[PDF] Math 256-Intégrales f(t)dt. La plus





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Épreuve de Mathématiques 3 Exercice 1 (PT 2013 C)

15 nov. 2013 t2 dt est absolument convergente. Conclusion. lim. T?+?. ? T. 1 sin t t dt existe : L'intégrale. ? +?. 0 sin t t dt converge.



Intégrales impropres

+?. 2. 1 t (ln t)2 dt converge alors notre intégrale initiale est aussi convergente. Mini-exercices.1. Étudier la convergence des intégrales suivantes : ? 



lintégrale de Dirichlet

12 mars 2020 2. t ?? sin(t)/t est continue sur ]0 +?[ et prolongeable par continuité en 0 (valeur 1). L'unique borne impropre est au voisinage.



Chapitre 2 - Intégrales généralisées (ou impropres)

t2 dt. 2.1 Définition et exemples d'intégrales impropres cos(t) dt est divergente puisque la fonction sin(x) ne converge pas lorsque x tend.





Intégrales généralisées

sin(1/t)e?1/tt?k dt. Exercice 2. Calcul fractions rationnelles. Prouver la convergence des intégrales suivantes puis les calculer : 1). ? +? t=0.



Math 256-Intégrales

f(t)dt. La plus intuitive est de voir l'intégrale comme limite d'une somme. ?2/2. 0. 1. ?. 1?x2 dx. On pose x = sin t en choisissant.



TD 1 Intégrales généralisées

16 sept. 2016 en 0+ à 1 en 1 (fausse impropreté). Les changements de variable x = sin. 2 ?



1 Intégrales généralisées

sin(t)dt = 1 ? cos(x) et la fonction cos n'a pas de limite `a l'infini. 2 Calcul pratique des intégrales généralisées. Proposition 2.1 On désigne par [a 



The sine and cosine integrals - Lancaster

Hence also the value of this integral is ? 2 for a0 we deduce Z 1 0 sinatcosat t dt= 1 2 Z 1 0 sin2at t dt= ? 4: (3) We will use this several times later Since sin(a+ b)t+ sin(a b)t= 2sinatcosbt we can also deduce Z 1 0 sinatcosbt t dt= ˆ ? 2 if a>b 0; 0 if b>a 0: (4) Integrating by parts and using (3) and the fact that sin2 t



The sine and cosine integrals - Lancaster

Integrals with Trigonometric Functions Z sinaxdx= 1 a cosax (63) Z sin2 axdx= x 2 sin2ax 4a (64) Z sinn axdx= 1 a cosax 2F 1 1 2; 1 n 2; 3 2;cos2 ax (65) Z sin3 axdx= 3cosax 4a + cos3ax 12a (66) Z cosaxdx=



Evaluation of the sine and cosine integrals - Lancaster

We shall consider the integrals in their various appropriate forms of sint t and cost t We start with the “complete sine integral”: THEOREM 1 We have Z ? 0 sint t dt = ? 2 (1) Note ?rst that there is no problem of convergence at 0 because sint t ? 1 as t ? 0 A very quick and neat proof of (1) (to be seen for example in [Lo



FT SECOND FUNDAMENTAL THEOREM - MIT Mathematics

of variable rule (see (7) p PI 2 in these notes) You get successively t = au dt = adu dt t = adu au = du u We have to change the limits on the integral also: t = a and t = ab correspond respectively to u = 1u = b Thus the rule for changing variable in a de?nite integral gives Z ab a dt t = Z b 1 du u = L(b)



42 Line Integrals - Cornell University

and Cis the curve x= cost;y= sint;z= t0 t 2 4 2 LINE INTEGRALS 3 MATH 294 SPRING 1989 FINAL # 4 294SP89FQ4 tex 4 2 15 Evaluate the path integral I C

What are the integrals of Sint=T and cost=ton intervals?

In these notes, we consider the integrals of sint=tand cost=ton intervals like (0;1),(0; x) and (x;1). Most of the material appeared in [Jam1]. Companion notes [Jam2], [Jam3]deal with integrals ofeit=tpand, more generally,f(t)eit. THEOREM 1. We have Note rst that there is no problem of convergence at 0, becausesint!1 ast!0.

