Avant l'analyse de ces images, étiez-vous sensible à ce sujet ? Supports : - Les nouvelles «Journal d'un clone» de Gudule, «Clarisse» d Eric Simard, «Lüber
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[PDF] Journal dun clone » GUDULE - Académie de Lille
Traiter et analyser l'information : repérage, sélection, reformulation, hiérarchisation, analyse de la valeur Comprendre une stratégie d'explication, d' argumentation
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2) Pourquoi l'auteur a-t-elle choisi de faire raconter cette histoire par ce personnage ? 3) Quel traitement Yannick fait-il subir à son clone ? Relève quatre
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Avant l'analyse de ces images, étiez-vous sensible à ce sujet ? Supports : - Les nouvelles «Journal d'un clone» de Gudule, «Clarisse» d Eric Simard, «Lüber
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NOUVELLE 1 GUDULE Journal d'un clone Aujourd'hui, Yannick m'a battu Sa mère, qui nous regardait par la fenêtre de la cuisine pendant qu'on jouait
[PDF] Bilans individuels - Académie dAix-Marseille
18 jui 2006 · Support : Texte de Gudule Le journal d'un clone page 307 Rédaction finale : l' analyse en séance de lecture d'une lettre « ouverte » dans
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Clonés et conditionnés, où est la liberté ? 1- Donne l'analyse des formes verbales ci-dessous (mode, temps, personne) : « fit », Journal d'un clone Gudule Dans cette nouvelle, Gudule choisit un thème actuel, le clonage, et imagine une
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C'est ce dernier aspect qui nous préoccupe dans l'analyse du journal intime La narration peut se 2 Gudule Lisez la nouvelle de Gudule, Journal d'un clone
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motivées par l'analyse de séquence, toujours prêtes à dégainer le miroir de poche et la remarque haute l'excellente nouvelle de Gudule, Journal d'un clone
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Le journal du lecteur : Mme Letz, professeur de Lettres modernes au Collège Marcel Pagnol de Wasselonne Analyse et comparaison à l'oral : rôle des couleurs, du cadrage ; fonction générale de la reprise => Gudule, Journal d'un clone ;
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Séquence sur le clonage
Séance 1
Document 1 : Une du Evening News de juillet 1978, à " bébé-éprouvettes »Document 2 : couverture du magasine allemand Der
avril 1996Document 3 : Caricature,
https://promphilo.blogspot.fr/2010/02/ Document 4 : Couverture de Philosophie magasine n°5, décembre 2006 / juin 2007 *Compléter les 3 premières lignes du tableau. fin du tableau.Document 1 Document 2 Document 3 Document 4
Source
Nature
Thème
Message
impliciteEnjeu ?
Questions :
- -vous sensible à ce sujet ? Pourquoi ? - Quel est assistée et de la génétique, doit- ? Justifiez votre réponse.Quelle problématique pour la séquence :
Séance 2 : Reproduction : la résurrection par clonageAux Etats-Unis, l'idée fait son chemin de remplacer un être disparu par son clone. Sans parler du
clonage thérapeutique.Le 18 février 2002, Carrie Potts, 27 ans, mariée, mère de trois enfants, se suicide d'une balle dans la
tête à Magnolia, au Texas. Quelques jours plus tard, sa mère, Jaime Wallace, 52 ans, ex-directrice du
marketing, prend une décision irrévocable : elle va ressusciter sa fille en faisant naître une enfant qui
sera la réplique exacte de Carrie, son clone. Au départ, l'idée vient de Kyle, le fils aîné de Carrie, âgé
de 9 ans : "Un jour, Kyle m'a dit : "Grand-mère, ils disent à la télévision que les médecins vont faire
renaître les gens en les clonant. Il faut le faire pour maman." Je lui ai répondu : "Mon chéri, si on
faisait ça, la nouvelle Carrie ne serait pas ta mère, ce serait un bébé, elle ne saurait même pas qui tu
es." "Ça ne fait rien, moi je saurai qui elle est. " "Et qui s'occupera d'elle si je tombe malade?" "Moi, je
l'élèverai, c'est normal, c'est ma mère..."»En se renseignant sur Internet, Jaime découvre que les techniques de clonage sont effectivement
applicables à l'homme. La résurrection de sa fille devient alors sa nouvelle raison d'être. En théorie,
pour créer le clone d'un humain, il suffit de posséder quelques-unes de ses cellules en bon état de
cellules provenant d'un ovocyte produit par une femme en état de procréer, dont on supprimera
modifiées, afin qu'elles forment un embryon, que l'on implantera ensuite dans l'utérus d'une mère
porteuse. L'enfant résultant de cette grossesse sera un jumeau parfait, décalé dans le temps, du
de sa fille. Puis, comme elle n'a plus l'âge de faire des enfants, elle cherche autour d'elle une femme
disposée à faire un don d'ovocyte. La meilleure amie de Carrie se porte aussitôt volontaire. "Ici, nous
sommes pragmatiques, nous croyons à la fois en Dieu et en la science. Avec le clonage, Dieu nousdonne une seconde chance. J'ai élevé mes filles seule, je travaillais douze heures par jour, je n'ai pas
pris le temps de m'occuper d'elles. Cette fois, je ne referai pas la même erreur.» Jaime a décidé d'être
patiente, et d'attendre que la technique du clonage humain soit au point, ce qui n'est pas le cas. Elle
refuse tout lien avec la secte des Raéliens, qui prétendent que les humains sont déjà des clones
d'extraterrestres. Le rêve de Jaime semble donc irréaliste, d'autant que l'establishment politique et
religieux américain est totalement opposé au clonage. Sept Etats américains ont déjà voté des lois pour
l'interdire.Pourtant, Jaime n'est pas seule dans son combat. Dans plusieurs villes américaines apparaissent de
petits groupes d'activistes proclonage, qui se veulent "raisonnables», c'est-à-dire favorables à
l'intensification des recherches, afin de mettre au point dès que possible des techniques fiables.
