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Pratique de l'audit opérationnel en milieu bancaire
Cette approche consiste en l’examen de tous les aspects du contrôle interne des systèmes opérations procédures etc Cette approche néglige par contre les aspects liés à la gestion des interfaces la remise en cause de la stratégie et la recherche d’opportunités
DOMAINE DES SCIENCES DE LA SOCIETE
MENTION GESTION BTENTION DU DIPLOME DE MASTER EN SCIENCES DEGESTION
PARCOURS : COMPTABILITE, AUDIT ET CONTRÔLE
THEMEPrésenté par :
RAKOTOARISOA Andrinatolotra
Monsieur RABENILAINA Harinia Madame RAVELOSON AndriamefyJudith
Maître de Conférences Expert-Comptable et Financier Stagiaire, Manager au sein du Cabinet Mazars
Fivoarana
Session : Mars 2019
Année Universitaire
: 2017 - 2018 - Soutenue le 26/03/2019 -EVALUATION DU CONTRÔLE INTERNE :
MAÎTRISE DES RISQUES CYCLE
CREDIT
IREMERCIEMENTS
Nous tenons avant toute chose à remercier DIEU
que pour sa grande miséricorde sans quoi nos efforts auraient été vains. Nous tenons également à remercier : - Monsieur RAMANOELINA Armand René Panja, Professeur titulaire, Président de - Monsieur RAKOTO DAVID Olivaniaina, Maitre de conférences, Responsable dudomaine des sciences de la société, qui a veillé par son travail au bon fonctionnement de la
Faculté.
- Madame RANDRIAMBOLOLONDRABARY Corinne, Maitre de Conférences, Responsable de la mention Gestion qui, malgré ses lourdes responsabilités, nous a offert l'opportunité de soutenir ce mémoire. - Madame ANDRIANALY Saholiarimanana, Professeur titulaire, Directeur du " Centre développement économique et nous voudrions lui témoigner notre gratitude car à elle est attribuée de lourdes taches. - Monsieur ANDRIAMASIMANANA Origène, Maître de Conférences, Responsable du parcours Comptabilité Audit et Contrôle MASTER I sans sa bienveillance en tant que responsable du parcours " tronc commun ». - Monsieur RABENILAINA Harinia, Maître de Conférences, mais aussi notre encadreur pédagogique. Il nous a soutenus notamment en termes de conseil et de soutien moral en dépit de ses nombreuses occupations. - -Madame RAVELOSON Andriamefy Judith, Expert-Comptable et Financier Stagiaire, Manager au sein du Cabinet Mazars Fivoarana et Expert-Comptable Stagiaire, notre encadreur professionnel- La famille, les amis et tous ceux qui, de près ou de loin, ont contribué à la réalisation de ce
mémoire, auprès de qui nous avons obtenu du réconfort moral ainsi que des aides
financières et matérielles. IISOMMAIRE
REMERCIEMENTS
SOMMAIRE
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE
Chapitre 1 : CONCEPT SUR LA MICROFINANCE
Section 1 : Généralités sur la Microfinance Section 2 : Cadre légal, règlementaire et institutionnelChapitre 2 CONTROLE INTERNE
Section 1 : Concept
Section 2 : Condition de réussite du contrôle interneSection 3 : maîtrise des risques
liés aux crédits Section 4 : Méthodologie et limites de notre étudeCONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE
Chapitre 3 : LE SYSTEME DE CONTRÔLE INTERNE POUR LA MAÎTRISE DESRISQUES DE CREDIT
Section 1 : Organigramme et responsabilités des acteurs du cycle créditSection 2
Section 3 : Test des procédures
Chapitre 4
Section 1 : Les forces
Section 2 : Les faiblesses et les risques
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : PROPOSITIONS DE SOLUTIONS : RESULTATS ET IMPACTSChapitre 5 : PROPOSITIONS DE SOLUTIONS
Section 1 : Solutions 1 : Amélioration des p
Section 2 : Solution 2
Chapitre 6 : RESULTATS ET LIMITES
Section 1 : Les résultats attendus
Section 2 : Limites
CONCLUSION DE LA PARTIE
CONCLUSION GENERALE
IIILISTE DES ABREVIATIONS
AC : Agent de Crédit
ADA : Appui au Développement Autonome
AR : Ariary
CACDL : Créances Douteuses et Litigieuses
CECAM :
CI : Contrôle Interne
COSO : Committee Of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission CSBF : Commission de Supervision Bancaire et FinancièreDAT : Dépôt à terme
DAV : Dépôt à Vue
FD : Finance Digitale
HB : Hors Bilan
IAASB : International Auditing and Assurance Standards BoardsIMF : Institution de Microfinance
IFAC : International Federation of Accountants
ISA : International Standards on Auditing