What is the definite integral of from to?

The definite integral of from to , denoted , is defined to be the signed area between and the axis, from to . Both types of integrals are tied together by the fundamental theorem of calculus. This states that if is continuous on and is its continuous indefinite integral, then . This means .

How do you express S(x)2 as an integral?

, we can expressS(x)2as an integral: in which we used (32) and limx!1[xS(x)2] = 0 (recalljS(x)j 2=x). The integral ofC(x)2is similar, with the additional remark that limx!0+[xC(x)2] = 0. We nish with another pair of integrals that require a little more work.

Are the integrals in 32 and 33 double integrals?

Of course, the integrals in (32) and (33) are really double integrals. Formal reversal ofthe double integrals duly delivers the stated values. However, the conditions for reversal ofimproper integrals are not satised, and one should really consider the integral on [0; R] ofRRsintdt=S(x) S(R).

Math 256-Int´egrales

David Harari

2016-2017

1. Int´egrale d"une fonction continue

1.1. Rappels et d´efinitions

Soitfune fonction continue sur un intervalle ferm´e born´e [a,b] deR. Il y a plusieurs fa¸cons de d´efinir l"int´egrale?b af(t)dt. La plus intuitive est de voir l"int´egrale comme limite d"une somme. Historiquement, la notion d"int´egrale a ´et´e invent´ee pour calculer, quandfest `a valeurs positives, l"aire de la portion de plan c"est-`a dire celle comprise entre l"axe des abscisses et le graphe def. Quand fest `a valeurs n´egatives, on affecte cette aire d"un signe moins. Ducoup, la somme dont l"int´egrale va ˆetre la limite s"obtient en partageant [a,b] en intervalles de plus en plus petits et en calculant l"aire comme ci-dessus en approximantfsur chacun de ces petits intervalles par sa valeur en l"une des bornes. Plus pr´ecis´ement, cela donne le th´eor`eme suivant (dont on ne don- nera pas ici de d´emonstration, la th´eorie compl`ete de l"int´egrale de Riemann d´epassant le cadre de ce cours) : Theor`eme 1.1Soitfune fonction continue de[a,b]dansR(ou dansC).

Posonsxk=a+kb-a

n(pourk= 0,...,n; ainsi lesxksubdivisent l"intervalle [a,b]ennsegments d"´egale longueur(b-a)/n). Alors la suite v n:=n-1? k=0b-a nf(xk) =b-ann-1? k=0f(xk) converge. On appelle int´egrale defdea`absa limite, qu"on note?b af(x)dx, ou simplement?b af. 1

Noter que dans la notation?b

af(x)dx, la lettrexest "muette" (elle sert juste `a indiquer par rapport `a quelle variable on int`egre), on pourrait la remplacer par n"importe quelle lettre commetouu. En particulier, si on calcule une int´egrale du type?b af(x,t)dx, o`ufest une fonction de deux variablesxett, le r´esultat va ˆetre une fonction detet non pas dex. Noter aussi que la d´efinition est aussi valable pour des fonctionsen es- calier, c"est-`a-dire telles qu"il existe une subdivision de [a,b] en un nombre fini d"intervalles (Ii) avecfconstante sur chacun de ces intervalles. Dans ce cas, l"int´egrale est facile `a calculer, c"est simplement la somme finie? icili, o`uliest la longueur de l"intervalleIietcila valeur defsurIi.

1.2. Propri´et´es

a)Relation de Chasles. Sicest un point de [a,b], on voit facilement avec la d´efinition que a a f(t)dt= 0;? b a f(t)dt=? c a f(t)dt+? b c f(t)dt.

Avec la convention

?b a f(t)dt:=-? a b f(t)dt sia > b, on voit que cette relation de Chasles est v´erifi´ee poura,b,cquel- conques, `a condition bien entendu quefsoit d´efinie et continue sur les inter- valles concern´es. La relation de Chasles permet aussi d"´etendre la d´efinition de l"int´egrale `a des fonctions qui sont seulementcontinues par morceauxsur [a,b], c"est-`a-dire telles qu"il existe une subdivision finiex0=a,x1,...,xn=b de [a,b] avecfcontinue sur chaque ]xk,xk+1[,k= 0,...,n. Ceci s"applique par exemple `a la fonctionx?→x-E(x), o`uE(x) est la partie enti`ere du r´eel x. b)Lin´earit´e. Sifetgsont continues sur [a,b] etλ?R(ouλ?Csi on travaille avec des fonctions `a valeurs complexes), alors b a (f+g) =? b a f+? b a g. b a

λf=λ?

b a f.

