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LOTAN frappe au cœur de Belgrade

3 abr 2021 pourtant difficile de passer inaperçus avec ... Le travail n'est pas si difficile que cela : il ... laisser le temps de mener la cam-.



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 03/04/02

3 abr 2002 lore une foule en costumes sombres s'est stra- ... ciel du Fatah. Dans un communi- ... député des Hauts-de-Seine et porte-parole de cam-.



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 28/02/02

28 feb 2002 Le premier ministre israélien. Ariel Sharon



Prisons : laffaire de la Santé

18 ene 2017 27 janvier au 1er février l'affiche est particuliè- ... marche



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 28/01/02

27 ene 2002 Aujourd'hui elle est peu- plée de « parvenus »



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 01/07/02

30 jun 2002 Des historiens reviennent sur les 130 ans de tutelle féroce de la. France sur un pays qui ne s'en est pas relevé. Depuis la conquête en 1930



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 18/09/01

18 sept 2001 Victime d'un attentat-suicide commis le. 9 septembre le commandant Massoud



Enquête sur les faucons de Bush

3 oct 2002 William Kristol et qui pourrait passer ... ment légale car elle ne nécessite pas d'inter- ... L'important



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 13/10/01

13 oct 2001 ont lancé le 7 octobre une cam- pagne de bombardements aé- riens contre l'Afghanistan. Ces frappes constituent le premier.



GUIDE PRATIQUE LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET LE

LE BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET LE FINANCEMENT DU TERRORISME INCLUS MESURES DE GEL DES AVOIRS À jour de l ordonnance n° 2020-115 du 12 février 2020 renforçant le dispositif de lutte contre le blanchiment et le nancement du terrorisme et des décrets d application ainsi que de la réglementation sur le gel des avoirs

[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES<UNE>  18/09/01 www.lemonde.fr 57
e

ANNÉE - Nº 17618 -7,90 F - 1,20 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINE -- FONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY - DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMARDI 18 SEPTEMBRE 2001

ENQUÊTE

Les rêvesde Massoud

Victime d"un attentat-suicide commis le

9 septembre, le commandant Massoud,

chef de l"opposition aux talibans d"Afghanistan, rêvait de paix. Un repor- ter du journal polonaisGazetal"avait rencontré quelques jours avant Noël

2000." La guerre ne résout rien »,

disait-il, en répétant :" Je suis prêt à lut- ter jusqu"à la fin de mes jours. » p. 11

AVEC " THE NEW YORK TIMES »

After theTragedy

SOMMAIRE

bLes Etats-Unis préparent leur riposte :Le Pakistan fait pression sur les talibans pour qu"ils livrent Oussa- ma Ben Laden. Mission de la derniè- re chance chez le mollah Omar. Un entretien avec le chercheur Christo- phe Jaffrelot. L"Iran se découvre des intérêts communs avec Washington.

L"Irak reste une cible tentante pour

l"équipe Bush. Le président et son

équipe à Camp David. Le rôle du

Conseil de sécurité de l"ONU.

p.2à5 bL"enquête et le réseau Ben

Laden :Le parcours des kamikazes

n"aura bientôt plus de secrets pour les Américains. Le point sur l"enquê- te du FBI : les certitudes, les hypothè- ses. A Bruxelles, la crainte d"autres attentats en Europe. Les réseaux isla- mistes en Italie. p. 6 - 7 bLa réouverture des marchés amé- ricains :Wall Street compte sur le patriotisme pour ne pas s"effon- drer. Entre récession et rebond, le sort de l"économie mondiale se joue

à Manhattan. Situation critique

pour des compagnies aériennes. Le risque amiante. p. 8 - 9 bLa situation au Proche-Orient :La rencontre entre Shimon Pérès et Yas- ser Arafat pourrait avoir lieu après

48 heures de cessez-le-feu.

p. 10 bLa mort du commandant Mas- soud :Les paroles de paix du chef de la résistance aux talibans. p. 11 bHorizons-Débats :Points de vue de Chris Cramer et Tony Judt. p. 12 bHorizons-Entretiens :L"analyse de

Gérard Chaliand.

p. 13 bHorizons-" New York Times » :

Les lendemains de tragédie racontés

et analysés par le grand quotidien new-yorkais. p. 14 bHorizons-Analyses :Les analyses d"André Fontaine et de Jacques

Isnard. Notre éditorial : " La guerre

des mots ». p. 16 b" Le Monde Economie » :Dans notre supplément, un dossier sur l"ar- gent du terrorisme et un entretien avec le juge Van Ruymbeke.

Sur notre site www.lemonde.fr, un

suivi de l"information en continu.

