III. Loeuvre de Michel-Ange Bataille des Centaures sculpture en bas
L'oeuvre de Michel-Ange. Bataille des Centaures sculpture en bas-relief sur marbre 845 cm × 90
CP Louvre_ 24H avec Michel Ange
marbre apparait dès la Bataille de centaures grand haut-relief
Dans les ateliers des artistes : dessins et techniques chez
Bertoldo di Giovanni Bataille
Fonds darchives Rachel Stella / Archives audiovisuelles
Une sculpture de Michel-Ange aurait été découverte par Katia Brandt historienne de l'art l'œuvre de jeunesse de Michel-Ange La bataille des centaures
Luniversalité culturelle de LÂge dOr de José Marti à travers ses
Michel Ange. Cuitláhuac Bataille des Centaures / Michel-Ange. La Bataille de Cascina / Michel-Ange*. La Chapelle Sixtine / Michel-Ange.
MICHEL-ANGE 1475-1564
Aborder l'œuvre de Michel-Ange c'est rencontrer un art placé sous le signe antique comme dans le relief de la Bataille des centaures (casa Buonarroti).
La galerie François Ier
Michel-Ange le Rosso avait commencé une carrière à Rome
Per forza di levare : matière et création dans la sculpture de Michel
10 déc. 2018 Rappelons que les premières sculptures de Michel-. Ange étaient des reliefs comme celui
« Le plein… »
une scène de bataille entre Romains et barbares. Michel-Ange semble avoir été inspiré par ces exemples pour sa jeune Bataille · des Centaures (1492).
Thème 2 : XVème-XVIème siècle : un nouveau rapport au monde
1503 : le nouveau pape Jules II confie à Michel-Ange l'édification de son tombeau Centaures non représentés comme des êtres mi-hommes mi-chevaux mais ...
Bataille des Centaures (Michel-Ange) - Wikipédia
La Bataille des Centaures est la deuxième pièce en bas-relief connue sculptée par Michel-Ange Elle a été ciselée dans du marbre de Carrare pour Laurent de
[PDF] MICHEL-ANGE 1475-1564
Dans la Bataille des centaures 1492 dont le sujet lui aurait été suggéré par Politien Michel-Ange fond et interprète avec une aisance surprenante divers
Michel-Ange lesclave de la chapelle Sixtine - Cairn
MICHEL-ANGE L'ESCLAVE DE LA CHAPELLE SIXTINE Fig 4 Michel-Ange Bataille des centaures 1490-1492 sculpture sur marbre 805 × 88 cm Florence
[PDF] Vie de Michel Ange
(i) Le Combat des Centaures et des Lapithes est à la casa Buonar rôti de Florence Bataille d'Anghiari (2) En août iSo/î Michel-Ange reçut la com-
Bataille des Centaures - Encyclopédie Boowiki
La bataille des Centaures ou Centauromachia est un haut-relief en marbre de Michel-Ange Buonarroti datée à environ 1492 et conservés dans la Casa
Per forza di levare : matière et création dans la sculpture de Michel
10 déc 2018 · Rappelons que les premières sculptures de Michel-Ange étaient des reliefs comme celui inachevé de la Bataille des centaures : les
[PDF] la pensée ornementale de Michel-Ange - OpenEdition Journals
5 sept 2012 · d'histoire ce qu'il avait déjà prouvé dans les premières sculptures florentines (Bataille des Centaures Florence Casa Buonarroti) et
Bataille des Centaures (Michel-Ange) - Wikiwand
La Bataille des Centaures est la deuxième pièce en bas-relief connue sculptée par Michel-Ange Elle a été ciselée dans du marbre de Carrare pour Laurent de
