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[PDF] Séquence sur le clonage Séance 1

Séquence sur le clonage

Séance 1

Document 1 : Une du Evening News de juillet 1978, à " bébé-éprouvettes »

Document 2 : couverture du magasine allemand Der

avril 1996

Document 3 : Caricature,

https://promphilo.blogspot.fr/2010/02/ Document 4 : Couverture de Philosophie magasine n°5, décembre 2006 / juin 2007 *Compléter les 3 premières lignes du tableau. fin du tableau.

Document 1 Document 2 Document 3 Document 4

Source

Nature

Thème

Message

implicite

Enjeu ?

Questions :

- -vous sensible à ce sujet ? Pourquoi ? - Quel est assistée et de la génétique, doit- ? Justifiez votre réponse.

Quelle problématique pour la séquence :

Séance 2 : Reproduction : la résurrection par clonage

Aux Etats-Unis, l'idée fait son chemin de remplacer un être disparu par son clone. Sans parler du

clonage thérapeutique.

Le 18 février 2002, Carrie Potts, 27 ans, mariée, mère de trois enfants, se suicide d'une balle dans la

tête à Magnolia, au Texas. Quelques jours plus tard, sa mère, Jaime Wallace, 52 ans, ex-directrice du

marketing, prend une décision irrévocable : elle va ressusciter sa fille en faisant naître une enfant qui

sera la réplique exacte de Carrie, son clone. Au départ, l'idée vient de Kyle, le fils aîné de Carrie, âgé

de 9 ans : "Un jour, Kyle m'a dit : "Grand-mère, ils disent à la télévision que les médecins vont faire

renaître les gens en les clonant. Il faut le faire pour maman." Je lui ai répondu : "Mon chéri, si on

faisait ça, la nouvelle Carrie ne serait pas ta mère, ce serait un bébé, elle ne saurait même pas qui tu

es." "Ça ne fait rien, moi je saurai qui elle est. " "Et qui s'occupera d'elle si je tombe malade?" "Moi, je

l'élèverai, c'est normal, c'est ma mère..."»

En se renseignant sur Internet, Jaime découvre que les techniques de clonage sont effectivement

applicables à l'homme. La résurrection de sa fille devient alors sa nouvelle raison d'être. En théorie,

pour créer le clone d'un humain, il suffit de posséder quelques-unes de ses cellules en bon état de

cellules provenant d'un ovocyte produit par une femme en état de procréer, dont on supprimera

modifiées, afin qu'elles forment un embryon, que l'on implantera ensuite dans l'utérus d'une mère

porteuse. L'enfant résultant de cette grossesse sera un jumeau parfait, décalé dans le temps, du

de sa fille. Puis, comme elle n'a plus l'âge de faire des enfants, elle cherche autour d'elle une femme

disposée à faire un don d'ovocyte. La meilleure amie de Carrie se porte aussitôt volontaire. "Ici, nous

sommes pragmatiques, nous croyons à la fois en Dieu et en la science. Avec le clonage, Dieu nous

donne une seconde chance. J'ai élevé mes filles seule, je travaillais douze heures par jour, je n'ai pas

pris le temps de m'occuper d'elles. Cette fois, je ne referai pas la même erreur.» Jaime a décidé d'être

patiente, et d'attendre que la technique du clonage humain soit au point, ce qui n'est pas le cas. Elle

refuse tout lien avec la secte des Raéliens, qui prétendent que les humains sont déjà des clones

d'extraterrestres. Le rêve de Jaime semble donc irréaliste, d'autant que l'establishment politique et

religieux américain est totalement opposé au clonage. Sept Etats américains ont déjà voté des lois pour

l'interdire.

Pourtant, Jaime n'est pas seule dans son combat. Dans plusieurs villes américaines apparaissent de

petits groupes d'activistes proclonage, qui se veulent "raisonnables», c'est-à-dire favorables à

l'intensification des recherches, afin de mettre au point dès que possible des techniques fiables.

Jaime fait partie d'une petite association baptisée Front uni pour les droits des clones, créée par un

New-Yorkais de 64 ans, Randolfe Wicker, dont la légitimité a été reconnue de facto en mars 2001,

lorsqu'il a été appelé à témoigner devant une commission du Congrès à Washington. Face aux

législateurs, M. Wicker a placé le débat sur le terrain de la morale et du droit : "L'ADN de chaque être

humain est sa propriété personnelle (...) et tout citoyen a le droit de décider quand et comment il va se

reproduire.»

