Règlement fixant le statut des membres du corps enseignant
a) par des maîtresses et maîtres d'enseignement général titulaires d'un grade 4 Une fiche d'engagement annuel précise
Promouvoir lactivité physique et sportive pour tous et tout au long
l'école le sport est un facteur de réussite scolaire. jeune
Docu 40701 p.1 - Décret réglementant les titres et fonctions dans l
10?/10?/2014 A partir de l'année scolaire 2016-2017 et en vue de ... l'enseignement de promotion sociale les conditions auxquelles les porteurs.
Mémento 2015-2016
30?/06?/2018 Etablissement scolaire. Grand-Saconnex-Village/Place/Pregny-Chambésy. Mémento 2017-2018. Ecoles de Valérie et de la Fontaine. Ecole de ...
RD 1206 - Rapport dactivité de la Commission de contrôle de
30?/01?/2018 Office médicopédagogique – Direction pédagogique . ... contrôle de gestion établit chaque année son rapport d'activité qu'elle adresse.
MAI 2015 GC 143
01?/05?/2015 Ce dernier est actuellement en consultation et sera prescriptif dès la prochaine rentrée scolaire. En collaboration avec la DGEO le. Service de ...
Audio-description : une situation pédagogique au service du
au cours de l'année scolaire 2015/2016. l'engagement des élèves en situation de handicap dans un projet tel qu'il a été conduit l'année scolaire ...
Mémento 2015-2016
07?/10?/2020 Ecoles de Pregny-Valérie et de Pregny-Fontaine ... Bienvenue dans l'établissement scolaire ! ... Office médico-pédagogique (OMP) .
Évaluation du fonctionnement en dispositif intégré des instituts
médical le recours à des techniques non exclusivement pédagogiques : modalité de scolarisation au cours de l'année scolaire 2015-2016. Si la tendance.
de léducation nationale et de lenseignement supérieur
15?/10?/2008 pour l'accueil des élèves en situation de handicap . ... Quelques académies ont expérimenté l'an passé (année scolaire 2015-2016) la mise en.
Conditions d'engagement des maîtresses et maîtres de
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'instruction publique de la culture et du sport Direction générale de l'enseignement obligatoire - DGEO Service des ressources humaines EP Version MDAS Modifiée : 06 01 2014 Conditions d'engagement des maîtresses et maîtres de disciplines artistiques
![MAI 2015 GC 143 MAI 2015 GC 143](https://pdfprof.com/Listes/20/6783-20GC143_TexteCE.pdf.pdf.jpg)
MAI2015 GC143
RÉPONSEDU CONSEILD'ETAT
auxobservations delaCommission degestion- Année20141RAPPORT GÉNÉRAL
1èreobservation
Chancellerie- PPDI-Suivi desdécisionsen regarddela loisurla protectiondesdonnées personnelles(LPrD)
LaLPrD prévoitl'octroide moyensaupréposé àlaprotection desdonnéeset àl'informationdans le
cadrede sestaches(art. 38LPrD).Il s'agitd'accéderà desdonnées,de rendredespréavis etde demanderde restreindreoucesser immédiatementletraitement dedonnéespersonnelles. Or,ils'avèreque laloine prévoitpasde suividesdécisions, notammentlorsqu'ellesne sontpasappliquées.
-LeConseil d'Etatestprié derenseignerle GrandConseilsur lesréflexionsqu'il entendmenersurl'applicabilitéde laLPrDet surl'évaluationde cettedernière,5 ansaprèsson entréeenvigueur. Il
s'agitnotamment d'évaluerlesmoyens desuivides décisionsdupréposé.Réponsedu Conseild'Etat
LeConseil d'Etatprévoitde transmettred'icila findel'année auGrandConseil unrapportprésentant
lebilan del'applicationde laLPrD,inclus dansunexposé desmotifsà l'appuidela révisiondecette dernière.Le GrandConseilaura doncl'occasiond'examiner cebilanet, plusencore,de prendre connaissancedes enjeuximportantset desperspectivescaractérisant ledomainecomplexe dela protectiondes donnéesdurantles annéesàvenir, àl'aunenotamment desnouvellesexigences auxquellesla Confédérationetles cantonspeuvents'attendre enapplicationdes engagementssouscrits dedroit international.LeConseil d'Etatpréciseen effetquela Conventiondu Conseildel'Europedu28 janvier1981pour laprotectiondes personnesàl'égard dutraitementautomatisé desdonnéesà
caractèrepersonnel -quiest contraignante-esten coursderévision etpourraitnécessiter derevoiren
profondeurles législationsfédéraleet cantonalesàl'horizon despremièresannées delalégislature2017-2022, notammentence quitouchela natureetl'étendue despouvoirsdes autoritésen
chargede surveillerlerespect desrèglesen lamatière. Ainsi,la loicantonaleest appeléeàse modifiercesprochaines annéesvraisemblablementen deuxétapes,une premièrefoislors delaprésente législaturepourapporter auxdispositionsactuelles
certainscorrectifs enlienavec lebilanprécité, puisensuiteen fonctiondel'évolution dudroiteuropéen,marquée parunrenforcement delaprotection desdonnéeset desprérogativesdes autorités
compétentes.Sansattendre ceséchéanceset laprésentationdu bilanaccompagnantla premièrerévisionde laloià
venir,le Conseild'Etatfait partci-dessousd'une analyseintermédiairede lasituationqui faitéchoaux
constatsde laCommissionde gestion,ainsique desconclusionsconcrètes qu'ilentire. 1L'activitédu (dela)Préposé(e) s'estjusqu'àprésent centréeessentiellementsur l'informationetla
sensibilisationdes autorités,defaçon toutàfait logiqueeuégard àunematière particulièrement
complexeet objetd'unelégislation relativementrécente.Relevée parlaCommission degestion,la statistiquesur lenombrede sollicitationsauprèsdu (dela)Préposé(e) enditlong surlebesoin de renseignementset declarificationsémanant desautoritéscomme desparticuliers: unepartimportantedesinterventions du(dela) Préposé(e)relèvede sesmissionsd'information etdepromotion. Acôtéde
cela,une tâchespécifiquea rapidementprisde l'ampleur:les interventionsliéesà l'installationdes
camérasde vidéosurveillance,quiont fortementaccaparéle (la)Préposé(e)et l'accaparerontencore
pourquelques temps.Cecontexte etcesclaires prioritésonteu uneincidencesur lamiseen oeuvred'autresmissions légales.