[PDF] CP Louvre_ 24H avec Michel Ange
Sa maîtrise exceptionnelle du travail du marbre apparait dès la Bataille de centaures grand haut-relief et trouve un premier aboutissement dans la célèbre
Sculpture de Michel-Ange
Léonard de Vinci
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INHA-Collection Archives de la critique d'art 1
Fonds d'archives Rachel Stella / Archives audiovisuellesINHA-Collection Archives de la critique d'art
UN MICHEL-ANGE SUR LA 5e AVENUE - Pierre Aubry
Titre : " Un Michel-Ange sur la 5ème Avenue »Langue : eng, fre
Éditeur : TIP-TV-On line production [Producteur]Année : 1996
Description matérielle : 1 VHS (15 min), coul., sonore (Enregistrement de l'émission Métropolis)
Notes : Bon étatNotes de contenu :
Une sculpture de Michel-Ange aurait été découverte par Katia Brandt, historienne de l'art sur la 5ème
Avenue à New York, dans les locaux du Consulat de France, en 1996.Le reportage, sous-titré en français, a été diffusé dans le cadre de l'émission Métropolis. Il est construit
en six parties : quatre interviews de Katia Brandt et deux interviews de Philippe de Montebello, directeur du Metropolitan Museum of Arts de New York, auxquelles sont alternées des prises de vue commentées par une voix-off féminine qui précise certaines informations sur le sujet.Dans la première partie, Katia Brandt
évoque sa découverte inopinée de la sculpture et les recherches qu'elle mène pour aboutir à la conclusion qu'il s'agit certainement d'un Michel -Ange porté disparu enEurope au début du siècle.
L'étude historique démontre que la sculpture a été acquise parStanford White (1853-1906), architecte
du bâtiment du 972, 5th Avenue, construit pour Helen Hay à l'occasion de son mariage avec Payne
Whitney et que l'architecte était en Italie en 1904 car il faisait de nombreuses acquisitions en Europe
pour meubler les résidences des riches New-Yorkais.La deuxième partie de l'interview de Katia Brandt relate ses recherches sur ce cupidon porté disparu au
début du 20ème siècle.Il faisait partie de la collection de Stefano Bardini (1836-1922) qui a mis la statue en vente chez Christie's
(et déjà attribuée à Michel-Ange) mais il l'a reprise, faute d'enchère acceptable. Il l'a vendue deux ans
plus tard au titre " d'antique récemment exhumé ». La statue arrive à New York, où Stanford White en fait une décoration de fontaine.À ce moment, la voix-off commente des vues anciennes de la résidence et du catalogue de vente de
1946. En effet, au décès d'Helen Hay Whitney, l'ensemble du contenu est vendu aux enchères au profit
d'une oeuvre caritative " jusqu'aux boutons de portes ». Cependant, le cupidon reste en place dans la
rotonde et n'apparait ni au catalogue, ni sur l'acte de vente du bâtiment en 1952 au ministère français
des affaires étrangères. La troisième partie de l'interview de Katia Brandt porte sur ses interrogations à propos de la statue qui lui fait penser à une statue du 15ème siècle. Les images et la voix off retracent la vie de Michel-Ange en Italie, d'abord apprenti sculpteur chezBertoldo Di Giovanni, puis peintre auprès de Ghirlandaio, mais déjà protégé par le mécène Laurent de
Médicis.
