Etat des lieux de la régularisation de séjour
9 déc. 2011 Instruction du 26 mars 2009 relative à l'application de l'ancien article 9.3 et de l'article 9bis de la loi du 15 décembre.
VADEMECUM FR _2_ - 21 9 9
Précisions relatives à l'application de l'instruction du 19 juillet 2009 concernant article 9 alinéa 3 et de l'article 9bis de la loi sur les étrangers.
Instruction relative à lapplication de lancien article 9 alinéa 3 et de l
26 mars 2009 l'ancien article 9 alinéa 3 ou de l'article 9bis de la loi. Pour rappel
Article 9bis de la loi « Lors de circonstances exceptionnelles » une
On ne sait pas encore comment le nouveau secrétaire d'Etat à l'Asile et la Migration et l'Office des étrangers vont remplir cette nouvelle obligation. L'accord
Bulletin officiel Santé - Protection sociale - Solidarité n° 2022/8 du
31 mars 2022 INSTRUCTION N° DGCS/SD1C/2022/23 du 1er janvier 2022 relative à la mise en œuvre ... l'article L. 1131-3 du code de la santé publique.
n° 272 533 du 10 mai 2022 dans laffaire X / III En cause : X Ayant
il y a 7 jours ... la Loi et de l'instruction du. 19 juillet 2009 relative à l'application de l'ancien article 9 alinéa 3
RÈGLEMENT DU SENAT ET INSTRUCTION GENERALE DU
1 juil. 2021 Loi n° 2010-838 du 23 juillet 2010 relative à l'application du ... des articles 44 (alinéa 3) et 45 (alinéas 1er et 2) du Règlement du Sénat ...
Règlement édition juillet 2016 (22-07-2016)
31 janv. 2015 DES ASSEMBLÉES PARLEMENTAIRES. ______. LOI ORGANIQUE N° 2009-403 DU 15 AVRIL 2009. RELATIVE À L'APPLICATION DES ARTICLES 34-1 39 ET 44.
Bulletin officiel Santé - Protection sociale - Solidarité n° 2022/9 du
15 avr. 2022 Vu l'instruction DGFIP du 9 mars 2021 relative à l'application de la ... Le II de l'article 9 bis de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 ...
n° 187 478 du 23 mai 2017 dans laffaire X / I En cause : X Ayant élu
concernant l'application de l'article 9.3 (ancien) et de l'article 9bis de la des articles 2 et 3 de la loi du 29 juillet 1991 relative à la motivation ...
INSTRUCTIONN° DGEFP/SDPAE/MIP/2021/212 du 19 octobre 2021
La ministre déléguée auprès de la ministre du travail de l’emploi et de l’insertion chargée de l’insertion à Mesdames et Messieurs les préfets de région Copie à : Monsieur le haut-commissaire à l’emploi et à l’engagement des entreprises Mesdames et Messieurs les préfets de département Mesdames et Messieurs les
A Lisez le point 1 C D E - Unia
Précisions relatives à l’application de l’instruction du 19 juillet 2009 concernant l’application de l’ancien article 9 alinéa 3 et de l’article 9bis de la loi sur les étrangers Introduction Les précisions contenues dans ce vade-mecum ont pour objectif d’aider à comprendre les différents éléments contenus dans l
newsletter - cirebe
juillet 2009 relative à l’application de l’ancien article 93 et de l’article 9 bis de la loi sur les étrangers De nombreuses procédures doivent encore être ?xées Information sur l’instruction-vademecum Le cabinet travaille actuellement sur deux instruments: un instrument didactique (un vademecum ou un FAQ qui
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n° 272 533 du 10 mai 2022X / III
En cause : X
Ayant élu domicile : au cabinet de Maître H. VAN VRECKOMAvenue Adolphe Lacomblé 59-61/5
1030 SCHAERBEEK
Contre :
l'Etat belge, représenté par la Ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, et de l'Asile et la Migration et désormais par leSecrétaire d'Etat à l'Asile et la Migration
LA PRÉSIDENTE F.F. DE LA IIIème CHAMBRE,
Vu la requête introduite le 20 mars 2019, par Madame X, qui déclare être de nationalité marocaine, tendant à la suspension et " décision déclarant recevable, mais non-fondée une demande de séjour introduite sur pied de l'article 9ter de la loi du 15décembre 1980 sur l'accès au territoire, le séjour, l'établissement et l'éloignement des
étrangers, prise le 15.01.2019, et notifiée le 22.02.2019 ainsi que de l'ordre de quitter leterritoire avec un délai de trente jours qui l'accompagne, pris et notifié le même jour ».
