RECUEIL DES ACTES DES ACTES ADMINISTRATIFS DU
14 déc. 2020 VU la délibération du Conseil départemental n° 15-206 du 2 avril 2015. VU le décret n° 2020-1257 du 14 octobre 2020 déclarant l'état ...
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3 mai 2016 financiers le 23 mars 2015 sous le numéro D.15-0186 ; ... prévoyant l'apport par ENGIE à SUEZ Environnement Company de.
DOCUMENT DE RÉFÉRENCE RAPPORT FINANCIER ANNUEL2014
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![Le mode de financement de linsertion professionnelle des Le mode de financement de linsertion professionnelle des](https://pdfprof.com/Listes/21/8381-212017-M-044.pdf.pdf.jpg)
INSPECTION GENERALE DES AFFAIRES SOCIALES
DÉCEMBRE 2017
Le mode de financement
de l'insertion professionnelle des travailleurs handicapésFra nçois AUVIGNEEmmanuelle
WALRAET
Christine
BRANCHU
Bru noDROLEZ
Inspection générale
des financesN° 2017-M-044 Inspection générale
des affaires socialesN° 2017-083R
RAPPORT LE MODE DE FINANCEMEǯOFESSIONNELLE DES
TRAVAILLEURS HANDICAPÉS
Établi par
François AUVIGNE Inspecteur général des finances Christine BRANCHU Inspectrice générale des affaires sociales Emmanuelle WALRAETInspectrice des finances Bruno DROLEZ
Inspecteur des affaires sociales
- DÉCEMBRE 2017 -Rapport
SYNTHÈSE
Par lettre du 5 mai ʹͲͳǡǯǡ
dialogue social, la ministre de la fonction publique, ǯ générale des finances (IGF) ǯǯdu mode de financement ǯ̵ des handicapés (Agefiph) et du fonds pour l'insertion des personnes handicapées (FIPHFP). Les cabinets de ǯ personnes handicapées du gouvernement nommé en juin 2017 ont confirmé leur intérêt pour ǯMême si la situation des travailleurs handicapés sur le marché du travail reste plus difficile
que celle des autres salariés, ǯ pour les employeurs et a ǯ du taux point entre 2009 et 2015 dans le secteur public, atteignant 4,1 % en 2014 et 4,4 % en 2015 dans le secteur privé et 5,3 % 2015 dans le secteur public. La mission confirme le problème de financement auquel seront confrontés les fonds. Les diminution de 233 ̀depuis 2010. La baisse régulière des contributions engagées depuisparticulier pour le secteur public, qui devrait voir ses recettes baisser de 59 à 80 %. La
situation financière actuelle des fonds reflète essentiellement les choix passés des dépenses.
Celles-ci ǡǯbénéficiaires
ǯ de la dépense, majoritairement confiée à des opérateurs extérieurs aux fonds, ne facilite pas les synergies. Ainsi, 46 % des dépenses concernent desaides indirectes et la majorité des aides directes sont prescrites par les Cap emploi, les
Sameth ou les médecins du travail. De plus, même si les aides des deux fonds répondentǯ1 et si la part des dépenses
(1,8 ̀ǯͳ ̀Ȍǡles aides proposées par les fonds présentent des différences qui ne ǯleur secteur, public ou privé. Ces écarts portentparticulièrement interrogée sur les aides pour prothèses auditives et les aides au transport
être clarifiée pour que lǯes fonds se place en complément de la part financée répond pas à une lǯ moindre productivité du salarié.Rapport
une simplificat ǯ ǯǡune meilleure implication des formation professionnelle garanti par et dans le droit commun permettraient aussi derésorber les difficultés financières, toujours en restant dans la logique de compensation qui
prévaut actuellement. Une première voie de résolution du problème financier serait de supprimer les mécanismes de calcul de la contribution ou de définition du périmètre de ǯOETH qui ǯ és ou la réduction dérogatoire desmontants dus par les universités. La simplification déclarative qui sera permise par le
passage à la DSN et le renforcement des contrôles pourront aussi participer à cet
accroissement des recettes. Ainsi, à mode de financǡǯ mesures permettrait ancières substantielles de plus de 240 ̀.De plus, la mission préconise de transférer le recouvrement de ces contributions à
ǯagence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) dans le cadre du passage à la
DSN, pour une plus grande professionnalisation.