C'estainsi quelaconstitution duregistredes fichiers,commencéeprécédemment, aétésuspendue ;
parailleurs, l'activitédesurveillance proprementdite,que révèlelenombre relativementpeuélevé de
recommandationset dansunemoindre mesurederecours, s'enesttrouvée ralentie.Cetétat defaitest aucoeur desdeuxobservations delaCommission degestionqui, àjustetitre, danslaprésente observation,s'interroge plusparticulièrementsur lesmoyensde suividesinterventions du(dela) Préposé(e).Pour leConseild'Etat, laréponseà cetégardest double: -d'une part,uneplus grandedisponibilitédu (dela)Préposé(e) poursamission desurveillance amélioreraitnécessairement lesuivide sesinterventions.C'est pourquoi,sansattendre ledébatlégislatifà venir,unrenfort del'effectifsera opérationneldèsle début2016,la chancellerie
d'Etat,entité desupportadministratif auPréposé(e),étant chargéed'ypourvoir ; -d'autre part,l'améliorationdu suividesinterventions du(dela) Préposé(e)feral'objet de dispositionsdans l'EMPLannoncépour lafinde l'année,notammentpar uneréglementation plusprécise dutraitementdes recommandations.2èmeobservation
Chancellerie- PPDI-Registre desfichiers
LeRegistre desfichiers,selon l'art.19de laloisur laprotectiondes donnéespersonnelles(LPrD)entréeen vigueurennovembre 2008,n'esttoujours paseffectif.Le délaidemise enoeuvreétait fixéà
fin2010 (art.43LPrD :leRegistre desfichiersest établidansles 2anssuivant l'entréeenvigueur de laprésente loi). -Le Conseild'Etatest priéderenseigner leGrandConseil surlesmesures qu'ilentendprendre pouraccélérerla miseenplace duRegistredes fichiers,conformémentà laLPrD,ainsi queledélai qu'ilse
fixepour rendreceregistre publicetaccessible enligne.Réponsedu Conseild'Etat
Apropos ducontexteexpliquant leretardpris danslamise enplacedu registredesfichiers, leConseil d'Etatse permetderenvoyer auxexplicationsfigurant danslecadre delaréponse àlapremière observation; ilrappelle,en lesoulignant,l'impact desdeuxpriorités qu'ilafallu donnerdans l'applicationde laloi- d'unepartsatisfaire aubesoinde renseignementsetde clarificationd'une législationrelativement nouvelleetcomplexe et,d'autrepart, fairefaceau volumedesdossiers relatifsàl'installation decamérasde vidéosurveillance-situation quiaconduit àsuspendrela réalisationdu
registre. Ceciétant, leConseild'Etat entendquela finalisationduregistre interviennedèsle débutdel'année2016. Lechoixde lasolutioninformatique étantdéjàopéré, laphaseà entreprendreconsistera
enson alimentationproprementdite, encollaborationavec lesservicesconcernés. Lerenforteneffectifprévu dèsledébut del'année2016, mentionnédansla réponseàla premièreobservation,vise
àce quecettephase puissedémarrerau mêmemomentet sedérouleà unrythmesoutenu. LeConseild'Etatprécise quesile registredesfichiers faitencoredéfaut entantque tel,celane signifiepasque la
2connaissancedes fichiersestdéfaillante etquel'accès àceux-cise heurteraitàdes obstacles;ce qui
manque,c'est unebaseconsolidée, harmoniséeetbien entendupublique.Il importederemédier àcette
lacune,sachant quecettemesure contribueraàdonner uneplusgrande visibilitéàla protectiondes donnéestraitée parl'administration.2DÉPARTEMENT DUTERRITOIREET DEL'ENVIRONNEMENT
1èreobservation
Collaborationentre laDirectiongénérale del'environnement(DGE) etleService immeubles, patrimoineet logistique(SIPaL) Lescompétences delaDGE enmatièred'environnement, d'énergieetde ressourcesnaturellesnetransparaissentpas demanièreéclatante danslesexposés desmotifset projetsdedécret oudeloi qui