Vu le titre Ier bis, chapitre 2, section IV, sous-section 2, de la loi du 15 décembre 1980 sur , ci-après la Loi. s et le dossier administratif.265.635 du 16 décembre 2021.
Vu l24 mars 2022 convoquant les parties 19 avril 2022. Entendue, en son rapport, Mme M.-L. YA MUTWALE, juge au contentieux des étrangers. Entendus, en leurs observations, Me L. TRIGAUX loco Me H. VAN VRECKOM, avocat, qui comparaît pour la partie requérante, et Me K. DE HAES loco Me E. DERRIKS, avocat, qui comparaît pour la partie défenderesse.CCE X - Page 2
1. Faits pertinents de la cause
1.1. La requérante est arrivée en Belgique à une date que le dossier administratif ne
permet pas de déterminer avec certitude.1.2. En date du 8 avril 2005, elle
sur ien article 9, alinéa 3, de la L communale deKoekelberg, laquelle a fait
négative.1.3. Par un courrier daté du 6 novembre 2009, elle
de séjour de plus de trois mois sur la bis de la Lo19 juillet 2009 bis de la
loi.Le 15 septembre 2011,
prise le 6 janvier 2012. La requérante a introduit un recours contre cette décision devant le Conseil du contentieux des étrangers (ci-après le Conseil) qui a constaté lepar un arrêt n°81.051 du 11 mai 2012, la décision querellée ayant par ailleurs été retirée
le 12 mars 2012.1.4. Le 13 mars 2012, la partie défenderesse a pris u
ordre de quitter plus de trois mois introduite le bis de la loi. La requérante a introduit, selon la procédure de16 novembre 2017. La requérante a également introduit un recours en annulation contre
cette décision devan arrêt n°201.201 du 16 mars 2018.1.5 police, la requérante a été interpellée dans une boulangerie où elle travaillait le 10 novembre 2017. Le même jour, un ordre de quitter le septies) a
été pris à son encontre par la partie défenderesse. Par un arrêt n°195.157 du 16
novembre 2016, le Conseil a rejeté la demande en suspension de ces actes introduitePar un arrêt n°201.202 du 16 mars 2018, le
date du 6 mars 2018.CCE X - Page 3
a déclaré cette demande non-fondée et a pris un ordre de quitter le territoire. Le 14
décembre 2018, la partie défenderesse a retiré ces décisions.1.9. Le 15 janvier 2019, la partie défenderesse a pris une nouvelle décision déclarant la
demande 9ter sions constituent les actes attaqués et sont motivées comme suit : " Suite à la demande d'autorisation de séjour introduite par courrier recommandé le18.05.2018 auprès de nos services par:
en application de l'article 9ter de la loi du 15 décembre 1980 sur l'accès au territoire, le de la loi du 29 décembre 2010 portant des dispositions diverses, je vous informe que cette demande est recevable, mais non-fondée.Motif (s) :
de séjour conformément à l'article 9 ter de la loi du 15 décembre 1980 sur l'accès auterritoire, le séjour, l'établissement et l'éloignement des étrangers, comme remplacé par
l'article 187 de la loi du 29 Décembre 2010 portant des dispositions diverses.Madame C., A.
