[PDF] [PDF] 1 Le calcul variationnel - LIPhy





Previous PDF Next PDF



Introduction au principe variationnel et `a la mécanique analytique Introduction au principe variationnel et `a la mécanique analytique

LPTMC -. Octobre 2017. Page 2. Depuis le XVII eme si`ecle l'approche variationnelle permet de décrire des phénom`enes physiques `a l'aide d'un principe d' 



LP 24 : Exemples de principes variationnels. Applications

4 janv. 2022 L'action est le bon analogue du chemin optique pour définir un principe variationnel. Important. Principe de Hamilton / de moindre action.



Principe variationnel et syst6mes dynamiques symboliques

Le th6or6me 1 ci-dessous montre que pour une certaine classe de fonctions q~ les mesures satisfaisant le principe variationnel sont aussi les g-mesures (cf.



Principe variationnel de Rayleigh–Ritz condition de stationnarité et

Dans la première description de l'état fondamental que nous avons donnée dite non variationnelle



D. SERRE - Sur le principe variationnel des équations de la

Résumé. — On montre comment définir le principe variationnel ÔL —0 où L est le. Lagrangien usuel soumis à des contraintes cinématiques



Untitled

Un principe variationnel associé à certaines équations paraboliques. Le cas indépendant du temps. Note (*) de MM. Haim Brezis et. Ivar Ekeland transmise par 



Entropie et principe variationnel pour le flot géodésique en courbure

HD(µ). Principe variationnel: pour (X d) métrique compact. Htop(X



Introduction au principe variationnel et `a la mécanique analytique Introduction au principe variationnel et `a la mécanique analytique

Dans ces notes de cours nous aborderons quelques notions de calcul variationnel (et en particulier les équations d'Euler-Lagrange) que nous appliquerons par la 



Les principes variationnels en physique Les principes variationnels en physique

1.4 Principes variationnels . 8.1.3 Principe de superposition et principe de Feynman . . . . . . . 160. 8.1.4 L'intégrale de chemins ...



Principe Variationnel des Entropies

Résumé. En général la théorie des syst`emes dynamiques discrets étudie l'évolution d'un syst`eme donné par un espace de phase X et une transformation T. On 



Introduction au principe variationnel et `a la mécanique analytique

notions de calcul variationnel (et en particulier les équations Le principe de moindre action et les principes variationnels en physique J.-L. Bas-.



D. SERRE - Sur le principe variationnel des équations de la

Résumé. — On montre comment définir le principe variationnel ÔL —0 où L est le. Lagrangien usuel soumis à des contraintes cinématiques



Titre : Principe variationnel et lois de la nature Temps de préparation

Mettre en relief le sens physique d'un principe variationnel. Comparer 2.1 Principe variationnel de Hamilton - Equations d'Euler-. Lagrange.



Variantes du principe variationnel dEkeland et applications

Ekeland's principle variational Palais-Smale condition. Dans cette note



Un principe variationnel pour les empilements de cercles

Un principe variationnel pour les empilements de cercles. Yves Colin de Verdi~re. Institut Fourier Laboratoire associ6 au CNRS



Principe variationnel de Rayleigh–Ritz condition de stationnarité et

Dans la première description de l'état fondamental que nous avons donnée dite non variationnelle



Le principe variationnel despace-temps de Brezis-Ekeland

30 août 2019 Le principe variationnel d'espace-temps de. Brezis-Ekeland-Nayroles symplectique un outil pour l'étude des systèmes dynamiques dissipatifs.



Un principe variationnel pour les vari&& symplectiques

Constructions de I'action et d'un principe variationnel. Soit (Mw) une varit36 symplectique



Principe variationnel et systèmes dynamiques symboliques

Z. Wahrscheinlichkeitstheorie verw. Gebiete 30 185- 202 (1974). 9 by Springer-Verlag 1974. Principe variationnel et syst6mes dynamiques symboliques.