émanentdu SIPaL.Lesprésences occasionnellescommunesdes deuxserviceslors desséancesde commissionsparlementaires necontredisentpas cetteperception. -Le Conseild'Etatest priéderenseigner leGrandConseil, endonnantles pointsdevue desdifférents servicesconcernés, surlesprocédures internesauSIPaL etàla DGEquipermettent àchacundes deuxservices devéritablementprendre encompteles compétencesdel'autre service,ainsique les actionset lecalendrierqui seraientdonnéspour, lecaséchéant, améliorercettecollaboration.Réponsedu Conseild'Etat
Dansle cadredeprojets (principalementpourles bâtimentsdel'Etat), desdivergencesapparaissent de tempsà autreentrela DGEetle SIPAL,notammenten casd'oppositiond'intérêts publics(patrimoine eténergie). LeSIPALdispose descompétencesinternes quipermettentde suivrelesprojets. Des collaborationssont toutefoisnécessaires,notamment surdesthèmes transversauxquiconcernent les deuxentités. Enmatière d'exemplaritédel'Etat parexemple,des divergencessontapparues quantauxexigences liéesaux bâtimentsdel'Etat, notammentdansle casduCEOL (Centred'enseignementpostobligatoire del'ouest lausannois).Desdiscussions onteulieu pourdéfinirce quipouvaitêtre admiscommeperformance équivalenteàMinergie. Unaccordentre lesservicesa ététrouvéet laproposition
seraintégrée auxnouvellesdirectives énergétiquespourles bâtimentsdel'Etat, conformémentaux
articles2 al.3et24 durèglementd'application delaloi vaudoisesurl'énergie (RLVLEne)sur l'exemplaritéde l'Etat.Cesdirectives communesdevraientêtre publiéesprochainement. Concernantles exposésdesmotifs etprojetsde Décret(EMPD)pour lesconstructionsde l'Etatou dansle cadredecertaines interventionsparlementaires,il arrivequela DGE(Directionde l'énergie) soitconsultée parleSIPAL, maiscelan'est effectivementpastoujours lecas.Cela dépendprincipalementde lacomplexitédes objets.Descollaborations plusfréquentesseront établiesafinque
levolet del'énergiesoit davantageprisen considération. Pource quiestdu domainedupatrimoine, ilconvientde soulignerqueles conflitsentreexigencespatrimonialeset énergétiquessontdifficilement évitablessibien quedesprojets setrouventralentis
parla recherchedesolutions entrelesdeux services.Afinde pallierceproblème, desdiscussionsont eulieu etuneprocédure deconsultationmutuelle estentrain d'êtremisesur piedentrela Section monumentset sitesduSIPAL etlaDirection del'énergiede laDGE,afin depouvoirtraiter leséventuelsconflits d'intérêtsleplus tôtpossiblesi possibleavantl'introduction del'objetdans les
procéduresd'autorisation. Ladirective duConseild'Etat surl'intégrationdes panneauxsolairesthermiques etphotovoltaïquesdansle patrimoinebâtiet paysager(février2014) adéjàété élaboréeence sensettraite desprocédures
deconsultations entrelesdeux services.Enfin,la nouvellecommissionconsultative pourlapromotion etl'intégrationde l'énergiesolaireet de
3l'efficacitéénergétique aéténommée toutrécemmentpar leConseild'Etat etpourradonner son
préavissur desprojetsparticuliers oùunepesée d'intérêtsestnécessaire.2èmeobservation
UneDirection del'environnementindustriel, urbainetrural (DIREV)quiaccompagne le développementéconomique etdémographiquedu canton LaDIREV doitsuivrel'essor économiqueetl'augmentation delapopulation ducantonau traversde contrôlesauprès desentreprisesafin d'assurerqueles normesenvigueur sontrespectéeset quelapopulationne subitpasd'atteinte àlasanté. Or,àce jourlaDIREV nepeutréaliser cescontrôles
conformémentà lalégislationen vigueur. -Le Conseild'Etatest priéderenseigner leGrandConseil surlesmoyens dontilentend doterlaDIREVafin quecettedernière puissefaireses contrôlesconformémentà laloi,et cedansquel délai.
