[PDF] CARTOGRAPHIE 2021 DES MARCHÉ ET DES RISQUES





Previous PDF Next PDF



Analyse nationale des risques de blanchiment de capitaux et de

Conseil d'orientation de la lutte contre le blanchiment de professionnels d'œuvrer pour accroître toujours plus la sensibilisation



Le guide du Maire

8 mai 2020 sanction il peut néanmoins toujours être retiré. L'abrogation signifie que l'acte ne produit plus d'effets juridiques pour.



PRATIQUES DE COMMERCIALISATION ET POPULATIONS

Plus largement le démarchage pour le crédit



Rapport annuel de lAMF 2021

29 mars 2022 alors que les sociétés déjà cotées émettaient pour plus de 8 milliards d'euros d'actions ... La très forte collecte d'assurance vie en.



doc-2006-23 - questions-reponses relatives au regime applicable

23 oct. 2018 du règlement général de l'AMF. Table des matières. 1. Champ d'application du statut de conseiller en investissements financiers (CIF) .



CARTOGRAPHIE 2020 DES MARCHÉS ET DES RISQUES

1 juil. 2020 Les sociétés d'assurance utilisent également les notations externes pour le calcul de leur exigence en capital liée au risque de spread et ...



CARTOGRAPHIE 2021 DES MARCHÉ ET DES RISQUES

1 juil. 2021 L'investissement des épargnants est-il toujours bien diversifié ? ... d'une désynchronisation mondiale : rebond plus fort aux États-Unis ...



Les chiffres du marché français de la banque et de lassurance 2020

12 oct. 2021 des assurances français forts d'une situation de solvabilité et de liquidité ... Voir la notice méthodologique pour plus de détails. agents ...



Assurance Banque Épargne

18 juin 2019 3 Pour plus d'informations voir le Rapport annuel de l'AMF. Page 9. 9. Rapport d'activité 2018 •Pôle commun.



RAPPORT ANNUEL DACTIVITÉ TRACFIN 2018

plus aux missions des chefs de file (en particulier la le nombre d'agents multiplié par 25 ... Si les compagnies d'assurances représentent toujours.



MPosition – recommandation AMF n° 2013-10 : Rémunérations et

Position-recommandation AMF n°2013-10 – Rémunérations et avantages dans le cadre de la commercialisation et de la gestion sous mandat d’instruments financiers Document créé le 10 juillet 2013 2/19 Introduction Le présent document énonce un certain nombre de positions et de recommandations de l’AMF pour

JUILLET 2021

CARTOGRAPHIE 2021

DES MARCHÉ ET DES RISQUES

amf-france.org

Risques & tendances

- 2 -

Achevé de rédiger le

30 juin 2021

Cette étude a été coordonnée par la Division Études, stabilité financière et risques de l'Autorité des marchés financiers, et rédigée par les

personnes citées en dernière page.

Elle repose sur l'utilisation de sources considérées comme fiables mais dont l'exhaustivité et l'exactitude

ne peuvent être garanties. Sauf mention contraire, les données chiffrées ou autres informations ne sont valables qu'à la date de publication du

rapport et sont sujettes à modification dans le temps. Toute copie, diffusion et reproduction de cette étude, en totalité ou en partie, sont

soumises à l'accord exprès, préalable et écrit de l'AMF.

" Risques et tendances » reflète les vues personnelles de ses auteurs et n'exprime pas nécessairement la position de l'AMF.

- 3 -

SOMMAIRE

SYNTHÈSE ....................................................................................................................................... 4

CHAPITRE 1 : FINANCEMENT DE L'ÉCONOMIE - MACRO-FINANCE .................................................... 7

1.1

Les tendances ..................................................................................................................................................... 7

1.2

Les risques ........................................................................................................................................................ 20

CHAPITRE 2 : ORGANISATION DES MARCHÉS ET INTERMÉDIATIONS ............................................... 30

2.1 Marchés actions ............................................................................................................................................... 30

2.2.

Marchés obligataires ........................................................................................................................................ 37

2.3.

Infrastructures de marchés ............................................................................................................................... 43

2.4.

Marchés de dérivés ........................................................................................................................................... 47

2.5.

Le règlement Benchmark .................................................................................................................................. 51

CHAPITRE 3 : GESTION D'ACTIFS .................................................................................................... 59

3.1.

Bilan de l'année 2020 pour la gestion collective mondiale ................................................................................ 59

3.2.

