TP N°2 DÉTERMINATION EXPÉRIMENTALE DE LA CAPACITÉ
Trouver expérimentalement la capacité calorifique de certains métaux connaissant celle de l'eau. Comparer ces valeurs expérimentales aux valeurs théoriques. 1)
TP de Thérmodynamique
1 Capacité Calorifique des Métaux et Chaleur Latente de Fusion de la Glace. 9. 1.1 Motivations .
TP2: la capacité calorifique du calorimètre et la capacité thermique
TP thermodynamique 2eme année physique La capacité calorifique C d'une substance est la grandeur physique qui détermine la quantité de chaleur.
INTRODUCTION :
La capacité calorifique C mesure l'effet d'une addition de chaleur sur la température 2-Détermination de la chaleur massique des éprouvettes (métaux) :.
FACULTE DES SCIENCES DEPARTEMENT DE PHYSIQUE
partie intégrante de la manipulation ; une séance de TP à pour but aussi On se propose de déterminer la capacité calorifique de certains métaux tels que ...
= (m2.c2+ m3.c3).(?f??2 ) m1.(?1??f ) Corps 1 : métal chaud m c
TP DE PHYSIQUE : MESURE DE LA CAPACITE THERMIQUE MASSIQUE DE DIVERS METAUX. 1) Principe et but de l'expérience. On place un métal chaud dans l'eau froide
Mesures de propriétés thermiques des métaux par procédé
15 oct. 2016 sur du solide en remontant aux valeurs de la capacité calorifique et de la ... Température de la zone polaire Tp: puissance Joule.
TP CHIMIE-1 & TP CHIMIE-2
TP I : Préparation d'une solution d'acide faible l'acide oxalique . Déterminer la capacité calorifique du calorimètre et la Chaleur de neutralisation.
TP :détermination de la capacité thermique massique dun solide
Objectif : Calculer la capacité thermique massique de plusieurs métaux donnés (en choisir 1 par groupe). Mode opératoire. Un solide de masse m est chauffé dans
Thermodynamique - Calorimétrie
(Ccal: capacité calorifique du calorimètre et ceau: chaleur massique de l'eau) ce TP d'étudier expérimentalement la transformation de l'eau distillée et ...
[PDF] TP de Thermodynamique - Université de Bejaia
Capacité Calorifique des Métaux TP de Thermodynamique 1 1 Motivations Déterminer la capacité calorifique du calorimètre
1: Présentation: Apacité Calorifique Des Métaux C Partie Théorique
Téléchargez comme PDF TXT ou lisez en ligne sur Scribd En thermodynamique on distingue la capacité calorifique à volume constant Tp 2 Calorimetre
[PDF] TP N°2 DÉTERMINATION EXPÉRIMENTALE DE LA CAPACITÉ
Trouver expérimentalement la capacité calorifique de certains métaux connaissant celle de l'eau Comparer ces valeurs expérimentales aux valeurs théoriques 1)
(PDF) apacité calorifique des métaux C - Academiaedu
Partie théorique: 1 : PRÉSENTATION calorifique capacité quantité de chaleur qu'il faut fournir à un système pour élever sa température d'un kelvin
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Capacité thermique massique d'un métal T P 15 TRANSFERTS THERMIQUES : capacité thermique massique de l'aluminium I RAPPEL SUR LA QUANTITE DE CHALEUR
[PDF] Ex 4 Capacité thermique massique du cuivre - PTSI Ginette
Ex 4 Capacité thermique massique du cuivre Dans un calorimètre dont la valeur en eau vaut µ = 40 g on verse m = 100 g d'eau
TP Chimie + Compte rendu - la capacité calorifique des métaux
18 avr 2018 · TP Chimie + Compte rendu - la capacité calorifique des métaux 6367 * TP Chimie + Compte rendu - la capacité calorifique des métaux 6367 pdf
TP Chimie + Compte rendu - la capacité calorifique des métaux
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La capacité thermique du calorimètre est donc : Ccalorimetre = ?ce avec ce = 4 18 J g-1 K-1 la capacité thermique massique de l'eau
Comment calculer la capacité calorifique d'un métal ?
La capacité thermique (C) d'un objet s'obtient en divisant la quantité d'énergie fournie (E) par la variation de température (T). La formule se présente ainsi : C = E/T.Quelle est la formule de la capacité calorifique ?
