[PDF] Cholestase cliniques ont une haute spé





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TP 2 : La spécificité des enzymes digestives. Mise en situation et

TP 2 : La spécificité des enzymes digestives. Mise en situation et recherche à mener. Nous consommons différents glucides tels que l'amidon



TP n°1 La digestion des glucides : spécificité enzyme -substrat

TP n°1 La digestion des glucides : spécificité enzyme -substrat Document 1 : Quelques enzymes digestives leur localisation et leur fonction. Enzymes.



Glycémie et diabète Chapitre 1 TP n°2 ETUDE DE LA SPECIFICITE

Les glycosidases sont des enzymes digestives qui catalysent l'hydrolyse de ces glucides en sucres réducteurs (glucose fructose



TP PROTIDES : ETUDE DUNE ACTIVITE ENZYMATIQUE

Mots clés de recherche : macromolécules enzyme digestion triglycérides protéines est une enzyme contenue dans les sécrétions digestives de l'homme.



13_ECE_68 S3-Glycémie et diabète ETUDE DE LA SPECIFICITE

Les glycosidases sont des enzymes digestives qui catalysent l'hydrolyse de ces glucides en molécules simples (glucose fructose



ÉLÉVATION DES TESTS HÉPATIQUES

de cette enzyme s'élève physiologiquement avec l'âge.6 Parallèlement le TP



CHAPITRE 1 LA CATALYSE ENZYMATIQUE - • Rappels des

hydrolyse par les enzymes digestives afin d'être convertis en petites molécules utilisables par la ACTIVITE 3 : La double spécificité des enzymes.



Cholestase

cliniques ont une haute spécificité mais leur sensibilité est faible. Les données de phosphatases alcalines sont des enzymes localisées `a la.



TP 2 : Propriétés des enzymes et étude du complexe enzyme

I – Comparaison de l'activité de deux enzymes digestives sur deux substrats document ci-dessous définir ce qu'est la spécificité d'action des enzymes.



TP n° 2 : La spécificité des enzymes Objectif de connaissance : On

Partie 1 : La spécificité de substrat. Mise en situation et recherche à mener. La pepsine est une enzyme digestive active autour de 37°C et à pH acide.



Partie 3 - Glycémie et diabète TS Spécialité SVT TP 2 : La spécificité

ch4tp3 correction etude de la specificite des enzymes digestives Etape 1 : Concevoir une stratégie pour résoudre une situation problème (durée maximale : 10 minutes) Pour savoir si l’enzyme saccharase a une spécificité de substrat c’est-à-dire qu’elle ne catalyse l’hydrolyse que de certains glucides il faut tester l’activité de



Partie 3 - Glycémie et diabète TS Spécialité SVT TP 2 : La

La digestion des glucides s'effectue en plusieurs étapes successives grâce à l'intervention d'enzymes digestives Le document ci-dessous représente ces différentes étapes en indiquant les substrats et les enzymes impliquées Polysaccharides (ex : amidon glycogène) Enzymes salivaires et pancréatiques (ex : amylase)



Activité 1 : Mise en évidence de la spécificité de substrat

TP4 La spécificité de substrat des enzymes Activité 1 : Mise en évidence de la spécificité de substrat : exemple de la lactase Lorsque nous buvons du lait le lactose présent est rapidement hydrolysé par une enzyme présente dans nos cellules : la lactase

Quelle est la spécificité des enzymes digestives ?

TP 2 : La spécificité des enzymes digestives. Nous consommons différents glucides, tels que l'amidon, le glycogène ou le saccharose. Ces différentes macromolécules subissent au cours de la digestion une ou plusieurs actions enzymatiques permettant de produire des monosaccharides, comme le glucose ou le fructose.

Quelle est la double spécificité des enzymes?

-II -La double spécificité des enzymes 1) La spécificité de substrat 6 7 8 Site actif : espace interne d’une enzyme où se déroule la catalyse L’enzyme possède une complémentarité de forme avec son substrat.

Qu'est-ce que la spécificité des enzymes?

Tous les catalyseurs, les enzymes, y compris, capables de réduire la barrière d'énergie. Cela contribue à l'accélération des progrès de la réaction. Dans ce qui semble la spécificité des enzymes? Cette aptitude se traduit par l'accélération de seulement une réaction spécifique.

Quels sont les différents types d’enzymes sécrétées dans le tube digestif ?