Université de Montréal THÉORÈMES DE POINT FIXE ET PRINCIPE

10 févr. 2010 Mots clés : Théorème de point fixe théorème de Caristi



[PDF] Introduction au principe variationnel et `a la mécanique analytique

Depuis le XVII eme si`ecle l'approche variationnelle permet de décrire des phénom`enes physiques `a l'aide d'un principe d'économie appelé en optique



[PDF] Introduction au principe variationnel et `a la mécanique - LPTMC

Le principe de moindre action et les principes variationnels en physique J -L Bas- devant (Vuibert 2010) — Mécanique quantique 1



[PDF] Principe variationnel Equations de Lagrange et Equation d

Principe variationnel Equations de Lagrange et Equation d'Hamilton-Jacobi A Lesfari Département de Mathématiques Faculté des Sciences



[PDF] Les principes variationnels en physique - lIPCMS

Les principes variationnels sont présents dans tous les domaines de la physique (on pourra lire à ce propos les chapitres I26 et II19 du cours de Feynman réf



[PDF] 1 Rappels sur le principe variationnel pour létat fondamental

Méthode variationnelle et Méthode semi-classique W K B 1 Rappels sur le principe variationnel pour l'état fondamental (Voir [1]) Soit ˆ



[PDF] D SERRE - Sur le principe variationnel des équations de - Numdam

Résumé — On montre comment définir le principe variationnel ÔL —0 où L est le Lagrangien usuel soumis à des contraintes cinématiques de façon à obtenir 



[PDF] Principe variationnel et lois de la nature Temps de préparation

Mettre en relief le sens physique d'un principe variationnel Comparer l'approche de la mécanique et de l'optique géométrique



[PDF] 1 Le calcul variationnel - LIPhy

Le calcul variationnel consiste à répondre à la question suivante : quelle est la fonction f qui produit la plus grande sortie S(f)? La réponse que nous allons 



[PDF] Principe variationnel de Rayleigh–Ritz condition de stationnarité et

Principe variationnel de Rayleigh–Ritz condition de stationnarité et méthode de Hückel Condition de stationnarité pour l'état fondamental et les états 



[PDF] Le principe variationnel dEkeland - Ceremade

Le principe variationnel d'Ekeland Ivar Ekeland Juillet 2018 écrit pour le cinquantième anniversaire de l'Université à paraître dans l'ouvrage collectif 

:

1 Le calcul variationnel

1.1 Introduction.

Dès que vous avez vu les bases de l"analyse, vous avez appris à répondre à la question suivante : comment trouver le pointxpour lequel la fonctionf(x)est maximum (ou minimum)?fest une machine qui prend un nombre en entrée et produit un nombre en sortie. La question ci-dessus en réalité est celle de trouver un extremumlocal: un point qui produit la sortie la plus grande (ou la plus petite) que tous ses voisins immédiats.

Nous savons que pour un tel pointx,

f

0(x) = 0:

Donnons nous maintenant une fonctionnelleS:Ceci est une machine qui prendune fonctionen entrée et produit un nombre en sortie. Par exemple

S(f) =Z

b af(x)2+f02(x)dx(1.1)

est une fonctionnelle qui prend une fonction, ajoute son carré et le carré de sa dérivée et

les intègre entre deux bornes pour produire un nombre. Si on entre la fonctionsinxdans cette machine, elle produit le nombreba. Si on y entre la fonctionexpx, elle produit le nombre2exp(2b)2exp(2a). Le calcul variationnel consiste à répondre à la question suivante : quelle est la fonction fqui produit la plus grande sortieS(f)? La réponse que nous allons voir par la suite est

quefdoit satisfaire une équation différentielle qui est reliée à la forme de la fonctionnelle

S.

Donnons deux exemples avant d"aller plus loin.