Exprimée dans l'unité de Joule, la capacité thermique représente l'énergie à apporter à un corps pour augmenter sa température de 1 Kelvin. La capacité thermique massique C = C/m, rapportée à un kilogramme du corps considéré. La capacité thermique molaire Cm = C/n, rapportée à une mole du corps considéré.Comment calculer CP et CV ?
On a donc :
1cv = du/dT (J/kg/K)2cp = dh/dT (J/kg/K)- La capacité thermique (tout court) : Cp=mcp=ncpm C p = m c p = n c p m en joule par kelvin (J.K-1).
![Mesures de propriétés thermiques des métaux par procédé Mesures de propriétés thermiques des métaux par procédé](https://pdfprof.com/Listes/17/42589-17DIARRA_2016_archivage.pdf.pdf.jpg)
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HBKi .B``
hQ +Bi2 i?Bb p2`bBQM,THÈSE
Pour obtenir le grade de
DOCTEUR DE LA COMMUNAUTE UNIVERSITE
Spécialité
Matériaux, Mécanique, Génie civil, ÉlectrochimieArrêté ministériel
Alimata
Thèse dirigée par Jacqueline ETAY
Annie GAGNOUD
préparée au sein du Laboratoire l'École DoctoraleThèse soutenue publiquement le ,
d M. Professeur Université de Savoie, Laboratoire SYMMEM. Gérard BERTHIAU
Professeur Université de Nantes, Laboratoire IREENAM. Pierre CHAPELLE
CR1M. Julien J
Ingénieur de Recherche TimetǦSavoie
Mme. Jacqueline ETAY
DR2 ²
Mme. Annie GAGNOUD
DR2 ²
-H GpGLH ŃHPPH POqVH j PM V±XU 0MwPRXQM GH$55$"Remerciement
Remerciement
Ce travail de recherche a été mené au Laboratoire de Science et Ingénierie des Matériaux et
Procédés de Grenoble 6H0M3 MX VHLQ GX JURXSH G·(OMNRUMPLRQ SMU 3URŃpGps Magnétiques
(EPM) en collaboration avec le groupe du Consortium de Recherches pour l'Emergence desTechnologies
Avancées F5(7$ GH O·HQVPLPXt Néel de Grenoble. Il V·LQVŃULP GMQV OH ŃMGUH GHV projets MAP-ThermoLab/ThermoProp financé par l'agence spatiale européenne (ESA) et Matériaux et Microgravité financé par le ŃHQPUH QMPLRQMOH G·pPXGH spatiale (CNES). Il a aussi obtenu le soutien des programmes AGIR financé par Grenoble INP etPEPS/DEFI
financé par le CNRS.IH PUMYMLO SUpVHQPp GMQV ŃH PMQXVŃULP Q·aurait pas été possible sans de nombreuses aides, des
collaborations ainsi que les encouragements et le soutien de nombreuses personnes que je tiens à remercier. J'adresse mes premiers remerciements à Jacqueline ETAY et Annie GAGNOUD qui ont assuréla direction de cette thèse. Je les remercie également pour leur pédagogie, leur disponibilité
inconditionnelle, leur encouragement et leur qualité humaine. Pour cela, je tiens à leur exprimer
ma sincère reconnaissance.Je tiens à remercier les membres du jury
