Bases neurophysiologiques et principes dinterprétation de l
l'interprétation de l'électroencéphalogramme (EEG) en unité de soins intensifs (USI). Méthode. la localisation des activités pathologiques (par exemple.
© SFIPP Trousseau 2013
L'électroencéphalogramme (EEG) est un moyen d'exploration fonctionnelle des de diagnostic mais aussi dans des situations non pathologiques : ainsi la.
Prévision du risque neuro-développemental du nouveau-né
1 mars 2018 classification de l'EEG en normal ou pathologique reste toujours manuelle sans ... pathologique de l'enfant prématuré dès sa naissance.
Le scorage du sommeil Interprétation dun Hypnogramme Normal et
Normal et Pathologique Les traces en Polysomnographie : EEG ; EOG ; EMG ... EEG. 2- Grapho-éléments : Ondes lentes / Ondes delta. • Fréquence 05-2 HZ.
EEGDiag une application danalyse de lEEG pour la plateforme de
ment de 408 EEG avec des crit`eres d'inertie intra-classe et de distance Chaque EEG est classé ”normal” ”douteux” ou ”pathologique” (classes nommées ...
Bases neurophysiologiques de lélectroencéphalographie clinique
fonctionnelle du système nerveux et de la pathologie du sommeil Les bases neurophysiologiques des activités EEG delta pathologiques ne sont que.
Place de lEEG continu en réanimation pédiatrique: indications
14 mars 2018 pathologie cérébrale. Un EEG est donc un examen complexe et fluctuant. Son interprétation est difficile et doit toujours tenir compte du ...
LELECTRO-ENCEPHALOGRAMME E.E.G
Que recherche-t-on avec un EEG ? • Qu 'appelle-t-on « rythme EEG » ? • Qu 'est-ce qu 'un EEG « normal » ? • L 'EEG en pédiatrie. • EEG pathologique.
ELECTROENCEPHALOGRAPHIE I. Principe de l
Les électrodes d'enregistrement : le signal EEG est enregistré à l'aide de deux types il existe deux types d'activités EEG pathologiques : les ondes de.
ATELIER lEEG normal de lenfant et son intérêt pour lépilepsie
20 févr. 2015 mais jamais électrique si pas de crise clinique. « il n'existe d'EEG pathologique que chez le sujet malade ». ( Beaumanoir) ...
[PDF] Bases neurophysiologiques et principes dinterprétation de l - SRLF
ces canaux (ou « analyse topographique » de l'EEG) est utile à la fois pour l'identification des rythmes et pour la localisation des activités pathologiques
[PDF] $Bases neurophysiologiques de l EEG EMCpdf
Les bases neurophysiologiques des activités EEG delta pathologiques ne sont que partiellement connues Les ondes delta seraient générées par les cellules
[PDF] LELECTRO-ENCEPHALOGRAMME EEG
EEG pathologique • EEG : cas particuliers • Conclusions •L 'EEG consiste à recueillir l 'activité bioélectrique cérébrale au moyen d 'électrodes
[PDF] lEEG est une technique qui permet lenregistre
d'exploration des activités cérébrales normales et anormales ou pathologiques Depuis plusieurs années l'EEG numérisé ou digitalisé a progressivement
Électroencéphalographie (EEG) - Troubles neurologiques
Le tracé EEG de veille normal est fait d'ondes alpha sinusoïdales d'une fréquence de 8 à 12 Hz et d'une amplitude de 50 muV qui fluctuent sur les régions
[PDF] Electroencéphalographie dans les états de mal épileptiques
Résumé L'électroencéphalographie (EEG) est une méthode d'exploration fonctionnelle du cerveau utile dans le diagnostic et la prise en charge des états de
[PDF] Que doit savoir lanesthésiste-réanimateur sur lEEG
Les agents anesthésiques ont une action biphasique sur l'EEG avec une l'ensemble de ces tracés pathologiques (Tableau 5) sont disponibles [102-104]
[PDF] Électrophysiologie cérébrale - OTIMROEPMQ
ÉLECTROENCÉPHALOGRAMME ET MONITORAGE ÉEG Description des anomalies : décrire les activités observées sur le tracé sans nommer la pathologie
[PDF] DU ELECTROENCEPHALOGRAPHIE CLINIQUE (EEG)
L'EEG est un examen neurophysiologique fonctionnel du cerveau Il a l'avantage d'être accessible peu couteux non invasif et sans risque pour le patient En
Qu'est-ce qu'un EEG anormal ?
