Bilan de la loi de sécurisation de lemploi du 14 juin 2013
14 juin 2013 Bilan - Loi de sécurisation de l'emploi. #2. Sommaire et fond documentaire. Fiche n°1 : Généralisation de la couverture complémentaire santé ...
Loi sur la sécurisation de lemploi
Dossier de presse. JUIN 2013. Loi sur la sécurisation de l'emploi contact presse : cab-tef-presse@cab.travail.gouv.fr. Tél. 01 49 55 31 02
La loi Sécurisation de lemploi instaure-t-elle de « nouveaux droits
(1) Loi n° 2013-504 du 14 juin 2013 « relative à la sécurisation de l'emploi ». (2) v. not. les points de vue critique de la CGT (Dr. Ouvrier mai. 2013
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Le 9 août 2016 JORF n°0184 du 9 août 2016 Texte n°3 LOI n° 2016
8 août 2016 LOI n° 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels ...
LE CONTEXTE DE LA NÉGOCIATION COLLECTIVE
à la sécurisation de l'emploi. Cette loi a transposé l'ANI du 11 janvier 2013 pour un nouveau modèle économique et social au service de la compétitivité des.
Ordonnance 3 31 08 2017
31 août 2017 Vu le code du travail ;. Vu la loi n° 2017- du [date] d'habilitation à prendre par ordonnances les mesures pour le.
TRAVAIL ? EMPLOI ? FORMATION
30 avr. 2014 sécurisation de l'emploi. À ce titre la loi a mis en exergue la nécessité de mettre en place au sein de l'entreprise.
ETUDE D'IMPACT
PROJET DE LOI
visant à instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifsNOR : ETSX1604461L/Bleue-1
24 mars 2016
2Préambule
Le monde du travail entre dans une phase de profonds changements. Les dernières décenniesn'en ont pas été exemptes : elles ont été marquées par la mondialisation, la part croissante des services
dans notre économie et l'élévation des qualifications. Ces facteurs continuent à produire leurs effets.
Mais d'autres transformations sont aujourd'hui à l'oeuvre. Le numérique bouleverse un à un tous les
secteurs économiques et change la vie quotidienne au travail. Il permet l'émergence de nouvelles
formes d'emploi et favorise la multi-activité. La transition énergétique, dans laquelle notre pays a
acquis une crédibilité renforcée grâce au succès de la Cop 21, implique la création de nouveaux
emplois et modifie le contenu de nombreux métiers. Les parcours professionnels se font de moins en
moins linéaires et les modes d'organisation du travail évoluent. Depuis 2012, la France a opéré des réformes importantes pour répondre à ce nouvelenvironnement. La loi du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l'emploi, la loi du 5 mars 2014
relative à la formation professionnelle, à l'emploi et à la démocratie sociale et la loi du 17 août 2015
relative au dialogue social et à l'emploi sont autant de jalons qui ont posé les fondements d'un
nouveau modèle social. Le présent projet de loi parachève les fondements de ce nouveau modèle
social.Les salariés ont été dotés de nouvelles protections, attachées à leur personne et non à leur
emploi afin de les accompagner tout au long de leur parcours professionnel, notamment grâce au compte personnel de formation (CPF), aux droits rechargeables à l'assurance chômage, à la généralisation de la complémentaire santé et à la portabilité de la prévoyance.La capacité des entreprises à s'adapter, dans des conditions négociées avec les organisations
syndicales, a été renforcée : une meilleure anticipation grâce à la représentation des salariés dans les
conseils d'administration des entreprises et à leur consultation sur les orientations stratégiques de
l'entreprise ; une adaptation aux enjeux stratégiques par des accords de gestion prévisionnelle des
effectifs et des compétences, de négociation du plan de formation ; l'alternative aux licenciements
avec un régime d'activité partielle modernisé et la création des accords de maintien de l'emploi ;
lorsque l'anticipation n'est plus possible, les plans de sauvegarde de l'emploi sont désormais majoritairement négociés.La gouvernance des relations sociales dans l'entreprise a été profondément rénovée : les
négociations obligatoires ont été regroupées autour de trois temps forts ; les consultations ont été
également rassemblées en trois temps sur la stratégie, la situation économique et la situation sociale.