Réponsedu Conseild'Etat
LaDirection del'environnementindustriel, urbainetrural (DIREV)estchargée deveillerau respect desdispositions etexigencesenvironnementales découlantdenombreuses législations,tellesque la Loisur laprotectionde l'environnement(LPE),la Loisurla protectiondeseaux (LEaux)oula Loisur lesproduits chimiques(LChim),auprès deplusde 25'000entrepriseset activitésartisanalesou commerciales.Elle joueégalementun rôlesignificatifdans l'accompagnementdesnouveaux projetset planifications,ainsi quedansl'implantation desnouvellesindustries dansleCanton.Outrel'augmentation destâchesliées àladémographie etaudynamisme dutissuéconomique vaudois,
plusieursmodifications majeuresintervenuesdans lecontextedu suivienvironnementaldes entreprisessont àrelever: -des tâchesnouvellessont apparues,notammentdans ledomainede lasécuritébiologique etle suivides entreprisesutilisantdes organismespathogènesou génétiquementmodifiés; -la législationrégissantl'utilisation etlamise surlecommerce desproduitschimiques esten constantemutation etadaptationau droiteuropéen;-les exigenceslégalesliées àlaprotection contrelesaccidents majeurssesont renforcées,ainsi
queles normesderejets dansl'airet dansleseaux.Lesressources attribuéesàces évolutionsn'onttoutefois pasétéadaptées. Cetétatde faitn'estpas
sansconséquence surl'intensitéde laprésencedes autoritésdansles entreprises,laprévention des
accidents,des incendiesoudes pollutionsetla capacitédela DIREVàjouer unrôlede conseil. LeConseil d'Etatidentifietrois axesd'actionpour apporterunappui renforcéauxentreprises, accompagnerle développementéconomiqueet l'implantationdenouvelles entreprisesetassurer une surveillanceaccrue decesactivités dansledomaine environnemental:1)Mise enoeuvred'un conceptd'inspectiondes entreprises
Lacréation delaDirection généraledel'environnement (DGE)apermis deréunirdans une mêmeDirection lesservicesen chargesdela surveillancedesentreprises. Unesystématiqued'inspectiondes entreprisescoordonnéeet optimiséedoitêtre miseenplace pourgagneren efficacité
etréduire lenombredes interlocuteurspources dernières.2)Intensification desaccordsde branche
Dansce domaine,desdémarches significativesontdéjà étéinitiées,à l'imagedurécent accordavec
l'Unionprofessionnelle del'automobile(UPSA) pourlesuivi environnementaldesgarages, carrosserieset autresateliersmécaniques.3)Renforcement desressourcesde laDIREV
Parallèlementà cesdémarchesd'optimisation, ilseraprocédé àunexamen desressourcesnécessaires,
notammentpour lesuivides entreprisesutilisantdes matièresdangereuses. 43èmeobservation
Rivesud dulacde Neuchâtel:à quandlamise enapplicationdes décisionsdejustice ? L'ensembledes Droitsdistinctset permanents(DDP)pour leschaletsde larivesud dulacdeNeuchâtelsont arrivésàterme entre1995et 2008.Lesdécisions duTribunalcantonal (TC)en2010 et
dela Commissionfédéralepour laprotectionde lanatureet dupaysage(CFNP) en2013aboutissentàla conclusionqu'ilfaut supprimerleschalets. Malgrécela,lesdits chaletssonttoujours enplaceet il
existeraitdes actesnotariésde successionenligne directe. -Le Conseild'Etatest priéderenseigner leGrandConseil surlamanière dontilexécute laoules décisionsde justiceenla matièreetle calendrieryrelatif, encoordinationavec leCantondeFribourg.
Réponsedu Conseild'Etat
L'Etatde Vaudestpropriétaire desterrainset aaccordédes droitsdistinctset permanents(DDP) pour64 chaletssituéssur lescommunesde Vully-les-LacsetCudrefin. Cesdroitssont échus pour17 d'entreeuxdepuis 1998etpour les47autres depuis2005.Dès lors,desactionsadministrativeset civilespeuventêtre envisagéesafinde mettreenoeuvre ladécisionde classementdu
Conseild'Etat, brièvementrappeléeci-dessous. Laprocédureest longue,maisse poursuiten coordinationavec lesautoritéscompétentes ducantonde Fribourg. Dupoint devuedu droitpublic,depuis le25mars 2002,lessecteurs naturelsdela rivesuddu lacqui abritedes chaletssontrégis, sursolvaudois, parunedécision declassementdu Conseild'Etat (ci-après: Décisiondeclassement). Lerapportexplicatif delaDécision declassementconfirmel'intention duConseild'Etat dedémolirà brèveéchéanceces installations:" ceszones (i.e.
derésidence secondaire)n'onten effetplusde raisond'êtredans lamesureoù lesconstructionsqui s'ytrouvent nedevraientplus demeurerau-delàd'une échéancerapprochée.(...)l'art.13, quiautorisel'entretien etlarénovation desbâtiments(...) permetlemaintien, l'entretienetl'utilisation
desrésidences secondairesjusqu'àl'échéance desdroits". Lerèglement descetteDécision declassementprévoit lemaintienprovisoire desrésidencessecondairespour autantqu'ellessoient aubénéfice" d'untitre juridiquesuffisant"(art. 13al.4). Dans