Monsieur le Professeur 0MUŃ I20(II2 7$)H1 G·MYRLU accepté de présider mon jury, Monsieur le Professeur Gérard BERTHIAU et Monsieur Pierre CHAPELLE pour leur minutieux travail G·évaluation en tant que rapporteurs, et Monsieur Julien JOURDAN, G·MYRLU accepté de faire partir du jury. -·H[SULPH PM UHŃRQQMLVVMQŃH j FOULVPLMQ *$51H(5 et Stéphane MASSUCCI membres de O·pTXLSH technique du SIMaP sans qui OM QRXYHOOH LQVPMOOMPLRQ $(;$0 Q·MXUMLP pas vu le jour. Sans RXNOLHU O·aide de Lucas DUBALT, Denis BON, BenjaminPICHAT, Colin PALIER,
MALLERY Bruno
et Gabriel FOURNIER. -H UHPHUŃLH SMUPLŃXOLqUHPHQP KYHV G(I$112K TXL P·M IMLP NpQpILŃLHU GH VHV ŃRQQMLVVMQŃHV sur son module d·LQGXŃPLRQ GH O·MLGH TX·LO P·M MSSRUPp
e et des conseils pour les calculs numériques.Je le remercie également pour sa disponibilité et son bon humeur. Sans oublier Cyril
COURTESSOLLE
HP )MPRXPMPM 6$17$5$ TXL P·RQP JXLGp GMQV PHV SUHPLHUV SMV GH ŃMOŃXOVB Je ne saurais oublier Mazen ALAMIR, directeur de recherche au laboratoire Gipsa-Lab pour son travail efficace sur le programme de post-traitement qui nous a SHUPLV G·H[SORLPHU OHV GRQQpHV expérimentales. Je remercie nos collaborateurs du CRETA, André SULPICE, Sophie RIVOIRARD, IsabelleGELARD et Paul CHOMETON
TXL QRXV RQP SHUPLV G·XPLOLVHU OH ŃOMPS PMJQpPLTXH ŃRQPLQXBRemerciement
Une pensée toute particulière à Khadija RASSOULI, une personne très gentille et sympathique
MYHŃ TXL Ó·ML NHMXŃRXS pŃOMQJp HP TXL P·M NHMXŃRXS HQŃRXUMJpe et soutenue. Pour cela, je tiens à
OXL PpPRLJQHU PM JUMPLPXGH HP OXL H[SULPHU PRXP OH SOMLVLU GH O·avoir rencontrée.3RXU O·ambiance très conviviale surtout pendant le déjeuner à la cafète, le sudoku et les mots
fléchés pour se détendre : Merci Olga BUDENKOVA, Ives DUTERRAIL et tous ceux qui se reconnaîtront. Je remercie également tout le personnel de SIMaP dont ÓH Q·ML SMV PHQPLRQQp Oes noms et les doctorants Hamed, Mariano, Marcio, Jules pour vos aides et vos encouragements.-H PLHQV j UHPHUŃLHU OM ŃROOMNRUMPLRQ LQPHU 8QLYHUVLPMLUH HQPUH OM )UMQŃH HP OM 0MOL TXL P·M SHUPLV GH
faire partLH GHV NRXUVLHUV G·H[ŃHOOHQŃHV 2009 pour pouvoir poursuivre mes études en France.
Sans oublier la contribution financière du gouvernement Malien durant tout mon séjour. AinsiTXH OH VRXPLHQ HP O·HQ
couragement de Leïla MATHIEU, Myriam PAGIS. Je ne saurais oublier mon époux, Abdou Karim KONE, SinalyTRAORE, ma famille en
particulier ma maman qui ont toujours su P·pSMXOHU GMQV OHV PRPHQPV GLIILŃLOHV P·HQŃRXUMJHU HP
partager les moments de ÓRLH PMOJUp OM GLVPMQŃHB -H YRXV UHPHUŃLH GX IRQG GX ѱXU SRXU YRPUH
amour sans cesse grandissant. Merci à mon bébé Maï KONE, Assa KONE, B alogo, Adja, à mes IUqUHV HP PHV V±XUV 1MNLQPRX HP $PLQMPM MLQVL TXH PRXV PHV MPLV HV en particulier Kolé, sa femme Binta, Mahamar et Youbba TXL P·RQP HQŃRXUMJpe et soutenue de loin ou de près durantŃHV MQQpHV G·ptudes.