Les institutions représentatives du personnel ont été simplifiées pour les PME et des institutions
adaptées pourront être mises en place par accord. Les règles de consultation, les compétences
respectives des niveaux ont été éclaircis. La sécurité au travail a progressé avec l'élargissement des
compétences de l'instance centrale que constitue le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de
travail (CHSCT) et à travers le plan " santé au travail ». Les représentants des salariés ont été
renforcés: mieux formés, ils bénéficient désormais d'heures mutualisables, d'une garantie de non-
discrimination salariale, d'une reconnaissance des acquis de leur expérience d'élu ou de délégué
syndical. Les salariés des très petites entreprises (TPE) ont, pour la première fois, droit à une
représentation universelle grâce aux commissions paritaires régionales interprofessionnelles
composées de salariés et chefs d'entreprise des TPE. L'égalité entre les femmes et les hommes a
3progressé grâce à l'obligation d'une représentation équilibrée dans toutes les élections
professionnelles. Il se double d'avancées significatives pour lutter contre les discriminations.Dans le même temps, un effort sans précédent a été conduit pour restaurer la compétitivité de
nos entreprises et leur permettre d'investir ; dans le cadre du pacte de responsabilité, les charges des
entreprises auront été baissées de 40 milliards d'euros entre 2012 et 2017. Mais face à l'ampleur des transformations, il est nécessaire d'aller plus loin. Nos modes derégulation des relations du travail, hérités de l'ère industrielle, ont été réformés à de multiples reprises,
mais sans jamais être véritablement refondés. Le projet de loivisant à instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour lesentreprises et les actifs doit permettre une refondation de notre modèle social. La démarche de
refondation est triple :- Elle concerne d'abord le code du travail. Les principes essentiels du droit du travail ont été
dégagés par le comité présidé par Robert Badinter. Sur la base de ces principes, chaque partie
du code sera réécrite selon une nouvelle architecture en trois parties, comme l'avaitpréconisé la commission présidée par Jean-Denis Combrexelle : les règles d'ordre public, le
champ renvoyé à la négociation collective, et les règles supplétives applicables en l'absence
d'accord. Le présent projet de loi met dès à présent en place cette nouvelle architecture pour
la partie du code relative au temps de travail et aux congés. Il crée une commission de refondation chargée de mener ce travail à son terme, dans un délai de deux ans. Elle devra renforcer la place de la négociation collective, notamment au niveau de l'entreprise ; - Compte tenu du champ bien plus large confié à la négociation collective, de profondesréformes destinées à conforter sa légitimité et son efficacité sont nécessaires. Des pouvoirs
nouveaux sont donnés au ministre du travail pour conduire en quelques années une démarche volontariste de réduction du nombre de branches professionnelles. Les accords collectifs devront désormais être majoritaires pour être valides ; afin d'éviter des situations exceptionnelles de blocage, des organisations syndicales ayant réuni au moins 30 % des suffrages des salariés pourront déclencher une consultation des salariés. Dans un premiertemps, cette règle de validité sera mise en oeuvre pour les accords relatifs au temps de travail,
au repos et aux congés, et pour les accords de développement de l'emploi, avant d'êtregénéralisée. Les règles de la représentativité patronale sont modifiées, afin d'atteindre un
meilleur équilibre entre le nombre d'entreprises adhérentes et le nombre de salariés couverts
dans la mesure de l'audience de chaque organisation. En parallèle, les règles de dénonciation
et de révision des accords sont revues pour rendre la négociation plus dynamique. En outre, les acteurs du dialogue social seront renforcés, notamment en termes de moyens et de formation. L'accord collectif ainsi relégitimé pourra, lorsque l'emploi est en cause, conduire à des modalités simplifiées de gestion des refus de modification du contrat de travail ;- Enfin, le compte personnel d'activité (CPA) créé par le projet de loi est une nouvelle manière
de protéger les actifs. Son but est de donner à chaque travailleur la capacité de construire son
