Méthodes numériques de résolution déquations différentielles
ª Le syst`eme est bien d'ordre 1 mais il est non linéaire. Calcul numérique d'une solution approchée. Pas d'expression explicite de la solution. ?. Calcul ...
Chapitre Résolution numérique des équations différentielles Master
II ´Equations différentielles d'ordre n La résolution numérique consiste `a ... Soit l'équation différentielle du seconde ordre suivante :.
Résolution numérique des Équations Différentielles Ordinaires
Le théorème de la “Seconde barrière de Dahlquist” est-t-il respecté? ?. Exercice 6.4 Calculer l'intervalle de stabilité absolue pour la méthode d'Euler
Résolution numérique des équations différentielles ordinaires (EDO
Ordre n de la méthode = plus grande puissance de h prise en compte dans l'approximation. — Somme des termes négligés = erreur de troncature locale ? hn+1.
Résolution numérique des équations différentielles
Lorsque f est de classe C 1 la méthode d'Euler est une méthode consistante d'ordre 1. JP Becirspahic — Résolution numérique des équations différentielles
Méthodes numériques de résolution déquations différentielles
De nos jours la. 9. Page 10. Calcul Formel et Numérique : Licence sciences et technologies
Ift 2421 Chapitre 6 Résolution des équations différentielles
Chapitre 6. Résolution numérique des équations différentielles. Exemple du pendule : Équation différentielle non linéaire du second ordre.
Résolution numérique des équations différentielles
Une solution de cette équation différentielle est une fonction x de classe C 1 du second ordre vérifiée par la fonction s mais la démarche numérique ...
11. Introduction à la programmation de la résolution numérique d
19-Oct-2021 Évidemment le calcul approché par une méthode numérique de la solution ... On intègre un système d'équations différentielles du second ordre ...
Méthodes numériques pour les équations différentielles
On appelle EDO d'ordre n de fonction second membre f l'équation résoudre de manière approchée et itérative l'équation différentielle (x) = ? x +(x) ...
Résolution numérique des équations différentielles 1 Les équations
Résolution numérique des équations différentielles Rappels: 2 grandes classes: 1 Les équations différentielles ordinaires: une seule variable 2 Les équations aux dérivées partielles: plusieurs variables (équation de la chaleur des ondes ) Ordre d’une équation différentielle : dérivée la plus élevée
Chapitre 5 : Équations différentielles
On dit qu’une équation différentielle de la forme y?(t) ?ay(t) = g(t) est homogène lorsque l’on considère comme second membre une fonction gidentiquement nulle ce que l’on note g?0 Dé?nition Soient Iun intervalle de R et a?I?R une fonction continue
Méthodes numériques de résolution d’équations di?érentielles
Calcul Formel et Numérique : Licence sciences et technologies deuxième année Année 2006-2007 Une équation di?érentielle est une équation qui dépend d’une variable t et d’une fonction x(t) et qui contient des dérivées de x(t) Elle s’écrit : F tx(t)x(1) (t) x(m) (t) = 0 où x(m) (t) ? dmx dtm (1)
Chapitre 7 : Résolution numérique des équations
résolution numériques complètement différentes Pour les problèmes aux conditions initiales d’ordre 2 il existe des méthodes numé-riques spéci?ques Cependant il est toujours possible de les ramener à un système de deux équations différentielles d’ordre 1 couplées et avec conditions initiales En effet
Quelle est la résolution numérique des équations différentielles ?
Les équations différentielles ordinaires (O.D.E) 1 Résolution numérique des équations différentielles 1. Les équations différentielles ordinaires (O.D.E) Sébastien Charnoz & Adrian Daerr Université Paris 7 Denis Diderot CEA Saclay 2 Les systèmes dynamiques L’évolution des systèmes dynamiques sont régis par des équations différentielles
Quels sont les différents types d'équations différentielles?
Résolution numérique des équations différentielles Rappels: 2 grandes classes: 1. Les équations différentielles ordinaires: une seule variable. 2. Les équations aux dérivées partielles: plusieurs variables. (équation de la chaleur, des ondes, ...)
