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CHAMBRE DISCIPLINAIRE NATIONALE DE LORDRE DES

13-Feb-2020 16 rue Spontini - 75116 PARIS ... chirurgien-dentiste demeurant à ... Le conseil départemental de l'ordre des chirurgiens-dentistes du ...



16 rue Spontini – 75116 PARIS

LA CHAMBRE DISCIPLINAIRE NATIONALE DE L'ORDRE DES CHIRURGIENS-DENTISTES. I- Les faits et la procédure : A la suite d'un différend survenu entre le Dr Geoffrey 



CHAMBRE DISCIPLINAIRE NATIONALE DE LORDRE DES

06-Jul-2017 CHAMBRE. DISCIPLINAIRE. NATIONALE. DE L'ORDRE. DES. CHIRURGIENS-DENTISTES. 16 rue Sponfini. -. 75116. PARIS. JFV/CB/NR. Audience publique.



Les Français

Les Français et leur chirurgien-dentiste. LOI DE MODERNISATION Chambre disciplinaire nationale ... Contact : 16 rue Spontini – 75116 Paris.



Ordre natiOnal des chirurgiens-dentistes

chirurgiens-dentistes. 22 rue Émile-Ménier – BP 2016 – 75761 Paris cedex 16 Tél. : 01 44 34 78 80 ... Chambre disciplinaire nationale et de conseil-.



LES MÉTIERS DES PROFESSIONS LIBÉRALES

09-Jul-1991 L'Ordre National des chirurgiens-dentistes regroupe ... administrative et disciplinaire : ... 57 rue Spontini - 75116 PARIS. 01 53 65 61 71.



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013 à 16 Le CD92OM. 020 Tableau départemental Départemental de l'Ordre des Médecins des Hauts-de-Seine d'un ... 1er site : 47 rue Spontini – 75116 PARIS.

Au cœur de l"identication post-attentats de Paris Accident d"exposition au sang : prévenir et agir Europe : l"accès partiel ne s"applique pas à notre profession p. 12 p. 18 p.

28Février-Mars

2016 n°

145Les Français

et leur chirurgien-dentiste

LA LETTRE N

O

145 Février-Mars 20162

4

L"ÉVÉNEMENT

Les Français et leur chirurgien-dentiste

LOI DE MODERNISATION DU SYSTÈME DE SANTÉL"hypothétique impact de l"action de groupe sur le chirurgien-dentiste

SOCIÉTÉ CIVILE PROFESSIONNELLEComment tranche le juge en cas de retrait ou de décès d"un associé

MAR

CO MAZEVET

Made in Europe

Ce qu"il faut retenir

pour votre exerciceIDENTIFICATION MÉDICO-LÉGALEAu cœur de l"identication post-attentats de Paris

PROTECTION DE L"ENFANTSignaler les cas de maltraitance n"est plus un tabou

SÉCURITÉAccident d"exposition au sang

prévenir et agir VI

E ORDINALE

Le bureau du Conseil national

dans la Drôme SIMPLIFICATION ADMINISTRATIVELes exceptions au principe du " silence vaut accord »

PRÉVENTION

Le praticien au cœur de la lutte

contre le tabagisme

AVIS DE RECHERCHE

JURIDICTIONSChambre disciplinaire nationale et SAS du Conseil national

ACTUALITÉS33

37
42

43JURIDIQUE

PORTRAIT

LA LETTRE EXPRESS

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DOSSIER

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12 16 18 21
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SOMMAIRE

LA LETTRE N

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145 Février-Mars 2016

L"Ordre, garant de l"honneur et de l"indépendance de la profession, se réjouit des résultats d"un sondage qu"il a commandité sur l"image des chirurgiens- dentistes auprès des Français. En effet, ces résultats sont particulièrement favorables. Ils nourriront les débats du Grenelle de la santé bucco-dentaire qui, à l"heure où nous écrivons ces lignes, va s"ouvrir dans quelques jours. La relation très forte qui existe entre les chirurgiens-dentistes et leurs patients, le niveau de satisfaction quant aux soins dispensés et le haut degré de confiance exprimé reposent - et ce sont les Français qui nous le disent - sur nos compétences de " m

édecins de la bouche

On lira dans les pages qui suivent les chiffres

de cette étude. Ces très bons résultats nous engagent et nous obligent. Nous devons collectivement conforter cette image que ternissent malheureusement parfois quelques praticiens qui transgressent leurs obligations déontologiques et leurs devoirs

éthiques

via, notamment, des refus de soins. À l"aune des résultats de cette étude, ces comportements paraissent plus que jamais insupportables. Au-delà de ce sondage, tout ne va évidemment pas pour le mieux dans le meilleur des mondes bucco-dentaires. À commencer par le niveau de prise en charge de la prévention et des soins conservateurs.

Nous en appelons à un changement de paradigme

qui nous ferait passer d"un remboursement des soins privilégiant les actes prothétiques à une prise en charge valorisant la conservation ad integrum de la sphère oro-buccale. Notre profession ne cesse de le marteler. Il est temps d"en informer et d"en convaincre les Français. 3

Convaincre

Gilbert Bouteille

Président du Conseil national

Un changement de paradigme doit s'opérer dans le niveau de prise en charge de la prévention et des soins conservateurs.