En association avec leNew York Times,

Le Mondepublie durant une semaine

unepage en anglaispréparée parla rédac- tion du quotidien américain. A lire cha- que jour en v. o. : reportages, enquêtes et analyses après la tragédie. p. 14 Lundi, 9 h 32, lÒheure de vérité pour Wall Street, ì deux pas des ruines

NEW YORK

de notre correspondant " Nous surmonterons cette tragédie. Les actions seront ì nouveau échangées lundi matin. Personne ne changera la fañon de vivre des Amé- ricains. »Par ces mots, Richard Grasso, prési- dent du New York Stock Exchange (NYSE), a défini, dimanche 16 septembre au soir, lÒenjeu de la bataille qui se déroule ì Wall Street. Après six jours sans cotation, du jamais-vu depuis la première guerre mondiale, New York a fait de sa capacité ì redevenir le cÞur de la finance mondiale un test de son patriotisme et une réponse aux attentats. Depuis samedi matin, jour et nuit, une armée dÒouvriers et de techni- ciens a envahi les rues étroites du Financial Dis- trict, au sud de Manhattan, ì quelques centai- nes de mètres seulement des décombres du World Trade Center. Lì sÒéchangent chaque jour, en temps normal, plus dÒactions que sur toutes les autres Bourses de la planète réunies.

A la lueur des projecteurs, au milieu de la

poussière soulevée par les tonnes de débrisretirés des ruines toutes proches, des centai-

nes dÒhommes masqués et casqués sÒactivent pour rétablir les communications, lÒélectricité, nettoyer les rues et les bítiments. Des techni- ciens entrent et sortent des bouches dÒégouts, sÒaffairent autour des relais et des boôtes de connexion, déroulent des centaines de mètres de cíbles sur les chaussées. La station de métro de Fulton Street a été partiellement rou- verte. LÒodeur de brûlé est toujours présente, mais les cendres et la poussière ont presque disparu.

Les camions, les remorques, les fañades sont

pavoisés de bannières étoilées. La plus grande se trouve ì Broad Street sur la fañade du NYSE, qui a retrouvé un blanc immaculé." Vous pou- vez compter sur nous, cela va fonctionner demain », affirme, dimanche après-midi, un ouvrier du groupe électrique Con Edison, devant le building de JP Morgan, au 60, Wall

Street, tandis que trois personnes nettoient le

trottoir au jet dÒeau.

LÒenvers du décor est moins réjouissant. Denombreuses institutions financières ont dû se

rabattre sur leurs salles de marché de secours. La plupart des immeubles nÒont pas récupéré la moitié de leurs lignes téléphoniques et de leur alimentation en énergie. Certaines socié- tés dont les bureaux étaient installés au World

Trade Center ne reprendront peut-être jamais

leur activité. Juste derrière Wall Street, ì

William Street, les voitures sont toujours cou-

vertes de poussière, de gravats et des feuilles de papier déchiquetées, dispersées par lÒeffon- drement des Twin Towers.

La réouverture de la Bourse, dans ces condi-

tions, est un acte de foi et une prise de risque considérable." Notre nation sÒest toujours ral- liée autour du drapeau dans les périodes tragi- ques », affirme la société de Bourse

AG Edward & Sons.

Après deux minutes de silence, lundi ì 9 h 32 (heure locale), Wall Street devait connaôtre son moment de vérité.Eric Leser

France-Société............. 17

Régions......................... 22

Entreprises................... 23

Tableau de bord .......... 24

AujourdÒhui.................. 27

Météorologie-Jeux...... 30Culture .......................... 31

Guide culturel.............. 33

Carnet............................ 35

Kiosque ......................... 36

Abonnements .............. 36

Radio-Télévision......... 37

POINT DE VUE

Regardonsla réalité en face

par Susan Sontag

SPORTS

L"hommagede la F 1

a

SELONun sondage Ipsos,68 %

des Français sont favorables à une participation de la France à une ripostemilitaire décidée parles Etats-

Unis et l"OTAN. Mais la prudence, la

méfiance, voire l"hostilité envers les

Etats-Uniss"exprimentaussi. Unepar-

tie de l"opinion distingue la compas- sion envers le peuple américain du soutien à la politique de ses diri- geants. Les forums de discussion sur le site duMondetraduisent cet état d"esprit. A la Fête deL"Humanité, des militants communistes ont dit leur opposition au discours" agressif »de

George W. Bush. José Bové," améri-

canophile »,maintient sa critique du " modèle néolibéral ».

Lire page 17

P

OUR une Américaine et

New-Yorkaise épouvan-

tée et triste, l"Amérique n"a jamais semblé être plus éloignée de la reconnaissance de la réalité qu"en face de la mons- trueuse dose de réalité du mardi

11 septembre.