sonarrêt du30juillet 2010,laCDAP aconsidéréque l'art.13al. 4dela Décisiondeclassementn'étaitpas "d'uneextrême clarté.Ainsi,il neprécisepas lanaturedes titresjuridiquessuffisants
permettantle maintiend'unchalet existant(...).De plus,l'art.13 al.4précité estmuetsur les conditionsauxquelles unteltitre juridiquepourraitêtre renouvelé,voireaccordé ". Auvu delanon entréeenmatière quiasuivi, en2012,de laCommissionfédérale natureetpaysagesurla comptabilitédeschalets aveclesdispositions régissantlesite, tantsurle cantondeFribourg que
deVaud etdesarrêts destribunauxsur lescontratsnature, puisdesdéterminations del'Officefédéral
del'environnement sollicitéen2014, laquestionde l'opportunitédeprocéder àunedémarche de
planificationcomplémentaire pourpréciserle devenirdeschalets estaujourd'huià l'examen,dansles
deuxcantons, afindegarantir unecohérencedes démarches. Dupoint devuedu droitprivéégalement, l'analyseestactuellement encours,que cesoitla questionjuridiquerelative àlaportée d'unDDPsur uneconstructionqui seraitqualifiéede "mobilière" etdu
pointde vuedudroit dubail. Sousréserve delareconnaissance del'opportunitéde procéderàune démarchedeplanification complémentaire,le Conseild'Etatpourrait envisagerdes'appuyer surlaplanification actuelleetd'agir parle biaisdudroit privédansle cadredutraitement decedossier.Uncalendrier nepeutencore êtreétablidès lorsqueles différentesanalysesjuridiques seterminent
actuellement.En revanche,lesdémarches débuterontdès2015 etunefois lacoordinationdesprocéduresétablie, conformémentàce quelesreprésentants desdépartementsconcernés desdeux
5 cantonsont convenulorsd'une séancedetravail quiaeu lieuen2014.4èmeobservation
Avenirdu Servicedesautomobiles etdela navigation(SAN)à laBlécherette: oùetquand ? L'emplacementactuel duSANà Lausannen'estplus compatibleniavec sonvolumed'activité niavec lesfutures réalisationsprévues(déplacement deroute,écoquartier, etc.).Ilne permetplusunfonctionnementadéquat sansengendrerde multiplesconséquencesnégatives tellesquedéplacement
desexamens, augmentationdeskilomètres desvéhiculesen ville,etc. -Le Conseild'Etatest priéderenseigner leGrandConseil surl'étatd'avancement duprojetde déplacementdu centreautomobilesde laBlécherette,sa futurelocalisationet lecalendrierde miseen oeuvredu déplacement.Réponsedu Conseild'Etat
Avecses 4sites(Lausanne, Aigle,Yverdon-les-Bainset Nyon),leSAN disposed'unerépartition territorialepermettant deminimiserles impactssurl'environnement. Parcontre,son centrede Lausannene répondplusaux exigencesd'aujourd'hui.L'incompatibilité avecsonactivité dansunevilleet sonimplantationsont descritèreset contraintesquiont décidéleConseil d'Etatvaudoisà
délocaliserles activitésdece centre.Durantces sixdernièresannées desrecherchesde terrainsaffectésen zoneindustrielleou artisanal,
voireen zoneintermédiaire,ont faitl'objetde prospectionscontinuespar leSIPAL.En dernierlieu,fautede terrainslégalisésà laventeou compatiblesavecles exigencestechniquesdu SAN,cesont des
terrainsagricoles delacouronne lausannoisequiont faitl'objetd'études d'implantation.LaparcelleN°222 deRomanel-sur-Lausanne,retenue aprèséliminationd'autres variantes,répondaux besoins
relatifsà lasuperficie,à lalocalisationet àlaproximité duSAN.Propriété delaville deLausanne,elle
seracontiguë àlafuture sortied'autorouteenvisagée parl'éclatementde lajonctionde laBlécheretteet
aufutur "barreaudela Sauge"quireliera laroutede Neuchâtelàla routed'Yverdon.Un groupede travailcomprenant différentsservices(SAN, SIPAL,SDT,DGMR, UOF)examineles modalités requisespour acquériretlégaliser cetteparcelle. Depar sasituationen zoneagricole,et àfortioridans unpérimètrequi feral'objetd'importantsdéveloppementsroutiers, cetteparcelleest toutefoissoumiseà descontraintesdont lesenjeuxtouchent
égalementle SDTetla DGMR:
-d'une partcomptetenu del'affectationactuelle decetteparcelle enzoneagricole, celle-cidoit fairel'objet d'uneprocédurede légalisationenzone constructibleparle développementd'unplan d'affectationcantonal (PAC),lequeldoit êtreentréen vigueuravantde déposerlademande d'autorisationde construireduSAN. -d'autre partleprojet SANdevraégalement comprendrel'étudeet laréalisationde sonaccèsvia laroute delaSauge, lequelestà coordonneravecle projetroutierdu barreaudela Sauge.La DGMR,en coordinationavecles communesconcernées,conduit lesétudesde cettenouvelle routequi estunedes mesuresd'accompagnementdu dédoublementdela jonctionautoroutièrede laBlécherette, lui-mêmeconduitpar l'OFROU.LePAC duSANet leprojetroutier devrontfaire l'objetde procédurescoordonnées.Le PACnepourra êtremisen vigueurquelorsque leprojet debarreau delaSauge etl'accèsau SANaurontreçu l'autorisationdeconstruire, laquelleest prévueselon laplanificationintentionelle actuelledela DGMRfin2018.-quant àl'achatde laparcelle,il faitl'objetd'un EMPDquisera traitéparle Conseild'Etatcet été