Brachistochrone.L"exemple le plus important historiquement est celui du brachisto- chrone. Soit un pointA(0;0)situé dans le plan vertical, relié à un pointB(x1;y1)par un toboggan dont la forme est donnée par la fonctiony=f(x). On laisse un objet glisser sans frottement du pointAle long du toboggan. Comment choisir la forme du toboggan, (la fonctionf), pour que le temps d"arrivé au pointBsoit minimum? Vous voyez qu"une fois qu"on se donne un toboggan, c"est à dire une fonction, en utilisant quelques notions de mécanique et de conservation d"énergie, on peut calculer le temps de parcours, c"est à dire un scalaire. Essayons de mettre cela en forme. La vitesse de l"objet à l"ordonnée yvautp2gy:L"élément d"arcds=pdx

2+dy2=p(1 +f0(x)2dxest parcouru en un

tempsdt=ds=v. Le temps total du parcours est donc T=Z x1

0s1 +f0(x)22gf(x)dx

1

1 Le calcul variationnel

Et il faut trouver la fonctionfqui minimise cette intégrale1. Ce problème avait été lancé

comme un défi par un des frères Bernoulli vers 1690 (à peine dix ans après l"invention du calcul différentiel) à la communauté scientifiques. Tous les grands (Newton, Leibnitz,

l"autre Bernoulli, Hospital, ...) y répondirent. Euler (~1740) a trouvé une solution générale

de ce genre de problème et Lagrange (~1780) les a généralisé à la mécanique. Mécanique analytique.Prenons une particule de massemqui quitte le pointx= 0 au tempst= 0et arrive à un autre pointx=x1au tempst=t1. Cette particule est soumise à un potentielV(x). Le mouvement de la particule est donné par la fonction x(t). La fonctionx(t)qui minimise S=Z t1

0(m=2)_x2(t)V(x(t))dt(1.2)

est la trajectoire suivie par la particule. Ceci est une nouvelle formulation de la mé- canique. Classiquement, nous résolvons l"équation différentielleF=maoù la fonction F(x) =dV=dxeta=d2x=dt2pour remonter à la trajectoirex(t). Ici, la démarche est différente : de toute les trajectoires possibles qui relie(0;0)à(t1;x1), la particule choisit justement celle qui minimise l"intégrale (1.2). Comme si un dieu calculait le coût (qu"on appelle l"actionS) de chaque trajectoire et choisissait la meilleure. Bien sûr, cette formulation de la mécanique et la formulation Newtonienne sont équivalente, bien que la formulation lagrangienne soit beaucoup plus profonde et pratique. Notez que la quan-

tité dans l"intégrale n"est pas l"énergie totale, mais l"énergie cinétiquemoinsl"énergie

potentielle. On appelle cette quantité le lagrangien.

1.2 Calcul des variations.

Formulons correctement notre problème (nous n"allons pas attaquer le cas le plus général pour l"instant). Soit la fonctionnelle

S[f] =Z

b a

L[f(t);f0(t);t]dt(1.3)

Trouver la fonctionf(t),avecles conditionsf(a) =y0etf(b) =y1pour laquelle l"inté- grale est un extremum. Traditionnellement, la fonctionLqui se trouve sous l"intégrale est appelée le lagrangien. C"est une fonction tout ce qu"il y a de plus normal. Par exemple,L(x;y) =x2+y2. Comme à un instant donné,f(t)etf0(t)sont des nombres, il est tout à fait légitime de calculerL[f(t);f0(t)]qui dans ce cas, vautf(t)2+f0(t)2comme l"expression que nous avions écrit dans (1.1). En plus, nous avons le droit de prendre les dérivées partielles de

L: par exemple, dans ce cas,@L=@x= 2xet@L=@y= 2y. Il est usuel, si nous avions1. A première vue, il semble qu"il manque quelque chose à cette formulation : l"intégrale ne contient

pas de référence ày1et nous n"exigeons apparemment pas que la particule finisse sa trajectoire à l"ordonné