Résumé
I·LQGXVPULH GH PpPMOOXUJLH HVP GHPMQGHXVH GH SURSULpPpV POHUPRSO\VLTXHV HVVHQPLHOOHV SRXU OM PRGpOLVMPLRQ HP O·RSPLPLVMPLRQ GHV SURŃpGpV G·pOMNRUMPLRQVBLes propriétés thermophysiques des métaux et des alliages métalliques j O·pPMP liquide sont mal
connues. Ces propriétés dépendent de la température et sont difficiles à mesurer surtout à haute
température. $ O·pPMP OLTXLGH, le métal est réactif et facilement polluable. Dans les années 1980,
Egry a développé un lévitateur électromagnétique TEMPUS pour mesurer en apesanteur sans
contact PMPpULHO OHV SURSULpPpV POHUPRSO\VLTXHV GHV PpPMX[ HP MOOLMJHV HQ IXVLRQB GMQV O·HVSMŃH
les effets du brassage électromagnétique et de la déformation des échantillons fondus sont
beaucoup plus faibles que sur terre.I·HPSORL GH ŃHP RXPLO VSMPLMO HVP ŃRûPHX[B F·HVP SRXU, à terme, diminuer les coûts tout en
maintenant voire améliorant la qualité des mesures, que nous avons souhaité remplacer la
microgravité par un champ magnétique continu.Les travaux réalisés dans cette thèse consistent à mesurer les propriétés thermiques des métaux
par procédé électromagnétique en utilisant une méthode de calorimétrie modulée.Elle comporte
deux parties. -Une partie numérique dans laquelle QRXV MYRQV VLPXOp G·XQH SMUP OH OpYLPMPHXU VSMPLMO 7(0386 eP G·MXPUH SMUP OH OpYLPMPHXU PHUUHVPUH $(;$0BLa simulation du lévitateur spatial TEMPUS a pour but de GpPHUPLQHU O·HIIHP GH OM VXSHUSRVLPLRQ
de courants inducteurs de fréquences différentes (courants de chauffage et de centrage) sur les
comportements hydrodynamique et thermique de la goutte. Les résultats des calculs nous ont montré que le courant de centrage HVP VXVŃHSPLNOH G·MJLU VXU OHV PHVXUHV.La simulation du lévitateur terrestre AEXAM consiste à déterminer OM IUpTXHQŃH G·RVŃLOOMPLRQ
verticale de la goutte, la puissance Joule dissipée dans celle-ci, les champs de vitesse et de
température. La goutte SUHQG OM IRUPH G·XQH SRLUH et elle oscille à une fréquence de 7 Hz. La
puissance Joule dissipée dans la charge est maximale vers le bas de la charge dans les premiersmillimètres à mi-OMXPHXU HQPUH O·pTXMPHXU HP OH S{OH. Elle diminue en pénétrant dans la charge et
HVP QXO VXU O·M[H GH V\PpPULHB La convection dans la goutte crée un brassage électromagnétique et
homogénéise le champ de température.-Une partie expérimentale dans laquelle le lévitateur AEXAM a été placé dans un champ
magnétique continu horizontal pour amortiU O·RVŃLOOMPLRQ YHUPLŃMOH HP OH brassage électro-
magnétique de la goutte mentionnée dans les calculs. FHŃL QRXV M SHUPLV OM PLVH HQ ±XYUH G·XQ
protocole de mesure original sur un métal liquide. Ce protocole est un programme de traitement des donnés basé sur le comportement du champ de température lorsque les sources thermiquesLQPHUQHV j O·pŃOMQPLOORQ VRQP LQVPMPLRQQMLUHVB GMQV ŃH SURJUMPPH QRXV MYRQV XPLOLVp XQH IRQŃPLRQ
G·LGHQPLILŃMPLRQ TXL SHUPHP G·RNPHQLU XQ PRGqOH PMPOpPMPique à partir de mesures. Pour obtenir
un modèle mathématique consistant, il est important d'exciter le système avec toutes les
IUpTXHQŃHV GH VM SOMJH GH IRQŃPLRQQHPHQPB F·HVP ŃH TXH QRXV IMLVRQV TXMQG QRXV MSSOLTXRQV XQ
NUXLP NOMQŃ VXU OM ŃRQVLJQH G·HQPUpe du générateur. Nous avons précédemment validé le protocole
sur du solide en remontant aux valeurs de la capacité calorifique et de la conductivité thermique.