L"ÉDITO

LA LETTRE N

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L"ÉVÉNEMENTENQUÊTE NATIONALE

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Les Français

sont satisfaits de leur chirurgien- d entiste et des soins qu"il leur prodigue.

En découle une relation

d e conance basée sur la compétence r econnue par le patient

à son praticien.

Tel est l"un des résultats

d"une enquête inédite de l"Ordre réalisée auprès des Français. L"objectif identier la perception par les patients de notre profession et plus largement leurs attentes en matière de santé bucco-dentaire a n de nourrir la réexion sur le modèle conomique de notre profession.

L"ÉVÉNEMENTENQUÊTE NATIONALE

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L es Français ont une très bonne opinion de leur chirurgien-dentiste et de ses compétences. 95,3 d"entre eux se déclarent satis- faits après une consultation au- près d"un praticien. Voilà l"un des résultats saillant d"une en- quête commanditée par l"Or d re et réalisée auprès de plus de 900

Français

(lire l"encadré

Méthodologie de l"enquête

Son objectif

: i dentifier les atten t

es vis-à-vis de notre profession et en matière de santé bucco-dentaire. Si certains résultats du sondage sont attendus - le

coût des actes prothétiques est jugé trop élevé par les pa- tients -, d"autres tor dent le cou aux idées reçues, notamment celle selon laquelle les Français se seraient forgé une image né- gative de notre profession. 87
% des personnes sondées dé- clarent ainsi avoir une image favorable de notre profession, et même très favorable pour près d"un Français sur quatre (23 %). Mais par-dessus tout, c"est la confiance qu"accordent les patients à notre profession qui émerge des résultats. 82 d"entre eux témoignent ain- si d"une " co nfiance absolue » à l"égard de leur praticien. Un ré- sultat qui trouve sa source dans le jugement que portent les

Français sur la compétence des

chirurgiens-dentistes : 74 % des patients leur attribuent sponta- nément ce qualificatif.

Tableau 1. La perception des patients

La liberté de choisir mon chirurgien-dentiste, j'y tiens

Mon praticien fait tout pour sauver mes dents

J'ai une confiance absolue en mon praticien

Mon praticien me propose ce qui est le mieux

J'ai des relations faciles avec mon praticien

Avec mon praticien, je me sens parfaitement en sécurité Avec mon praticien, j'ai des relations équilibrées

Mon praticien est à la pointe de la technique

J'attends de mon praticien qu'il m'informe sur ma santé Si mon praticien n'est pas là, je préfère reporter les soins

Je recommande mon praticien à tous mes amis

Si j'ai une urgence, mon praticien pourra me prendre Mon chirurgien-dentiste, c'est comme mon médecin

Je n'aime pas aller chez mon chirurgien-dentiste

Avant de trouver mon praticien, j'en ai expérimenté plusieurs

Je trouve que mon praticien n'est pas cher

Mon praticien décide de tout et je n'ai pas le choix

Pas du tout d'accord

Plutôt pas d'accord

Plutôt d'accord

Tout à fait d'accord

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" La l iberté de choisir mon chirurgien-dentiste, j"y tiens

C"est, parmi toutes les propo-

sitions exposées aux sondés ayant rendu visite à un prati- cien depuis moins de deux a ns, celle qui reçoit le plus d"adhé- sion : 9 4,6 . De même, près de neuf r

épondants sur dix adhè

r ent à la proposition suivante " Mon praticien fait tout pour sauver mes dents.

» 85 % se considèrent

" parfaitement en s

écurité

avec leur chirurgien- dentiste (voir l"ensemble des ré- sultats dans le tableau

1 " La per-

ception des patients

Une exigence de liberté de choix

qui fonde une relation équili- brée avec pour corollaire un sen- timent de confiance et de sécuri t

é exprimé par les patients, qui

estiment que leur praticien met

tout en œuvre pour les soi-gner au mieux et leur propose le traitement le plus adapté. C"est ce qui explique le chiffre, cité plus haut, de 95,3

% des patients satisfaits de leur visite chez le chirurgien-dentiste... alors même qu"ils sont 70

à déclarer qu"ils n"aiment pas

s"y rendre.

L"image favorable exprimée par

les patients est indéniablement liée à une relation forte praticien-

Ce n"est pas seulement - et classiquement - la conance en leur chirurgien-dentiste traitant qu"expriment

les patients dans ce sondage, mais bien une conance globale envers l"ensemble des praticiens : ils sont 87

à déclarer avoir une image favorable ou très favorable de notre profession.

L"ÉVÉNEMENT

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patient, appuyée sur une compé- tence reconnue. " Les résultats de cette enquête nous rassurent sur la relation que nous avons avec nos patients et sur l"image qu"ils ont de nous. C"est un bel hom mage qu"ils nous rendent. L a volonté de l"Ordre de placer le patient au cœur de ses préoccupations tout en étant garant de la qua lité et de l"universalité des s oins s"en trouve confor tée

», explique Gilbert Bouteille,

président de l"Ordre.

