Géométrie du plan et de lespace RELATIONS DEQUIVALENCE ET
Graphe(R) = {(x y) ? X × X : xRy}. La classe d'équivalence de x ? X est le sous-ensemble de X suivant : [x] = {y ? X : yRx}. L'ensemble quotient
1. Relations binaires 2. Relations déquivalence 3. Relations dordre
même classe d'équivalence. Théorème. Une relation d'équivalence R sur un ensemble E définit une partition de E dont les éléments sont les
Table des mati`eres
Exercice 1.3.7 - Une classe de congruence modulo n. On se donne x ? Z et n ? N?. 1) Déterminer la classe d'équivalence de x pour la relation de congruence
Relations binaires. Relations déquivalence et dordre
Aug 20 2017 2.2 Classe d'équivalence. Ensemble quotient . ... Une relation d'équivalence permet de mettre en relation des éléments qui sont.
Relations déquivalence
Jan 16 2022 3.1 Définition (ensemble quotient). L'ensemble des classes d'équivalences d'un ensemble E par une relation d'équivalence R s'appelle l'ensemble ...
CHAPITRE 3 : Relations déquivalence et ensemble quotient
Mar 7 2018 1.0.4 Une relation d'équivalence ~:AxA definit une partition de A en classes ... d'équivalence ~
1 Définition et premi`eres propriétés des congruences
Feb 11 2014 Définition 1.2 (Relation d'équivalence) Une relation R réflexive
Des Lp aux Lp 1 Relations déquivalence classes déquivalence
On va voir ici comment utiliser les relations d'équivalences pour construire un espace vectoriel sur lequel Np soit bel et bien une norme. Plus précisément
RELATIONS BINAIRES
Ensemble quotient : L'ensemble des classes d'équivalences de E pour ? est appelé l'ensemble quotient de E par. ? et souvent noté E ?. E. Une classe d'
Chapitre 5. Relations déquivalences congruence
revanche c'est une relation d'ordre . Définitions: Soit E un ensemble muni d'une relation d'équivalence R. i) Pour tout x = € E? on appelle classe
1 Relations binaires - unicefr
Une relation d'équialencev Rsur un ensemble E dé nit une partition de E dont les éléments sont les classes d'équivalence de R Réciproquement toute partition de E dé nit sur E une relation d'équivalence dont les classes coïncident avec les éléments de la partition
Relations binaires Relations d’équivalence et d’ordre
Une relation d’équivalence permet de mettre en relation des éléments qui sont similaires pour une certaine propriété Exemples : • La relation ? [n]sur Z est une relation d’équivalence On véri?e facilement qu’elle est ré?exive symétrique et transitive • Soit ? ? R Une autre relation ? [?]sur R est une relation
Relations d’équivalence - CNRS
Dans l’exemple 1 6 d’une relation d’équivalence sur Gdé?nie à l’aide d’un sous-groupe H on note G=H l’ensemble quotient pour la relation modulo H à droite et symétriquement HnG l’ensemble quotient pour la relation modulo Hà gauche
1 Exemples simples de relations d’équivalence - univ-amufr
Relationsd’équivalence SoitEunensemble;unerelation?surEestditerelation d’équivalence sielleest: ré?exive: 8x2E;x?x symétrique: 8x2E;8y2E;six?yalorsy?x transitive: 8x2E;8y2E;8z2E;six?yety?zalorsx?z 1 Exemples simples de relations d’équivalence
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relation avec (ab) La classe d’équivalence de (ab)est donc ˆ xxb a x ? R? ? Exercice 4: (a) Prouver que la relation sur R aRb ? a =b est une relation d’équivalence Solution: — Ré?exivité : Soit x ? R Prouvons que xRx On a x =x donc xRx — Symétrie : Soit xy ? R On suppose xRy On veut prouver que yRx
Comment calculer la classe d’équivalence ?
La classe d’équivalence de (a,b)est donc ˆ x,xb a x ?R? Exercice 4: (a) Prouver que la relation surR aRb ? |a| =|b| est une relation d’équivalence. Solution: — Ré?exivité : Soit x ?R. Prouvons que xRx.
Comment définir une relation d’équivalence sur un ensemble ?