Pour optimiser les pertes de masse, les instabilités sur les mesures du courant inducteur et la bonne reproductivité des mesures sur une goutte, nous avons choisi une masse initiale de 3,5 g pour faire les mesures avec modulation du courant inducteur dans un champ magnétique continude 1 Tesla. Nous avons obtenu les valeurs de la capacité calorifique et de la conductivité
thermique de la goutte. Celles-ci sont voisines des valeurs données par la littérature. Ce qui nous a
permis de valider en partie le protocole de traitement des mesures.Dans le futur, ce p
rotocole peut être appliqué sur des alliages métalliques.Abstract
The metal industry is requesting essential thermophysical properties for modeling and optimizing elaboration processes.Thermophysical properties of metals and metal alloys in liquid state are well known. These
properties depend on the temperature and are difficult to measure especially at high temperature. In the liquid state, the metal is reactive and easily contaminated .In the 1980s, Egry developed an electromagnetic levitator TEMPUS developed an electromagnetic levitator TEMPUS to measure thermophysical properties of molten metals and alloys using a contactless technique undermicrogravity conditions. In space, the effects of electromagnetic stirring and deformation in
molten samples are much lower than on Earth. The use of this space tool is expensive. In order to reduce the cost while maintaining or even improving the quality of measurements, we wanted to replace microgravity by a continuous magnetic field. The work in this thesis includes measuring the thermal properties of metals by electromagnetic method using a modulated calorimetry technique.The work has been divided
in two parts : -The first consisted in the numerical simulation of space levitator TEMPUS and a terrestrial levitator AEXAM The numerical simulation of space levitator TEMPUS aims to determine the effect of the superposition currents of different induction frequencies (heating currents and centering) on the hydrodynamic and thermal behavior of the drop. Calculation results showed that in some cases the centering current is likely to act on the measures and therefore it should be taking into account. The numerical simulation of terrestrial levitator AEXAM was destined to determine the vertical oscillation frequency of the drop, the power dissipated, the velocity fields developed inside and temperature. The drop takes the form of a pear and oscillates at a frequency of 7 Hz. The Joule power dissipated in the load is maximum on the lower part of the drop and decreases towards the interior of the drop vanishing at the center. Convection in the drop creates an electromagnetic stirring and homogenizing the temperature field. -The second part present the experiments performed using the levitator AEXAM placed in a horizontal continuous magnetic field for dampening the vertical oscillation and the turbulence produced by the effect of the electromagnetic stirring as it was mentioned in the calculations. This allowed us the implementation of a new protocol for measuring thermal properties in liquid metals. The protocol is a post processing program based on the temperature field variation resulting from unsteady joule power dissipation in the charge. An implemented identification function provides a mathematical model based on performed measurements. The use of a wide range of system frequencies was required to obtain a robust mathematical model. This was achieved by using pseudo-white noise perturbation at the generator inlet. The program has been validated successfully on solid matter by reverse determination of thermal conductivity and heat capacity. The preliminary studies under continuous magnetic field without modulation have mounted for a maximum initial weight of 3.5, we have less mass loss and improved measurement stability of the inductor current, as well as the reproductivity of the measurements. The protocol was validated successfully on the liquid charge using modulated perturbation under a continuous magnetic field of 1 Tesla. The obtained values of the heat capacity and thermal conductivity were comparable to the values given by the literature which partially validates the protocol.As a perspective, this
protocol can be applied to a wide range of metal alloys.Table des Matières
Tables des matières
Chapitre 1"""""""""""""""""""""""""""""""""" 21
Introduction et contexte ........................................................................................................................ 21
Chapitre 2 ............................................................................................................................................... 25
Equations de la Magnétohydrodynamique (MHD) ..................................................................... 25
2.1 Electromagnétisme .................................................................................................................. 25
2.1.1 Equations de Maxwell ....................................................................................................... 25
2.1.2 (TXMPLRQ GH O·LQGXŃPLRQ .................................................................................................... 28
2.1.3 Puissance Joule .................................................................................................................. 30
2.1.4 Force électromagnétique .................................................................................................. 30
2.2 Mécanique des fluides ............................................................................................................. 31
2.2.1 Equations de Navier Stokes et de continuité ................................................................ 31
2.2.2 Brassage électromagnétique ............................................................................................. 32
2.3 Thermique ................................................................................................................................ 33
2.3.1 Equation de O·pQHUJLH ........................................................................................................ 33
2.3.2 Transfert stationnaire ........................................................................................................ 34