etsoumis auGrandConseil enautomne2015. Ladécisionsoumise auGrandConseil portesurunepromesse d'achat,étantprécisé quel'achatdu terrainestconditionné àl'entréeen vigueurdu
PAC. 6Octobre2015 Promessed'achatdu terrain
Nov.2015 mai2016Crédit d'étudeGrandConseil :études préliminaires,coordination aveclesprojets deraccordements routiers,sondage géotechniquesNovembre2016 Préparationduconcours
Janvier2017 Lancementduconcours :
Avril2017 Jugementduconcours puisdéveloppement
duprojetJuin2017 fin2018Développement duPACdu SANen
synchronisationavec lesprojetsroutiers de l'OFROUet delaDGMRFin2018 Autorisationdeconstruire dubarreaude la
Sauge,sous réservedel'obtention des
créditsd'ouvrage desdifférentspartenaires (canton/communes) etmiseen vigueurduPACdu SANdébut2019
Mars2019 Miseàl'enquête duprojetdu SAN,
Septembre2019 Obtentiondupermis deconstruireet du
créditd'ouvrage GrandConseilDébut2020 Ouvertureduchantier
Mi2022 Miseenservice
5èmeobservation
Uncontrôle communentrele servicedel'hygiène duServicede laconsommationet desaffaires vétérinaires(SCAV) etlaPolice cantonaleducommerce (PCC) Lecontrôle del'hygiènedans lesrestaurantsest effectuéparle SCAVetne prendpasen comptelesquelqueséléments quelaPCC doitcontrôler(présence deboissonsnon-alcoolisées moinschèresque
lesalcoolisées, systèmedecontrôle pourlesdistributeurs decigarettes,etc.). -Le Conseild'Etatest priéderenseigner leGrandConseil surlapossibilité d'amélioreretde coordonnerla gestiondescontrôles danslarestauration, surleséventuels problèmesainsique sur quele calendrierdemise enoeuvredes mesuresenvisagées.Réponsedu Conseild'Etat
LeService delaConsommation etdesAffaires vétérinaires(SCAV),par samissionde surveillancedelafilière alimentaire,assureune tâchedesanté publique.Lespiliers desonaction sontconstituéspar la
sécuritéalimentaire, ainsiquepar lasantéet lebien-êtredes animaux.Parune approcheglobalecouvranttoute lachaînede production,selonle principedel'étable àlatable, leSCAVveille àla
protectiondu consommateur.Poursa part,laPolice cantonaleducommerce participeàla surveillance decertaines activitéscommerciales,notamment danslesétablissements publics. Comptetenu dufaitque lesdeuxentités déploientunepartie deleuractivité danslesmêmesétablissements, unetransmissiond'informations estdéjàétablie. Cettetransmissionest fondée
surla loisurles aubergesetles débitsdeboissons ainsiquesur sonrèglementd'application. Elleseconcrétisenotamment danslecadre delacréation, latransformationet laréouvertured'établissements,
oùle SCAVrenseignela Policecantonaledu commercequantà laconformitédes installationsen matièred'hygiène alimentaire.Cettecollaboration serarenforcéedans lesensd'un échangemutueld'informations visantàexploiter
7lessynergies existantesetà accroîtrel'efficacitédes contrôles.Dansce cadre,unerencontre entrele
Chimistecantonal etleresponsable delaPolice cantonaleducommerce estd'oreset déjàagendée.6èmeobservation
Servicedu développementterritorial(SDT) :entreréforme interne,projetsimportants et urgences Leschangements dedépartements(4 chefsdedépartement et3départements) ainsiquede chefsàla têtedu SDT,cedans unepériodecruciale pourleCanton avecdesprojets d'importanceetd'urgence rarementégalées, demêmeque lamultitudedes auditsquin'atteignent pasleursobjectifs, semblent fragiliserle service.-Le Conseild'Etatest priéderenseigner leGrandConseil surlesobjectifs àtrèscourt terme,àcourt
termeet àmoyenterme assignésauSDT, plusprécisémentquant auxprojets,aux ETPaffectésauxdits
projets,à l'organisation,àla gestionduservice, etc.,ainsique leurcalendrierde miseenoeuvre.Réponsedu Conseild'Etat
Lamise enoeuvrede la1èrerévisionde laLAT(loi fédéralesurl'aménagement duterritoire)et deson
ordonnanced'application (OAT)le1 ermai2014 aouvertplusieurs chantiersd'importanceau SDT:1.Gestion delapériode transitoireetdézonage
2.4 eadaptationdu Plandirecteurcantonal (PDCn)
3.Prélèvement d'unetaxesur laplus-value
4.Révision delaloi cantonalesurl'aménagement duterritoireet desconstructions(LATC)
Lesdeux premiersprojetssont pilotésparun groupestratégiquede quatrepersonnesprésidé parle
chefde servicea.i. Lesforcesde travailinternessont complétéesparle travaildemandataires. Lagestion delapériode transitoirecomprendles négociationsencours avecl'Officefédéral du développementterritorial, lamiseen évidenceetl'adoption d'outilsconcernantle dézonageetle partenariatentre leCantonet lescommunesà fortpotentielde dézonage.Lesréflexions encourssont partagéesrégulièrement aveclaCheffe dudépartementet leConseild'Etat. La4 eadaptationdu PDCnestorganisée sousformede projet.Ladélégation duConseild'Etat "Mobilité,énergie/environnement, développementterritorial,logement "composéedes Chef-fe-sdu