Comment résoudre une équation différentielle?
Une solution particulière de l’équation est une fonction gqui vérifie l’équation. Résoudre l’équation différentielle c’est trouver la solution générale de (E) qui est formée par l’ensemble de toutes les fonctions solutions de (E). 2.
Comment calculer l’équation différentielle d’ordre 2?
Équation différentielle d’ordre 2 y??(t) = f (t,y(t),y?(t)) Avec les 2 conditions limites : y(t0 )= y0 et y(t1 )= y1 Type différent de celles données avec des conditions initiales. Les méthodes vues précédemment ne s’appliquent pas car nous ne connaissons pas y?(t0 )
UE 3M236
Méthodes numériques pour les équations
différentielles Poly initialement de Marie Postel, remanié par Hervé Le DretLaboratoire Jacques-Louis Lions
4 mai 20?6
Table des matières
Introduction2
? Équations différentielles ordinaires, étude théorique 7 ?.? Ce qu"il faut savoir avant de commencer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 ?.?.? Prérequis généraux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 ?.?.2 Topologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 ?.?.3 Calcul différentiel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 ?.?.4 Culture générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9?.2 Présentation générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
9 ?.2.? Définitions et premiers exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 ?.2.2 Le problème de Cauchy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ?9?.3 Équations différentielles linéaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
23?.3.? Définitions et propriétés générales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
23?.3.2 Systèmes différentiels linéaires à coefficients constants . . . . . . . . . . . . .
26?.3.3 Systèmes différentiels linéaires à coefficients variables . . . . . . . . . . . . .
36?.4 Existence et unicité dans le cas général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
44?.4.? Approche historique par la méthode d"Euler . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
?.4.2 Résultats d"existence et d"unicité dans le cas général . . . . . . . . . . . . . . 47
?.4.3 Existence locale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
?.4.4 Existence globale à l"aide des fonctions de Liapounov . . . . . . . . . . . . . . 63
?.5 Quelques exemples d"équations différentielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
?.5.? Un peu d"exploration avec Scilab . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
?.5.2 Bribes d"étude qualitative . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68
?.5.3 Le cas de équations différentielles autonomes . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
?.5.4 Exemples et modèles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7?
2 Approximation numérique des équations différentielles ordinaires 8?
2.? Principes généraux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
8?2.?.? La notion de schéma numérique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
8?2.?.2 Schémas numériques généraux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
892.?.3 Schémas explicites à un pas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
9?2.?.4 Stabilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
932.?.5 Consistance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
952.?.6 Convergence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
982.?.7 Ordre d"un schéma, estimation d"erreur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
982.?.8 Schémas implicites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
?042.?.9 Méthodes de résolution des équations non linéaires . . . . . . . . . . . . . .
??02.2 Diverses familles de schémas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
??32.2.? Schémas de type Taylor . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
??32.2.2 Méthodes d"Adams . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .??5
2.2.3 Schémas de Runge-Kutta. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
??82.2.4 Schémas numériques pour les systèmes hamiltoniens . . . . . . . . . . . . . .
?3?2.2.5 Schémas d"ordre élevé et précision numérique . . . . . . . . . . . . . . . . .
?382.2.6 Contrôle du pas de temps . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
?402.3 Stabilité absolue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
?442.3.? Domaine de stabilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
?47 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ?56 Index . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ?58IntroductionLes équations différentielles sont des équations liant entre elles une fonction inconnueyd"une
variabletet ses dérivées successivesy0;y00;:::;yn, jusqu"à un certain ordren?. On les présente
le plus souvent sous la forme y nt=ft;yt;y0t;:::;yn?t:c"est-à-dire que la dérivéenèmedeyau pointtest fonction detet des valeurs des dérivées dey
d"ordre strictement inférieur ànen ce même pointt. On se pose la question de savoir, pourfdonnée,
si de telles équations ont des solutions, c"est-à-dire s"il existe de telles fonctionsy, puis de décrire
aussi précisément que possible ces solutions éventuelles.Les équations différentielles sont étudiées depuis l"invention du calcul différentiel par Newtonⁱ
(?67?). Des problèmes célèbres étaient à l"époque résolus soit par intégration directe, soit de manière
approchée mais " à la main », le plus souvent par développement en série de la solution. Leibniz²,
Jean Bernoulli³et Huygens⁴(?69?) résolvent ainsi plus ou moins en même temps le problème de
la chaînette, c"est-à-dire le problème de déterminer la forme que prend une chaîne suspendue par
ses extrémités et uniquement soumise à son poids. Jean Bernoulli pose celui de la brachistochrone
en ?696, tout en en connaissant déjà la solution, comme un défi aux mathématiciens de son temps.
