Migrations et mobilité dans le bassin du lac Tchad
au Tchad ;. - Hubert GUÉRIN coordonnateur scientifique du PRASAC (N'Djaména) ;. - IYA Moussa
Insécurités. Une interprétation environnementale de la violence au
23 juil. 2009 N'Djamena 19 février 2008. 2 République du Tchad
Les Toubou dans la tourmente : présence et absence de lÉtat dans
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B r i c o l e r a u r y t h m e d u p o l i t i q u e : l
23 oct. 1991 Figure 13 – Hilux quittant N'Djamena Tchad Média
N° 2274 ASSEMBLÉE NATIONALE
3 févr. 2010 saharien du Tchad et de la Libye le Darfour est tout d'abord une ... islamistes du Front national islamiste
CONFERENCE CONJOINTE DE LA 33E ASSEMBLEE GENERALE
17 sept. 2015 Coordinateur du Programme National de lutte contre la maladie du ... R.E. Changasi and F.N. Wamwiri ... BP 440 – N'Djaména/Tchad Email.
MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE PROJET DE
31 mars 1989 Ministry of Health Chad to the. Agency for International Development
Etude de la qualité des captures de la pêcherie associée aux DCP
3 août 2015 Auteurs Ifremer : Dromer C. Reynal L.
C 87/REP
pays y compris la fonction de coordinateur résident des Nations Unies. l'exécution des projets
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yy"yee1"UNIVERSITE PARIS I - PANTHEON-SORBONNE
Ecole doctorale de géographie de Paris
DOCTORAT DE GEOGRAPHIE
Johanne BEGIN FAVRE
Insécurités
Une interprétation environnementale de la violence au Ouaddaï(Tchad oriental)Thèse dirigée par M. Roland POURTIER
Soutenue le 26 novembre 2008
Membres du jury :
Mme Béatrice GIBLIN
M. Géraud MAGRIN
M. Denis RETAILLE
M. Bernard TALLET
Insécurités
Une interprétation environnementale de la violence au Ouaddaï (Tchad oriental)Mots-clés : Tchad, Ouaddaï, conflit environnemental, ressources, violence, réfugiés, aide
humanitaire.Résumé :
Quelle est, dans l'est du Tchad, la validité des théories néo-malthusiennes sur les " conflits
environnementaux » ? Les pénuries alimentaires y sont structurelles, mais ne s'expliquent qu'incomplètement par des facteurs démographiques et environnementaux. C'est le contexte sociopolitique qui détermine l'occurrence de la violence. A partir de 2003, la guerre du Darfour provoque unafflux de réfugiés dont la présence accroît la pression sur les ressources. L'aide internationale
d'urgence nourrit des tensions, alors que les multiples projets de développement échouent à sortir la région d'une insécurité plutôt politique qu'alimentaire. Le rapport au pouvoir central est déterminant. Ancien centre, le Ouaddaï est devenu un Far est marginalisé dans l'Etat construit par la colonisation. La région pâtit de l'absence d'aménagement et d'administration. La frontière soudanaise est propice à la fuite et à l'insoumission. Berceau du régime, l'est tchadien est le territoire où se fomentent lesrébellions qui le menacent. L'accaparement du pouvoir et des récentes ressources pétrolières
par le groupe dirigeant suscite la réapparition d'une opposition armée victime d'un processus continu de scissions et de recompositions. Les affrontements intercommunautaires qui explosent en 2006 et le déploiement en 2008 d'une force de sécurisation ONU/UE sont à interpréter dans ce contexte. La violence s'enracine dans l'histoire de la région. L'empire précolonial du Ouaddaï - monarchie de droit divin - est le point de ralliement identitaire d'une population agressée parla colonisation. Après l'indépendance, la région est au coeur d'une guerre de Trente ans qui
achève de corrompre les relations intercommunautaires. Le refuge est dans l'adhésion au monde arabo-musulman. Elle se manifeste par un refus des modèles de développement importés d'Occident et par un rejet de l'enseignement laïc.L'école publique tchadienne, en crise, ne permet pas de dépasser ce conflit culturel : elle est à
la fois le réceptacle et le catalyseur des violences sociales. Au Tchad, la gestion des ressources et la gestion de la pénurie sont également facteurs de violence. L'établissement de la paix passe par une exigence de justice sociale, économique et politique. La nation se forge dans ce combat, et dans l'appropriation d'une histoire commune. Johanne FAVRE est rattachée à l'UMR 8586 PRODIG-CNRS, 2 rue Valette, 75005 PARIS. 2Insecurities