Le fossé qui sépare ce qui s"est

passé et ce qu"on doit en compren- dre, d"une part, et la véritable duperie et les radotages satisfaits colportés par pratiquement tous les personnages de la vie publique américaine et les commentateurs de télévision, d"autre part, cette séparation est stupéfiante et déprimante.

Les voix autorisées à suivre les

événements semblent s"être asso-

ciées dans une campagne destinée

à infantiliser le public. Qui a recon-

nu qu"il ne s"agissait pas d"une " lâche »agression contre la" civi- lisation »ou la" liberté »,ou l"" humanité »,ou encore le" mon- de libre »,mais d"une agression contre les Etats-Unis, la superpuis- sance mondiale autoproclamée, une agression qui est la consé-quence de certaines actions et de certains intérêts américains ? Com- bien d"Américains sont au courant de la poursuite des bombarde- ments américains en Irak ? Et puis- que l"on emploie le mot" lâche- ment »,ne devrait-on pas l"appli- quer à ceux qui tuent hors du cadre des représailles, du haut du ciel, plutôt qu"à ceux qui acceptent de mourir pour en tuer d"autres ?

Quant au courage - une vertu

moralement neutre -, quoi qu"on puisse dire de ceux qui ont perpétré le massacre de mardi, ce n"étaient pas des lâches.

Les dirigeants américains veulent

absolument nous faire croire que tout va bien. L"Amérique n"a pas peur. Notre résolution n"est pas brisée." Ils »seront pourchassés et punis (qui que soit ce" ils »). Nous avons un président-robot qui nous assure que l"Amérique a toujours la tête haute.

Lire la suite page 17Susan Sontagest écrivain.

" Le stade ultime du terrorisme »

Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 10 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 48 FB ; Canada, 2,50 $ CAN ; CÙte d"Ivoi-re, 900 F CFA ; Danemark, 15 KRD ; Espagne, 250 PTA ;Gabon, 900 F CFA ; Grande-Bretagne, 1 £ ; GrËce, 500 DR ;Irlande, 1,40 £ ; Italie, 3000 L ; Luxembourg, 46 FL ; Maroc,10 DH ; NorvËge, 14 KRN ; Pays-Bas, 3,30 FL ; PortugalCON., 300 PTE ; RÈunion, 10 F

;SÈnÈgal, 900 F CFA ;SuËde, 16 KRS ; Suisse, 2,20 FS ; Tunisie, 1,4 Din ; USA(NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.

SPÉCIALISTEdes questions géo-

stratégiques, des guérillas et du ter- rorisme, Gérard Chaliand explique : " Ce n"est pas la guerre, ce n"est pas une guerre. La riposte américaine ne débouchera pas sur un conflit d"en- vergure. C"est le stade ultime du terro- risme classique. »

Lire page 13

GÉRARD CHALIAND

En France, soutien

et méfiance

A. NEMENOV/REUTERS

Le Grand Prix de formule 1 d"Italie

n"a pas ressemblé aux autres épreu- ves du championnat du monde. La minute de silence des pilotes avant l"épreuve (photo) comme l"absence de mention des sponsors sur la livrée des Ferrari ont témoigné de l"homma- ge des sportifs. Le brassard noir au bras du vainqueur, le Colombien Juan

Pablo Montoya, soulignait cette

ambiance étrange. p. 28

LUCA BRUNO/AP

Ultimatum aux talibans, inquiétude ì Wall Street

bAligné sur les Etats-Unis, le Pakistan donne trois jours à l"Afghanistan pour livrer Ben LadenbL"enquête du FBI sur les kamikazes avance à grands pas,

mais la crainte de nouveaux attentats demeure

bLe sort de l"économie mondiale est suspendu à la réouverture, lundi, de la Bourse de New York

3:HJKLOH=UU\^U\:?a@j@b@s@k;

M 0147 - 918 - 7,90 F - 1,20 ELES INITIATIVESLES MUTATIONS DEMANDEZ NOTRE SUPPLÉMENTBy MICHAEL R. GORDON

WASHINGTON, Sept. 16 - When

President Bush and his top aides talk

about military action to end Afghani- stan"s support for terrorism, they are focusing on attacks to punish the Tali- ban and undermine their control over the country, not on a full-scale Amer- ican occupation.

No war plan appears

to have been agreed upon, and offi- cially, the Bush administration insists that no options have been excluded.

The administration, however, is pre-

paring a powerful military strike if the

Taliban, as expected, refuse to hand

over the terrorist Osama bin Laden and shut down his terrorist network.