Katia Brandt revient à l'image et évoque son étonnement devant cette intuition qui l'a poussée à
approfondir ses recherches sur l'origine de cette statue et le rapprochement qu'elle en a fait avecl'oeuvre de jeunesse de Michel-Ange La bataille des centaures, inspirée à l'artiste par Politien, poète et
humaniste contemporain de l'artiste.La quatrième partie est une interview de Philippe de Montebello. Il évoque son intérêt devant la
nouvelle de la découverte de l'auteur de la statue. Il ajoute que s'il s'agit bien d'un Michel-Ange, l'oeuvre
devra rejoindre un musée américain.La voix off reprend et l'on voit des images d'une tribune où sont assises trois femmes, dont Katia Brandt
et deux hommes qui sont Michael Hirst, anglais, spécialiste de Michel Ange et James David Draper, du
Metropolitan Museum de New York, spécialiste américain de Bertoldo.INHA-Collection Archives de la critique d'art 2
Hirst attribue la statue à Bertoldo, tandis que Draper la définit comme une oeuvre de jeunesse de
Michel-Ange. Il est précisé que Jean-René Gaborit, du Louvres, attend davantage d'informations pour
se prononcer. La voix -off évoque l'état de dégradation de la sculpture.La cinquième partie redonne la parole à Katia Brandt, qui détaille les ressemblances de la statue avec
les oeuvres de Michel-Ange (dont La Madone de Manchester), elle évoque l'influence de Donatello sur
l'artiste et elle dit que Politien est peut-être encore une fois l'inspirateur de cette statue.La sixième partie est la suite de l'interview de Philippe de Montebello, qui précise l'importance pour la
ville de New York de l'immeuble du 972, 5th Avenue, à titre historique et architectural. Il ne se déclare
pas qualifié pour établir la propriété de la statue, point qui selon lui devra être attesté par les
professionnels du droit. Il rép ète que s'il est avéré qu'il s'agit bien d'un Michel-Ange, la statue devra être replacée dans un musée.La voix-off reprend et commente des vues de la statue. Elle interroge : Est-ce un cupidon, un apollon
ou un hercule ? Pourquoi ce carquois en forme de patte de lion ? Est-ce le symbole du triomphe del'amour sur la force ? Elle conclut que, quoi qu'il en soit, et qu'elle soit de Michel-Ange, de Bertoldo ou
d'un autre artiste, depuis sa redécouverte, elle attise la curiosité des passants qui tentent de
l'apercevoir et mérite le regard et l'histoire que l'on bâtit à son propos.Description - indexation matière :
Bardini Stefano
- Bertoldo Di Giovanni - Brandt Katia - Donatello - Draper James David - États Unis -Florence - Ghirlandaio - Hirst Michaël - Laurent de Médicis - Michel-Ange - Montebello (de) Philippe -
New-York - Politien - Renaissance - Sculpture - Weil-Garris Brandt Kathleen - White StanfordAuteur principal
: Pierre AubryCote : RSTEL.V1996.001
INHA-Collection Archives de la critique d'art 3
FRANK STELLA - Rachel Stella-Aubry
Titre : Frank Stella [Heinrich Von Kleist by Frank Stella]Langue : eng, fre
Éditeur : TIP-TV/On Line Production [Producteur]Année de production
: 2001 Description matérielle : 1 VHS (15 min), coul., sonoreNotes de contenu :
Ce film sur Frank Stella est réalisé à l'occasion de l'exposition Heinrich Von Kleist by Frank Stella à
l'Université d'Iéna près de Leipzig du 27 mars au 4 juin 2001.Il commence par les images du discours d'accueil, de remerciements et de présentation, prononcé
durant le vernissage. Un voix off masculine précise que le documentaire a été réalisé pour Métropolis.
C'est Rebekah [fille de Rachel Stella et de Pierre Aubry], sa petite -fille de 11 ans, qui va interroger son grand-père sur son travail.La voix off est e
nsuite celle de l'enfant, qui parle de la célébrité de son grand-père et précise qu'il vient
d'être nommé docteur honoris causa pour son travail artistique. Rebekah évoque Heinrich Von Kleist
comme un grand écrivain romantique allemand dont les personnages meurent tristement, mais samère et son grand-père lui ont précisé que Frank Stella s'est intéressé au thème de l'honneur à travers
l'oeuvre.L'échange entre le peintre et sa petite fille se fait devant plusieurs oeuvres : le tableau inspiré de Die
Verlobung in Santo Domingo (Fiançailles à Saint Domingue) puis des sculptures.Frank Stella décrit sa démarche artistique et technique, Rebekah traduit les propos de son grand-père,