Dans son avis médical remis le 09.01.2019, (joint en annexe de la présente décision le dossier médical fourni ne permet pas réel pour sa vie ou son intégrité physique vu que les soins médicaux requis existent auDu poi
le traitement est disponible et accessible au Maroc. ntre- (le Maroc).Dès lors,
entraîne un risque réel pour sa vie ou son intégrité physique ouCCE X - Page 4
connaît un déficit au niveau de personnel soignant, et où la corruption est très
entre autres, sur un article de la revue Economiste, e janvier 2016. requérante ne démontre pas que la situation individuelle de sa cliente est comparable en son allégation de sorte que ces arguments ne peuvent être retenus (CCE n°23.771 du 26.02.2009). -Uni, 30 octobre 1991, §111) et que, lorsque les sources dont il/elle dispose décrivent une situation générale,
espèce doivent être ments de preuve (voir: CEDH 4 décembre 2008,Y./Russie, § 9; CEDH 28 février 2008, Saadi/Italie, § 131; CEDH 4 février 2005,
Mamatkulov en Askarov/Turquie, § 73; CEDH 26 avril 2005, Müslim/Turquie, § 68).Arrêt n° 74 290 du 31 janvier 2012).
mai 1997, §38). lesdites disparités en fournissant des soins de santé gratuits et illimités à tous les étrangers dépourvus du droit de demeurer sur son territoire (Cfr. Cour Eur. D.H., arrêtN.c. c. Royaume-Unis, § 44, www.echr.coe.int).
Les soins sont donc accessibles et disponibles au Maroc. e de droit au séjour ». Registre National afin de réaliser la radiation pour perte de droit au séjour. ». " tter le territoire est délivré en application de l'article suivant de la loi du des étrangers et sur la base des faits suivants: er, 1° de la loi du 15 décembre 1980, elle demeure dans valable ».1.10. Le 13
CCE X - Page 5
prolo19 septembre 2022.2. Objet du recours
2.1. temporaire octroyée à la requérante . 2.2. autorisation implicitement, mais certainement retiré, par la partie défenderesse. Il en résulte que le recours est devenu sans objet et est, partant, irrecevable en ce qui3. Exposé du
3.1. La partie requérante prend un moyen unique de " l'erreur manifeste d'appréciation et
de la violation : - des articles 9ter, 62 et 74/13 de la loi du 15 décembre 1980 sur l'accès au territoire, le séjour, l'établissement et l'éloignement des étrangers ; - l'article 3 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme (ci-après, " CEDH ») et les articles 1 à 4 de la Charte des droits fondamentaux de l'UnionEuropéenne (ci-après, " la Charte ») ;
- des obligations de motivation prévues par l'article 62 de la loi du 15 décembre1980 sur l'accès au territoire, le séjour, l'établissement et l'éloignement des
étrangers et les articles 2 et 3 de la loi du 29 juillet 1991 relative à la motivation formelle des actes administratifs ; - du principe de bonne administration, en ce compris le devoir de minutie et les droits de la défense ». 3égard une nouvelle attestation du médecin-
de la dépression nerveuse et " vu le risque de faire une décompensation sévère avec troubles du comportement pendant le voyage », voyager.3.3. Dans une deuxième branche, en ce qui concerne la question de la disponibilité des
soins requis, elle soutient que la motivation est insuffisante dans la mesure où " la
décision se réfère à l'avis d'un médecin qui lui-même renvoie à des " BMA », sans que la
teneur de ces sources ne soit reprise dans la motivation, et sans qu'elles n'aient été
communiquées au plus tard avec la notification de la décision ». Elle précise que " Les références exactes des sources ainsi que leur date de consultation ou encore la signification de " BMA » ne sont pas reprises dans l'avis du médecin ce qui rend la vérification de l'origine, du contenu et de l'actualité des sources qui affirment la disponibilité des soins impossible constitutionnelle n°74/2014 du 8 mai 2014 et conclut que " De simples références " BMA » sans aucune autre explication ne permet pas à la requérante de comprendre les motifs qui fonde la décision. Celle-ci doit par conséquence être annulée ».CCE X - Page 6