Une relation R sur un ensemble E est une relation d’équivalence sur E si elle vérifie ces trois propriété : De plus, elle est bien transitive : Si |x|=|y| et |y| = |z| alors |x|=|y|=|z|. Donc, on a bien Pour les relations d’équivalence, on a une notion de classe, elle se définit comme suit.
Quelle est la relation d’équivalence ?
La relation d’équivalence est alors signifiée par trois verbes différents : « est », « implicant » ou « continet ». La possibilité est, impliqueou contientla non contradiction. Le terme d’implication doit nous alarmer sur un point.
Comment calculer les relations d’ordre et d’équivalence ?
TD2 : Relations d’ordre et d’équivalence (avec corrigé) Exercice 1: (a) Prouvez que la relation surZ aRb ? a ?b est un multiple de 5 est une relation d’équivalence. Solution:On véri?e les 3 conditions : — Ré?exivité : Soit x ?Z. On veut prouver xRx, c’est à dire x? est un multiple de 5.On a x ? x = 0 = 5 ×0.
CHAPITRE 3 : Relations d"équivalence et
ensemble quotientMichaël PÉRIM
March 7, 2018
Contents
1 Rappel des définitions 2
1.0.1 Définition: une relation R:AxA est une relation d"équivalence
sur A si R est reflexive, symétrique et transitive . . . . 21.0.2 Exemples de relations d"équivalence . . . . . . . . . . 2
1.0.3 Classes d"équivalence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1.0.4 Une relation d"équivalence ~:AxA definit une partition
de A en classes d"équivalences : . . . . . . . . . . . . . 31.0.5 Réciproquement, une partition de A définit une rela-
tion d"équivalence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 Utilités des relations d"équivalences 4
2.1 La réprésentation de données . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
2.1.1 Exemple des les expressions arithmétiques . . . . . . . 4
2.1.2 Exemple des rationnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.1.3 Exemple des ensembles . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.2 Représentant canonique et relation d"équivalence induite . . . 5
2.2.1 Exemple des rationnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
2.2.2 Exemple des expressions arithmétiques . . . . . . . . . 6
2.2.3 Exemple des ensembles . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
2.3 Ensemble quotient et ensemble des représentants canoniques . 7
2.3.1 Définition: L"ensemble quotient de A par la relation
d"équivalence ~, noté A/~, est l"ensemble des classes d"équivalence de la relation ~ : . . . . . . . . . . . . . 72.3.2 Définition: L"ensemble des représentants canoniques
de A, noté A/[], est en bijection avec l"ensemble quo- tient A/~ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 12.3.3 Exemple des rationnels Q . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.4 Attention, certaines opérations ne préservent pas la canonicité 7
2.4.1 Cas des expressions arithmétiques . . . . . . . . . . . 8
2.4.2 Cas des ensembles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
3 Les relations d"équivalences sont partout ! 8
1 Rappel des définitions
1.0.1 Définition: une relation R:AxA est une relation d"équivalence
sur A si R est reflexive, symétrique et transitive Notationon utilise souvent le symbole "~":AxA au lieu de R:AxA pour une relation d"équivalence "~" est reflexive ie. QQ a:A. a ~ a "~" est symétrique ie. QQ a1,a2:A. a1 ~ a2 ==> a2 ~ a1 "~" est transitive ie. QQ a1,a2,a3:A. a1 ~ a2 /na2 ~ a3 ==> a1 ~ a31.0.2 Exemples de relations d"équivalence
Sans le savoir vous vivez dans un monde d"équivalences !1. La plus petite relation d"équivalence (celle qui a le moins d"arcs) est la
relation d"égalité sur A qu"on note "=" :2. Relation d"équivalence sur les heures :
18:45 ~ 6:45 PM ~ 7h moins le quart
3. Relation d"équivalence sur les sacs d"aspirateurs : regardez votre boîte
de sacs d"aspirateurs vous verrez que vos sacs conviennent à plusieurs marques d"aspirateursHoover 500 ~ Miele Boost ~ Rowenta Plus
