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  • Comment définir la culture d’entreprise ?

    La culture d’entreprise est un pilier stratégique pour optimiser l’expérience des employés mais aussi des clients. Elle joue un rôle prépondérant dans la rétention du personnel mais permet aussi d’attirer les meilleurs talents. Mais comment définir la culture d’entreprise ? Quels sont les différents types de cultures ?

  • Comment définir la culture ?

    Car définir la Culture, doit différer et se débarrasser des jugements de valeurs et des jugements moraux. Nous avons tendance à penser la Culture comme un noyau dur inaltérable qui ne changerait que par « périodes » ou « stades » de l'évolution humaine. Mais la Culture est une affaire de tous les jours

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INFORMATIONS INTERNES sur

L'AGRICULTURE

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Conséquences écologiques

de l'application des techniques modernes de production en agriculture

COMMISSION DES COMMUNAUTES EUROPEENNES

DIRECTION GENERALE DE L'AGRICULTURE

Direction Economie Agricole-Division Bilans, Etudes, Informations Statistiques La reproduction, même partielle, du contenu de ce rapport est subordonnée

à la mention explicite de la source

CORRIGEIDUX

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COMMISSION DES COMMUNAUTES EUROPEENNES

INFORMATIONS INTERNES sur

L'AGRICULTURE

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AVANT-PROPOS

La présente étude a été entreprise dans le cadre du programme d'études de la Direction Générale de l'Agriculture de la Commission des Communautés européennes. L'étude a été rédigée par le Professeur A. NOIRFALISE de la Fa culté des Sciences Agronomiques de Gembloux (Chaire d'Ecologie) avec les collaborateurs scientifiques suivants : -MM. R. LECOMTE, G. DROEVEN, J. BERNARD, L. RIXHON, A.CROHAIN, M. DARCHEVILLE et J. TAHON du Centre de Recherches Agro nomiques de Gembloux. MM. P. MARTENS, L. SINE, J. LECLERCQ, J. CALEMBERT, R. CAUSSIN, J. DENDAS et R. SAIVE de la Faculté des Sciences Agrono miques de Gembloux. La coordination des travaux a été assurée par la division 11 Bi lans, Etudes, Informations Statistiques". Ont participé également aux travaux d'autres services de la Direction Générale de l'Agricul ture, du Service de l'Environnement et de la protection des consomma teurs et de la Direction Générale Recherche, Science et Education. Cette étude ne reflète pas nécessairement les opinions de la Commission des Communautés Européennes dans ce domaine et n'anticipe nullement sur l'attitude future de la Commission en cette matière.

S 0 M M A I R E (1)

AVANT-PROPOS

CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS

INTRODUc·riON

I. Méthodes culturales modernes

II. III. IV.

ANNEXES

Utilisation intensive des engrais chimiques

Utilisation intensive des biocides agricoles

Les hautes densités zootechniques

I. Méthodes culturales modernes

II. Utilisation intensive des engrais chimiques

III. Utilisation intensive des biocides agricoles

IV. Hautes densités zootechniques

v. Influence des fertilisants sur la qualité des pro duits végétaux.

VI. L'eutrophisation des systimes aquatiques

Bibliographies.

Pages 1 4 17 39
58
(1) une table des matières détaillée se trouve à la fin du volume

CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS

INTRODUCTION.

D'importantes mutations se produisent de nos jours dans l'agriculture européenne. Elles portent sur les structures agricoles, les systèmes de culture et d'élevage et les techniques de production. Elles affectent l'ensemble du secteur d'une manière profonde et certainement irréversible. Elles n'ont pas comme seul incitant la recherche du profit maximum, mais procèdent plus profondémentde une politique concertée des pouvoirs publics, à savoir le souci de fournir aux populations un appro visionnement abondant et varié en denrées alimentaires, au meilleur prix possible, tout en sauvegardant la parité des revenus du monde agricole avec les autres professions. Les deux objectifs ne pouvaient être atteints de façon simultanée sans une valorisation optimale du sol et de la main d'oeuvre et une intensification des procédés de production. Si ces mutations technologiques sont à la fois inévita bles et justifiées sur le plan socio-économique, il n'en demeure pas moins qu'elles pourraient affecter la qualité de l'environnement et de ses res sources, à court, moyen ou long terme. Du fait qu'elles concernent des surfaces considérables de l'espace agricole, elles confèrent aussi à ce problème une dimension exceptionnelle. Il est donc important de s'inter roger à cet égard et d'analyser les faits et les mécanismes en cause dans une réflexion prospective. Cette nécessité est d'autant plus impérieuse que les mutations de l'agriculture moderne se produisent au moment où la société contemporaine assigne aux campagnes des fonctions nouvelles et multiples, à savoir une fonction hydrologique (sauvegarde des ressources aquifères), une fonction biologique (conservation de la vie sauvage), -2- une fonction résidentielle (résidences primaires et secondaires) et même une fonction récréative (activités de plein air) et culturelle (sauvegarde des cultures paysannes), qui s'ajoutent désormais à la fonction primaire de production et obligent à des conceptions plus intégrées de l'utilisation de l'espace rural. Telle est l'optique-foncièrement écologique-qui a présidé à l'élaboration du présent rapport, dans lequel on se propose d'a nalyser du point de vue de l'environnement les causes, les mécanismes et les conséquences de l'agriculture moderne intensive. Pour la clarté de l'exposé, la matière est répartie en quatre chapitres :