il compose ses tableaux à partir de collages de ce qu'il trouve dans son atelier, notamment des chutesd'estampes. Les compositions sont ensuite envoyées à Toronto, où les motifs sont reproduits sur la
toile.Il décrit ensuite la composition d'une sculpture, où des ronds de fumées ont été reproduits en relief par
ordinateur.L'échange se poursuit devant plusieurs sculptures de petit format et il explique qu'il peut exprimer une
même idée par différentes formes, sans préciser davantage son propos, en riant devant l'air ébahi de
l'enfant. Les vues suivantes sont prises en extérieur, Frank Stella a expliqué à Rebekah que les sculptures présentées font partie de la série Hudson River Valley.Durant la dernière partie, Frank Stella signe des affiches et monologue sur sa recherche artistique, les
vues sont entrecoupées d'images des oeuvres exposées, sculptures et peintures. En parallèle, Stella
évoque le travail de composition de Picasso, et parle de la peinture abstraite. Une voix off féminine précise les dates de l'exposition, à Iéna, Stuttgart et Berlin.L'enregistrement se termine directement
, sans générique.Description - indexation matière :
Abstraction - collage - Hudson River Valley - Picasso - sculpture - Stella Frank - Von Kleist Heinrich
Auteur principal
: Rachel StellaCote : RSTEL.V2001.002
INHA-Collection Archives de la critique d'art 4
CASABLANCA - Rachel Stella
Titre : " Casablanca »
Langue : fre
Éditeur : TIP-TV/On Line Production [Producteur]Date d'édition : 2002
Description matérielle : 1 VHS (16 min), coul., sonore (Enregistrement de l'émission Métropolis)
Notes de contenu :
Documentaire sur le festival de
la sauvegarde du patrimoine de Casablanca qui a eu lieu en juillet 2002à Casablanca. La vidéo commence par une interview de Rachid Andaloussi, architecte et président de
l'association " Casa-Mémoire ».Il évoque l'histoire de la ville, l'influence française et européenne sur son architecture durant le
protectorat [1912-1956], et l'action de Lyautey [résident général de France au Maroc de 1912 à 1916 puis
de 1917 à 1925] : sur la ville à travers l'urbanisme et sur le pays, avec la création de l'axe Kenitra-El Jadida,
qui a ouvert le pays vers l'Atlantique. Rachid Andaloussi rappelle que Lyautey a aussi créé le port de
Casablanca qui a permis à la ville de se positionner commercialement au niveau mondial dès les années
1920.Pour lui, c'est la création de la
première horloge publique, place Mohamed V, qui a symboliquementplacé le Maroc à l'heure mondiale. Il rappelle les innovations architecturales de la ville avec la création
du style " paquebot ».La seconde partie du documentaire est un échange entre l'écrivain Jamal Boushara et l'architecte
Jacqueline Alluchon. Ils conviennent que le style architectural " cubique » a été créé en Afrique du Nord,
à Alger et Casablanca, favorisé par les contrastes de couleur des bâtiments blancs, ils répètent
l'expression " Casablanca, ville en blanc et noir ». Ils ont ensuite une discussion sur les lieux culturels de Casablanca, les ciné -théâtre (music-hall) et sur l'ancien vélodrome, devenu cynodrome.La troisième partie est une interview de Driss Benhima, gouverneur de Casablanca, qui évoque les
rapports difficiles de la ville avec ses habitants. Il souhaite que ce festival leur permette de porter un
regard de fierté sur cette architecture. Le documentaire se termine par la recommandation de deux ouvrages sur Casablanca : Casablanca : Mythes et figures d'une aventure urbaine, et Casablanca, portrait de ville par Jean-Louis Cohen etMonique Eleb.
Les interviews sont entrecoupées de prises de vue de la ville, accompagnées d'une voix off qui rappelle
des évènements importants ou décrit les images filmées : les travaux en cours [quartier Anfa, ancienneéglise du Sacré
-Coeur], les échanges entre invités du festival durant un déjeuner sur un chantier enplein air près d'ouvriers ; Certains bâtiments sont filmés en contre-plongée, on peut observer le
contraste entre l'état de délabrement de certains immeubles populaires et l'état de conservation des
immeubles officiels [le palais de justice].Description - indexation matière :
Afrique du Nord
- Alluchon Jacqueline - Andaloussi Rachid - Architecture - Boushara Jamal -Casablanca - Lyautey - Maroc
Auteur principal
: Rachel StellaCote : RSTEL.V2002.003
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