On recherche dans l'EEG une asymétrie entre les 2 hémisphères (suggérant une lésion focale), un ralentissement du rythme de base (apparition d'ondes delta de 1 à 4 à Hz, et de 50 à 350 muV), que l'on observe en cas de troubles de la conscience, d'encéphalopathie ou de démence, ou encore des ondes anormales.Comment lire un EEG épilepsie ?
Ce qu'il faut lire
Une épilepsie se traduira par des images spécifiques sur le tracé, en forme de pointes ou d'onde-pointes. Mais leur absence ne permet pas d'éliminer formellement le diagnostic. Mis à part l'épilepsie, l'EEG ne permet pas à lui seul, de poser un diagnostic, mais il y contribuera fortement.Comment interprète un EEG ?
L'interprétation d'un EEG implique que l'on connaisse l'âge du patient, les données cliniques, le(s) traitement(s) et leur dose, ainsi que le niveau de conscience [2]. La rédaction d'un compte-rendu EEG répond à une cer- taine logique.- L'EEG est un examen qui permet de mesurer l'activité du cerveau. Des capteurs sont placés sur la tête de l'enfant et mesurent le courant électrique créé par les neurones. L'EEG est utilisé pour diagnostiquer une épilepsie (par exemple après des convulsions) ou une autre anomalie de l'activité du cerveau.
PRINCIPES ET INTERET DE L'EEG CHEZ L'ENFANT
ML Moutard, P. Plouin, T. Billette de Villemeur
neuropédiatrie, TrousseauL'électroencéphalogramme (EEG) est un moyen d'exploration fonctionnelle des activités corticales et
sous corticales, indispensable en pédiatrie. C'est un ex amen facile à réalis er qui peut se faire a u
laboratoire d'EEG, au lit du patient, en unité de soins intensifs mais aussi en ambulatoire, au domicile.
Non doulou reux, non traumatisant, facilement reproductible, c'est un outil i ndispensable nonseulement dans des situations de diagnostic mais aussi dans des situations non pathologiques : ainsi la
réalisation de tracés chez le prématuré permet de vérifier la maturation normale du cortex cérébral.
En pédi atrie les patients ont un âge qui varie entre 25 semaines d' aménorrhée pour les
prématurissimes et 18 ans...ce qui revient à dire qu'il faut s'adapter :-à des conditions d'examen très différentes liées à la morphologie de l'enfant certes mais aussi
à ses capacités, son comportement, son environnement- à une lecture qui va varier en fonction de l'âge, du stade de vigilance, de la pathologie, des
traitements...C'est au technic ien qu'il revient de réaliser le tracé en plaçant les électrodes, et p endant le
déroulement de l'examen en notant tous les évènements (mouvements, secousses, crises, sommeil,
pleurs...) ; le tracé sera ensuite interprété par un médecin. Technicien et médecin travaillent en étroite
collaboration et doivent avoir été formés à la réalisation et à la lecture de l'EEG.
Principes
Des électrodes placées sur le cuir chevelu recueillent l'activité électrique de la colonne de neurones
sous-jacente ; ce signal - faible - est a mplifié, enregistré et retranscrit, aujourd'hu i de manière
numérique (ou digitalisé) sur ordinateur ; cette révolution -auparavant le tracé était retranscrit sur
papier- permet des durées d'enregistrement beaucoup plus prolongées, et surtout une lecture plus fine
car on peut a postériori, modifier les montages, varier l'amplitude ou la vitesse de défilement, mettre
des filtres et ainsi mieux analyser l'activité cérébrale.Les élect rodes chez l'enfant sont placées sur le cuir chev elu dans des localisation s précises puis
maintenues grâce à un casque en caoutchouc ; lorsque l'on réalise un enregistrement ambulatoire, les
électrodes sont collées avec du collodion ou une pate adhésive qui se retire avec de l'eau ; un filet
complète l'installation empêchant l'enfant de " jouer » avec fils et électrodes.Le montage classique est un montage 10-20 qui comporte 21 électrodes (figure 1) ; chez le nouveau-né
on réduit le nombre à 8 électrodes plus une électrode de terre. En cas d'évaluation pré chirurgicale, le
nombre d'électrodes peut être augmenté jusqu'à 64. La localisation des électrodes est marquée par une lettre :F, Fp : frontale ou fronto polaire
C : centrale
P : pariétale
T : temporale
P : occipitale
L'EEG est enregistré en montage référentiel et après enregistrement il est possible de recomposer tous
les montages bipolaires au moment de la lecture sur écran ; les montages les plus utilisés sont le
montage longitudinal ou transverse.D'autres capteurs sont s ystématiquement utilisés, en tou t cas chez l e petit : c oeur (électrode
précordiale), respiration (jonction thoraco abdominale), et selon la clinique, des électrodes peuvent
être collées sur les muscles (deltoïdes par exemple, muscles axiaux ou distaux, en fonction de la
description de la crise).© SFIPP Trousseau 2013
172Un EEG chez l'enfant, en particulier le petit enfant, dure longtemps car il est indispensable d'avoir les
différents stades de vigilanc e (veille, somnolence, sommeil calme, sommeil agité, éveil), des
séquences de veille avec yeux ouverts ou fermés et chez le plus grand les stimulations que sont
l'hyperpnée (après 3 ans), la stimulation lumineuse intermittente (après 1 an). L'enregistrement de
sommeil est indispensable jusqu'à 5 ans, certains grapho éléments pathologiques ou certaines crises
n'apparaissant que lors du sommeil ou à l'éveil. Au-delà de cet âge si un sommeil est nécessaire, on
s'aidera de la prescription de Mélatonine®.Ainsi un EEG standard peut durer de 20 mn chez le grand enfant jusqu' à une heure chez le tout petit.