Jaime fait partie d'une petite association baptisée Front uni pour les droits des clones, créée par un
New-Yorkais de 64 ans, Randolfe Wicker, dont la légitimité a été reconnue de facto en mars 2001,
lorsqu'il a été appelé à témoigner devant une commission du Congrès à Washington. Face aux
législateurs, M. Wicker a placé le débat sur le terrain de la morale et du droit : "L'ADN de chaque être
humain est sa propriété personnelle (...) et tout citoyen a le droit de décider quand et comment il va se
reproduire.»Ce débat déjà complexe est encore obscurci par la confusion entre le clonage reproductif et le clonage
dit "thérapeutique». Denise Owens, 33 ans, vit à Palo Alto, en Californie, avec son mari et ses deux
filles jumelles de 7 ans. L'une de ses filles, Haley, est atteinte d'une forme de diabète aigu, qui met sa
vie en danger. Après de longues recherches, Denise en arrive à la conclusion que le seul moyen de
guérir sa fille est d'accélérer la recherche sur le clonage thérapeutique, technique fondée sur le transfert
de nombreuses maladies génétiques. Dans le cas de la petite Haley, l'embryon modifié qui contiendrait
son ADN serait destiné à fournir des cellules souches capables de se transformer en n'importe quel
type de cellules composant le corps humain. En cultivant ces cellules souches in vitro, les généticiens
obtiendraient des cellules de pancréas saines, qui seraient transplantées dans le corps d'haley et iraient
réparer son pancréas déficient. Au cours de ce processus, l'embryon clone serait détruit.
Pour mener leurs recherches, les scientifiques doivent se procurer des embryons. Denise propose unesolution radicale : elle va tomber enceinte, puis se faire avorter, et faire don de l'embryon à une firme
de biotechnologie spécialisée dans le diabète. Après tout, aux Etats-Unis, seul le clonage reproductif
est interdit. Mais le projet de loi débattu à Washington vise à interdire à la fois le clonage reproductif
et le clonage thérapeutique. Partout, il faut compter avec l'activisme des opposants à l'avortement, qui
ont trouvé une nouvelle cause : la défense des embryons clones voués à la destruction. Selon eux,
quelques dizaines de cellules non fécondées, cultivées in vitro, constituent déjà un être humain.
Malgré ce climat incertain, l'un des laboratoires contactés par Denise semble prêt à tenter l'expérience,
développe rapidement. A Los Angeles, deux couples de producteurs de cinéma, qui ont chacun unenfant atteint de diabète aigu, ont créé une association, Cures Now, afin d'empêcher le vote à
Washington du projet de loi interdisant le clonage thérapeutique. Avec le soutien de grandes firmes
pharmaceutiques, ils ont produit une série de spots publicitaires diffusés par les stations de télévision,
qui vantent les mérites des futures thérapies géniques. Des associations de lesbiennes ont fait du "droit
au clonage» l'une de leurs grandes revendications, car il va enfin "briser le monopole des
hétérosexuels sur la reproduction». Dans les musées d'art contemporain, des artistes montent des
expositions de "bio-art» présentant le génie génétique comme un univers fascinant et plein de
promesses. Parmi eux, Hunter O'Reilly, belle et éloquente femme de 31 ans, mariée, sans enfant, est à
la fois professeur de génétique à l'université du Wisconsin et artiste plasticienne. "Je montre les
biotechnologies sous un jour positif, dit- humain comme les autres, ce ne sera ni un zombie ni un monstre. En plus, il ne sera pas exactementLe généticien Gregory Stock, directeur du programme à Los Angeles, essaye de dépassionner le débat
: "Je connais même un médecin dont le fils est mort dans un accident, et qui a décidé de se faire
cloner. Alors oui, bientôt, des enfants issus du clonage vivront parmi nous. Où est le drame?» Selon
lui, la polémique autour du clonage reproductif n'est qu'une diversion orchestrée par les mouvements
religieux conservateurs, dont l'objectif réel est de faire interdire le clonage thérapeutique, ce qui serait
une catastrophe scientifique. Il rese pratique déjà lors de fécondations in vitro, et prédit que, dans l'avenir, "on manipulera l'embryon à
volonté, pour obtenir des enfants dotés de caractéristiques physiques ou intellectuelles. Cela posera
question accessoire».Article de Yves Eudes, Le Monde, 25 juin
1) Lisez le texte suivant puis complétez le tableau. Pour chaque personne ou groupe cité,
cochez F s il est favorable au clonage reproductif, D s il y est défavorable, puis précisez les motifs et les arguments avancés. F DArguments / motifs
Jaime Wallace (lignes 1 à 4 ; 18 à 22 )
25)Randolfe Wicker (lignes 29 à 33)
2. Jaime Wallace ne peut pas réaliser son projet pour deux raisons. Lesquelles (lignes 21
à 25)?