Lors de la digestion, différentes enzymes sont sécrétées dans le tube digestif. On étudiera deux de ces enzymes : la lipase pancréatique et la pepsine gastrique. Digestion d’une protéine : l’ovalbumine du blanc d’œuf.

Cholestase

L a cholestase est d?efinie par la diminution d'une fonction h ?epatique non directement mesu- rable en pratique : la production de bileassurantlachol ?er?ese.Cependant, des signes cliniques d'une grande sp ?ecificit?e, et des signes biologiques de sensibilit ?eetsp?ecificit?e?elev?ees ont et?ebiencaract?eris?es. De ce fait, la notion de cholestase est probable- ment l'une des entit ?es s?emiologiques les plus pr ?ecieuses?al'h?epatologue.La chole´re`se

La bile est un liquide aqueux (97 %

d'eau)assurantl' ?ecoulementjusqu'au duod ?enum de multiples substances produites par le foie ou les voies biliaires elles-m ^emes. La production de bile est assur ?ee principalement parla s ?ecr?etion d'acides biliaires au p^ole biliaire des h ?epatocytes [1-3]. ce p^ole biliaire participe ?a la formation du canalicule(figure 1). Cette s?ecr?etion, qui n ?ecessite de l'?energie, est assur?ee par un transporteur nomm?e ABCB11 oubile salt export pump(BSEP). Le pouvoir osmotique des acides biliaires cr ?ee un appel d'eau interstitielle, qui traverse les jonctions serr ?ees intercellulaires des h ?epatocytes que lesacidesbiliairesnepeuventfranchir.

Un courant biliaire principal est ainsi

form ?e.‘‘

La bile est un liquide

aqueux (97 % d"eau) assurant l"e´coulement jusqu"au duode´num de multiples substances produites par le foie ou les voies biliaires elles-m ^emes ""HEPATO y

GASTROet Oncologie digestive

Tir?es?a part : D.-C. Valla

Pour citer cetarticle : Valla DC. Cholestase.H?epato Gastro2013; 20 : 618-627.doi : 10.1684/ hpg.2013.0915

R?esum?e

Les tests sanguins utiles au diagnostic d'une cholestase se r?esument aux d ?eterminations des phosphatases alcalines, de la gamma-glutamyl transpepti- dase et de la bilirubin ?emie conjugu?ee et non conjugu?ee. Certaines donn?ees cliniques ont une haute sp ?ecificit?e mais leur sensibilit?e est faible. Les donn?ees de l'imageriedesvoiesbiliaires,labiopsieh ?epatiqueet,danscertainscas,des?etudes g ?en?etiques mol?eculaires sont n?ecessaires. Les cholestases par atteinte acquise des transporteurs biliaires, principalement du fait de l'inflammation, ont ?et?e sous estim

?ees. L'ict?ere cholestatique est g?en?eralement multifactoriel.nMots cl?es :bilirubine, acides biliaires, transporteurs biliaires

Abstract

Blood tests that contribute to the diagnosis of cholestasis are limited to the determinationof alkalinephosphatase, gamma-glutamyltranspeptidase activity, and conjugated and unconjugated bilirubin. Certain clinical features have a high specificity but their sensibility is poor. Biliary imaging, liver biopsy and occasionally molecular genetic testing may be needed. Cholestasis related to an acquired dysfunction in biliary transport systems has been underestimated. Cholestatic jaundice is generally multifactorial in origin. nKey words:bilirubin, bile acids, biliary transport systems

CholestasisDominique-Charles Valla

H ^opital Beaujon, service d'h ?epatologie ;

Universit

?e Paris-Diderot et Inserm U773,

92118 Clichy-la-Garenne,

France

e-mail : doi: 10.1684/hpg.2013.0915 618

HEPATO-GASTROet Oncologie digestive

vol. 20 n88, octobre 2013 nterpr?etation des anomalies biologiques autour de cas cliniquesI Il s'y ajoute dans le canalicule, le petit courant hydrique, dit " fraction du d ?ebit biliaire ind?ependante des acides biliaires », g ?en?er?e par la s?ecr?etion d'autres substances hydrosolubles dans le canalicule.