2.3.3 Transfert instationnaire : modèle à 2 Zones .................................................................. 36
2.4 Ordres de grandeur attachés à la lévitation électromagnétique ........................................ 39
2.5 Couplages
: électromagnétisme, mécanique des fluides, thermique ................................. 412.6 Conclusions
.............................................................................................................................. 42
Chapitre 3 ............................................................................................................................................... 43
Outils numériques ................................................................................................................................... 43
3.1 Logiciels utilisés pour la modélisation du lévitateur ........................................................... 43
3.1.1 Migen ................................................................................................................................... 43
3.1.2 Fluent .................................................................................................................................. 44
3.2 Procédure H[SpULPHQPMOH HP G·MQMO\VH GHV PHVXUHV ............................................................ 48
3.2.1 Procédure expérimentale .................................................................................................. 48
3.2.2 3URJUMPPH G·MQMO\VH GHV PHVXUHV .................................................................................. 50
Tables des Matières
3.3 Conclusion ................................................................................................................................ 54
Chapitre 4 ............................................................................................................................................... 55
Simulations numériques de cas de lévitation électromagnétique ............................................. 55
4.1 Simulation numérique du lévitateur EML spatial ............................................................... 55
4.1.1 3UpVHQPMPLRQ GH O·LQVPUXPHQP HP ŃRQGLPLRQV GH IRQŃPLRQQHPHQP ................................. 55
4.1.2 2UGUHV GH JUMQGHXUV MPPMŃOpV j O·(0I VSMPLMO ............................................................... 57
4.1.3 Résultats des calculs
.......................................................................................................... 58
4.1.4 Conclusion
.......................................................................................................................... 65
4.2 Simulation numérique du lévitateur EML terrestre ............................................................ 65
4.2.1 3UpVHQPMPLRQ GH O·LQVPUXPHQP HP ŃRQGLPLRQ GH IRQŃPLRQQHPHQP ................................... 65
4.2.2 2UGUHV GH JUMQGHXUV MPPMŃOpV j O·(0I-AEXAM-2 terrestre ...................................... 67
4.2.3 Résultats des
calculs .......................................................................................................... 68
4.2.4 Conclusion
.......................................................................................................................... 71
4.3 Bobine G·+HOPOROP] ŃOMPS GF ......................................................................................... 72
4.3.1 Calcul du champ DC ......................................................................................................... 72
4.3.2 Conclusion
.......................................................................................................................... 75
4.4 Conclusion générale et perspectives ..................................................................................... 75
Chapitre 5
............................................................................................................................................... 77
Expériences AEXAM ............................................................................................................................. 77
Introduction ............................................................................................................................................ 77
5.1 Description des installations .................................................................................................. 77
5.1.1 Cellule de mesure
............................................................................................................... 78
5.1.2 Partie électrotechnique ..................................................................................................... 79
5.1.3 Pilotage et acquisition ....................................................................................................... 81
5.1.4 Sonde de champ B ............................................................................................................ 82
5.1.5 Echantillon ......................................................................................................................... 82
5.1.6 6SpŃLILŃLPp GH O·LQVPMOOMPLRQ 2 ............................................................................................. 82
5.2 0LVH HQ ±XYUH GH OM SURŃpGXUH GH PHVXUH ........................................................................... 85
5.3 Mode opératoire ...................................................................................................................... 87
5.4 Conclusion
................................................................................................................................ 89
Chapitre 6
............................................................................................................................................... 91
Résultats expérimentaux ....................................................................................................................... 91
6.1 Essais avec un barreau de Niobium solide .................................................................................. 91
Table des Matières
6.2Expériences avec une sphère de Nickel solide .................................................................... 93
