LE DELAWARE- USA:
- Les sociétés LLC des États Unis sont des « véhicules populaires » dans la conduite des affaires internationales. - Faible coût de constitution et d'
USA LLC Information
1 Dec 2003 Les sociétés LLC des États. Unis sont les véhicules populaires pour conduire des affaires internationales. INFORMATION LLC.
Nestlé
nos actionnaires sont de nationalité suisse notre Société est Etats-Unis/Suisse Diplôme de relations internationales 2006. 2016 et d'économie.
World Bank Document
4 Feb 2010 (Etats-Unis) Anibal Gutierrez (International Commission against Impunity in Guate- ... supérieure à la leur sur les affaires de la société
Les Marionnettistes
4 Feb 2010 (Etats-Unis) Anibal Gutierrez (International Commission against Impunity in Guate- ... supérieure à la leur sur les affaires de la société
Rapport de gestion 2001 - Les priorités stratégiques de Nestlé
de bouteilles en PET en Europe et aux Etats-Unis. Dans le secteur des produits laitiers de la nutrition et des glaces
COUR PERMANENTE DARBITRAGE Rapport annuel
Established by treaty in 1899 it provides a variety of dispute resolution services to the international community. La CPA est une organisation
Geschäftsbericht 2005 F
Les activités Cardiovasculaire et Oncologie sont les principaux moteurs Sandoz dispose d'un pipeline très fourni aux Etats-Unis et en Europe.
LES STRATEGIES DES FIRMES MULTINATIONALES
moitié du chiffre d'affaires de toutes les sociétés transnationales Tous ces différents modèles de production nés aux Etats-Unis et au Japon se ...
2018 - Rapport annuel intégré
27 Feb 2019 des groupes universitaires en Europe et aux États-Unis à de multiples accords industriels ... UCB en matière de conduite des affaires et le.
LE DELAWARE- USA
LE DELAWARE- USA: De tous les Etats américains permettant la constitution de sociétés offshore l’Etat du Delaware est le plus attrayant de tous pour les acteurs du monde des affaires L’Etat du Delaware a permis depuis 1965 la mise en place de ces structures sociétaires
![World Bank Document World Bank Document](https://pdfprof.com/Listes/21/8528-21651250FRENCH0B0pet0Master0WEB0final.pdf.pdf.jpg)
Les Marionnettistes
Emile van der Does de Willebois
Emily M. Halter
Robert A. Harrison
Ji Won Park
J.C. Sharman
Comment dissimuler les biens mal acquis
derrière des structures juridiques, et que faire pour l"empêcher L'initiative Stolen Asset Recovery (StAR) est un partenariat entre le Groupe Banque Mondiale et l'Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime qui soutient les efforts internationaux contre la dissimulation des fonds corrompus dans les paradis fisc aux. StAR travaille avec les pays en développement et les centres financ iers pour prévenir le blanchiment des produits de la corruption et faciliter une restitution plus rapide et plus systématique des bie ns mal acquis.Company
Foundation
Inc. SA LLC NVAnstaltPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure AuthorizedPublic Disclosure Authorized
Les Marionnettistes
Les Marionnettistes
Comment dissimuler les biens
mal acquis derrière des structures juridiques, et que faire pour l'empêcherEmile van der Does de Willebois
Emily M. Halter
Robert A. Harrison
Ji Won Park
J.C. Sharman
© 2014 Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement / Association pour le Développement International ou Banque Mondiale.1818 H Street NW
Washington DC 20433
Téléphone: 202-473-1000
Internet: www.worldbank.org
Ce travail a été initialement publié par la Banque mondiale en anglais, sous le titre e Puppet Master: How
the Corrupt Use Legal Structures to Hide Stolen Assets and What to Do About It en 2011. En cas de diver- gence, la langue originale primera.Ce travail a été eectué par le personnel de la Banque Mondiale et enrichi de contributions externes. Les
