[PDF] RAPPORT DACTIVITÉ 2015 PERSPECTIVES 2016

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RAPPORT D'ACTIVITÉ 2015PERSPECTIVES 2016

RAPPORT D'ACTIVITÉ 2015 PERSPECTIVES 2016

3 sommaire e

DITORIA

l 5 1 R e

PARTIe: COnTexTe gÉnÉRAl

1. Un plan d'action sur deux ans 7

2. SMart In Progress : une participation sans précédent 10

3. Cadre général de l'entreprise 12

4. L'année en quelques chiffres 15

2 e

PARTIe: Une enTRePRIse D'ÉCOnOmIe sOCIAle

1. Les outils : Contrats et Activités 21

2. Assurances et sécurité et santé au travail

23

4. Locations de vans 26

3 e PARTI e: C R e ATIV e sPOT s

2. Des foyers d'activation culturelle 34

4 e PARTI e: s e RVIC es D ACCO m PA gnemen T P e R s O nnels

3. Recherches et études 40

5 e PARTI e: eVÉ nemen T s e T PART en ARIAT s

2. Des partenariats pour agir sur la vie culturelle locale 56

4. Tout Autre Chose 61

6 e PARTI e: Des R g IO ns à l' eUROP e 63

1. Un groupe international 65

3. Des projets transfrontaliers ou transnationaux 68

7 e PARTI e: Q U el QU es fAITs mARQUAnTs en 2015 71 8 e PARTI e: nO s PART en AIR es 73
rapport

D'activité 2015PERSPECTIVES 2016

RAPPORT D'ACTIVITÉ 2015 PERSPECTIVES 2016

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RAPPORT D'ACTIVITÉ 2015

PERSPECTIVES 2016

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RAPPORT D'ACTIVITÉ 2014

PERSPECTIVES 2015

5Ecrire l'édito d'un rapport d'activité, c'est toujours un p

eu la même chose. Il faut comparable à la conduite d'un véhicule en marche arrière avec un simple rétroviseur. Heureusement, le rapport d'activité 2015 comporte aussi des perspectives 2016 et informations mais aussi de laisser une trace. L'ambition de transformation sociale que poursuit SMart s'inscrit d ans un continuum. Prendre soin de raconter ce que nous avons fait, comment et pour quel résul tat, ce un continuum. Continuer à s'astreindre collectivement à décrire avec précision ce que nous avons fait est certainement la meilleure protection contre le détournement marquants de cette année 2015 sont décrits plus loin en détail. prenantes (membres, donneurs d'ordre, travailleurs permanents, partenaires...) dans parmi nos membres, ont été privés de travail et donc de rémunération au lendemain des attentats. Pour terminer, je souhaite saluer la capacité de résilience de notre équipe de travail tion bureaucratique. sandrino graceffa a D m i n istrate u r D l ég u

édito

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RAPPORT D'ACTIVITÉ 2015

PERSPECTIVES 2016

6 1 Re

PARTIe :

Con TE x TE

Géné

RAL

Contexte général

En juin 2014, nous avons lancé un plan d'action qui couvre une période de deux ans,

DES FINANCES PLUS SAINES

U

NE ORGANISATION PLUS EFFICACE

nous avons procédé à deux change- D'une part, nous avons assuré un rééquili (les conseillers) et les autres équipes. A la venus à une situation où les conseillers présents au sein de différents services.

D'autre part, nous avons repensé notre

hiérarchiques (le personnel se répartit restructuration, nous pouvons noter un

2014). En outre, cette réorganisation a

conduit à davantage de transversalité

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RAPPORT D'ACTIVITÉ 2015

PERSPECTIVES 2016

8 C O n T ex T e g n

ÉRA

l 1. Un PLA n D ACTI on SUR DEU x A n

SCOnTexTe gÉnÉRAl

1. Un PLA n D ACTI on SUR DEU x A n S

DE NOUVEAUX PUBLICS

deçà de toute stratégie de notre part, l'ouverture à de nouveaux secteurs d'activité que les artistes. 1

Activité à l'autre.

ver ou d'accéder à une protection sociale qui corresponde à celle du salariat. U NE D

ÉMARCHE

D

E COOPÉRATION

La décision a été prise en 2014 de trans

l'organisation de l'entreprise, la transpa dans des ateliers, les questions que nous nous posions. n ous avons ainsi engagé qui vise à faire en sorte que le passage en coopérative ne soit pas juste une for- autant que faire se peut. 1

La question posée était :

pour - Les artistes et créatifs exclusive- 32,3%

41,4%.

Pour l'intégralité du sondage voir

uploads/2015/07/Quel-avenir- pour-SMart-RESULTATS.pdf

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RAPPORT D'ACTIVITÉ 2015

PERSPECTIVES 2016

10 C O n T ex T e g n

ÉRA

l 2. SM ART In P R o GRESS : UnE PARTICIPATIon SAnS PRéCéDEnTCOnTexTe gÉnÉRAl 2. SMART In PRoGRESS : UnE PARTICIPATIon SAnS PRéCéDEnT une participation sans précédent prochaine en coopérative. la disposition de nos utilisateurs.

LES " WRITINGS »

le projet doit continuer au-delà du 28 sur leur entreprise partagée ne peut se - toujours participatif. L

ES WORKSHOPS

chacun sur une question-clé )" Devenir une coopérative : pour qui et ) " Créer et développer son activité : )" Une entreprise partagée et participa- de travail soutenu, à raison de cinq ou six (longues) réunions pour chacun, sans tion, etc. Ils ont en outre été l'occasion de

L'Escaut, une coopérative d'architectes

et de scénographes active à Bruxelles pérative gantoise d'achats groupés, ou encore LaGrappe, espace de co-working

SMart France, à Lille.

Les réflexions développées dans ce

tion de SMart.

LES " SMALL TALKS »

villes où SMart est installé. Elles ont per- et partenaires - ou à toute personne inté ressée par le processus - de participer des workshops, de recueillir les réactions à chaud, échanger les points de vue et -

Charleroi, Anvers, Gand, Mons, Louvain-

La- n euve et Bruxelles ont réuni plus de

150 personnes.

U

N BLOG

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PERSPECTIVES 2016

12 C O n T ex T e g n

ÉRA

l 3. C ADRE G

éné

RAL DE

L'EnTREPRISECOnTexTe gÉnÉRAl

3. C ADRE G

éné

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