Un peu plus loin, dans l'arbre biliaire tapiss

?e de cellules biliaires ou cholangiocytes, une autre fraction hydrique est ajout ?ee au courant principal [3-5]. Cette derni?ere fraction, qui compte pour 25 ?a 30 % du d?ebit biliaire, naıˆtdela s ?ecr?etion des ions chlore et bicarbonate au p^ole biliaire des cholangiocytes, par le transporteur CFTR (ABCC7) pour le chlore, par l' ?echangeur d'anions chlore-bicarbonates, et par des canaux sp ?ecifiques pour le passage transmem- branaire de l'eau (aquaporines). Les mutations de CFTR, responsables de la mucoviscidose, peuvent effectivement s'accompagner d'une atteinte biliaire. La s ?ecr?etion de bicarbonates permet la mise en place d'un " parapluie » alcalin quiprot ?egeles acides biliaires d'uneprotonation. En effet,lesacidesbiliairesproton ?espeuventp?en?etrerdansles cholangiocytes et y provoquer des l ?esions.

Les mutations de CFTR, responsables

de la mucoviscidose, peuvent s"accompagner d"une atteinte biliaire Le d?ebit normal quotidien de bile est de l'ordre de

700 mL/jour. Il est augment

?e par la s?ecr?etine qui agit sur la fraction cholangiocytaire du d ?ebit biliaire.

Quelques constituants biliaires utiles

a` connaıˆtre, et leur passage dans la bile Il ne sera discut?e ici que du m?etabolisme de quelques composants utiles pour leur signification clinique.

Les acides biliaires

Les acides biliaires conjugu?es, synth?etis?es par l'h?epatocytes a partir du cholest?erol, sont l'objet d'une recirculation intensive dans le cycle ent ?eroh?epatique [2, 5]. Ce cycle fait intervenir 2 pompes m ?ecaniques, la v?esicule biliaire et l'intestin. Dans l'intestin, les acides biliaires d ?econjugu?es par les bact ?eries sont r?eabsorb?es passivement. Ces 2 pompes m ?ecaniques sont s?epar?ees par 3 pompes chimi- ques : i) ABCB11 (BSEP), d ?ej?a envisag?ee, pour la s?ecr?etion canaliculaire ; ii) SLC10A2 (solute carrier transporter A2ou apical sodium-dependent bile salt transporterou ASBT) du p ^ole luminal des ent?erocytes de l'il?eon terminal, coupl?e?a

FIC1 (ABC8B1)MDR3 (ABCB4)

BSEP (ABCB11)

A. BILIAIRESPHOSPHOLIPIDES

OATP (SLC2A)NTCP (SLC10A1)

Figure 1.Transporteurs h?epatocytaires indispensables?a la production de la bile par captation des acides biliaires au p^ole sinusoı¨dal des h?epatocytes

et s

?ecr?etion au p^ole canaliculaire. Il s'y ajoute une petite portion de synth?ese quotidienne?a partir du cholest?erol, non repr?esent?ee ici. ATP8B1, FIC1.

ABCB11, BSEP. ABCB4, MDR3. SLC10A1, NTCP. SLC2A, OATP. 619

HEPATO-GASTROet Oncologie digestive

vol. 20 n88, octobre 2013

Cholestase

des acides biliaires intestinaux ; et iii) SLC10A1 (ousodium taurocholate cotransporter protein,NTCP) et SLC2A3/6/8 (ouorganic anion-transporting polypeptideOATP -/2/8), pour la captation les acides biliaires au p ^ole sinusoı¨dal des h ?epatocytes. Les acides biliaires conjugue´s, synthe´tise´s par l"he´patocytes a` partir du choleste´rol, sont l"objet d"une recirculation intensive dans le cycle ente´rohe´patique Les mutations qui inactivent ABCB11 (BSEP) sont respon- sables de la cholestase familiale progressive de type 2 (ou PFIC2 pourprogressive familial intrahepatic cholestasis type 2) et de la cholestase r?ecurrente b?enigne (ou BRIC2 pourbenign recurrent intrahepatic cholestasis type 2) (figure 3)[6, 7].

La bilirubine

La bilirubine ne participe pas ou peu?a la formation du courant hydrique dela bile mais elle met ce courant ?a profit pour son ?elimination vers l'intestin(figure 2)[8]. La bilirubine produite par la d ?egradation de l'h?eme est, en pratique, principalement issue des globules rouges en raison du fort taux de renouvellement de ces cellulescompar ?e aux autres tissus?egalement riches en h?eme (muscles pour la myoglobine, foie pour les cytochromes, par exemple). La bilirubine non conjugu ?ee, liposoluble, est li ?ee de fac¸on?equimolaire?a l'albumine dans le sang. Elle franchit la membrane sinusoı¨dale des h ?epatocytes par simple diffusion. Dans le cytoplasme des h ?epatocytes, elle est li ?ee?a la glutathion S-transf?erase (ou ligandine).