6.2.1 Avec un bruit blanc qui ne fonctionne pas .................................................................... 94
6.2.2 Avec un bruit blanc qui fonctionne ................................................................................ 95
6.2.3 Conclusion .......................................................................................................................... 97
6.3Essais réalisés avec une goutte de Nickel ............................................................................. 97
6.3.1 Comportement de la charge (goutte de Nickel) ............................................................ 97
6.3.2 Caractéristiques du courant inducteur .......................................................................... 100
6.3.3 Répétabilité des essais ..................................................................................................... 104
6.3.4 Résumé des conditions des essais ................................................................................. 105
6.3.5 Dépouillement des essais avec modulation du courant inducteur ........................... 105
6.4Conclusions ............................................................................................................................ 111
Chapitre 7 ............................................................................................................................................. 113
Conclusion et perspectives
................................................................................................................. 113
Bibliographie ...................................................................................................................................... 117
Annexe
APropriétés thermophysiques ......................................................................................... 123
A.1 AlOLMJH G·$OXPLQLXP Nickel, N
iobium, Nickel ................................................................. 123A.2 Argon, Azote
, Hélium ......................................................................................................... 125
Annexe
BDonnées rélatives à -MSL .................................................................................. 127
B.1 6XSSHUSRVLPLRQ GX ŃRXUMQP GH ŃOMXIIMJH HP GX SRVLPLRQQHXU GMQV O·(0I VSMPLMO ........ 127
B.2 Calcul analytique des forces
et de la puissances Joule totales crées dans la charge ..... 131B.3 Enregistrement du vol TEXUS-EML2 de la fusée sonde de février 2008 ................... 134
Annexe C ................................................................................ 137C.1 1RPLŃH G·XPLOLVMPLRQ GX programme LabVIEW de la lévitation électromagnétique ..... 137
C.2 Description de la face-avant de LabVIEW et fichier de mesure .................................... 139
C.3 Demarrage et arrêt du générateur ....................................................................................... 142
Annexe D Mesures de température ................................................................................................ 145
D.1 Pyrométrie .............................................................................................................................. 145
D.2 Problème liés à la vaporisation du Nickel .......................................................................... 147
Annexe E Post-traitement ............................................................................................................... 151
E.1 Modèle à deux Zones ............................................................................................................ 151
E.2 Calcul du coefficient de transfert interne global Hint ..................................................... 155
E.3 Programme de post-traitement ............................................................................................ 159 9
Tables des Matières
Annexe F Résultats des essais expérimentaux ........................................................................... 161
F.1 Installation 1 avec un barreau de Niobium ........................................................................ 161
F.2 Installation 1 avec une sphère de Nickel ............................................................................ 162
F.3 Installation 2 avec une goutte de Nickel ............................................................................ 163
F.4 Expériences réalisées avec une modulation du courant inducteur AC .......................... 181
10Liste des Figures
Liste des figures
1.1 Place de la Métallurgie en Europe. [MAT-2012]. .................................................................. 21
1.2 Besoins de SURSULpPpV POHUPRSO\VLTXHV GMQV O·LQGXVPULH HQ 2001 L)(F-2001]. ............... 21
2.1 Forme des lignes de champ. Champ dipolaire (gauche) ; champ quadripolaire (droite)
[SCH-2009]. ................................................................................................................................ 25
2.2 Schéma de la distribution des lignes de champ magnétique j O·LQPpULHXU G·XQH ŃOMUJH
conductrice G·pOHŃPULŃLPp placée dans un inducteur [SAA-2006]. ......................................... 29
2.3 Représentation schématique de la structure des écoulements générés par le brassage
pOHŃPURPMJQpPLTXHB IH OLTXLGH GMQV O·pŃOMQPLOORQ HQ OpYLPMPLRQ HVP NUMVVp SMU : un champ dipolaire en microgravité (gauche); un champ quadripolaire sur terre (droite) [SCH-2.4 Schéma du modèle à deux zones. Température de la zone équatoriale Te : puissance
Joule ߯
et température Te uniforme; Température de la zone polaire Tp: puissance Joulenulle et température Tp uniforme [SCH-2009]. ................................................................ 37
2.5 FRXSOMJHV HQPUH O·LQGXŃPLRQ O·O\GURG\QMPLTXH OM POHUPLTXH OM VXUIMŃH GH OM JRXPPH GH
O·pŃOMQPLOORQ [SCH
-2009]. .......................................................................................................... 42
3.1 Système de coordonnées cylindriques. ................................................................................... 45
3.2 Comparaison des transferts de chaleur externes. Flux totaux de chaleur évacués
(gauche) ; coefficients de transfert globaux (droite) [SCH-2009]. ...................................... 473.3 Spectre de la réponse de la température sur la puissance pour différentes harmoniques