y

1. Nous y reviendrons plus tard, quand nous aborderons les contraintes.

2

1 Le calcul variationnelaby0y1

f gf+egFigure1.1 - Une fonctionfet une variationgautour de cette fonction. notéL[f(t);f0(t)], de noter ces dérivées partielles par@L=@fet@L=@f0: cela veut juste dire "dérivée partielle par rapport au premier ou deuxième argument". Dans ce cas, nous aurions eu par exemple@L=@f0= 2f0(t). D"ailleurs,@L=@f0est ici une fonction detet on peut par exemple prendre sa dérivée par rapport au temps :d[@L=@f0]=dt= 2f00(t). Si au début, vous trouvez cette notation abrupte, remplacezfetf0avant les dérivations par xety, et remettez les à leur place une fois les opérations terminées. Mais on prend vite l"habitude de ces notations. Notez également que l"on ne cherche pas n"importe quelle fonction, mais les fonctions qui prennent des valeurs bien déterminées (y0ety1) aux bordsaetb. Avant d"aller plus loin, revenons un instant au cas d"une fonctionf(x)dont ont veut trouver l"extremum. Si nous connaissons la valeur de la fonction au pointx, alors son accroissement quand on se déplace au pointx+est donnée par df=f(x+)f(x) =A(x)+termes d"ordres2+::: La première partie de l"accroissement (celle qui est importante quandest petit) est li- néaire en: si nous avions pris undeux fois plus grand, nous aurions eu un accroissement deux fois plus grand également. La fonctionA(x)est le coefficient de proportionnalité entredfetau pointx, et nous avons plus l"habitude de la noter parf0(x). Le point xest un extremum si le coefficient de proportionnalitéf0(x) = 0, c"est à dire qu"en se déplaçant autour du pointx, l"accroissement def(à l"ordre 1 en) est nulle. Nous n"avons qu"à suivre cette méthodologie pour trouver l"extremum de notre fonc- tionnelleS[f]: Nous allons ajouter la fonctiong(t)à la fonctionf(t), et calculer l"ac- croissement de la fonctionnelledS=S[f+g]S[f]. Avec un peu de chance, cette accroissement comporte un terme linéaire en: dS=S[f+g]S[f] =A[f;g]:+termes d"ordre2+::: oùA[f;g]est un coefficient de proportionnalité qui dépend des fonctionsfetg. Nous disons quefest un extremum siA[f;g] = 0quelque soitg! Cela est analogue à trouver 3

1 Le calcul variationnel

l"extremum d"une fonction de plusieurs variables : le point(x;y;z;:::)est un extre- mum de la fonctionf(x;y;z;:::)si en ce point,quelque soitle déplacement ( par exemple (dx;0;0;:::)ou(0;dy;dz;:::)) la partie linéaire de l"accroissement est nulle. Une fonc- tion, comme nous l"avons vu au chapitre 1, n"est finalement qu"un point dans un espace à dimension infini; une fonctionnelle est comme une fonction d"une infinité de variables. Quelque soitgdans l"expression précédente veut simplement dire quelque soit le dépla- cement dans cet espace. Il faut prendre une précaution : nous ne cherchons que des fonctions pour lesquelles f(a) =y0etf(b) =y1. Commefsatisfait déjà à cette condition, pour quef+gla fasse également, nous ne devons considérer que des fonctionsgtelle queg(a) =g(b) = 0. Les fonctionsgne sont donc pas tout à fait quelconque. Nous obtenons :

S[f+g] =Z

b a

L[f(t) +g(t); f0(t) +g0(t)]dt(1.4)

=S[f] +Z b a@L@f g(t)dt+Z b a@L@f

0g0(t)dt+:::

où nous avons simplement utilisé le fait queL(x+h;y+k) =L(x;y) + (@L=@x)h+ (@L=@y)k+:::On peut déjà voir la partie linéaire apparaître. Nous pouvons mettre la deuxième intégrale un peu plus en forme en faisant une intégration par partie : Z b a@L@f

0g0(t)dt=@L@f

0g(t) b a Z b addt @L@f 0 g(t)dt La première partie est nulle, puisque la fonctiongvaut justement0sur les bords. En remettant ce qui reste dans l"expression (1.4), nous avons : dS=Z b a @L@f ddt @L@f 0 g(t)dt+::: L"intégrale est notre facteur de proportionnalité entredSet. Si la fonctionfest un extremum, alors l"intégrale doit être nullequelque soitla fonctiong. La seule possibilité est donc quefsatisfasse à l"équation différentielle @L@f ddt @L@f 0 = 0(1.5) qui est appelé l"équation d"Euler-Lagrange. Notez que cette équation est homogène di- mentionnellement. Faisons quelques exercices pour nous fixer les idées.