Labilirubineestconjugu

?ee?al'acideglucuroniqueparl'UDP ?eticulum endoplasmique.

Une fois conjugu

?ee, la bilirubine, hydrosoluble, peut^etre s ?ecr?et?ee dans le canalicule par un transporteur polyvalent, ?es (comme la bilirubine conjugu ?ee, le glutathion, ou certains acides biliaires conjugu ?es, mais aussi des x?enobiotiques comme la BSP ou certains anticanc ?ereux, d'o?u son ancien nom demultidrug resistance associated protein 2(ou

MRP2). Les mutations inactivant le g

?ene de ABCC2 expliquent le tr ?es rare syndrome de Dubin-Johnson, est caract ?eris?e par une augmentation isol? ee de la bilirubin?emie conjugu ?ee.

La bilirubine conjugu

?ee de l'h?epatocyte peut aussi d'^etre s ?ecr?et?ee dans le sinusoı¨de par un autre transporteur,

ABCC3. La bilirubine conjugu

?ee du sang sinusoidal^etre capt ?ee?a nouveau par l'h?epatocyte, au moyen de transporteurs polyvalents de nombreux anions organiques (organic anion transporting polypeptide 1 B1 ou B3,

OATP1 B1/B3).LesyndromedeRotorestuneanomalietr

?es BC BCBNC ABCC3

OATP1B1/B3

UGT1A1

ABCC2

Figure 2.Captation et?elimination de la bilirubine non conjugu?ee et de la bilirubine conjugu?ee par l'h?epatocyte. BC, bilirubine conjugu?ee. BNC,

bilirubine non conjugu ?ee. ABCC2, MRP2. 620

HEPATO-GASTROet Oncologie digestive

vol. 20 n88, octobre 2013 rare due?a des mutations inactivant OATP1 B1/B3. Il est caract ?eris?e par uneaugmentation dans le s?erum?a la fois de la bilirubine conjugu ?ee et de la bilirubine non conjugu?ee [9].

Toutes les mutations affectant directement le m

?etabolisme de la bilirubine mais non le m ?etabolisme des acides biliaires ne d ?eterminent pas decholestase.?A l'exception notable de la maladie de Crigler-Najjar, elles sont b ?enignes [9, 10].

Les phospholipides biliaires

Il s'agit principalement de la phosphatidyl-choline (ou l ?ecithine). Constituantnormal dela membrane cellulaire, la phosphatidyl-choline en d ?eplac?ee du feuillet interne de la membrane canaliculaire vers le feuillet externe bile par le transporteur ABCB4 (encore nomm ?emultidrug resistance (figure 1). Tous deux amphiphiles, les acides biliaires et la phosphatidyl-choline entrent dans la composition de micelles mixtes ou le cholest ?erol est solubilis?e. Lorsque le rapport de concentration entre phosphatidyl-choline, acides biliaires et cholest ?erol n'est pas appropri?e, le cholest ?erol insoluble dans l'eau pr?ecipite sous forme de cristaux dans les petites voies biliaires. C'est ce que d ?ecrit le fameux triangle de Small. L'augmentation de volume des cristaux m ?ene?a la formation des calculs biliaires macro-scopiques. Les mutations inactivant le g ?eneABCB4sont?a l'origine du syndrome de la bile pauvre en phosphatidyl- choline (low phospholipid associated cholestasis and cholelithiasis, ou LPAC) [11]. Ce syndrome peut comporter une atteinte des petites voies biliaires attribu ?ee?a l'effet d ?etergent des acides biliaires normalement contr^ol?e par leur incorporation dans les micelles mixtes.

Lorsque le rapport de concentration entre

phosphatidyl-choline, acides biliaires et choleste´rol n"est pas approprie´, le choleste´rol insoluble dans l"eau pre´cipite sous forme de cristaux dans les petites voies biliaires La membrane canaliculaire est?egalement le si?ege d'un transporteurdephospholipidesnomm ?e ATP8B1(oufamilial intrahepatic cholestasis type 1 protein, FIC1), ce trans-quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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