Dans un certain nombre de cas, un enregistrement sur 24h, en ambulatoire (holter EEG) peut être nécessaire pour enregistrer des crises peu fréquentes.Enfin aujourd'hui, dans un laboratoire d'EEG, la vidéo est systématique : c'est un outil incomparable
permettant une analyse électrocli nique des évènements paro xystiques (crises, secousses isolées,
rupture de contact...), permettant un stockage des informations, et facilitant l'enseignement.Interprétation
Pour interpréter un EEG pédiatrique, il faut avoir connaissance du dossier de l'enfant, des examens
para cliniques ( notamment radiologiques), et des traitements en cours : c'est donc l 'affaire d'un
spécialiste, médecin formé à la technique, à la neuropédiatrie, qui va pouvoir ainsi répondre à la
demande des cliniciens en réalisant une description de ce qu'il voit et une interprétation diagnostique
et parfois pronostique.EEG normal
Les activités EEG sont caractérisées par des ondes distribuées dans différentes bandes de
fréquences (rythmes EEG) : le rythme delta, lent, est inférieur à 3.5 Hz le rythme théta est compris entre 4 et 7 Hz le rythme alpha est entre 8 et 13 Hz et le rythme béta est supérieur à 13 Hz.Ces rythm es sont distribués de ma nière variable et on en étudie la présence, la local isation, la
fréquence, la variabilité, la symétrie, l'amplitude selon le stade de vigilance et l'âge de l'enfant : à titre
d'exemple le sommeil cal me chez un nour risson se caractérise par des rythmes delta ampl es,occipitaux, polymorphes et des ryt hmes rapides (12-15Hz) dans les régions ce ntrales appel és
spindles (figure 2) ; chez le petit enfant, les spindles persistent mais les ondes lentes diminuent,
perdent leur prédominance occipitale, et sont moins amples ou polymorphes (figure 3).Il existe en outre des grapho éléments âge dépendants (encoches frontales, delta brush, théta aigu) qui
vont disparai tre en fonction de la maturation et qui so nt de précieu x éléments pour apprécier le
développement normal du prématuré ou du nouveau-né à terme.EEG pathologique
L'EEG est indiqué dans de nombreuses pathologies du système nerveux central et il existe des tracés
spécifiques de coma, d'encéphal ite, d'ac cident vasculaire ou d'intoxicati on m édicamenteuse... ;
l'EEG a de ce fait une valeur diagnostique importante. Il est aussi l'outil majeur dans l'épilepsie :
confirmation, caractérisation des crises, des syndromes épilept iques, diagnostic de l'état de mal,
surveillance du traitement. L'enregistrement EEG Vidéo d'une crise (tracé critique) permet de classer
celle-ci en crise généralisée (figure 4) ou focale (valeur localisatrice) mais le tracé intercritique a
aussi une grande valeur : pointes, pointes ondes, réunies en bouffées ou organisées en séquences,
aplatissement, inactivité : la localisation, la fréquence, l'aspect de ces grapho éléments pathologiques
revêt une importance diagnostique et parfois pronostique.Il n'est pas rare que des tracés soient d'interprétation difficile, parce qu'inhabituels, ou complexes, ou
très artéfactés : il faut savoir dans ces cas refaire rapidement un enregistrement, être prudent dans
l'interprétation et en discuter avec les cliniciens : étiqueter à tort un tracé de " pathologique »peut
avoir des conséquen ces fâcheuses tant sur le plan des inv estigations supplémentaires à envisager
que sur le plan thérapeutique.© SFIPP Trousseau 2013
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