DTE,DECS, DISetDIRH orienteleschoix stratégiquesenvirontous lestroismois. L'objectifduConseild'Etat estuneentrée envigueurde cette4eadaptationcourant 2017afind'écourter lapériode
transitoireet deproposerune gestiondeszones àbâtirstabilisée. Uneétapeimportante auralieuen
automne2015 aveclamise enconsultationpublique duprojet. Leprojet deprélèvementde laplus-values'est basésurune analysededroit comparé.Ungroupe de suivides principauxservicesconcernés (SAGEFI,SJL,SCL, UOFetACI) aétéconstitué etunepropositiond'un modèlevaudoisa étéprésentéeà ladélégationdu Conseild'Etat.Le calendrierdu
projetprévoit unemodificationde laLATCqui seramiseen consultationpubliqueen automne2015et uneentrée envigueurcourant 2016.Lamise enconformitéde laLATCà laLATa déjàdébutéau traversducontre-projet "logement" à
l'initiativede l'ASLOCA"Stop àlapénurie delogements". Unerévisionplus complèteintégrantles
élémentsmis enconsultationen 2011devraitentrer envigueuren 2017. Endate du2juillet 2014,devantl'ampleur desprojetsmenés parleSDT, leConseild'Etat aaccordéà ceservice 5postesprovisoires limitésau31 décembre2017.Les personnessontentrées enfonction entrele 1erseptembre2014 etle1 erfévrier2015. Cespostessont répartisdela façonsuivantepar rapportaux projetsprécités: -un urbanisteà100% pourlesoutien audézonagedans ladivisionAménagement communal; -un chefdeprojet à95%,un géographeà80% etunsoutien administratifde45% pourleprojet 8 d'adaptationdu PDCn; -un juristespécialisteà 100%pourles projetslégislatifs(plus-value etLATC); -un conseillerencommunication à80%pour développerlastratégie decommunicationdu service etle dialogueavecles communes. Pourle budget2015,le Conseild'Etata proposéauGrand Conseildecontinuer àrenforcerle SDT, notammentau traversd'unnouveau posted'urbanisteet unpostede juristespécialiste. Unautre projetévoquépar lacommissionde gestionestla miseenoeuvre duplande protectionde Lavaux(LLavaux) autraversdu pland'affectationcantonal (PACLavaux).Le Conseild'Etats'engageà mettreàl'enquête publiqueleprojet danslestemps impartisparles dispositionstransitoires
dedite loi(2019)et sonentréeen vigueuraumaximum deuxansplus tard(2021).Enfin,il aétéévoqué àplusieursreprises leprojetd'évolution duservice" SDTDemain". Une
nouvellephase duprojet,dénommée "Managementde qualité",s'est dérouléedurantla périodede
directionad intérim,sousla conduitedela Cheffedudépartement. Lesobjectifsde cetteréflexion menéepar ladirectionsont de: -Améliorer laclartéet larapiditédes réponsesdonnéesvers l'extérieur -Améliorer l'accèsetl'accueil duservice -Créer uneculturecommune, unevisiond'ensemble partagée -Créer etmettreen oeuvreunsystème depilotagedu service -Décloisonner lesgroupeset divisionsetdévelopper lessynergiesdans lagestionopérationnelle -Mener uneréflexionsur l'évolutiondel'organisation.Aprèsune phasedediagnostic, laréflexionstratégique setermineraen juinetsa concrétisation(mise
enoeuvre) sepoursuivraavec l'arrivéedunouveau chefdeservice dèsjuillet2015. LeConseild'Etatcontinuede suivredemanière trèsattentivel'évolution duserviceet lesgrandsprojets menésparle
SDT.3DÉPARTEMENT DELAFORMATION, DELAJEUNESSE ETDELA CULTURE
1èreobservation
Maîtrisede classeenVoie générale(VG)
Lamaîtrise declasseen VGestsouvent difficileàorganiser pourdesquestions d'horairesetde niveaux.Une solutiond'urgencea étémiseen placeconsistanten l'enseignementencommun, afinde réunirtoute laclasse,d'une heuredel'option "Approchedu mondeprofessionnel" parl'enseignant defrançaise, demathématiquesou d'allemand.Toutefois,cette solutiond'urgencene sauraitêtre définitivecar sid'unepart ellenerésout pasleproblème, ilconvientd'autre partdene pasviderde sensl'option "Approchedu mondeprofessionnel". -Le Conseild'Etatest priéderenseigner leGrandConseil surlesmesures qu'ilentendprendre afin detrouver unesolutionadéquate auproblèmede lamaîtrisede classeenVG, etcedans queldélai.Réponsedu Conseild'Etat
Dutemps scolairepourla maîtrisedeclasse
Lestâches liéesàla maîtrisedeclasse sontdedeux natures,àla foisexternes(liens aveclesparents,
lescollègues enseignant-e-s,lesdifférents réseaux)etinternes àlaclasse (gestiondesabsences,
contrôlesdivers, communication,leadershipdu groupe).Lesconsidérations quisuiventportent surlestâches internesàl'école, cellesquinécessitent dutemps
scolaire. Lesgrilles-horaires delaprécédente loiscolairedu 12juin1984 (LS84)ne comprenaientpasde tempsscolaire pourlagestion delaclasse. Lesmaîtresseset maîtresresponsablessoustrayaientrégulièrementdu tempsdeleur enseignementpoureffectuer destâchesliées àlamaîtrise deleur