clone. Cette seconde partie aborde le clonage thérapeutique. Quel est son objectif? Que -44)4. Pour chaque personne ou groupe cité, cochez F s il est favorable au clonage
thérapeutique, D s il y est défavorable, puis précisez les motifs et les arguments avancés.
F DArguments / motifs
Denise Owens et son mari (lignes 34-44)
51)Les firmes pharmaceutiques (lignes 55 à
57)tableau. F D
Arguments / motifs
Certaines associations de lesbiennes
(lignes 57 à 58)Hunter O Reilly (lignes 60 à 65)
6. Le journaliste prend-il position? Justifiez.
1. Pour chaque argument précisez s il se rapporte au clonage humain thérapeutique ou
reproductif puis classez les dans le tableau1. La société pourrait avoir besoin de clones humains spécialisés pour remplir certains rôles
particuliers, par exemple des individus spécialement résistants aux radiations, ou dotés d'une
toute petite taille pour les vols à haute altitude et les vols spatiaux.2. Des clones humains sauraient qu'ils sont des clones et ils se sauraient aussi reconnus tels
par autrui. Comment pourrait-on vivre en étant le double de quelqu'un, dépourvu d'identité propre?3. Le clonage est un moyen de pérenniser sa personne, en quelque sorte, de devenir immortel
à travers son clone.
4. Prédéterminer non pas quelques mais bien toutes caractéristiques d'un être humain fait de
lui la véritable chose de son ou ses décideurs5. Comme le clonage reproductif est asexué, il se pose la question de la filiation : l'individu né
serait à la fois le descendant d'un adulte et son jumeau.6. Le clonage humain est un moyen de reproduire "les individus supérieurs».
7. Un cancéreux qui a besoin d'une greffe de moelle osseuse mais ne trouve pas de donneur
approprié pourrait se cloner, grâce à un ovocyte prélevé chez une femme consentante. En
quelques jours l'embryon produirait des cellules souches utilisables pour une transplantation. il n'y a pas implantation de l'embryon dans un utérus.8. Une personne n'est pas un objet ; elle est née de l'amour conjugal des parents. Les enfants
ont le droit d'être procréés et non pas produits.9. Le clonage pourrait être une technique supplémentaire pour les parents infertiles, pour les
mères célibataires, pour les couples homosexuels qui invoquent un droit à l'enfant.10. Le corps humain est la propriété de Dieu et non pas le laboratoire de l'homme.
11. Le jumeau cloné remplaçant le fils impossible ne reproduirait pas la personnalité de son
double génétique. Plus encore que de vrais jumeaux, ces deux êtres, le clone et le cloné,
vivant dans le décalage temporel et culturel, auraient toutes les occasions d'être différemment
impressionnés par les aléas de la vie.malheureux, impersonnel, qu'il s'en prendra, mais à cet être bien réel dont la volonté l'a
façonné ainsi.13. Toute recherche sur l'embryon est inacceptable, car il s'agit d'un être humain à part
entière, au même titre qu'un bébé ou qu'un adulte.14. Les intérêts financiers seraient considérables, notamment avec le marché de la
reproduction, les brevets des techniques, ce qui permettra aux entreprises telles que CLONAID de toucher des "royalties" sur toutes les naissances provoquées par son procédé.15. Cloner une personne consisterait à façonner un être selon sa propre volonté, en
prédéterminant ses caractéristiques génétiques qui sont le fruit du hasard dans la reproduction
sexuée. On décidera de tout pour lui, ne serait-il pas alors une nouvelle forme d'esclave?