OG : Objet de garantie
OTIV : Ombana Tahiry Ifampisamborana Vola
PAR : Portefeuille à risque
RC : Responsable de crédit
TPE : Terminal de Paiement Electronique
UME : Unité Monétaire Electronique
VNI : Valeur Non Imputée
IVLISTE DES TABLEAUX
TABLEAU PAGE
N° 1 : CONTRÔLE CL E AU NIVEAU DU CYCLE CREDIT 22 N°2 : QUESTIONNAIRE DE CONTRÔLE INTERNE : CYCLECREDIT 47
N°3 : TEST DE CONFORMITE DES PROCEDURES
49N°4 : FUITE DES PROMOTEURS 49
N°5 : VENTES DES GARANTIES 50
N°6 : GARANTIES DISPERSEES 50
N°7 : GARANTIES EN MAUVAIS ETAT 51
N°8 : GARANTIES NON PRECISES 51
N°9 : CAS DE PRÊTES NOMS 52
N°10 : NON RENTABILITE DES ACTIVITES 52
N°11 : CAS DE CREDIT DE CAVALERIE 52
N°12 TEST DE PERMANENCE 53
N°13 COMPARAISON ENTRE DU CI AVEC ET SANS LA
FINANCE DIGITALE 71
VLISTE DES FIGURES
FIGURES PAGE
N°1 : OBJECTIF DU CONTRÔLE INTERNE 19
N°2 :
INTERNE 28
N° 3 : FLOW-CHART 30
N°4 : ORGANIGRAMME AU NIVEAU DES AGENCES 36
N° 5 : PROCEDURE AU NIVEAU DU COMITE
41N°6 : PRODECURE AU NIVEAU DU COMITE DE CREDIT 42
N°7 : PROCEDURE DE RECOUVREMENT 45
N°8 : MATERIALISATION EN FLOW-CHART DE LA
PROCEDURE PRE-DECAISSEMENT 64
N°9 : 66
1INTRODUCTION GENERALE
Ddans la société. Plus précisément, il veut y apporter, y matérialiser ses connaissances, par la création de projet, par exemple. Ce désir motivation dite " besoin -accomplissement ». Décrite par Abraham Harold Maslow qui est un psychologue américain des années 50 commedans tous les domaines de la vie. Il a basé ses études sur la motivation, dhiérarchisé les
une pyramide classé en cinq parties1. Cependant, sur le plan économique et financier actuel, la majorité de la population issue des différentes classes sociales doivent faire face au besoin de liquiditétaux de chômage grandissante. Indéniablement, la qualité et niveau de vie se dégradent tant
financièrement que socialement. dont lprunt chez des connaissances comme la famille ou les amis ou les prêts bancaires dansun établissement de crédit. Les établissements de crédit mettent des fonds à la disposition
bénéficiaire sans exiger le remboursement immédiat ; en revanche, celui-rembourser les sommes empruntées à court ou long terme en y additionnant des intérêts ou non.
En effet. Durant cette période,
les commerçants accordaient des crédits aux consommateurs et acheteurs en qui ils avaient accord entre les deux parties : vendeur. Les banques, quant-à-elles, urque vers les XVème siècles. Grâce à ces dernières, les marchands étaient en mesure de circuler
plus sereinement se munir de sommes considérables lors de leurs périples. " crédit » en a résulté.1 BARABEL Michel, MEIER Olivier, TEBOUL Thierry, Les fondamentaux du management, Dunod, Paris, 2008,
Page 45
2Etymologiquement, le mot crédit2 vient du verbe latin " credere », qui signifie " croire ». Et
effectivement, celui qui consent un crédit croit en celui qui le reçoit. Un banquier appelle par
conséquent un crédit toute opération par laquelle, ayant foi en son client, il lui accorde le
concours de ses capitaux. manière générale : " le crédit sonne agissant à titre onéreux m intérêt de celle- cautionnement ou une garantie ».3Ainsi, les activités bancaires ont pris de plus en plus une place importante dans la vie de société
puisque certains pays comme la France imposaient le versement des salaires dans un comptebancaire. De plus, les banques et ces activités se développèrent de façon fulgurante grâce à des
apparition des chèques en France et celles des cartes de crédit vers les années 50.Actuellement, le secteur bancaire est devenu un acteur de premier plan de croissance économique car il est considéré comme une source de financement non seulement pour les ménages et Etat. Les banques collectent les épargnes des ménages et des entreprises pour les mettre à disposition des agents économiques ayant des besoins de financement4. Dans cette optique, elles jouent un rôle macro-économique dans le développement global de pour réaliser leur projet. Ce rôle macro-lus renforcé par la capacité des banques à créer de la monnaie : emprunteur obtient un prêt de celle-ci, la somme ent alors de la monnaie scripturale. Néanmoins, elle se doit tenir compte des demandes de retrait de monnaie sous formes fiduciaires ( banques ou de la Banque Centrale qui est la banque des banques. En effet, ces emprunts deliquidités auprès des autres établissements de crédit ou la Banque Centrale ne sont pas gratuits