Ce débat déjà complexe est encore obscurci par la confusion entre le clonage reproductif et le clonage

dit "thérapeutique». Denise Owens, 33 ans, vit à Palo Alto, en Californie, avec son mari et ses deux

filles jumelles de 7 ans. L'une de ses filles, Haley, est atteinte d'une forme de diabète aigu, qui met sa

vie en danger. Après de longues recherches, Denise en arrive à la conclusion que le seul moyen de

guérir sa fille est d'accélérer la recherche sur le clonage thérapeutique, technique fondée sur le transfert

de nombreuses maladies génétiques. Dans le cas de la petite Haley, l'embryon modifié qui contiendrait

son ADN serait destiné à fournir des cellules souches capables de se transformer en n'importe quel

type de cellules composant le corps humain. En cultivant ces cellules souches in vitro, les généticiens

obtiendraient des cellules de pancréas saines, qui seraient transplantées dans le corps d'haley et iraient

réparer son pancréas déficient. Au cours de ce processus, l'embryon clone serait détruit.

Pour mener leurs recherches, les scientifiques doivent se procurer des embryons. Denise propose une

solution radicale : elle va tomber enceinte, puis se faire avorter, et faire don de l'embryon à une firme

de biotechnologie spécialisée dans le diabète. Après tout, aux Etats-Unis, seul le clonage reproductif

est interdit. Mais le projet de loi débattu à Washington vise à interdire à la fois le clonage reproductif

et le clonage thérapeutique. Partout, il faut compter avec l'activisme des opposants à l'avortement, qui

ont trouvé une nouvelle cause : la défense des embryons clones voués à la destruction. Selon eux,

quelques dizaines de cellules non fécondées, cultivées in vitro, constituent déjà un être humain.

Malgré ce climat incertain, l'un des laboratoires contactés par Denise semble prêt à tenter l'expérience,

développe rapidement. A Los Angeles, deux couples de producteurs de cinéma, qui ont chacun un

enfant atteint de diabète aigu, ont créé une association, Cures Now, afin d'empêcher le vote à

Washington du projet de loi interdisant le clonage thérapeutique. Avec le soutien de grandes firmes

pharmaceutiques, ils ont produit une série de spots publicitaires diffusés par les stations de télévision,

qui vantent les mérites des futures thérapies géniques. Des associations de lesbiennes ont fait du "droit

au clonage» l'une de leurs grandes revendications, car il va enfin "briser le monopole des

hétérosexuels sur la reproduction». Dans les musées d'art contemporain, des artistes montent des

expositions de "bio-art» présentant le génie génétique comme un univers fascinant et plein de

promesses. Parmi eux, Hunter O'Reilly, belle et éloquente femme de 31 ans, mariée, sans enfant, est à

la fois professeur de génétique à l'université du Wisconsin et artiste plasticienne. "Je montre les

biotechnologies sous un jour positif, dit- humain comme les autres, ce ne sera ni un zombie ni un monstre. En plus, il ne sera pas exactement

Le généticien Gregory Stock, directeur du programme à Los Angeles, essaye de dépassionner le débat

: "Je connais même un médecin dont le fils est mort dans un accident, et qui a décidé de se faire

cloner. Alors oui, bientôt, des enfants issus du clonage vivront parmi nous. Où est le drame?» Selon

lui, la polémique autour du clonage reproductif n'est qu'une diversion orchestrée par les mouvements

religieux conservateurs, dont l'objectif réel est de faire interdire le clonage thérapeutique, ce qui serait

une catastrophe scientifique. Il re

se pratique déjà lors de fécondations in vitro, et prédit que, dans l'avenir, "on manipulera l'embryon à

volonté, pour obtenir des enfants dotés de caractéristiques physiques ou intellectuelles. Cela posera

question accessoire».