S"agissant des pratiques de

soins, 67 des sondés dé-

clarent avoir consulté un chirur-gien-dentiste depuis moins d"un an et huit sur dix depuis moins de deux

ans. Parmi les premiers, 40
% ont consulté leur chirur- gien-dentiste plusieurs fois dans l"année. En moyenne, un patient consulte son praticien une fois et demie par an. Une moyenne plus élevée chez les femmes (1,7 f ois par an) que chez les hommes (1,4 fois par an).En ce qui concerne les motifs de visite, quatre patients sur dix se rendent chez leur praticien pour une simple visite de contrôle (examen de la bouche et détar- trage). Les autres patients combi nent examen de rou tine, soins conservateurs et/ou travaux.

Sans surprises, l"immen

se majorité des répon- dants (89 %) a consulté un praticien libéral exer-

çant à titre individuel ou en ca-

binet de groupe. Ils sont fort lo- giquement très peu (moins de 10 ) à s"être rendus dans un cen t re mutualiste et dans une pro- Tableau 2. Les restrictions selon le poste budgétaire

Le premier lien établi avec le chirurgien-dentiste repose sur le réseau interpersonnel du patient, l"outil Internet n"étant utilisé que très anecdotiquement.

Logement

Soins médicaux

Soins dentaires

Alimentation

Pas de restrictions

Soins-beauté

Voiture

Équipement

de la maison H abillement

Loisirs

Vacances

Sorties-restaurant

L"ÉVÉNEMENTENQUÊTE NATIONALE

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portion encore moindre dans un cen t re hospitalier.

L"Ordre s"est également inté-

ressé à la façon dont un patient choisit son praticien. Il en res- sort que le premier lien établi avec un chirurgien-dentiste re- pose sur le réseau interperson- nel des Français puisque plus d"un sur trois choisit son prati- cien sur les recommandations des amis, de la famille et des proches. L"ou t il Internet n"est utilisé que de manière anecdo- tique (2 ) lorsqu"ils sont à la re- cherche d"un praticien.

Pour ce qui est de la percep-

tion des Français de leur santé bucco-dentaire, 78 % des répon- dants considèrent que leur état bucco-dentaire est satisfaisant et 74
% d "entre eux estiment que celui des Français est en amélio- ration. Rappelons qu"il s"agit de données déclaratives il existe à coup sûr un écart entre percep- tion et réalité. Précisons ainsi que ceux qui affirment détenir une bonne santé bucco-den- taire se rendent moins souvent chez le chirurgien-dentiste. Si 37
% d es Français déclarent ne souffrir " d"aucun problème », 28
% d es répondants font état de dents manquantes ou cas- sées, 27 % d e saignements des gencives, 26 % de caries et 14 % d"un mauvais état général de la denture.

L"Ordre a également interrogé

les Français sur l"accès aux soins bucco-dentaires. Si 28 % des sondés déclarent ne jamais re- porter leurs soins pour des rai- sons financières, 17 % des ré- pondants se restreignent sur le poste " soins dentaires », pour le- quel les Français sont le moins prêts à faire des concessions, après le logement et les soins médicaux (voir l"ensemble des résultats dans le tableau 2 " L es restrictions selon le poste budgé taire

»). 17 % de s répondants dé-

Tableau 3. Acceptabilité des offres de soins

Une clinique à l"étranger

Un hôpital

Un centre dentaire géré par une mutuelleet des praticiens Un réseau de praticiens independants travaillant ensemble Un cabinet dentaire avec des praticiens associés et des salariés

Un chirurgien-dentiste libéral indépendant

Oui, tout à fait

Oui, possiblement

Plutôt pas

Pas du tout

L"ÉVÉNEMENT

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145 Février-Mars 201610

Une enquête

commanditée par l"Ordre montre que les Français ont une image favorable de notre profession.

Plus de 95 % des patients

s ont satisfaits de leur visite chez leur praticien.

82 % des répondants

t

émoignent d"une

confiance absolue

» en leur praticien.

clarent qu'ils ont dû renoncer à se soigner dès lors qu'il s'agissait de soins prothétiques. La barre passe sous les 10 % p

our les soins conservateurs ou les visites de contrôle.L'Ordre a tenté d'identifier un lien possible entre renonce-

ment aux soins et couverture so- ciale. Il ressort de l'enquête que les Français dépourvus de com plémentaire santé consultent moins souvent que les autres les professionnels de santé (voir tableau 4 " L es restrictions aux soins . L'enquête montre aus- si que le niveau des revenus des

Français n'influe pas de façon

manifeste sur la fréquence des visites.

S'agissant du coût des soins buc

c o-dentaires, 64 des Français estiment que les soins conser vateurs sont payés au juste prix, mais 91 % d'entre eux jugent les implants trop chers, de mêmequotesdbs_dbs21.pdfusesText_27
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