car ils entrainent le paiement des intérêts par la banque emprunteuse au taux fixé par la Banque
Centrale " taux directeur ». De ce fait, nous pouvons conclure que les banques jouent un rôle primordial à la vie de la société dont elle est indissociable.2www.Dalloz.fr. Date de consultation : 08/11/2018
3 DOV Ogien , Comptabilité et Audit Bancaire, Dunod, Paris, 2008, Page 474
4 https://www.lafinancepourtous.com/decryptages/marches-financiers/acteurs-de-la-finance/banque/la-
banque-a-quoi-ca-sert/la-gestion-des-moyens-de-paiement/, date de consultation : 05 /02/2019 3 Dans le cas de Madagascar, les banques malgaches proposent les mêmes services que lesbanques étrangères. En effet, ils offrent de nombreuses opportunités à la population afin de
pouvoir y fructifier leur argent mais aussi pour accéder à des financements. Cependant, il existe
des difficultés troi de crédit à la banque primaire est telle s par le FondMonétaire International comme élevé5.
terme, le banquier évalue sasolvabilité qui est sa capacité à rembourser ses dettes contractées en y intégrant les risques de
défaillance auxquels la banque est exposént emprunteur mais également à insupportable se trouve rembourser partiellement ou totalement le crédit sur bonne ou mauvaise foi. De plus, les garanties sont lourdes surtout en ce qui concerne les personnes en difficulté car en cas de non remboursement, les banquiers veulent un retour sur prêt. Bien que les banques offrent plusieurs services, seulement 2% des entrepreneurs ont les moyens pour concrétiser leur projet et propre entreprise6 du fait de leur En conséquence, vers le début des années 90, les Institutions de Microfinance ou IMF sont apparues pour parer aux difficultés de la population de cesMicrofinances s
sans oublier, le Gouvernement qui à travers sa politique, et le concours du financement de la BanqueMondiale en faveur du secteur de ces Institutions, plusieurs projets ont été réalisés pour donner
naissance à certains IMF7. Plus de 75%8 des Malgaches qui sont issus des milieux agricoles, sont considérés comme pauvres, et par conséquent, exclus du système bancaire. Les Institutions de Microfinance ontdeux finalités : premièrement, les petits producteurs ruraux ou urbains doivent avoir accès aux
services bancaires de proximité dont les prêts bancaires de faibles montants. Deuxièmement,5http://www.matin.mg/?p=23300; date de consultation : 11/11/2018
6https://www.madagascar-tribune.com/2-seulement-des-jeunes-se-lancent,20467.html; date de consultation :
15/11/2018
7 https://www.microworld.org/fr/news-from-the-field/article/Microfinance -Madagascar-levier-pour-affronter-
crise, date de consultation : 05/02/20188 Selon le site ministère de l'agriculture, 2016
4 grâce à ces IMFréinjecter dans le circuit économique se fait jusque dans les milieux reculés de Madagascar.
Par ailleurs, ces IMF doivent suivre les instructions du gendarme des banques ou la Commission de Supervision Bancaire et Financière comme quoi, leur structure en charge de la gouvernance doit désigner un commissaire au compte qui sera chargé les comptes de à la de celle-ci .En effet,
ssurer que les budgets ont été respectésont pas peur s et les investisseurs soient sûrs que les fonds ou matériels octroyés ont été utilisés de manière efficace ces tiers ont soumis les Institutions de audit évaluer le système de contrôle interne. Ainsi, la question est de savoir : " C externe va-t-il participer soit efficace au sein ? » : " Evaluation du système de contrôle interne au Microfinance : Maitrise des risques cycle crédit ». es : - Le système de contrôle interne permet de maitriser les risques de crédit ; de Microfinance .Pour cela, à la fin de ce mémoire, nous pouvons affirmer que le contrôle interne a trois objectifs
spécifiques dont : différents risques de crédit par des contrôles et desquotesdbs_dbs23.pdfusesText_29[PDF] Communiquance - Jean-Luc MICHEL
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