La mission estime que ces évolutions ne doivent pas se limiter aux règles de calcul et au contour des offres, la résolution des problèmes financiers ne suffira pas à garantir que la ǯen emploi sera bien remplie. Elles doivent aussi donner un positionnement plus fort ǯ handicapés en les fusionnant en une structure plus à même de piloter ses prestataires. Enoutre, une intégration de cette structure à Pôle emploi conforterait le pilotage effectif de cette
politique au sein du ǯǡǯe place spécifique au handicap dans la future gouvernance.ǡǡǯsait trop les recettes
compte-tenu des besoins, plusieurs solutions sont possibles. Au vu de ses investigations, la mission estime que la solution qui p ǯs, notamment en termes de lisibilité de la politique, serait ǯǯ ǯ . Parmi les solutions permettant unǡǯs ǯajout ǯune
cotisation sur la masse salariale à la contribution incitative actuelle. Cette cotisation, dont le
taux resterait très mesuré, pourrait utilement être liée à des cotisations existantes comme
celles pour accidents du travail et maladie professionnelle ou celles pour la formationSOMMAIRE
INTRODUCTION ........................................................................................................................................... 1 1.LE MODE DE FINANCEMENT DES DEUX FONDS ESǯONS
ǯTRAVAILLEURS HANDICAPS
MAIS CERTAINES RGLES DE CALCUL DE LA CONTRIBUTION AFFAIBLISSENTǯATION ........................................................................
............................... 31.1. ǯ
des autres travailleurs ............................................................................................................................ 3
1.2. ǯǯreconnues handicapées dans la population ................................................................................... 5
1.3. Les missions des deux fonds se recoupent, sans être totalement identiques .................. 7
1.4. ǯǯ
haǯ .................................................... 10 1.fortement le montant de la contribution ............................................................................. 14
1.5. La complexité de la déclaration, synonyme de lourdeurs en gestion, fait peser
des risques sur la qualité des déclarations, le niveau des contributions et les nominative (DSN) offre des perspectives de simplification et deprofessionnalisation du recouvrement ......................................................................................... 16
1.5.1. La déclaration est complexe, ce qui crée des charges de gestion pour les employeurs et pour les fonds et ne garantit pas leur fiabilité ................................... 16
simplification et de professionnalisation du recouvrement en le-"±"- ǯA... ...................................................................................................................... 22 2.LA BAISSE REGULIRE DES CONTRIBUTIONS DEVRAIT SE POURSUIVRE A
MOYEN TERME PAR UNE FORTE DIMINUTION DES RECETTES DANS LESECTEUR PUBLIC ET UN FLCHISSEMENT DANS LE PRIV .............................................. 24
2.1. Les
recettes des contributions sont en baisse régulière pour les deux fonds, à moyen terme elles se réduiraient fortement dans le secteur public etfléchiraient dans le secteur privé .................................................................................................... 24
2.diffèrent ............................................................................................................................................... 24
secteur public se réduiront fortement à moyen terme et celles du secteurprivé fléchiront sans se tarir ...................................................................................................... 25
2.2. Les dépenses passées ne présentent pas de cohérence avec les besoins, qui sont
insuffisamment connus........................................................................................................................ 26
2.2.1. ǯǯ ........................................................................................ 26
2.2.2. La méconnaissance des détǯ
au pilotage de cette politique ................................................................................................... 27
2.2.3. ǯͻ10 ans mais leur combinaison aurait des effets incertains à plus long
terme .................................................................................................................................................... 28