An environmental interpretation of the violence in Wadai (Eastern Chad) Keywords : Chad, Wadai, environmental conflict, resources, violence, refugees, humanitarian aid.Abstract :
How far do neo-malthusian theories on environmental conflicts apply to the east of Chad ? Food shortages there are a regular occurrence but can't be entirely explained by demographic and environmental factors. It's the socio-political context which provokes the violence. From2003, the war in Darfur has led to an important number of refugees whose presence has
increased the pressure on resources. Emergency international aid feeds tensions while the many development projects fail to bring the region out of a state of insecurity which is related to politics rather than food. The relationship with the central power is a decisive factor. Formerly the centre, Wadai has become a marginalised Far East in the state that was created by colonisation. The region is suffering from the absence of both development and administration. The Sudanese border encourages escape and insubordination. Cradle of the regime, eastern Chad is the territory where the rebellions that threaten the latter, brew. The seizure of both power and the recently exploited oil resources by the rulers has again led to the appearance of an armed opposition that is victim of its constant schisms and recompositions. The conflicts that erupted between communities in 2006, and the deployment of a UN/EU protection force in 2008, must be interpreted in this context. Violence is deeply-rooted in the region. The pre-colonial empire of Wadai, with a monarchy by divine right, gave a unified identity to a population threatened by colonisation. After independance, the region was at the heart of a thirty years war which finally broke down relations between the communities. Refuge is found in belonging to the Arab-Muslim world. It can be seen in a refusal of development along lines imported from the West, and in a rejection of lay education. In a state of crisis, Chad's state schools cannot solve the cultural conflict : they are both the battleground and catalyst of social violence. In Chad the management of resources and the management of penury also contribute to violence. To establish peace there must be social, economic and political justice. Nations are forged by such struggles and by adopting a common history. 3REMERCIEMENTS
Merci à tous les Tchadiens dont la parole libre et confiante a nourri ces pages. Merci aussi à ceux qui n'ont pas pu tout dire.Merci à mes hôtes : à Joël Rouméas et Henri Coudray, qui furent également des compagnons
de route idéaux ; à Robert Mougabé Koslengar, Simon Salimini et Symbil Chérif, dont j'ai tant
appris ; et à Ibrahim Abdel Bagui, mon guide en terre nomade. Merci aux ONG SECADEV, Intersos, COOPI, CARE, Oxfam, HELP, NCA, à la GTZ et aux agences des Nations Unies pour leur coopération transparente et leurs coups de main logistiques. Merci à Marie-José Tubiana, qui partage son savoir, ses relations, ses engagements.Merci à Marie-Françoise Courel qui a facilité cette entreprise, et au laboratoire de
géographie CNRS-PRODIG au sein duquel j'ai bénéficié de deux années de détachement, et
qui continue de m'accueillir. Merci à mon professeur, Monsieur Roland Pourtier, de m'avoir de nouveau accordé sa confiance et son aide bienveillante. Merci à mon époux pour son patient soutien, et à ma mère, de m'avoir relayée en mon absence. 4 ______________________________à Ibni Oumar Mahamat Saleh
______________________________ 5TABLE DES MATIERES
Introduction 10
PREMIERE PARTIE : PENURIES. 34
Chapitre I : Vivre avec la faim. 36
1. Une pénurie structurelle. 36
A. De l'expérience de la faim aux alertes à la famine. 36 B. Ce qui dit l'histoire : la récurrence des pénuries. 412. La part des explications néo-malthusiennes. 45
A. Surpopulation ou sous-peuplement ? 45
B. La mesure de la dégradation environnementale. 49C. Un système plus complexe. 54
3. Vers un déterminisme de la violence ? 58
A. Interpréter les corrélations chronologiques. 58B. Une géographie de l'adaptation. 64
C. La variable clé est sociopolitique. 68
Chapitre II : La guerre du Darfour et l'aggravation des tensions. 721. " Les réfugiés sont nos frères ». 73
A. La parenté ethnique. 73
B. Au début, le partage. 78
C. Les limites de la solidarité. 82
2. Le désastre environnemental. 86