Ainsi, l"application

f?→? b a f 2 est une application lin´eaire duR-espace vectoriel des fonctions continues de [a,b] dansR(not´eC0([a,b],R)) vers l"espace vectorielR. c)Positivit´e.Comme la limite d"une suite `a valeurs≥0 est encore≥0, on obtient : tinue sur[a,b]. On suppose quef(t)≥0pour toutt?[a,b]. Alors b a f(t)dt≥0. l"autre sens). On en d´eduit, en appliquant le th´eor`eme `ag-fet en utilisant la lin´earit´e : b a b a g(t)dt. corollaire : fonction continue. Alors b a b a |f(t)|dt. Ce dernier corollaire est encore valable pour une fonctionf`a valeurs complexes(en rempla¸cant comme d"habitude la valeur absolue par le module), de sens pour une fonction complexe) tombe en d´efaut. Par contre, il suffit d"utiliser la d´efinition du th´eor`eme 1.1 pour conclure. Le corollaire pr´ec´edent s"utilise souvent sous la forme : pour toutt?[a,b]. Alors b a 3

En effet on a

b a b a b a

Mdt=M(b-a).

Rappelons au passage qu"une fonctionfcontinue sur un intervalleferm´e born´e[a,b] est born´ee et atteint ses bornes (c"est faux pour un intervalle non ferm´e comme ]0,1], ex.f(t) = 1/t, ou non born´e commme [0,+∞[, ex. f(t) =t).

1.3. Primitives et int´egrales

D´efinition 1.6SoitIun intervalle deR. Soitfune fonction surI. Une primitivedefsurIest une fonctionF, d´erivable surI, et telle queF?=f. Proposition 1.7SiFest une primitive defsur un intervalleI, alors toutes les primitives defsont donn´ees parF+c, aveccconstante. En effet, une fonctionGest une primitive defsi et seulement siG?= f=F?, soit (F-G)?= 0, soitF-GconstantecarIest un intervalle. Attention cette hypoth`ese est essentielle car par exemple la fonction d´efinie parf(x) =x+ 1 six >0 etf(x) =x+ 2 six <0 est une primitive de la fonction constante 1 surR?. Par exemple la fonctionf(x) = lnxest une primitive de 1/xsurR?+: c"est la seule primitive qui s"annule enx= 1. On admettra dans ce cours le th´eor`eme suivant (aboutissementde la th´eorie de l"int´egrale de Riemann) : Theor`eme 1.8Soitfune fonction continue sur[a,b]. Alors la fonction

F(x) =?

x a f(t)dt est une primitive defsur[a,b]. Ainsi,Fest la primitive defqui s"annule ena. On ´evitera par contre la notation?f(t)dtou encore?xf(t)dt(qu"on trouve dans certains livres) pour d´esigner une primitive def, afin d"´eviter de travailler avec une fonction seulement d´efinie `a une constante pr`es. Corollaire 1.9Soitfune fonction continue sur[a,b]. SoitGune primitive quelconque def. Alors b a f(t)dt=G(b)-G(a). 4 En effet, le th´eor`eme pr´ec´edent donne?b af(t)dt=F(b) =F(b)-F(a), et on sait par ailleurs queF-Gest une constante d"o`uF(b)-F(a) = G(b)-G(a). On notera souvent [G(x)]ba:=G(b)-G(a) (ici,xest encore une variable muette).

Exemple 1.10a) On a?1

0xdx= [x2/2]10= 1/2. Plus g´en´eralement si

n?N?, alors?1 0 xndx= [xn+1/(n+ 1)]10=1 n+ 1. b) On a

0sinxdx= [-cosx]π0= 2.

c) Soitn?Z. Sin?= 0, alors on a 2π 0 eintdt= [eint in]2π0=1in-1in= 0.