La brachistochrone est la courbe joignant deux points telle qu"une bille roulant sans frottement surcette courbe et lâchée à vitesse nulle du point le plus haut, atteint le point le plus bas en le moins de
courbe en question est un arc de cycloïde - et c"est l"occasion d"une brouille entre les deux frères
Bernoulli, qui s"opposent sur la qualité de leur preuve respective! Un siècle plus tard à peine, Euler⁷
(?769) entreprend le recensement de toutes les équations différentielles qui peuvent être résolues de
manière analytique, c"est-à-dire celles pour lesquelles on dispose de formules explicites donnant les
solutions. Ces travaux occupent les tomes XXII et XXIII de ses oeuvres complètes.La complexité des solutions de certaines équations différentielles d"apparence pourtant anodine
laisse entrevoir qu"une alternative au calcul de la solution exacte est sans doute souhaitable. Maisle véritable essor de cette alternative, les méthodes numériques, a lieu au XIXème siècle quand
Liouville♣(?84?) démontre que certaines équations ne peuvent pas être résolues analytiquement,
c"est-à-dire que leur solution existe bien mais ne peut pas être exprimée comme une combinaison
de fonctions élémentaires (c"est le cas par exemple de l"équation différentielley0t=t2+yt2).
Ce résultat important, de nature analogue à l"impossibilité de résoudre par radicaux les équations
polynomiales génériques de degré supérieur à 5, a également motivé des travaux théoriques sur
l"existence et l"unicité des solutions des équations différentielles.?. Sir Isaac Newton, ?642-?727.
2. Gottfried Wilhelm von Leibniz, ?646-?7?6.
3. Jean ou Johann Bernoulli, ?667-?748.
4. Christiaan Huygens, ?629-?695.
5. Guillaume François Antoine, marquis de L"Hôpital, ?66?-?704.
6. Jacques ou Jakob Bernoulli, ?654-?705.
7. Leonhard Euler, ?707-?783.
8. Joseph Liouville, ?809-?882.
3On se rend compte en fait que pour la plupart, en un certain sens, des équations différentielles, il
est impossible d"obtenir des formules donnant leurs solutions. Les équations différentielles résolubles
analytiquement sont l"exception plutôt que la règle. On peut néanmoins démontrer que les solutions
existent sous des hypothèses assez générales. Et la seule façon d"obtenir des informations quantitatives
sur ces solutions en l"absence de formules explicites est donc de les approcher numériquement. Il s"agit donc d"accepter philosophiquement que l"on ne peut en connaître quantitativement que des approximations, et de se donner les moyens de calculer effectivement de telles approximations touten maîtrisant l"erreur commise autant que possible. Mais est-ce aussi dramatique que cela, alors que
c"est déjà le cas ne serait-ce que pour l"immense majorité des nombres réels? On est bien au coeur de
l"analyse mathématique : approcher, majorer... Depuis la méthode d"Euler (?768), une panoplie impressionnante de méthodes numériques aété mise au point pour faire face à des équations parfois très complexes. En effet parallèlement
aux progrès mathématiques dans ce domaine, l"utilisation croissante des équations différentielles
pour décrire des phénomènes physiques se développe également dans toutes les disciplines, de
l"astronomie à la chimie, en passant par la médecine où la modélisation des épidémies avait déjà
intéressé Daniel Bernoulli⁹, le fils de Jean, en ?760. L"avènement des ordinateurs après la Seconde
Guerre Mondiale a ensuite totalement bouleversé le paysage, de par la puissance de calcul miseà notre disposition, sans commune mesure avec celle, déjà prodigieuse, des grands calculateurs
humains du passé, et qui permet de simuler numériquement avec précision des phénomènes régis
par des équations différentielles d"une grande complexité.Ce cours est une introduction aux aspects théoriques et numériques des équations différentielles
au niveau licence et n"a donc en particulier pas l"ambition de présenter en détails les méthodes
numériques les plus sophistiquées utilisées à l"heure actuelle. Il ne s"intéresse pas non plus aux
aspects systèmes dynamiques des équations différentielles. Il est partagé en deux grandes parties.