A. Des réfugiés environnementaux ? 86
B. Sédentariser dans le désert. 92
C. Mesures d'impact et tentatives de restauration. 983. Nourrir les gens, nourrir les haines. 102
A. Quand l'aide déstabilise la société. 102B. 5 % pour les populations locales. 108
C. L'extension du conflit. 114
Chapitre III : Sortir de l'insécurité alimentaire. 1221. L'humanitaire entre urgence et développement. 123
A. Des commencements dans l'urgence. 123
B. De l'irréalisme de certains " projets ». 125 6C. Les conditions d'un impact positif. 129
2. L'utopie de la participation communautaire. 135
A. Les concepts d'intervention de la coopération allemande. 135B. Une inégale participation. 140
C. La stratégie HIMO. 144
3. De la sécurité à la sécurité alimentaire. 149
A. De l'intérêt des pénuries, ou les dessous de l'économie céréalière. 149B. Sécuriser l'économie. 152
C. La demande d'Etat. 155
Conclusion de la première partie 159
DEUXIEME PARTIE : ELOIGNEMENTS. 160
Chapitre IV : Le " Far Est » tchadien. 162
1. Marginalisation et recentrage. 162
A. Les enclavements concentriques. 162
B. Marges du territoire, marges du pouvoir. 167
C. Des liens centrifuges. 169
2. La frontière. 172
A. Darfour, Ouaddaï : une histoire partagée. 172B. Insoumission aux confins. 176
C. Le prétexte de la " darfourisation ». 1813. Hors-les-lois. 189
A. Exactions quotidiennes. 189
B. Gniguilim 1993 : les évènements et leur mémoire. 194C. Les malversations de l'Etat zaghawa. 196
Chapitre V : Les carences de l'administration. 2021. Le règne du vide. 203
A. Une sous-administration ancienne. 203
B. La décentralisation en dépit du bon sens.206C. Sédentariser l'Etat ?211
2. La " kermesse du désordre » n'est pas terminée. 216
A. La démoralisation de la fonction publique. 216B. Les hiérarchies parallèles. 219
3. Le rôle ambigu des autorités traditionnelles. 222
A. Des intermédiaires ?222
B. Un pouvoir sans moyens d'action. 226
7C. Petits arrangements avec la tradition. 229
Chapitre VI : L' " Etat hinterland ». 234
1. L'arc des rébellions. 235
A. L'immuable scénario. 235
B. Les " pays amis » attisent le feu.240
C. Anatomie des affrontements. 248
2. Quels enjeux ?255
A. Le pouvoir.255
B. Quand le territoire devient un enjeu. 258
C. La guerre construit-elle l'Etat ?261
3. La dimension politique de la gestion du pétrole. 263
A. " L'odeur du pétrole n'arrive pas jusqu'à l'est ». 263 B. " Le peuple tchadien est maître de son pétrole » (I. Déby, 29/08/06). 268Conclusion de la deuxième partie 277
TROISIEME PARTIE : AGRESSIONS. 278
Chapitre VII : " Une rencontre sauvage » : le contact avec l'autre. 2801. Violence précoloniale, rapports esclavagistes. 281
A. Islamisation, arabisation. 281
B. " Ils faisaient la guerre pour accumuler, et accumulaient pour faire la guerre ».285 C. " Le passé glorieux des hommes debout ». 2892. Résistances à la colonisation française. 292
A. La résistance militaire à la conquête. 292B. 1917 : " summum de la confrontation ». 298
C. Un " blocus psychologique collectif ». 303
3. L'est au coeur d'une guerre de Trente ans. 307
A. La rébellion commence à l'est. 307
B. " Chronique d'une déchirure ». 314
C. Des lendemains amers.319
Chapitre VIII : Les résistances culturelles. 3241. La confrontation Orient-Occident. 325
A. Au-delà du contentieux linguistique. 325
B. Un refus du développement ?329
C. La tentation de l'irrationnel. 333
82. Education : la double injonction. 336
A. Un conflit de valeurs. 336
B. Le double enseignement : réconciliation ou schizophrénie ?3413. La crise scolaire. 345
A. Quand l'Education n'est pas " nationale ». 345B. Les présents et les absents.352
C. Violence à l'école, école de la violence. 355Chapitre IX : L'exigence de justice. 360
1. La profondeur de la pauvreté. 361
A. La calme désespérance des mères. 361
B. Accroissement de la richesse, accroissement des inégalités. 365 C. Une gestion identique de la pénurie et de l'abondance. 3702. Rompre avec la vengeance. 376
A. Les identités meurtrières. 376
B. Faut-il " désethniciser » le Tchad ?379
3. " Notre pays est un projet de pays ».383
A. L'inachèvement de la démocratie. 383
B. Dans le creuset de la nation.389
Conclusion de la troisième partie 394
Conclusion générale 396
Annexes 403
Bibliographie 415
Principaux sigles utilisés 429
Lexique 431
Table des illustrations 433
Table des annexes 434
9INTRODUCTION
10Tchad oriental, août 2008.