interprétations et conclusions exprimées dans ce livre ne reètent pas nécessairement les vues des direc
teurs exécutifs de la Banque Mondiale ou des gouvernements qu"ils représentent.La Banque Mondiale ne garantit pas l"exactitude des données contenues dans cet ouvrage. Les frontières,
couleurs, dénominations, ainsi que toutes les autres informations gurant sur les cartes incluses dans cet
ouvrage n"impliquent de la part de la Banque Mondiale aucun jugement au regard du statut légal de tel ou
tel territoire, ou une quelconque reconnaissance ou acceptation de telles frontières.Droits et permissions
Le contenu de cette publication fait l"objet d"un dépôt légal. La Banque Mondiale encourage la diusion de
son travail, ainsi tout ou partie de cette publication peut être reproduit pour des raisons non commerciales,
si la source est mentionnée et le travail lui est entièrement attribué.Toutes les demandes concernant les droits et licences, y compris les droits subsidiaires, doivent être
adr essées à : World Bank Publications, e World Bank, 1818 H Street NW, Washington, DC 20433, USA ; Fax : 202-522-2625; courriel : pubrights@worldbank.org.Attribution Merci de citer l"ouvrage comme suit : Ce travail a été initialement publié par la Banque
m ondiale en anglais Van der Does de Willbois, Emile; Halter, Emily M.; Harrison, Robert A.; Won Park, Ji; Sharman J.C. 2011. e Puppet Master: How the Corrupt Use Legal Structures to Hide Stolen Assets andWhat to Do About It. World Bank. © World Bank. https://openknowledge.worldbank.org/handle/10986/2320
License: CC BY 3.0 IGO."
En cas de divergence, la langue originale primera.Photo de couverture:
1127 Graphic Design
Table des matières
Avant-propos
ixRemerciements
xiAbréviations
xvRésumé
1Un défi significatif
2 Le très discret bénéficiaire effectif : plaidoyer pour une approche qualitative 4Le besoin d"une stratégie gouvernementale
4 Les avantages offerts par les prestataires de services 6 Pourquoi les prestataires de services devraient être soumis à une obligation de vigilance 6Permettre l"application
7 Les avocats et l"invocation de la confidentialité entre avocats et clients 7Une approche sur deux fronts
8Pourquoi l"obligation de vigilance ne suffit pas
9 Accroître les compétences et les capacités des enquêteurs 10Les enquêtes transnationales
10Bâtir un dossier transnational
10Produire une analyse et une typologie des risques
11Partie 1.
L'utilisation abusive des structures juridiques 13 1.1Introduction
13 1.2L"objectif de ce rapport 16
1.3Comment utiliser ce rapport 18
Partie 2.
Le bénéficiaire effectif 19
2.1Introduction 19
2.2 L"origine du terme " bénéficiaire effectif » 20 2.3 Définir la propriété effective : la théorie 20 2.4 L"application du concept de bénéficiaire effectif en pratique 25 2.5La perspective du prestataire de services 29
2.6Conclusions et recommandations 33
Partie 3.
Où se cache le bénéficiaire effectif? 37
3.1Introduction 37
vi I Table des matières 3.2 Les structures juridiques : types et propriétés 37 3.3Conclusions et recommandations 73
Partie 4.
Identifier le bénéficiaire effectif 77
4.1Introduction 77
4.2Les registres des sociétés 77
4.3 Les prestataires de services aux sociétés et trusts 93 4.4Les institutions financières 108
4.5Conclusions et recommandations 114
Annexe A.
Conformité aux recommandations 5, 12, 33 et 34
du Groupe d"Action Financière (GAFI) 121Textes des Recommandations 5 et 12 du GAFI
121Textes des Recommandations 33 et 34 du GAFI
125Annexe B.
Les cinq projets-composants : méthodologie et
exposé des résultats 129Projet 1.
Base de données sur la grande corruption 129
Projet 2.