The blow would be intended not only

to destroy terrorist bases in Afghani- stan but to demonstrate to other na- tions that there is a heavy cost to be paid for regimes that shelter enemies of the United States.

A principal option is to intervene

militarily in Afghanistan"s civil war on the side of the Taliban"s foes: the be- leaguered Northern Alliance, which claims just a sliver of Afghanistan"s territory. It was weakened further when its leader, Ahmed Shah Mas- soud, died after a suicide bomb attack committed just days before the raids in New York and Washington.

At the same time, the United States

would apply additional pressure, for example, by persuading Pakistan to stop shipments of fuel to its neighbor- ing Afghanistan.

Such steps may fall short of a knock-

out blow to the Taliban. Complicating the administration"s planning, the ele- ment of surprise has been lost. The Tal- iban and Mr. bin Laden"s men are ex- pecting a bombing attack and have been evacuating their camps and bases, according to American intelligence.

But there is a recognition that to go

further by invading and occupying Af- ghanistan with thousands of troops would place the United States at odds with much of the Islamic world and is fraught with enormous dangers.

The administration seems to be

grappling for a plan involving air pow- er, and potentially ground troops, that is more forceful than the cruise missile strike that the Clinton administration launched in 1998 against Mr. bin Laden in Afghanistan, with little effect, but that is less than the huge air and ground offensive that the United States launched in the Persian Gulf war.

Administration officials indicated

that military action against Afghanistan need not be an urgent matter since the element of surprise had been lost. In- deed, the Pentagon will need time to pos- ition its forces if it decides to carry out a major attack in a distant region like Af- ghanistan, far from American bases.

But administration officials also

know that politically it will be easy to take action while world outrage over the terrorist attacks against the World

Trade Center and the Pentagon is still

fresh.

The military action being planned

for Afghanistan is part of a broader diplomatic and military policy of hold- ing nations accountable that provideworks. But since the terrorists are hard to find, Washington is focusing not just on them but on the regimes that back them. Certainly capturing a terrorist or enemy leader is one of the most difficult of military tasks.

The American military tried in vain

to capture the Somali warlord Mu- hammad Farah Aidid. And it failed to break Saddam Hussein"s hold on pow- er, and the NATO air war to evict Yu- goslav forces from Kosovo did not lead to the immediate capture of the Yugo- slav leader Slobodan Milosevic.

The first Bush administration suc-

ceeded in apprehending Manuel Norie- ga, the Panama strongman. But Wash- ington had many advantages, includ- ing American military bases and air- fields in Panama.

But Mr. bin Laden has been elusive

and has based himself in a rugged re- gion, remote from American bases and forces. Vice President Dick Che- ney said Sunday that the United States was not even sure he was still in Af- ghanistan. Faced with a difficult task of targeting him, the Bush administra- tion has responded by enlarging the problem. The theory is that while the terrorist may be hard to find, a regime that shelters them is not. ''The terrorist organizations them- selves and the terrorists don"t have targets of high value,"" Defense Secre- tary Donald Rumsfeld said Sunday on television. ''They don"t have armies and navies and air forces that one can go battle against. They don"t have cap- ital cities with high-value assets that they"re reluctant to lose.""

He added: ''Some of the countries

that are harboring terrorist networks do, in fact, have high-value targets.

They do have capitals. They do have

armies."" Deputy Secretary of State

Paul Wolfowitz spoke last week of

''ending states who sponsor terror- ism."" Officials say now that he mis- spoke, that he meant to say that the goal is ending state support.

In some cases, like Afghanistan, this

may be a semantic issue since the goal would be to dislodge the Taliban regime if it refused to cooperate with Washing- ton"s counterterrorism campaign.

In other cases, political, economic

and limited military pressure may be applied. The Bush administration has certainly not committed itself to in- vading all of the nations on the State

Department"s list of nations found to

help terrorists: Iran, Iraq, Sudan, Li- bya, Cuba and North Korea.

Recognizing the difficulty of its mil-

itary task, the Bush administration has also avoided building expectations that one or two raids would put an end to the threat. It is talking about a mili- tary campaign that would last years, not months. ''What we have to do is take down those network of terrorist organiza- tions,"" Mr. Cheney said Sunday. ''I

By DAN BARRY

Day after day come the numbers

that never seem to add up, from the number of the confirmed dead (190) to the number of those those still cat- egorized as ''missing"" (4,957). But of all the statistics being solemnly shared in the aftermath of the terror- ist attack on the World Trade Center last week, two in particular bleed the reservoir of hope.

Number of those rescued from the

rubble: five.

Number of those rescued since

Wednesday: zero.

Sunday, though he did not suggest that

quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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