parcours professionnel dans ce monde du travail en constante évolution. Le CPA ne concernera pas que les salariés mais l'ensemble des actifs, y compris les agents publics et les travailleurs indépendants, garantissant ainsi la portabilité des droits quels que soient leschangements d'emploi et de statut. Le présent projet de loi définit la première étape du CPA,
qui entrera en vigueur le 1 er janvier 2017. 4 5Tabledesmatières
NÉGOCIATIONCOLLECTIVE
Article1
er travail............................21 IArticle
Article9ͲIII
.................138 accord146CHAPITREIII:
Article
Article20
SOCIALÀL'EREDUNUMÉRIQUE
Article27ͲI:Utilisationdesoutils
275Article43
II.Article
l'inspectiondutravailpar déclarationdeVIII.Article
374X.Article50ͲII:
9TABLEAU SYNOPTIQUE DES CONSULTATIONS
1ARTICLES CONSULTATIONS
ARTICLE 1
er : COMMISSION DE REFONDATION ET PRINCIPES ESSENTIELS DU DROIT DU TRAVAIL - Conseil supérieur de la prud'homie - Commission nationale de la négociation collective - Conseil d'orientation des conditions de travail - Conseil national de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnelles - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLES 2, 4 ET 5 : UNE NOUVELLE ARCHITECTURE
DES REGLES EN MATIERE DE DUREE DU TRAVAIL - Commission nationale de la négociation collective - Conseil d'orientation des conditions de travail - Conseil national de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnelles - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ARTICLE 3 : " AUTRES CONGES » - Commission nationale de la négociation collective - Conseil d'orientation des conditions de travail - Conseil national de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnelles - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 6 : TRAVAIL DE NUIT DANS LE DOMAINE
FLUVIAL - Conseil d'orientation des conditions de travail - Commission nationale de la négociation collectiveARTICLE 7-I : PREAMBULE, METHODE ET DUREE DES
ACCORDS COLLECTIFS - Commission nationale de la négociation collective - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 7-II : PUBLICITE DES ACCORDS COLLECTIFS - Commission nationale de la négociation collective
- Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 8-I : SIMPLIFICATION DES REGLES DE
REVISION ET DE DENONCIATION DES ACCORDS - Commission nationale de la négociation collective - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 8-II : CLARIFICATION DE LA NOTION
D"AVANTAGES INDIVIDUELS ACQUIS - Commission nationale de la négociation collective - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 8-III : MISE EN CAUSE ET NEGOCIATION
D"ANTICIPATION - Commission nationale de la négociation collective - Conseil d'orientation des conditions de travail - Conseil national de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnellesARTICLE 9-I : CONTENTIEUX DE LA RECONNAISSANCE
D"UN ETABLISSEMENT DISTINCT POUR LA MISE EN
PLACE DU COMITE D"ENTREPRISE - Commission nationale de la négociation collectiveARTICLE 9-II : DELAI DE VALIDATION TACITE DES
COMMISSIONS PARITAIRES DE VALIDATION - Commission nationale de la négociation collectiveARTICLE 9-III : RECOURS A LA VISIOCONFERENCE
POUR REUNIR LES INSTITUTIONS REPRESENTATIVES
DU PERSONNEL (IRP) - Commission nationale de la négociation collectiveARTICLE 9-V : SIMPLIFICATION DES MODALITES DE
PASSAGE A 300 SALARIES - Commission nationale de la négociation collective 1Les mesures du présent projet de loi ont également été examinées par un atelier composé de chefs d'entreprises
réunis autour des co-présidents du Conseil de la simplification pour les entreprises 10ARTICLES CONSULTATIONS
ARTICLE 9-VI : INTEGRATION DES INFORMATIONS
TRIMESTRIELLES DANS LA BASE DE DONNEES
ECONOMIQUES ET SOCIALES - Commission nationale de la négociation collective ARTICLE 9-VII ET 9-VIII : CLARIFICATION DE L"ORDREDES CONSULTATIONS DE CERTAINES INSTITUTIONS
REPRESENTATIVES DU PERSONNEL - Commission nationale de la négociation collectiveARTICLE 9-IX : DEFINITION DES ETABLISSEMENTS
DISTINCTS DANS LE CADRE DES INSTANCES
REGROUPEES PAR ACCORD - Commission nationale de la négociation collective - Conseil d'orientation des conditions de travail - Conseil national de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnellesARTICLE 10 : GENERALISATION DE L"ACCORD
MAJORITAIRE - Commission nationale de la négociation collective - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 11 : ACCORDS MAJORITAIRES EN FAVEUR DE