Article de Yves Eudes, Le Monde, 25 juin

1) Lisez le texte suivant puis complétez le tableau. Pour chaque personne ou groupe cité,

cochez F s il est favorable au clonage reproductif, D s il y est défavorable, puis précisez les motifs et les arguments avancés. F D

Arguments / motifs

Jaime Wallace (lignes 1 à 4 ; 18 à 22 )

25)

Randolfe Wicker (lignes 29 à 33)

2. Jaime Wallace ne peut pas réaliser son projet pour deux raisons. Lesquelles (lignes 21

à 25)?

clone. Cette seconde partie aborde le clonage thérapeutique. Quel est son objectif? Que -44)

4. Pour chaque personne ou groupe cité, cochez F s il est favorable au clonage

thérapeutique, D s il y est défavorable, puis précisez les motifs et les arguments avancés.

F D

Arguments / motifs

Denise Owens et son mari (lignes 34-44)

51)

Les firmes pharmaceutiques (lignes 55 à

57)
tableau. F D

Arguments / motifs

Certaines associations de lesbiennes

(lignes 57 à 58)

Hunter O Reilly (lignes 60 à 65)

6. Le journaliste prend-il position? Justifiez.

1. Pour chaque argument précisez s il se rapporte au clonage humain thérapeutique ou

reproductif puis classez les dans le tableau

1. La société pourrait avoir besoin de clones humains spécialisés pour remplir certains rôles

particuliers, par exemple des individus spécialement résistants aux radiations, ou dotés d'une

toute petite taille pour les vols à haute altitude et les vols spatiaux.

2. Des clones humains sauraient qu'ils sont des clones et ils se sauraient aussi reconnus tels

par autrui. Comment pourrait-on vivre en étant le double de quelqu'un, dépourvu d'identité propre?

3. Le clonage est un moyen de pérenniser sa personne, en quelque sorte, de devenir immortel

à travers son clone.

4. Prédéterminer non pas quelques mais bien toutes caractéristiques d'un être humain fait de

lui la véritable chose de son ou ses décideurs

5. Comme le clonage reproductif est asexué, il se pose la question de la filiation : l'individu né

serait à la fois le descendant d'un adulte et son jumeau.

6. Le clonage humain est un moyen de reproduire "les individus supérieurs».

7. Un cancéreux qui a besoin d'une greffe de moelle osseuse mais ne trouve pas de donneur

approprié pourrait se cloner, grâce à un ovocyte prélevé chez une femme consentante. En

quelques jours l'embryon produirait des cellules souches utilisables pour une transplantation. il n'y a pas implantation de l'embryon dans un utérus.

8. Une personne n'est pas un objet ; elle est née de l'amour conjugal des parents. Les enfants

ont le droit d'être procréés et non pas produits.

9. Le clonage pourrait être une technique supplémentaire pour les parents infertiles, pour les

mères célibataires, pour les couples homosexuels qui invoquent un droit à l'enfant.

10. Le corps humain est la propriété de Dieu et non pas le laboratoire de l'homme.

11. Le jumeau cloné remplaçant le fils impossible ne reproduirait pas la personnalité de son

double génétique. Plus encore que de vrais jumeaux, ces deux êtres, le clone et le cloné,

vivant dans le décalage temporel et culturel, auraient toutes les occasions d'être différemment

impressionnés par les aléas de la vie.

malheureux, impersonnel, qu'il s'en prendra, mais à cet être bien réel dont la volonté l'a

façonné ainsi.

13. Toute recherche sur l'embryon est inacceptable, car il s'agit d'un être humain à part

entière, au même titre qu'un bébé ou qu'un adulte.

14. Les intérêts financiers seraient considérables, notamment avec le marché de la

reproduction, les brevets des techniques, ce qui permettra aux entreprises telles que CLONAID de toucher des "royalties" sur toutes les naissances provoquées par son procédé.

15. Cloner une personne consisterait à façonner un être selon sa propre volonté, en

prédéterminant ses caractéristiques génétiques qui sont le fruit du hasard dans la reproduction

sexuée. On décidera de tout pour lui, ne serait-il pas alors une nouvelle forme d'esclave?

16. Un jeune embryon n'est qu'une boule de cellules sans caractéristiques humaines.

17. On pourrait envisager d'autoriser un couple, risquant d'avoir un bébé anormal, à faire un

clone. source de revenus pour des femmes pauvres.quotesdbs_dbs2.pdfusesText_2