Dyson ~ Air pulse II ~ Philips Clean (qui n"ont pas de sacs...) mais Hoover 500/Dyson4. Les mathématiciens aiment faire remarquer qu"il existe une relation
d"équivalence sur les rationnels3/2 ~ 6/4 ~ 9/6 et 1/2 ~ 2/4 ~ 3/6
25. La définition des ensembles repose sur une relation d"équivalence qui
dit que {1,2} ~ {2,1} ~ {1,1,1,1,2} ~ {1,2,1,2}1.0.3 Classes d"équivalence
La classe d"équivalence d"un élémentade A est notéeCl(a) c"est l"ensemble des éléments qui sont équivalent àapour la relation "~"Cl(a) = { x:A | x ~ a }
Exemples
1. Cl(Hoover 500) = { Hoover 500, Miele Boost, Rowenta Plus }
2. Cl(Hoover 500) = Cl(Miele Boost) = Cl(Rowenta Plus) puisque ces
trois références de sacs sont équivalentes.1.0.4 Une relation d"équivalence ~:AxA definit une partition de
A en classes d"équivalences :
1. L"ensemble A correspond exactement à la réunion des classes d"équivalences
de "~"A = Union
a:ACl(a) Autrement dit, les classes d"équivalences de "~" partionnent l"ensembleA en sous-ensembles disjoints :
•les éléments équivalents à a1 •les éléments équivalents à a2 ...2. si a/a" alors Cl(a) inter Cl(a")= {}
si deux éléments a et a" ne sont pas équivalents alors leurs classes d"équivalences n"ont pas d"éléments en commun.3. si a ~ a" alors Cl(a) = Cl(a")
si deux éléments a et a" sont équivalents alors leurs classes d"équivalences sont les mêmes Les propriétés 2 et 3 se résume ainsi : deux classes d"équivalences sont soit disjointes soit confondues. 31.0.5 Réciproquement, une partition de A définit une relation
d"équivalence Supposons que l"ensemble A correspondent à l"union de sous-ensemblesA1,...., An
ie.A = A1 union A2 union .... union An alors la relation R:AxA définit par x R ysi et seulement si il existe i tel que x et y sont dans le même sous-ensemble Ai est une relation d"équivalence.2 Utilités des relations d"équivalences
2.1 La réprésentation de données
Regardez un dictionnaire, vous verrez que l"informatique est définie comme " l"activité de traitement automatisé d"informations». Chaque fois qu"un in- formaticien doit écrire un programme de traitement d"informations, il com- mence par se demander comment représenter en mémoire les données à traiter. Nous allons voir qu"aussitôt surgissent des questions qui font appels aux relations d"équivalences, classes d"équivalence, représentant canonique, ensemble quotient. Pour illustrer ce cours nous considérerons trois exemples : les ensembles et les expressions arithmétiques et les rationnels.2.1.1 Exemple des les expressions arithmétiques
On aimerait représenter des expressions arithmétiques qui comportent des variables a,b,... ; des opérateurs +,-,*, ... ; des constances 0, 1, ...; des parenthèse (,).Exemple : a + b + c
On constate rapidement qu"il y a une infinité de manière de représenter a + b + c :1. a + b + c
2. a + c + b
3. (a + c) + b
4. (a + 0 + c) * 1 + b
5. 1 * (0 + 1 * (0 + 1 * (0 + a + b + c)))
46. ...
et que toutes ces représentations sont équivalentes (tiens, tiens, voici qu"apparaît la notion d"équivalence). mais que " a + b + c » est la version la plus élégante, la plus " canon » (tiens, tiens, voici qu"apparaît la notion de représentant canonique). Remarque: Il faut bien différencier la notion d"égalité de la notion d"équivalence. •" a + b + c » et " a + c + b » ne sont pas égale (noté "=") puisqu"on remarque bien que c et b ne sont pas à la même place dans ces deux expressions. •En revanche elles sont équivalentes (noté "~") puisqu"elles donneront la même valeur qu"elles que soient les valeurs de a,b,c. Les mathématiciens ont la facheuse habitude d"écrire " a + b + c » = " a + c + b » (égalité) alors queil faudrait écrire" a + b + c » ~ " a + c + b » ( ~ signifie équivalence)2.1.2 Exemple des rationnels
Il y a de nombreuses façons équivalentes de réprésenter chaque fraction :1/2 ~ 2/4 ~ 3/6 ~ 4/8 ~ ...~ 4.10
248/ 8.10248~ ...