La première partie donne une rapide introduction aux équations différentielles du point de vue
théorique. Le cas particulier des équations différentielles linéaires déjà abordé en L? est traité en
premier, de façon probablement plus complète. Les principaux résultats d"existence et d"unicité
des solutions dans le cas général sont ensuite présentés. Le texte contient un certain nombre de
considérations parfois d"ordre historique, parfois peut-être un peu exagérément calculatoires, qui
seront très certainement passées sous silence en amphi, car le temps y est assez sévèrement limité.
Les passages correspondants sont
en ro uge, o upa sseront a uro uge a uf uret à mesure qu"ils sero nt ignorés en live. Naturellement, ce n"est pas parce qu"un passage est en ro uge qu"il est n égligeable.Les passages rouges contiennent en fait de nombreuses choses intéressantes, il faut les lire malgré
leur couleur.La deuxième partie couvre les méthodes d"approximation numérique des solutions. Nous présen-
tons d"abord les principes de base : discrétisation, consistance, stabilité, convergence. Les grandes
catégories de méthodes sont ensuite décrites et quelques méthodes parmi celles utilisées le plus
couramment sont détaillées. Les méthodes présentées sont également testées sur des exemples au
moyen du logicielsci?abⁱ⁰. Des scriptssci?abpermettant de reproduire certains de ces exemples
sont disponibles sur le site webSignalons également que l"UPMC est partenaire de l"Université en Ligne qui propose une série
de cours et d"exercices permettant au lecteur d"obtenir en temps libre les pré-requis pour suivre ce
cours.9. Daniel Bernoulli, ?700-?782. ?0. Le logicielsci?abest téléchargeable gratuitement sur le site web http://www.scilab.org pour OS X, diverses
distributions Linux et Windows.http://uel.unisciel.fr/mathematiques/eq_diff/eq_diff/co/eq_diff.htmlEnfin, ce polycopié a été initialement écrit par M. Postel, principalement à partir du livre de
S. Delabrière et M. Postel [4], et d"un polycopié de S.-M. Kaber. Il a été ensuite considérablement
remanié année après année par H. Le Dret. Les autres sources bibliographiques citées sont rassemblées
en fin de poly. 6Chapitre ?
Équations différentielles ordinaires,
étude théorique
?.? Ce qu"il faut savoir avant de commencerLes mathématiques sont une discipline cumulative : on y construit des édifices de plus en plus
élevés sur des bases larges et solides. Inutile de rappeler ce qu"il advient des édifices construits sur
du sable. Les fondations mathématiques sont établies tant bien que mal (par manque de temps) dans
les premières années de licence. Tout ce qui a été vu précédemment est donc considéré comme
acquis, puisque l"on ne saurait croire à cette légende urbaine de l"existence de gens qui oublient tout
une fois l"examen passé. Ce qui suit est une liste plus spécifique de notions antérieures qui seront
directement utilisées dans ce cours. Si par malheur, on ne se sent pas complètement au point dessus,
il est toujours temps de revoir par exemple ce qui est enseigné dans l"excellent cours de Topologie et
calcul différentiel donné au premier semestre de L3 à l"UPMC. ?.?.? Prérequis générauxEnsemb les,a pplications.
-R,C, propriétés algébriques et topologiques. Algèbre linéaire en dimension finie, matrices, diagonalisation, trigonalisation (on ne saurait trop insister sur combien l"algèbre linéaire est fondamentale).E spaceseu clidiens,es paceshermiti ens.