Le Projet Banques et Bénéficiaires Effectifs 133Projet 3.
Le projet Prestataires de Service en sociétés et trusts 149Projet 4.
Le Projet Registres 159
Projet 5.
Le Projet Enquêteurs 161
Annexe C.
Brève description de quelques structures juridiques 175Personnes morales
175Sociétés en nom collectif
175Sociétés en commandite
177Sociétés anonymes
178Limited Liability Company (LLC)
180Fondations
182Constructions juridiques
182Les trusts
183Annexe D.
Grande corruption : 10 exemples de dossiers 189
Exemple 1:
Bruce Rappaport et la renégociation de la dette IHI 189Exemple 2:
Charles Warwick Reid 193
Exemple 3:
Diepreye Alamieyeseigha 198
Exemple 4:
Frederick Chiluba 202
Exemple 5:
Jack Abramoff 207
Exemple 6:
Joseph Estrada 213
Exemple 7:
Les contrats saoudiens et BAE Systems 218
Exemple 8:
Pavel Lazarenko 223
Exemple 9:
Le scandale de l'aéroport international de Piarco 228Exemple 10:
Télécommunications d'Haïti 234
Annexe E.
Description des structures juridiques de quelques
pays choisis 241Table des matières I vii
Glossaire
293Encarts
2.1L'origine du trust 21
2.2Tentative basique de dissimulation 32
3.1Créer une société écran 39
3.2 L'utilisation abusive d'une société écran 41 3.3 L'utilisation de sociétés inactives pour dissimuler les détenteurs de comptes bancaires 42 3.4 Une publicité typique pour des " sociétés inactives et vieillies » 43 3.5 Le blanchiment d'argent via une société-façade 45 3.6 Créer une société avec des instruments au porteur 47 3.7 L'utilisation abusive d'une société par actions au porteur 47 3.8L'utilisation abusive d'un trust 52
3.9 Dissimuler les produits de la corruption dans une fondation de bienfaisance 543.10 Obtenir des contrats publics frauduleux via une société en commandite ou en nom collectif 56
3.11 Blanchir de l'argent via une société unipersonnelle 57 3.12 " L'enchaînement » des structures juridiques pour dissimuler le bénéficiaire effectif 59
3.13 Développer un " flair » pour la complexité inappropriée 63 3.14 Mise en place d'un système formel de prête-nom pour
BCP Consolidated Entreprises (Nevada)
663.15 Les avantages en termes d'opacité au fait d'utiliser des prête-noms 68 3.16 Trouver les prête-noms : une vue de l'intérieur. 70 3.17 Le contrôle de structures juridiques par un homme de paille 70 3.18
L'expérience des Etats-Unis 71
4.1Le modèle de Jersey 85
4.2 Repérer les dirigeants disqualifiés au Royaume-Uni 89 4.3 L'index des dirigeants : RAS de Hong Kong, Chine 90 4.4 Le partage d'informations et les systèmes de communication financière à Singapour 90 4.5 Etablir une entité juridique au moyen de plusieurs PSST 95 C.1L'Ansalt au Liechtenstein 183
C.2La fondation à Panama 184
C.3 Les trusts VISTA des Îles Vierges Britanniques 187Illustrations
3.1 Exemple d'une juridique complexe mais légitime 61 4.1 Types d'informations collectées par les registres sur les structures juridiques 80 4.2 L'exercice d'équilibre des registres de sociétés 82 4.3Les capacités de recherche étendue offertes publiquement par le registre des sociétés du Dubai International Financial Centre 87
4.4 Les capacités de recherche étendue offertes publiquement
par l"ICRIS Cyber Search Centre dans la RAS de Hong Kong, Chine 884.5 Types d"informations mis en ligne par les registres 89 4.6
Exigences de présentation d"une pièce d"identité lors de la création d"une société (pays de l"OCDE étudiés) 101
4.7Exigences de présentation d"une pièce d"identité lors de la création d"une société (autres pays) 102
4.8Exigences de présentation d"une pièce d"identité lors de la création d"une société (globalement) 103