2.2.4. Il existe de nombreux facteurs de pérennité des dépenses .......................................... 28
2.3. La situation des deux fonds est essentiellement le reflet des choix passés en matière de pilotage de la dépense ................................................................................................... 29 3. ǯEURS EXTERNES POUR LES DPENSES PLACE LES
FONDS DANS UNE POSITION DE FRAGILIT, PAR AILLEURS CERTAINESINCOHRENCES DE LEURS STRATGIES DE DPENSE INTERROGENT ......................... 34
3.1. Les dépenses des deux fonds sont majoritairement utilisées ou prescrites par
des acteurs extérieurs sans pilotage fort, ce qui place les fonds dans uneposition de fragilité ............................................................................................................................... 34
3 .1.1. ǯ................................................................ 343.1.2. Les aides indirectes mobilisent 46 άǯ
ǡǯ ...................... 36
3.1.3. Les aides directes sont définies par les fonds mais sont largement
prescrites par les Cap emploi, Sameth ou les médecins du travail ou deprévention .......................................................................................................................................... 37
3.1.4. Les fonds présentent à eux deux une offre de 66 aides qui évoluent
fréquemment et sont jugées complexes par des utilisateurs occasionnels .......... 383.1.5. ǯ .......... 38
les deux fonds ..........................................................................................................................................
393
.2.1. À une exception près, les aides des deux fonds suivent la même logique .............. 39
3.2.2. Les fonds utilisent diagnostics et aides dans des proportions comparables
de 1,8 ̈́ǯͷ ̈́révèlent une stratégie plus diversifiée .................................................................................. 39
3.2.3. Les coûts unitaires des aides accordées par les deux fonds sont proches
mais leur structure présente des différences qui interrogent .................................... 40
3.2.4. De nombreuses différences dans la mobilisation, le périmètre et les ǯǯ ...... 41
3.2.5. Quelques caractéristiques des aides posent question .................................................... 43
3.2.6. Dans le secteur public, les conventions avec les employeurs ont permis
présentent des limites ................................................................................................................... 45
3.3. Les différents modes de prise en charge financière présentent une articulation globalement cohérente mais pourraient être améliorés, notamment en clarifiant
la participation des employeurs ...................................................................................................... 46
3 .3.1. ǯ financement de la formation professionnelle par les fonds est une piste pertinente à moyen terme, dès ǯ ǯ ............................................................ 463.3.2. Les aides des fonds sont mobilisées en principe en complémentarité avec
celles des autres financeurs ....................................................................................................... 48
3.3.3. ǯ
la logique de surcoût ..................................................................................................................... 49
3.4. ǯ
simplification devrait permettre de réduire les dépenses en levant certainesincohérences ............................................................................................................................................ 50 4.IL EST POSSIBLE DE REDONNER DES MARGES D1ES A
COURT TERME SANS REMETTRE EN CAUSE LE MODE DE FINANCEMENT, CETEMPS DOIT
3TRE MIS
PROFIT POUR UNE R
2ORGANISATION DES FONDSǯNIQUE................................................................................................. 51
4.1. ǯǯǡ
simplifier les éléments de complexité de la déclaration et renforcer les contrôles accroitrait les recettes annuelles de plus de 240 ̀ǡǯactuel ........................................................................................................................................................... 51
4.2. ǯ
dépense dont le pilotage doit être sensiblement renforcé ................................................... 54
4.2.1. ǯǯregard des besoins, les différences constatées entre les dépenses des deux
fonds font peser des doutes ........................................................................................................ 54