3/2 ~ 6/4 ~ 9/6 ~ 12/8 ~ ...~ 12.10
248/ 8.10248~ ...
2.1.3 Exemple des ensembles
Il y a de nombreuses façons équivalentes de représenter chaque ensemble : {1} ~ {1,1} ~ {1,1,1} ~ ... ~ {1,1,...,1} ~ ... {1,2} ~ {2,1} ~ {1,2,1} ~ {2,2,1} ~ ... C"est troublant mais ce sont bien des réprésentations équivalentes puisque la définition ditDeux ensembles E et F sont équivalents si les élé- ments de E apparaissent (au moins une fois) dans F et réciproqe- ment.2.2 Représentant canonique et relation d"équivalence induite
Dés qu"ils ont choisi une représentation des données A. Les informaticiens définissent une fonctioncanon : A -> Aqui à chaque élémenta:Aassocie sonreprésentant canonique. 5 Les informaticiens ont l"habitude de définir la relation d"équivalence à partir du représentant canonique de la manière suivante : PropositionDeux éléments a1,a2:A sont équivalents si leur représen- tants canoniques sont les mêmes. Les informaticiens définissent une fonction (equiv : A * A -> bool ) let equiv (a1,a2) := canon(a1)?canon(a2)2.2.1 Exemple des rationnels
canon ( a / b ) := fraction reduite( a/b ) où fractionreduite( a / b) : = a divisé par pgcd(a,b) / b divisé par pgcd(a,b) equiv ( a/b , c/d) := canon(a/b)?canon(c/d)Exemple :
canon( 15/21 ) = 5/7 campm( 10/14 ) = 5/7 et donc equiv( 15/21, 10/14 ) == true2.2.2 Exemple des expressions arithmétiques
canon ( ea ) := l"expression ea sans symbole inutile avec les variables appa- raissant dans l"ordre alphabétique equiv ( ea1, ea2 ) := canon(ea1)?canon(ea2)Exemple:
canon(" 0 + (a + b) + c » ) == " a + b + c » canon(" b + c + a » ) == " a + b + c » et donc equiv(" 0 + (a + b) + c » , " b + c + a » ) == true2.2.3 Exemple des ensembles
canon ( ens ) := l"ensemble sans répétition avec les éléments rangés dans l"ordre croissant equiv (ens1, ens2) := canon(ens1)?canon(ens2)Exemple :
canon ({1,2,2,1}) == {1,2} canon( {2,1} ) == {1,2} et donc equiv ( {1,2,2,1} , {2,1} ) == true 62.3 Ensemble quotient et ensemble des représentants canon-
iques2.3.1 Définition: L"ensemble quotient de A par la relation
d"équivalence ~, noté A/~, est l"ensemble des classes d"équivalence de la relation ~ : A/~ = { Cl(a) | a:A } c"est un ensemble d"ensemble2.3.2 Définition: L"ensemble des représentants canoniques de A,
noté A/[], est en bijection avec l"ensemble quotient A/~ A/[] = { [a] | a:A } c"est un sous-ensemble de A, qui ne conserve qu"un élément par classes d"équivalence (l"élément le plus "canon"...) Les mathématiciens notent [a] pour le représentant canonique donné par la fonction canon : [a] c"est plus rapide à écrire que canon(a)Remarque
•Les mathématiciens ont l"habitude de travailler avec l"ensemble quo- tient A/~ qui est un ensemble d"ensemble. Ça les oblige à travailler avec des ensembles d"ensembles (mais ils n"ont pas de problèmes de mé- moire limitée...) mais cela leur évite d"avoir à choisir un représentant canonique. •Les informaticiens préfèrent travailler avec l"ensembles A/[] des représen- tants canonique qui est une sous-ensemble de A. Ça les oblige à définir la fonction canon mais ça leur donne des représentations plus simples qui prennent moins de places en mémoire.2.3.3 Exemple des rationnels Q
Q/~ = { Cl(1/2) , Cl(1/3) , ... }
= { {1/2, 2/4, 3/6, ...} , {1/3, 2/6, 4/8, ...} , ... }quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40[PDF] liste des verbes d'action
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