A.1GAFI - Recommandation 5 123
A.2GAFI - Recommandation 12 124
A.3GAFI - Recommandation 33 126
A.4GAFI - Recommandation 34 127
B.1 Questionnaire: les règles appliquées par les institutions financières concernant le bénéficiaire effectif et leur application 136B.2
Questionnaire : Projet Enquêteurs 163
C.1 Composition détaillée de l"activité économique exercée aux Etats-Unis par type de structure telle que vérifiée par les données iscales de l"Internal Revenue Service 176Tables
3.1Deux exemples dans lesquels l"enregistrement des sociétés dirigeantes est appréhendé par le droit 61
3.2 Exemples où les prête-noms sont envisagés par la loi 69 B.1 Base de données des dossiers de grande corruption : exposé des dossiers 132 B.2 Base de données des dossiers de grande corruption : structures juridiques 133 B.3 Base de données des dossiers de grande corruption : statistiques-clés 134 B.4Résultats complets du premier audit 154
B.5 Résultats complets du second audit (réponses non-conformes en italique) 157 B.6Résultats combinés 158
E.1Sociétés
242E.2 Sociétés exemptes / International Business Companies 257 E.3
Limited Liability Companies 264
E.4 Sociétés en nom collectif (partnerships) 270 E.5 Sociétés en commandite (limited partnerships) 272 E.6Trusts
276E.7
Fondations
287viii
I Table des matières
Avant-propos
On estime que la corruption représente un montant d'au moins 40 milliards de dollars (USD) par an. Chaque jour, de l'argent destiné aux écoles, à la santé et aux infrastruc tures dans les économies les plus fragiles du monde, est siphonné et caché dans les centres nanciers mondiaux et les paradis scaux. La corruption, à la manière d'une maladie, ronge les bases mêmes de la conance des populations dans leurs gouvernements. Elle mine la stabilité et la sécurité des nations. Elle constitue donc un dé au développement à plus d'un titre : elle aecte directement l'aide au développement, mais elle aecte également les conditions préalables à la crois sance et à plus d'équité. Il nous faut donc une mobilisation au plus haut niveau pour combattre ecacement la corruption.Ce rapport,
Les Marionnettistes, traite des entreprises et des structures nancières quiquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] Guide d utilisation «Extranet Formation» V3.6
[PDF] STATUTS de l ASSOCIATION pour le DEVELOPPEMENT des ACTIVITES PHYSIQUES, SPORTIVES, de SANTE, et de SECOURISME et activités diverses
[PDF] ATTESTATION SCOLAIRE DE SECURITE ROUTIERE (ASSR) - NIVEAU 1 5 ème
[PDF] Aide aux Clubs Formateurs
[PDF] PRÉSENTE QUÉBEC 2015 PLAN DE RECONNAISSANCE DES PARTENAIRES
[PDF] REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS. LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE COMMERCIALE, a rendu l arrêt suivant :
[PDF] LYCEE PROFESSIONNEL BEL AIR TINTENIAC
[PDF] Partenariats et commandites
[PDF] Règles pour l application du dispositif de formation. Société de l assurance automobile du Québec
[PDF] Guide de l adhérent/ Manuel d utilisation Simpl-IR «Paiement des Versements des prélèvements sur revenus salariaux et assimilés»
[PDF] Par le remboursement de frais facilitant la réalisation d activités sportives ou de loisir, permettre à la personne accidentée :
[PDF] DEVENEZ MEMBRE DU CLUB MONS 2015 ENTREPRISES
[PDF] LA CONDUITE ENCADREE. Article R211-5-2 Version en vigueur au 26 janvier 2010, depuis le 21 décembre 2009
[PDF] Sommaire. 1. La fonction de président. Avant-propos... p. 11 Introduction... p. 13. I Le président, les statuts et la réglementation... p.