de base s’appli uent Le tavail intellectuel peut donc épuise apidement l’étudiant ou l’étudiante ui omet de s’y préparer adéquatement



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ma modeste expérience de l'organisation du travail administratif Avant d'aborder le véritable objet de mon propos il ne me paraît pas inutile de vous présenter en quelques mots le Service Central d'Organisation et Méthodes Le SCOM a son siège 20 rue Notre-Dame-des-Victoires 75002 Paris Il est chargé d'une manière



SECRETARIAT : ORGANISATION TECHNIQUES ET METHODES DE TRAVAIL

face à un projet sollicitant l’intégration dans une équipe et la mise en œuvre de méthodes et de techniques de gestion d’un secrétariat ? d’identifier les principes d’organisation et gestion : ? des différentes étapes de travail ; ? des contacts des tâches ; ? des documents y afférents ;



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:L’ORGANISATION DU TRAVAIL L’organisation du travail est l’analyse du degré de spécialisation et de responsabilité des différents postes de travail afin de mieux combiner et de mieux gérer les facteurs de production en harmonie avec les finalités de l’organisation

Comment évolue l’organisation du travail dans le temps ?

L’évolution de l’organisation du travail dans le temps est flagrante et parallèle aux différents courants d’idées. Les avancées sociales, les relations femmes-hommes, le rapport à l’autorité l’ont beaucoup modifiée, ainsi que certaines contraintes selon les époques.

Comment mesurer la qualité de l’organisation du travail ?

» La qualité de l’organisation du travail est mesurable de plusieurs façons, notamment avec : la fluidité de la circulation, du partage de l’information ; le degré d’autonomie et de responsabilité accordé aux salariés ; la conciliation de la vie professionnelle avec la vie personnelle ; le respect de l’égalité professionnelle.

Quels sont les enjeux d’une bonne organisation du travail ?

Une bonne organisation du travail, et une bonne communication des règles autour de celle-ci, répondent à plusieurs enjeux : la visibilité et donc le suivi du travail et des missions de chacun·e ; la collaboration entre salarié·e·s, au sein d’un service et entre plusieurs services ;

Qu'est-ce que l'organisation scientifique du travail ?

Au début du XXe siècle, on parle d’une organisation scientifique du travail (OST), avec entre autres le Taylorisme de Frederick Taylor. Au cœur de ce courant, l’amélioration du travail par l’analyse des processus, mais aussi une division du travail à la fois horizontale (tâche par tâche selon les compétences) et verticale (hiérarchie très marquée).

P E R F O R M A N C E P R O D U C T I V I T C O N D I T I O N S D E T R A V A I L G A I N D E T E M P S S T A N D A R D I S A T I O N S A N T P A R T I C I P A T I O N G E S T I O N D E F L U X I M P L I C A T I O N

Les méthodes

dorganisation du travail : le Lean en question

€ Formatage ef“ cace ?

€ Effets sur les conditions de travail ?

€ Dépassement du modèle ?

Bimestriel du Réseau Anact pour lamélioration des conditions de travail

Travail

Revue de la qualité de vie au travailN° 351 SEPTEMBRE/OCTOBRE 2013

CHANGEMENT

ARGUMENTS (P. 4 À 8)

Michel Bouton (Medef)

Michel Masdebrieu (CGT)

Dominique Gillier (CFDT)

Richard Abadie

(Direccte Rhône-Alpes)

Fabien Mangione

(enseignant-chercheur)

Hassan Khomany (ergonome)

Richard Kaminski

(Institut Lean France)

Tommaso Pardi (sociologue)

Françoise Siegel

(médecin du travail coordinateur)

CÔTÉ ENTREPRISES (P. 9 À 14)

Coiffure

De nouvelles teintes

pour la motivation

Plasturgie

Sortir du moule

Industrie automobile

Travailler la transparence

pour une meilleure adhésion

Laboratoire spécialisé

Lergonomie comme

appareillage complémentaire 2

ENJEUX

TRAVAIL ET CHANGEMENT N° 351 septembre/octobre 2013 D u taylorisme au Lean en passant par le fordisme, les modèles d"or- ganisation du travail ont toujours suscité des questions. Car ils se présentent souvent comme des promesses de jours meilleurs dans les entreprises. Jours meilleurs pour la performance (gains de productivité) mais aussi pour les salariés.

Et c"est là l"une des grandes ambitions du

Lean (voir encadré). Déployé à partir des années 1980 dans l"industrie, puis des années 2000 dans l"ensemble des secteurs, le Lean s"est largement propagé en se revendiquant de l"amélioration des condi- tions de travail. Principal argument en la matière : la valeur créée dans l"entreprise se trouve sur le terrain, c"est-à-dire dans l"atelier, sur les lignes de production, là où les biens et les services sont produits. En la matière, le Lean avance des propositions intéressantes : ergonomie des postes, management de proximité, expression des salariés... Mais réussit-il à aller sans encombre au bout de ses promesses ? > Pas de recettes

Le Réseau Anact a cherché à tirer les

enseignements d"une vingtaine d"inter- ventions menées essentiellement dans le secteur industriel et dans des entre- prises de taille intermédiaire (de 250 à

5 000 salariés). L"intention n"est pas d"être

pour ou contre le Lean mais de contribuer au débat en apportant des réponses aux vraies questions qu"il pose.