L"EMPLOI - Commission nationale de la négociation collective - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnelles - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 12 : SECURISATION DES ACCORDS DE GROUPE - Commission nationale de la négociation collective
ARTICLE 14 : RESTRUCTURATION DES BRANCHES
PROFESSIONNELLES - Commission nationale de la négociation collective ARTICLE 15 : LOCAUX SYNDICAUX - Commission nationale de la négociation collective - Conseil national d'évaluation des normesARTICLE 16 : HEURES DE DELEGATION DES DELEGUES
SYNDICAUX - Commission nationale de la négociation collectiveARTICLE 17 : PROCEDURE DE CONTESTATION DES
EXPERTISES DECIDEES PAR LE COMITE D"HYGIENE, DE
SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL (CHSCT) - Commission nationale de la négociation collective - Conseil d'orientation des conditions de travailARTICLE 18-I : UTILISATION DU BUDGET DE
FONCTIONNEMENT DU COMITE D"ENTREPRISE POUR
LA FORMATION DES DELEGUES SYNDICAUX ET DES
DELEGUES DU PERSONNEL - Commission nationale de la négociation collective - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 18-II ET III : FORMATIONS COMMUNES DES
ACTEURS DE LA NEGOCIATION COLLECTIVE - Commission nationale de la négociation collective - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ARTICLE 19 : MESURE DE L"AUDIENCE PATRONALE - Commission nationale de la négociation collective - Haut Conseil du dialogue socialARTICLE 20 : FINANCEMENT DES ORGANISATIONS
PROFESSIONNELLES REPRESENTATIVES DE
L"ENSEMBLE DES PROFESSIONS DU SECTEUR DE LA
PRODUCTION CINEMATOGRAPHIQUE - Commission nationale de la négociation collective ARTICLE 21 : COMPTE PERSONNEL D"ACTIVITE - Commission nationale de la négociation collective - Conseil d'orientation des conditions de travail - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnelles - Conseil d'administration de la Caisse nationale d'assurance vieillesse des travailleurs salariés - Conseil supérieur de l'éducation - Conseil national d'évaluation des normes - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 23 : PARCOURS CONTRACTUALISE
D"ACCOMPAGNEMENT ET GENERALISATION DE LA
GARANTIE JEUNES - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnelles 11ARTICLES CONSULTATIONS
ARTICLE 24 : DEMATERIALISATION DU BULLETIN DE
PAIE - Commission nationale de la négociation collective ARTICLE 25 : DROIT A LA DECONNEXION - Commission nationale de la négociation collective - Conseil d'orientation des conditions de travail - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 26 : TELETRAVAIL ET TRAVAIL A DISTANCE - Commission nationale de la négociation collective
- Conseil d'orientation des conditions de travail - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 27-I : UTILISATION DES OUTILS NUMERIQUES
DE L"ENTREPRISE PAR LES ORGANISATIONS
SYNDICALES - Commission nationale de la négociation collectiveARTICLE 27-II : UN RECOURS AU VOTE ELECTRONIQUE
SIMPLIFIE - Commission nationale de la négociation collectiveARTICLE 28 : LE DROIT A L"INFORMATION DES
EMPLOYEURS DES TPE-PME - Commission nationale de la négociation collective - Conseil national d'évaluation des normes - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnelles ARTICLE 29 : ACCORDS TYPES - Commission nationale de la négociation collective - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesARTICLE 30 : DEFINITION DES LICENCIEMENTS POUR
MOTIF ECONOMIQUE - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnelles - Commission nationale de la négociation collective - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ARTICLE 32 : APPRENTISSAGE - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnelles - Conseil supérieur de l'éducationARTICLE 33 : EXPERIMENTATION DU CONTRAT DE
PROFESSIONNALISATION POUR LES DEMANDEURS
D"EMPLOI - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnellesARTICLE 34 : ASSOUPLISSEMENT DE LA VALIDATION
DES ACQUIS DE L"EXPERIENCE (VAE) - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnelles - Conseil supérieur de l'éducationARTICLE 35 : SECURISATION DES LISTES DE
FORMATIONS ELIGIBLES AU COMPTE PERSONNEL DE
FORMATION (CPF) - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnelles - Conseil supérieur de l'éducation - Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ARTICLE 36 : INFORMATION ET EVALUATION - Conseil national de l'emploi et de la formation et de l'orientation professionnelles - Conseil supérieur de l'éducationquotesdbs_dbs26.pdfusesText_32[PDF] NOS PROGRAMMES DE FORMATION GESTION DE CONFLITS
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