Bientôt la fin de la saison des pluies.
Paysans, éleveurs, déplacés tchadiens et réfugiés soudanais, sont encore protégés par
les crues des ouadis*. Ils contemplent leurs champs et redoutent le moment où, la récolte engrangée, les routes seront de nouveau ouvertes à la circulation des hommes en armes. Ils craignent le retour des exactions et des violences entre communautés1. Des chefs rebelles, quifont campagne contre le régime de N'Djamena à chaque saison sèche depuis la fin de l'année
2005, ont promis que ce serait aussi le retour de la guerre2.
Les conflits, comme les mouvements de réfugiés, ne sont pas des " phénomènes "hors-sol" », " en apesanteur, purement idéologiques et sans rapport avec les lieux et lesterritoires où [ils] se manifestent »3. Ces lieux et ces territoires, qui ne servent en général qu'à
localiser les évènements, déterminent les fondements des conflits, la forme que prennent ces
derniers et leurs impacts. Luc Cambrézy insiste sur la nécessité de prendre en compte cette dimension territoriale et spatiale des conflits. Alors que le politique aurait " cet étrangepouvoir de dé-territorialiser les rapports sociaux et interculturels », l'analyse véritablement
" géopolitique » ancre les conflits dans la " terre », autrement dit dans l'espace et le territoire4. Depuis la fin de la Guerre froide, des recherches ont été entreprises qui visent à déterminer les liens qui peuvent exister entre l'" environnement » - mot fourre-tout dont ilfaudra préciser le sens, mais qui est ici employé dans son acception physique, naturelle - et le
déclenchement des conflits. Les modifications, les dégradations du substrat écologiquecontribueraient à des pénuries de ressources, elles-mêmes à l'origine de violences
multiformes. C'est cette approche " écopolitique » des conflits qui est au centre de laréflexion menée ici. Appliquée à l'exemple du Tchad, elle me semble présenter le grand
intérêt de faire le lien entre deux thèmes toujours abordés séparément : les troubles politiques
persistants ; les contraintes environnementales. Il ne suffit pas qu'il y ait corrélation de cesdeux phénomènes pour prétendre qu'un lien causal direct les unit. Mais c'est une hypothèse
qui, si elle éclaire les mécanismes de la violence, mérite d'être étudiée.1 Oxfam 2008 : 2 ; 14 ; 17-18.2 " Tchad : "La lutte armée" reprendra après la saison des pluies », AFP, 18 août 2008.3 CAMBREZY 2001 : 14 et 16.4 Idem : 12-17.
11 Elle donne lieu depuis une décennie à des débats virulents. A l'origine de ces débats, font date les recherches à la fois théoriques et empiriques de deux groupes de chercheurs : ceux de l'école de Toronto, autour du politologue Thomas F. Homer-Dixon ; et ceux du projetsuisse des années 1990, ENCOP, dirigé par Günther Baechler1 et prolongé depuis 2001 par les
recherches menées dans le cadre de l'IP7 du NCCR North-South2. Je me propose dans cette introduction de faire le point sur les enjeux de ces débats sur l'origine environnementale des conflits : dans quel contexte s'inscrivent-ils ? Quelles sont les critiques qui visent surtout les théories de T. F. Homer-Dixon ? Quelles alternatives proposent-elles ? Ce questionnement est le nécessaire préalable à mon projet : mesurer la validité des hypothèses sur les conflits environnementaux dans le cas précis de l'est duTchad et en déterminer les limites.
L'attaque la plus sévère des théories d'Homer-Dixon et du projet ENCOP est contenue dans l'ouvrage dirigé par Nancy Lee Peluso et Michael Watts, Violent Environments3. Dansquotesdbs_dbs42.pdfusesText_42[PDF] MMES ET MM. LES PREFETS DES MM. LES PREFETS DE MAYOTTE ET
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