1. Conséquences des méthodes culturales modernes et de la mise à jour des

structures agricoles.

2. Conséquences de l'utilisation intensive des engrais chimiques.

3. Conséquences de l'utilisation intensive des biocides agricoles.

4. Conséquences des élevages de haute densité.

Le rapport est donc charpenté en fonction des causes technologiques qui sont susceptibles d'affecter la qualité et les potentia lités de l'environnement agricole. Mais les effets que ces causes induisent se recoupent et interfèrent les unes avec les autreso L'exemple le plus ty pique est celui des eaux naturelles dont la qualité peut être influencée à la fois par les systèmes de cultures,par l'emploi intensif des engrais et des biocides et par les hautes densités zootechniques. Un autre exemple est celui de l'appauvrissement biologique de l'espace agricole, qui peut procé der non seulement de l'emploi des biocides, mais aussi des nouvelles métho des culturales et des aménagements fonciers. Cette approche globale des phénomènes et des mécanismes est une contrainte essentielle de l'analyse écologique, mais en même temps son privilègeo -3- Le présent rapport énumère les conclusions et les recom mandations qui ont paru, à son auteur, découler de l'analyse des faits, exposée in extenso dans six annexes, intitulées comme suit :

I. Méthodes culturales modernes.

II. Utilisation intensive des engrais chimiques.

III. Utilisation intensive des biocides.

IV. Hautes densités zootechniques.

V. Influence des fertilisants sur la qualité des produits végétauxo

VI. L'eutrophisation des systèmes aquatiques.

-4-

I. METHODES CULTURALES IDDERNES.

a. D'importantes mutations affectent aujourd'hui les systèmes de cultu re traditionnels. On assiste, en effet, à une spécialisation des exploitations, qui tend à associer l'agriculture et l'élevage. Dans les grandes exploitations céréalières et betteravières, qui fonction nent sans bétail, les rotations classiques avec soles de fourrages et d'engrais vert et emploi du fumir de ferme, sont abandonnées. Les successions culturales sont donc simplifiées, ce qui a pour consé quence d'uniformiser les assolements; ce processus aboutit à la cons titution de vastes surfaces occupées par la même plante ou la même variété, et parfois à la succession d'un même crû sur lui-même.C'est le phénomène des "monocultures 11 • Pareils systèmes ont nécessairement recours à des applications plus régulières et plus intensives de biocides agricoles, afin de maîtriser la situation phytosanitaire et le salissement des cultures par les mauvaises herbes. b. Outre ces modifications des systèmes de culture , on constate que les travaux agricoles, du labour à la récolte, sont de plus en plus effectués par des machines combinées ou de grande envergure, tirées par des tracteurs de plus en plus puissants. Le trafic de ces engins lourds sur les terres risque de tasser le sol, d'affecter ses quali tés structurales et, partant, son potentiel de production. c. La refonte contemporaine des structures agricoles (remembrements, re groupements) est généralement assortie de travaux importants ayant -5- pour but d'adapter les exploitations à la nouvelle technologie. Les réaménagements fonciers entrainent des opérations diverses (éradica tion des haies et des bocages, reprofilage des cours d'eau et de la voirie, drainages ou irrigations) qui laissent des cicatrices dans le paysage traditionnel des campagnes et peuvent en modifier le tis su écologique et historique. d. L'assainissement économique des structures agricoles aboutit aussi à exclure des surfaces importantes de terres, déclarées marginales pour des raisons de sol, de situation ou d'exode agricole. Ces terres abandonnées posent des problèmes spécifiques d'entretien ou de réem ploi, spécialement dans les régions montagneuses. Tels sont les causes et les mécanismes en jeu; leurs con séquences sont analysées ci-après. a. De nombreuses expériences mettant en oeuvre des successions cultura les simplifiées, par exemple des successions betterave -céréale ou céréale -céréale se sont soldées après peu d'années par des chutes de rendement que l'on attribue tantôt à un épuisement chimique du sol, tantôt à une déviation de ses propriétés biologiques (fatigue du sol) ou physiques (régression structurale). L'analyse des résul tats oblige néanmoins à conclure que l'obstacle principal aux succes sions simplifiées