9 classe. Avecl'entrée envigueurde laloidu 7juin2011 surl'enseignementobligatoire (LEO)etde son règlementd'application (RLEO),l'organisationen niveauxeten optionsdela voiegénérale(VG)actuellea renduplusdifficile lacommunicationaux élèvesquisont, defait,moins souventréunisdans
laconfiguration deleur" groupeclasse". Conscientede cettedifficulté,la cheffeduDFJC ademandéque laDirectiongénérale de l'enseignementobligatoire (DGEO)metteen placesansattendre ungroupede réflexionavecdes associationsprofessionnelles. Surlabase decestravaux, elleadécidé, danssacirculaire du5 février2014,de soutenirlesétablissements dansl'organisationde laVG,en particulierdanslesaspectsliés ausuivides élèves.Troispossibilités ontétéoffertes auxétablissementset, finalement,
seulela solutionpermettantd'attribuer l'unedesdeux périodesd'optionsde compétencesorientées métiers(OCOM) derenforcementà lagestionde laclasseet àl'approchedu mondeprofessionnel(AMP)a étéretenuepar eux.Ily adèslors lieudeconsidérer quecechoix convientetqu'une solution
pragmatiqueaux difficultésrelevéesa puêtretrouvée enincluantdu tempsdegestion scolaireàla
grille-horairedes élèves. Importancede l'approchedumonde professionneldansle cycle3Chaqueannée, plusde7'000 élèvesdela scolaritéobligatoirechoisissent depoursuivreleur formation
parun apprentissage.Cechoix concerneenparticulier lesélèvesissus delaVG.Préparerles élèvesàla transitionversla formationprofessionnelleest doncunélément clédela VG,
quis'appuie surdeuxde sesspécificités: lespériodesd'OCOM etdespériodes consacréesàde
l'AMP.L'article 70RLEOspécifie eneffetque "Le groupedesOCOM derenforcementen françaiseten mathématiquespermetde développerlamaîtrise oraleetécrite delalangue françaiseetles
outilsmathématiques oucommerciauxen lienavecl'approche dumondeprofessionnel ".Associer les périodesd'AMP auxpériodesd'OCOM permetàl'élève dechoisirà lafoisla formationprofessionnellela plusadéquateet d'acquérirlesconnaissances etlescompétences scolairesdebase
facilitantcette transition. Ilest àreleverque lescoursd'AMP nesontpas optionnelsetont l'avantagedeconcerner touslesélèvesde laVG.Le départementsoutientavec déterminationettrès activementcetenseignement. Un
programmeprécis aétérédigé surlabase duPland'études romand.Cedernier estactuellementen
consultationet seraprescriptifdès laprochainerentrée scolaire.Encollaboration aveclaDGEO, le Servicede l'enseignementspécialiséet del'appuià laformation(SESAF), parl'Officecantonald'orientationscolaire etprofessionnelle(OCOSP), aéditéun nouveauclasseurréunissant 6brochures
servantde baseauxactivités enclasse.Une méthodologieesten coursderédaction. Uneversion électroniquesera àdispositionen juin2015et distribuéeennovembre prochaindansle cadredela journéed'information duSalondes métiersetde laformation.Par ailleurs,unenouvelle formation négociéeest d'oresetdéjà offerteàla HEP.Mesuresorganisationnelles
Lapremière mesureviseà articuler,dansle troisièmecycle,les périodesconsacréesà l'AMPetà la
gestionde classe. Sousl'ancienne loiscolaire(LS 84),lescours d'AMPoccupaientuniquement unepériodede lagrillehorairedes 8eet9 eannéesde lavoiesecondaire àoptions(VSO). Pourlesélèves delavoie secondaire
générale(VSG), ledépartementautorisait unenseignementde l'AMPlorsde périodesconsacréesaux
projetsinterdisciplinaires. Avecla LEOetdès quelaconsultation surleprogramme enAMPaura étémenéeà terme,laDGEO communiqueraauprès detoutesles directionsd'établissementsscolaires l'obligationd'octroyerl'une desdeux périodesd'OCOMà del'AMP,et cecien10 eet11 eannée.Ainsi, l'AMPoccuperaun temps 10scolairesupérieur àceluiqu'il ahistoriquementoccupé danslesprécédentes grilles-horaires.Les
mesuresdécrites ci-aprèsvisentà compenserletemps prisàla gestiondeclasse afind'assurerdes
coursd'AMP dequalité. Lapériode de9eannéesera enrevanchemajoritairement occupéeparde lagestionde classe.Ils'agiteneffet dedonnerdu tempsauxenseignant-e-s, afinqu'elles-ilspuissent accueilliretguider lesélèves
dansune organisationenniveaux etenoptions queceux-cine connaissaientpasen 7et8années. Ladeuxième mesureconcerneles OCOMelles-mêmes.En collaborationavecl'Institut deshautes étudesen administrationpublique(IDHEAP), laDGEOa lancéuneévaluation decesoptions. Lespremiersrésultats decetteenquête permettrontdevérifier leurorganisation.A terme,cetteévaluation
indiqueraégalement silesmesures misesenplace danslascolarité obligatoire,dontfont partie l'AMPet lesOCOM,permettent notammentdefaire diminuerlenombre d'élèvesquirejoignent desquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] Le cumul de l allocation d Aide au retour à l emploi (ARE) avec les rémunérations issues d une activité professionnelle non salariée
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