Répartition du marché européen ...................................................................................................................... 60

3.3.

Focus sur les fonds français : Une année 2020 mouvementée en raison de la crise sanitaire ............................. 61

3.4.

Marché français : Regard sur la gestion sous mandat ........................................................................................ 73

3.5.

Le rôle clé de l'assurance vie française dans la distribution des fonds français .................................................. 74

3.6.

Private equity : une contribution au financement des PME mais aussi à la hausse des risques déjà

identifiés (levier et valorisations élevées)

......................................................................................................... 77

3.7.

ETF : Moteurs de croissance de la gestion d'actifs ; innovation parfois risquée pour les investisseurs ............... 82

CHAPITRE 4 : L'ÉPARGNE DES MÉNAGES ........................................................................................ 89

4.1

L'année 2020 a été synonyme d'épargne et de collectes records ...................................................................... 89

4.2

L'activité record des Français sur les marchés actions depuis le début de la crise COVID : effet

de l'oisiveté forcée des épargnants ou choix opportuniste ? ............................................................................. 92

4.3

L'environnement macro-financier semble être particulièrement méconnu des plus jeunes et des moins aisés . 94

4.4

Les investisseurs particuliers sont-ils toujours bien conscients des risques qu'ils prennent ? ............................ 97

4.5

L'investissement des épargnants est-il toujours bien diversifié ? .................................................................... 100

LISTE DES ACRONYMES ................................................................................................................ 106

LISTE DES GRAPHIQUES ................................................................................................................ 107

LISTE DES TABLEAUX .................................................................................................................... 110

LISTE DES ENCADRÉS .................................................................................................................... 110

- 4 -

SYNTHÈSE

En sus d'un aléa sanitaire qui reste élevé, la pandémie laisse les économies vulnérables à

leur excès

d'endettement, sous la menace de défauts que les politiques publiques de crise ont retardés. Elles sont

également confrontées au risque d'une remontée globale de l'inflation et des taux d'intérêt alors que les

différents pays et secteurs se trouvent dans des situations très désynchronisées.

Un an et demi après le début de la pandémie, les valorisations observées sur les marchés financiers traduisent

l'anticipation d'une sortie de crise ordonnée : un retour rapide à l'activité antérieure (au plus tard en 2022 en

France), une remontée de l'inflation avec une hausse contenue des taux d'intérêt nominaux, de sorte que les taux

réels resteraient négatifs et faciliteraient le désendettement. Les aléas autour de ce scénario idéal de sortie de

crise sont nombreux alors que les primes de risque paraissent faibles, surtout aux Etats-Unis, ce qui pourrait

entraîner des corrections sur les marchés.

Aléas sanitaires d'abord avec le risque que le déploiement de la vaccination soit trop lent pour empêcher

l'apparition de variantes du virus plus dangereuses ou résistantes, dans les pays émergents par exemple, avec le

retour de vagues épidémiques rendant nécessaires de nouveaux confinements. Aléas économiques ensuite :

l'hétérogénéité de la reprise selon les activités présente le risque de tensions fortes dans certains secteurs de

production, où des hausses de prix et des goulets d'étranglement sont déjà sensibles et alimentent un rebond de

l'inflation, tandis que d'autres domaines resteraient sinistrés et verraient se concrétiser les défaillances

d'entreprises retardées jusqu'ici par les mécanismes de soutien public. Ces divergences entre secteurs pourraient

durer : la demande a pu être modifiée structurellement par la pandémie, accélérant le changement déjà attendu

en raison de la contrainte climatique. Adapter l'offre à cette nouvelle demande nécessite des restructurations

majeures dans l'appareil productif avec le risque, pour les économies les moins flexibles, de ne pas réussir la

réallocation du capital et la requalification des travailleurs qui paraissent indispensables. L'hétérogénéité de la

reprise se manifeste aussi au niveau macro-économique, entre les grandes zones géographiques, avec les risques

d'une désynchronisation mondiale : rebond plus fort aux États-Unis, qui entraîne les taux d'intérêt américains puis

les taux d'intérêt mondiaux à la hausse, ces derniers pesant sur les pays en retard cycliquement voire déclenchant

une crise comme en 2013 (à l'annonce d'une réduction des achats de la Fed taper tantrum ). D'où, finalement, les

aléas financiers, marqués par le triptyque de l'endettement, de l'inflation, et des taux d'intérêt.