est d'ordre phytopathologique (multiplication des maladies ou des ravageurs) et phytosociologiques (multiplication des mauvaises herbes), qu'un recours aux biocides agricoles permet de ne maîtriser que temporairement. -6- b. L'abandon des fumures organiques et des engrais verts ainsi que cer taines pratiques telle que le brûlage des pailles et des éteules, qui caractérisent l'agriculture des exploitations sans bétail, ont pour conséquence de diminuer à moyen terme la teneur en matière orga nique dans les sols. On a cependant constaté que cette teneur se sta bilise à la longue, grâce aux apports radiculaires et aux débris vé gétaux abandonnés sur le sol. Dans les terres de texture idéale (li mons), il n'apparaît pas que cette régression de la matière organi que affecte de façon significative la qualité structurale des sols, même après une dizaine d'années. En effet, les méthodes actuelles d'évaluation de l'état structural n'indiquent pas une détérioration perceptible, même quand les rendements diminuent effectivement pour d'autres raisons (maladies cryptogamiques, concurrence des mauvaises herbes). Néanmoins, les sols sablonneux et les sols lourds et argi leux paraissent à priori plus sensibles à une diminution du taux de matière organique et doivent être davantage surveillés à cet égard. c. L'abandon ou la réduction des fumures et amendements organiques diminua également la stabilité des grumeaux dans la couche arable. Cette modification sensibilise la surface du sol au ruissellement, au glaçage et à l'érosion pluviale en nappe. Des essais ont toute fois montré que la stabilité des grumeaux peut être récupérée par une seule culture améliorante de légumineuses. D'où l'importance d'une insertion périodique des sols de légumineuses dans les nouvel les sucessions culturales, afin d'augmenter la résistance du sol à l'érosion. d. Il serait du reste exagéré de ne prêter à la matière organique du sol qu'une fonction structurale. Elle intervient également comme source d'éléments nutritifs, qu'elle libère en se minéralisant, et comme source de facteurs biotiques de croissance, qui sont élaborés -7- par les populations bactériennes dont elle conditionne directement l'activité. Cette dernière fonction ne paraît pas négligeable à l'é gard de certaines cultures (plantes à tubercules, plantes-racines). Tous les agronomes s'accordent d'ailleurs à reconnaître que la con servation d'un taux optimum de matière organique dans les sols est l'objectif même des rotations agricoles et que les systèmes cultu raux, qui seraient moins conservateurs à cet égard, doivent faire l'objet d'une surveillance à long terme. a. Les mécanismes de l'érosion agricole par la pluie et le vent sont bien connus. L'érosion agricole est tolérable (érosion dite "norma le11) quand elle ne dépasse pas un seuil jugé dangereux pour la con servation indéfinie du sol. Les tolérances varient de 2 à 10 Tonnes/ ha-année (0,2 à 1 mm par an) selon les catégories de sols.Au-delà de ces tolérances, l'érosion est dite "accélérée" et dangereuse pour l'existence du sol à moyen et long terme. b. Les systèmes de culture ont des potentiels érosifs très différents, qui dépendent de la durée d'exposition du sol aux agents atmosphé riques et de la stabilité structurale qu'ils confèrent à la surface du sol, en entretenant ou modifiant la teneur en matière organique. Les systèmes traditionnels de culture basés sur les rotations poly valentes avec soles de légumineuses, de cultures fourragères ou de cultures dérobées étaient moins érosifs que successions simplifiées du type céréale -céréale ou betterave -céréale. Mais de toutes les cultures pratiquées en Europe, la plus érosive est celle du mais, pour diverses raisons : développement tardif, grand écartement des li gnes, concentration de la pluie par collecte des feuilles. L'exten sion récente et considérable de cette culture dans diverses régions -8- de l'Europe exige dorénavant une surveillance de ses effets érosifs. c. La contribution antiérosive de la flore adventice des cultures n'a guère été étudiée, ni d·'Jailleurs la tolérance des crûs à leur densi té. Il y a là un domaine à explorer en vue d'une adaptation des trai tements herbicides à des fins antiérosives. Les essais de culture sans labour et de travail minimum du sol sont également des nouveauquotesdbs_dbs17.pdfusesText_23
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