de la modulation temporelle de la puissance. ........................................................................ 49
3.4 Représentation du système charge plus inducteur comme un " transformateur
» pour la
théorie du contrôle du signal - les fonctions de transfert sont les fonctions qui relient laSMUPLH LQVPMPLRQQMLUH GH OM SXLVVMQŃH ÓRXOH GLVVLSpH GMQV O·pŃOMQPLOORQ MX[ SMUPLHV
instationnaires des températures mesurées. ........................................................................... 49
3.5 Procédure de calcul des SURSULpPpV SO\VLTXHV G·XQ pŃOMQPLOORQ SURSRVpH SMU 6ŃOHPHOMP
[SCH-2011]. ................................................................................................................................ 50
4.1 Inducteur TEMPUS-MSL. Electro Magnetic Levitator (EML) dans la navette spatiale (gauche); vue du dessus (droite) [LOH-2001]. ..................................................................... 55
4.2 Schéma électrique des deux alimentations du dispositif TEMPUS-MSL [LOH-2002 ;
ETA -2004@ BI·MOLPHQPMPLRQ HQ NOHXH SHUPHP OH ŃHQPUMJH GH OM ŃOMUJH ŃOMPSTXMGULSROMLUHB IH ŃOMXIIMJH HP O·H[ŃLPMPLRQ PpŃMQLTXH ŃOMPS NLSROMire) est obtenue par
l'alimentation en rouge. ............................................................................................................. 56
4.3 Variation de la tension de chauffage et de centrage en fonction du temps du vol
TEXUS fusée-VRQGH G·$VPULXP 2008 GH O·MOOLMJH G·$O68D MPB -Ni31,5 at.%. Séquence
1 et3 stationnaires, Séquence 2 instationnaire. ..................................................................... 56
Liste des Figures
4.4 Séquence 1 : résultats de la simulation du lévitateur TEMPUS en superposant le courant
de chauffage (Heater) et le courante de centrage (Positioner) dans un même inducteur. Densité de puissance Joule (gauche) ; distribution de la température pour une émissivité de 0,52 (droite). .......................................................................................................................... 59
4.5 Séquence 1
: résultats de la simulation du lévitateur TEMPUS en superposant le courant de chauffage (Heater) et le courant de centrage (Positioner) dans un même inducteur.(a) Lignes de courant. (b) Champ de vitesse (gauche) ; viscosité effective Ɋൌ
(droite). ........................................................................................ 59
4.6 Profils radiaux de vitesse moyenne dans la goutte séquence 1. Positioin des différents
profils repérés par des angles (gauche) ; H seul le courant de chauffage (Heater) circule ; H + P superposition des courants de chauffage (Heater)et de centrage (Positioner) dans le même inducteur (droite). .............................................. 61
4.7 Séquence 3
: résultats de la simulation du lévitateur TEMPUS en superposant le courant de chauffage (Heater) et le courant de centrage (Positioner) dans un même inducteur. Densité de puissance Joule (gauche) ; distribution de la température pour une émissivité de -(droite). ............................................................................................................................ 62
4.8 Séquence 3
: résultats de la simulation du lévitateur TEMPUS en superposant le courant de chauffage (Heater) et le courant de centrage (Positioner) dans un même inducteur.(a) Lignes de courant. (b) Champ de vitesse (gauche) ; viscosité effective Ɋൌ
(droite). ........................................................................................ 62
4.9 Courbe de décroissance de la vitesse moyenne dans un échantillon liquide en lévitation.
Passage du
liquide turbulent au liquide laminaire. ................................................................ 63
4.10 Courbe de décroissance de la température dans la goutte lévitée pour une émissivité de
0,48. .............................................................................................................................................. 64
4.11 AEXAM-2. Vue du dessus (gauche) ; vue de
profil (droite). ............................................................................................................................. 66
4.12 Géométrie axi- h
correspond à la hauteur et R le rayon en mm. ....................................................................... 66
4.13 En rouge
: échantillon solide sphérique. En bleu : échantillon liquide déformé.BAC,Z = 0 Gauss (gauche). Courbe du champ
(droite). .................. 694.14 -2 (sans champ
DC). Densité de puissance Joule (gauche) ; distribution de la température pour une émissivité de 0,33 (droite). ........................................................................................................ 70
4.15 -2 (sans champ
DC). (a)
Lignes de courant. (b) Champ de vitesse (gauche) ; viscosité effective ..... Ɋൌ
(droite). ........................................................................................ 71
4.16 Schéma de la bobine supraconductrice (axi-symétrique). .................................................... 73
Liste des Figures
4.17 FOMPS PMJQpPLTXH GFB 9MOHXUV j GLIIpUHQPHV SRVLPLRQV j O·H[PpULHXU GH OM NRNLQH
supraconductrice (gauche) ; carte des lignes de champ de la bobine (droite). .................. 734.18 Courbes du champ magnétique DC calculé HQ IRQŃPLRQ GH O·M[H GH V\PpPULTXH ݖ pour
différent rayon ݎ . BDC,Z pour r = 1 cm, r = 3 cm, r = 5 cm et Ieff = 112,80 A.Comparaison des calculs et des données du constructeur. .................................................. 74
5.1 Schéma des
installations expérimentales AEXAM. .............................................................. 78
5.2 Installations AEXAM. Installation 1 pour un échantillon solide (gauche). 1ère partie de
O·LQVPMOOMPLRQ 2 SRXU XQ pŃOMQPLOORQ OLTXLGH VMQV OHV ŃRPSRVMQPHV GX ŃOMPS GF(droite). ........................................................................................................................................ 78
5.3 Inducteur utilisé pour les échantillons solides. Schéma (gauche) ; photo (milieu)
; ligne dechamp bipolaire (droite). ..................................................................................................... 80
5.4 Inducteur n°4F utilisé pour les échantillons liquide. Schéma (gauche) ; photo (droite en
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