D"un point de vue général, le Lean, comme

les autres méthodes d"organisation du travail, n"est pas transposable tel quel d"une entreprise à une autre. " Il n"y a pas de déterminisme en matière d"organisa- tion, explique Mélanie Burlet, chargée de mission du département Changements technologiques et organisationnels de l"Anact. Ce qui veut dire d"abord qu"aucun modèle organisationnel n"est incontour- nable sous prétexte qu"il aurait fait ses preuves ailleurs. Ensuite, cela signi e que

Modèle d'organisation du travail très répandu, le Lean vise la performance de l'entreprise en prenant

en compte les salariés, via notamment leur implication dans l"organisation. Mais qu"en est-il concrè-

tement des conditions de travail ? Faut-il en rester à un modèle formaté ?

Les méthodes d'organisation

du travail : le Lean en question Formatage ef cace ? Effets sur les conditions de travail ? Dépassement du modèle ?

1. Fonder les décisions sur

une philosophie à long terme.

2. Arrêter la production dès

l"émergence d"un problème de façon à produire de la qualité du premier coup.

Chacun n'a pas la même

notion de la qualité : qu"est ce qu"un travail bien fait ?

3. Lisser la production et

la charge de travail (heijunka) : supprimer des tâches jugées inutiles.

Certaines tâches jugées inutiles peuvent

être des moments de récupération, de

coopération et d"anticipation essentiels à la réalisation du travail.

4. Faire participer les salariés à

la résolution immédiate des problèmes. Certes, mais comment ? Une vraie participation des salariés ne se limite pas à cela. Elle doit favoriser des échanges sur le travail lui-même...

5. Utiliser uniquement des technologies

ables qui servent les collaborateurs et les processus.

Cela ne suf t pas : il faut prendre en compte les

usages et pratiques différenciées dès la concep- tion des outils en y associant les utilisateurs concernés.

6. Former des responsables qui maîtrisent

parfaitement le travail.

L'immense majorité des managers n'est pas

formée à cette démarche participative qui les met en danger car elle peut nier leur expertise et leur légitimité. Il est surtout important que les managers soutiennent la réalisation du travail au quotidien (régulation, reconnaissance...). Il faut leur en donner les moyens et porter attention à leurs propres conditions de travail.

7. Aller sur le terrain pour bien

comprendre la situation (genchi genbutsu).

Tout est dans la posture sur le terrain :

posture " résolution de problème » versus " pression sur les indicateurs et les pres- criptions... ». Il faut focaliser l"attention sur le travail lui-même, par nature variable, soumis à des aléas. Les savoir-faire professionnels consistent précisément à anticiper et gérer cette variabilité.

8. Devenir une entreprise apprenante

grâce à la ré exion systématique (hansei) et à l"amélioration continue (kaizen) : créer des dysfonctionnements pour les anticiper.

Mettre le système volontairement sous

tension peut créer des situations contre- productives et intensi er le travail. Favoriser l"apprentissage et l"innovation s"accommode dif cilement du cadre standardisé visé par l"amé- lioration continue.

9. Standardiser les tâches.

Convoquer l'expertise de salariés pour ensuite simpli- er leurs tâches peut être risqué et peut transformer les métiers. Voire être contre-productif : les salariés peuvent avoir intérêt à taire leurs dif cultés pour conserver des marges de manœuvre.

10. Former des individus et des

équipes qui appliquent stricto sensu.

Les choses ne se passent jamais comme

prévu et demandent justement une expertise opérationnelle permettant de faire face à l"imprévu pour combler les écarts (et donc de faire des écarts)

11. Utiliser des systèmes tirés pour éviter

la surproduction et les stocks (juste à temps).

Attention à l'absence de marge de manœuvre

et aux risques d"intensi cation du travail.

12. Utiliser des contrôles visuels pour

qu"aucun problème ne reste caché. Peut engendrer un sentiment de contrôle et mettre en concurrence les salariés, ce qui nuit au travail collectif propice à la recherche de performance.

13. Tirer les sous-traitants vers la même

démarche stricto sensu. Or un modèle n'est pas transposable d'une entre- prise à une autre...

14. Appliquer rapidement les décisions.

Les " irritants » jamais résolus donnent

l"impression que seules les décisions ayant un impact sur la productivité sont entendues.

La dimension systémique du lean est un important point d'attention. Elle invite les entreprises à dépasser le modèle pour mieux dé nir leurs enjeux de

performance et de conditions de travail en sortant du prescriptif et en s"adaptant à leur propre contexte et besoins.

LES 14 PRINCIPES DU LEAN (littéralement " maigre ») ET LES POINTS DE VIGILANCE SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL

Source : http://fr.slideshare.net

les effets de tout modèle organisationnel dépendent en partie de la façon dont l"entreprise a déployé celui-ci selon les enjeux auxquels il répond, le système qui l"accueille et les arrangements dont il fait l"objet. Le Lean n"existe pas en tant que tel : il s"inscrit dans des dispositifs orga- nisationnels existants. » Cela explique la grande diversité de pratiques que l"on observe dans les entreprises autour du

Lean, certaines allant jusqu"à le mettre

en œuvre sans le nommer... > Rythme accéléré

Aujourd"hui, sa mise en oeuvre fait débat.

D"une part, il est porteur d"opportunités

qui peuvent faire levier sur les conditions de travail, comme l"importance accordée au terrain ou l"implication des salariés à travers leur participation à la résolution de problèmes. D"autre part, il impliquequotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
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