Sin= 0, on a par contre?2π

0eintdt=?2π

01dt= 2π. Ce calcul s"av´erera tr`es

important quand on verra les s´eries de Fourier.

1.4. Techniques de calcul

a) Int´egration par parties.Quand on a `a int´egrer un produit de fonctions, il peut ˆetre commode d"utiliser la formule suivante, qui r´esulte de laformule de d´erivation d"un produit (fg)?=f?g+fg?. Theor`eme 1.11Soientfetgdeux fonctions de classeC1(c"est-`a dire d´erivables et dont la d´eriv´ee est continue

1) sur[a,b]. Alors

b a f?(x)g(x)dx= [f(x)g(x)]ba-? b a f(x)g?(x)dx. La formule marche aussi si les fonctionsfetgsont seulementC1par morceaux (via la relation de Chasles), c"est-`a-dire quand il existe une sub- divisiona=x0,...,xn=bde [a,b] telle quefetgsoientC1sur chaque ]xk,xk+1[,k= 0,...,n. Elle est bien entendu utile quand l"une des deux int´egrales est plus simple `a calculer que l"autre.

1Il peut arriver que la d´eriv´ee d"une fonction ne soit pas continue partout; on v´erifiera

par exemple que la fonction d´efinie parf(x) =x2sin(1/x) six?= 0 etf(0) = 0 est d´erivable mais que sa d´eriv´ee n"est pas continue en 0. 5

Exemple 1.12a) SoitI=?π/2

0xcosxdx. La formule donne :

I= [xsinx]π/2

0-?

π/2

0 sinxdx=π/2 + [cosx]π/2

0=π/2-1.

b) On peut calculer une primitive de la fonction ln surR?+par une int´egration par parties de la mani`ere suivante. Une primitive estF(x) =?x

1lntdt. Or,

F(x) =?

x 1

1.lntdt= [tlnt]x1-?

x 1 t(1/t)dt=xlnx-? x 1

1dt=xlnx-x+1.

Ainsi, une primitive de ln est la fonctionx?→xlnx-x+ 1, ou encore la fonctionx?→xlnx-x. b) Changement de variables.La base de cette technique de calcul est l"observation suivante : siF: [a,b]→Ret?: [α,β]→[a,b] sont des fonctionsC1, alors la fonction compos´eeF◦?:t?→F(?(t)) estC1et a pour d´eriv´eeF?(?(t)).??(t), qui vautf(?(t)).??(t) siFest une primitive de f. D"o`u : Theor`eme 1.13Soitfune fonction continue sur[a,b]. Soit?: [α,β]→ [a,b]une fonctionC1, avec?(α) =aet?(β) =b. Alors b a f(x)dx=? f(?(t)).??(t)dt. D´emonstration :SoitFune primitive def, posonsψ(t) =F(?(t)).

Alors?β

f(?(t)).??(t)dt=?

ψ?(t)dt=ψ(β)-ψ(α) =

F(?(β))-F(?(α)) =F(b)-F(a) =?

b a f(x)dx. Observons que sifest d´efinie est continue sur un intervalleIcontenant [a,b], la mˆeme preuve fonctionne `a condition que?([α,β])?I, ce qui est moins restrictif que demander que?soit `a valeurs dans [a,b]. Il n"est en particulier pas n´ecessaire que?soit bijective de [α,β] dans [a,b] mˆeme si en pratique c"est souvent le cas (on essaie de prendre l"intervalle [α,β] le plus petit possible). Par contre, il est essentiel que l"image de [α,β] par?ne sorte pas de l"intervalle de d´efinition def. 6 De fa¸con symbolique, si on veut utiliser la formule de la gauche vers la droite, on peut poserx=?(t) etdx=??(t)dt; il faut ensuite soigneusement choisirαetβtels que?(α) =aet?(β) =bet v´erifiant les hypoth`eses du th´eor`eme, ce qui est souvent la partie la plus difficile.

Exemple 1.14SoitI=?⎷

2/2

01⎷1-x2dx. On posex= sint, en choisissant

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