L"intégrale de Riemann suffira, mais l"intégrale de Lebesgue ne peut pas faire de mal nonplus. Une intégrale fonction de sa borne supérieure donne une primitive de l"intégrande (par
exemple si celle-ci est continue). ?.?.2 Topologie E spacesmétri ques,bo uleso uvertes,bo ulesf ermées.Topologie d"un espace métrique : ouverts, fermés. Intérieur et adhérence d"une partie d"un
espace métrique. C onvergenced"un esuite dans un es pacemétri que. Applications continues entre deux espaces métriques. Applications uniformément continues entre deux espaces métriques. Compacts d"un espace métrique. L"image d"un compact par une application continue est compacte. Toute application continue d"un compact à valeurs dans un espace métrique estbornée. Tout application continue d"un compact métrique à valeurs dans un espace métrique
81. É quationsdiff érentiellesor dinaires,étude théorique
est uniformément continue.-Espaces vectorielsⁱnormés, topologie d"espace métrique associée à une norme. Déclinaison
des notions précédentes dans ce cas particulier. Suite de Cauchy dans un espace métrique, espace métrique complet, espace vectoriel normé complet ou de Banach. Toute application uniformément continue d"une partie d"un espace métrique à valeurs dans un espace métrique complet admet un unique prolongement continu à l"adhérence de la partie de départ. Dans un espace de Banach, toute série normalement convergente, c"est-à-dire dont la série des normes est convergente dansR+, est convergente, c"est-à-dire que la suite de ses sommes partielles converge dans l"espace de Banach. La limite de cette suite est appelée somme de la série. T outesl esn ormessur un es pacev ectorielde dimensi onfini eso ntéqui valentes. T ousl eses pacesv ectorielsn ormésde dimensi onfini eso ntco mplets,i.e., de Banach.N ormesu suellessur Rm,Cm.
L esco mpactsd"un es pacev ectorieln orméde dimensi onfini eso ntses f ermésborn és. L"espace des fonctions continues d"un intervalle fermé borné¯Ià valeurs dansRm, noté C0¯I;Rm, muni de la normekykC0¯I;Rm=maxt2¯IkytkRm(où l"on a pris n"importe quelle norme surRm) est un espace de Banach (de dimension infinie). La convergence d"une suite de fonctions au sens de cet espace n"est autre que la convergence uniforme sur¯I.
?.?.3 Calcul différentielOn se doute bien que pour parler d"équations différentielles, il faut savoir différentier toutes
sortes d"applications. Application différentiable d"un ouvert d"un espace vectoriel normé à valeurs dans un autreespace vectoriel normé (différentiabilité en un point, différentiabilité partout). Application
continûment différentiable. Différentielle en un point d"une telle application comme application linéaire entre les deux espaces vectoriels.À toutes fins utiles, on rappelle qu"une dérivée partielle n"a rien de bien méchant. C"est juste
une dérivée ordinaire par rapport à une variable quand on fixe toutes les autres variables. En dimension finie, après un choix de base dans chacun des deux espaces vectoriels dedépart et d"arrivée, la matrice qui représente la différentielle d"une application dans ces
bases est appelée samatrice jacobienne. Ses coefficients sont les dérivées partielles des différentes composantes. Plus explicitement, soitf:U!Fune application deUouvert d"un espace vectoriel norméEde dimensionkà valeurs dans un espace vectoriel norméFde dimensionm. On supposefdifférentiable au pointx02U. Sa différentielle enx0est une application linéairedfx0deEdansF. Si l"on choisit une baseujj=?;:::;kdeEet une base vii=?;:::;mdeF, et que l"on notexjles coordonnées cartésiennes associées dansEetyiles coordonnées cartésiennes associées dansF, alors l"applicationfest représentée parm
applications coordonnéesfide l"ouvert deRkcontenant les coordonnées des points deU, à valeurs dansR, de telle sorte que fx=m Xquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] test de psychologie pdf
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