3.4. Dans une troisième branche, elle revient sur la localisation précise des soins requis.
Elle note que la partie défenderesse indique que les soins sont disponibles " à Rabat, sans justifier ce choix et indique, sans autre preuve, que ces soins et suivis sontdisponibles à Casablanca ou à Marrakech ». Elle rappelle que la requérante est originaire
d km de ces exemples et estime dès lors que la partie ntré la disponibilité des soins requis. Elle se réfère à cet ter au disponible pour la partie requérante dans sa région d'origine et de simples références " BMA » sans aucune autre explication, ne suffisent pas en l'espèce ».3.5. Dans une quatrième branche, elle revient sur des soins requis et
soutient que la motivation à cet égard est inadéquate et insuffisante en ce que la partie comparable à la s explique que la requérante avait bien " étayé sa position qui est d'ailleurs reprise dansdeux paragraphes entiers de la décision (§§ 1 et 2, page 3) » et relève que " La partie
adverse reproche à la partie requérante ce qu'elle n'arrive pas elle-même à faire, à savoir
individualiser la décision prise à l'égard de la requérante ». Elle soutient que les
informations générales ont été transposées à la situation précise de la requérante, tenant
compte de son âge et de sa pathologie. Elle déclare que la requérante " doit faire face au sous-équipement des infrastructures hospitalières et du couts élevés (sic.) des soins desanté ». Elle soutient que si les informations sont générales, elles " n'en sont pas moins
pertinentes pour l'analyse du cas d'espèce ». Elle invoque à cet égard plusieurs arrêts du
Conseil et soutient que " les informations sur la situation générale prévalant au Maroc telles qu'individualisées dans la demande doivent être prises en considération, quod non en l'espèce " En refusant de prendre en compte les élémentssusmentionnés au motif qu'ils découlent d'informations " générales », " objectives », alors
qu'ils sont de nature à informer utilement sur la situation qui sera celle de la requérante en cas de retour dans son pays d'origine, la partie adverse n'a pas analysé avec minutie tousles documents soumis à son appréciation et ne fonde la décision querellée sur une
motivation adéquate. ». Elle ajoute enfin que " La motivation est même contradictoire, carla partie défenderesse, qui rejette les informations générales présentées par la
requérante, se réfère elle-même à des " informations générales », datées en outre, pour
fonder son analyse : en cela, il convient de constater qu'elle se contredit sur la pertinence des informations générales ». 3 des soins requis est contradictoire " en ce que, tout en reconnaissant que la requérante ne pourrait bénéficier de l'AMO, la partie adverse s'étend sur le fonctionnement de cette assurance ». Elle précise également que " les chiffres et budgets exposés par la partie adverse dans les §5 de la page 3 et §1 de la page 4 ne sont pas de nature à démontrer que le RAMED est accessible pour la requérante. La partie adverse n'a pas exposé les conditions d'accès au RAMED, les démarches à suivre, les bureaux auxquels s'inscrire niquelles (sic.) sont les hôpitaux ou institutions affiliés. Les budgets alloués par l'Etat pour le
RAMED sont des informations générales (cfr. Quatrième branche) et ne démontrent pasune accessibilité concrète des soins pour la requérante. ». Elle rappelle avoir invoqué un
à la partie défenderesse de ne pas y
avoir répondu. Elle indique que " les informations utilisées par la partie adverse datent de2016 et qu'elles ne sont dès lors pas à jour ». Elle termine en se référant à un article de
CCE X - Page 7
presse pour pointer les anomalies3.7. Dans une sixième branche, elle note que le médecin-conseil soutient que la famille
par ses relations au Maroc. Elle rappelle à cet égard que la requérante a quitté le Maroc il
aide également ne pas comprendre comme la partie disposent pas de titre de séjour au Maroc.3.8. Dans une septième branche, elle précise que " La motivation de la décision de refus
de séjour est inadéquate et méconnait les termes de l'article 9ter puisque les critèresutilisés pour l'analyse de la disponibilité des soins et de la possibilité pour la requérante
d'être prise en charge médicalement au Maroc est fondée sur la grille d'analyse relative à
l'article 3 CEDH et non celle qui prévaut pour l'article 9ter. Le médecin conseil se réfère
dans l'analyse de la disponibilité des soins à la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l'Homme, et notamment aux arrêts N. c. R-U et Bensaid c. R-U. Il fait de mêmequotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] ÉDITO L EFFICACITÉ, Faites de vos écrits un atout! pour mieux faire passer vos messages!
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