Identité de Beltrami.Évaluons l"expression

ddt f 0@L@f 0 L =f00@L@f

0+f0ddt

@L@f 0 @L@f f0@L@f

0f00@L@t

=f0ddt @L@f 0 @L@f @L@t 4

1 Le calcul variationnel

SiLne dépend pas explicitement det, alors@L=@t= 0; par ailleurs, l"expression entre parenthèse n"est que l"équation d"Euler-Lagrange et vaut zéro par construction. Nous en déduisons que si le lagrangien ne dépend pas explicitement du temps, alors f 0@L@f

0 L=Cte

Ceci est appelé l"identité de Beltrami. En mécanique, ceci n"est rien d"autre que la conser-

vation d"énergie (exercice : le démontrer); elle est cependant de portée plus générale et

facilite grandement les calculs dans les problèmes où la variable indépendante n"intervient pas explicitement, comme dans le problème du brachistochrone. Exemple : Mécanique et loi de Newton.En mécanique analytique d"un point matériel, le lagrangien estL=TV, oùTest l"énergie cinétique estVl"énergie potentiel. Si on se restreint au cas unidimensionnel où une particule est soumis à un potentielV(x), alors pour la particule de trajectoirex(t),

L(x;_x) = (1=2)m_x2V(x):

Le premier terme de l"équation d"Euler-Lagrange est @L@x =dVdx Comme nous l"avons mentionné ci-dessus, le seul terme qui dépend de la première va- riablexestV(x). Remplacer mentalement la deuxième variable_xparydans l"expression du lagrangien avant la dérivation si cela vous dérange. La dérivation par rapport à la deuxième variable (_x) donne @L@_x=m_x et la dérivation par rapport au temps de cette dernière nous donne ddt @L@_x =mx et l"équation d"E.L. s"écrit finalement mx+dV=dx= 0 Ce qui est bien sûr la même chose que l"équation de NewtonF=ma. Allons un peu plus loin. Supposons que le potentiel est constantV(x) =Cte, s"est à

dire que la particule se meut dans une région de l"espace où il n"est pas soumis à une force.

On peut également dire que cette région de l"espace possède une symétrie d"invariance par translation : deux particules identiques placées à deux endroits différents de l"espace réagiraient exactement de même; dit encore autrement, nous n"avons aucune méthode pour déterminer où l"on se trouve dans l"espace. Dans ce cas,@L=@x= 0, et l"équation d"E.L. s"écritddt @L@_x = 0 5

1 Le calcul variationnel

ou encore la quantitép=@L=@_x=Cte. Or,pn"est autre chose que la quantité de mou- vementp=m_x. Donc, la symétrie d"invariance par translation dans l"espace nous impose la conservation de la quantité du mouvement. C"est un concept extrêmement profond 2:quotesdbs_dbs6.pdfusesText_11
[PDF] identité de beltrami

[PDF] probleme variationnel lagrangien

[PDF] formulation variationnelle exercices corrigés

[PDF] cours volume 6ème

[PDF] comment calculer le déterminant dune matrice 4x4

[PDF] determinant matrice inversible

[PDF] determinant matrice exercices corrigés

[PDF] determinant matrice 2x3

[PDF] calcul du determinant dune matrice pdf

[PDF] déterminant matrice triangulaire

[PDF] forme canonique de commandabilité

[PDF] représentation d'état exercices corrigés pdf

[PDF] passage fonction de transfert représentation d'état

[PDF] forme modale automatique

[PDF] forme compagne de commande