4.2.2. ǡǯǯǡǡǯǯ ....................................................... 54
4.3. ǡǯnécessaires ................................................................................................................................................ 55
4.3.1. ǯit
être maintenue ................................................................................................................................. 55
4.3.2. La mission a expertisé les outils possibles pour pérenniser les recettes ............... 57
4.4. Une nouvelle répartǯ
pour consolider le pilotage de la politique .................................................................................. 58
4.4.1. ǯprésente plusieurs forces de rappel ........................................................................................ 58
4.4.2. ǯ : Réunir les deux fonds en un
établissement public unique renforcerait leur positionnement ............................... 594.4.3. ǯ ǣǯ
professionnelle et du maintien en emploi à Pôle emploi permettrait unpilotage plus cohérent des OPS ................................................................................................ 61
CONCLUSION .............................................................................................................................................. 62
Rapport
- 6 -Les discriminations peuvent être fondées sur un critère unique prohibé par la loi mais
également combiner plusieurs de ces critères. Dans un rapport publié en 201611, le Défenseur
ǯ" permettent
de souligner que les femmes handicapées sont d'autant en situation de vulnérabilité qu'elles
peuvent parfois cumuler de multiples facteurs de discriminations ou d'éloignement de l'emploi(genre et handicap, mais aussi âge, territoire, situation familiale et sociale) voire même être
victimes de discriminations et d'inégalités spécifiques. En effet, les femmes doivent faire face à
l'intersection du genre et du handicap dont l'effet cumulatif crée une situation de désavantage
et de discrimination qui leur est propre. » Selon le dixième baromètre de la perception des Encadré 1 : Quatre voies sont possibles pour répondre ŽïLa loi n° 1987-517 du 10 juillet 1987 en faveur de l'emploi des travailleurs handicapés crée une
ǯ : les établissements d'au moins vingt salariés doivent employer des travailleurs handicapés à hauteur de 6 % de leurs effectifs.Ces établissements peuvent s'acquitter de cette obligation en combinant quatre voies (cf. paragraphe
1.5.1.3) :
en embauchant effectivement des ǯ ǯloi des travailleurs handicapés ; en passant des contrats de fourniture de sous-ǯ par le travail (ESAT) ou entreprises adaptées; béǯOETH (uniquement pour le secteur privé) ; public et privé depuis 1987 mais la contribution financière ǯ mise en place que depuis 2005 pour les employeurs publics qui ǯ %12. Le montant de la contribution est de 400, 500, 600 SMIC horaires par salarié manquant ǯǡͳ 500ǯǯemploi. Par
exemple, pour un établissement de 250 salariés, appartenant à la tranche à 500 SMIC horaires, un
ǯ % conduit à une contribution de
: Mission. Le choix du niveau de 6 Ψǯǯͳͻͺ13 ǯà ce12 Loi n° 2005-ͳͲʹͳͳʹͲͲͷǯǡtoyenneté des
personnes handicapées.13 Loi n° 1987-517 du 10 juillet 1987 en faveur de l'emploi des travailleurs handicapés.
Rapport
- 7 -En 2016, 5,8 millions de personnes âgées de 15 à 64 ans se déclarent en situation de handicap
et 2,7 ǯ14.Les ǯ ǯ
ǯ15.
Les personnes disp ǯ
représentent 6,6 % de la population âgée de 15 à 64 ans (cf. tableau 2). Entre 2011 et 2016, le
nombre de personnes de 15 à 64 ans, déclarant une reconnaissance administrative de leurhandicap, est passé de 2,2 à 2,7 millions16 (soit une augmentation de 4,2 % par an en
moyenne). Ainsi, la part des personnes reconnues handicapées a augmenté de 1,1 point depuis 2011. En 2016, ǯ et de taux de chômage présentés au paragraphe précédent, ǯen activité ou en emploi reste nettement inférieure à leur part dans la population : elles
représentent 4,0 % des personnes actives et 3,7 % des personnes en emploi. handicap (en %)Année Population âgée de 15
à 64 ans En activité En emploi
2011 5,5 3,4 3,0
2013 6,0 3,8 3,4
2015 6,6 3,9 3,6
2016 6,6 4,0 3,7
2013 ; " Emploi et chômage des personnes handicapées », Dares synthèse stat, novembre 2015 ; " Travailleurs
handicapés ǣǯ ? », Dares analyses n°32, mai 2017 ; Emploi, chômage, revenus du travail,
Insee Références, édition 2017, fiche 4.5.quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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