Les excès de dette, déjà préoccupants avant la crise, se sont accrus avec la pandémie et la solvabilité de nombreux

émetteurs dépe

nd de la capacité des banques centrales à maintenir les taux d'intérêt réels à des niveaux

suffisamment bas. En effet un rebond de l'inflation, déjà sensible post-crise, pourrait ensuite être alimenté par les

politiques de transition climatique ou de reloc alisation de productions renchérissant les coûts de production. Deux

risques opposés sont alors à envisager. Le premier proviendrait d'une remontée trop forte et rapide des taux

d'intérêt réels, entraînant une vague de défauts et des corrections sur les marchés. Le second proviendrait du

maintien trop long de taux d'intérêt réels trop bas, prolongeant un recours excessif à la dette au détriment des

fonds propres et de l'investissement, poussant à la hausse de façon indifférenciée les prix des actifs sans rémunérer

correctement le risque et le temps, et érodant le rendement de l'épargne.

Orienter l'épargne vers les fonds propres dont les entreprises ont besoin demeure un défi, non seulement pour

assurer la sortie de la crise pandémique mais aussi pour financer les investissements de la transition écologique.

La contribution exceptionnelle du marché financier au renforcement des fonds propres des entreprises au cours

du premier semestre

2021 avec, en particulier, un nombre élevé d'introduction en bourse, est un signe

particulièrement encourageant. Le regain d'intérêt des Français sur les marchés actions, observé depuis mars

2020 lorsqu'ils avaient investi à bon escient en creux de cycle, est également une bonne nouvelle mais il reste à

confirmer comme étant une démarche d'investissement avisé à long terme.

L'épargne contrainte induite par la fermeture des économies a atteint des records en France, tant pour l'épargne

totale (21 % du revenu des ménages en 2020) que pour l'épargne financière (12 %, soit plus deux

fois plus qu'en

2019). Elle est très largement venue grossir les placements sans risque avec des dépôts bancaires de 138 milliards

d'euros (contre 44 milliards d'euros en moyenne les années précédentes), la collecte de l'assurance-vie étant

exceptionnellement en berne. Mais la pandémie a aussi vu un fort développement des actionnaires individuels, de

nombreux ménages entrant pour la première fois sur les marchés financiers et leurs transactions passant ainsi de

25 millions par an en 2018 ou 2019 à 60 millions en 2020. Les investissements en actions n'avaient ainsi jamais été

- 5 -

aussi élevés depuis 2006. Les ménages semblent avoir dégagé des plus-values grâce à cet investissement lors de la

crise puisqu'ils ont globalement réalisé des achats d'actions lors du premier confinement, quand les cours étaient

bas, puis des ventes lors du second confinement une fois que les marchés avaient monté. L'analyse fine des

déterminants à partir des données de transaction montre qu'une partie de ces investissements,

certes contra-

cycliques, semble plus liée aux spécificités des périodes de confinement que de l'application d'une stratégie

volontaire exploitant une analyse du niveau des cours. Parallèlement, la frontière entre l'investissement et le jeu

semble s'estomper avec l'apparition de nouveaux produits présentant des risques élevés et souvent mal compris

faute d'éducation financière, sans compter le développement permanent de nouvelles arnaques. Les problèmes

structurels demeurent après la pandémie : l'incapacité à diversifier efficacement l'épargne des ménages en France

se conjugue aux difficultés à assurer les besoins de financement de notre économie en fonds propres nécessaires

aux investissements d'avenir, de transition énergétique par exemple. L'accès des particuliers au

capital

investissement, à travers des fonds spécialisés pouvant dans certains cas être retenus comme unités de compte

pour l'assurance vie, peut constituer un élément de solution si les risques associés sont bien maîtrisés et compris.

Le choc COVID-19 n'a interrompu que temporairement les tendances à l'oeuvre dans la gestion collective qui,

après avoir résisté à des rachats exceptionnels (fonds monétaires en France), a vu reprendre la croissance des

encours gérés. L'essor de la gestion passive modifie structurellement le secteur tandis que le développement du

capital investissement présente des risques accrus (levier en hausse, valorisations élevées).

Le développement du capital investissement se poursuit à un rythme soutenu au niveau mondial, avec une

accentuation des risques déjà identifiés avant la pandémie : levier accru, valorisations élevées, croissance des

capitaux en attente d'investissement. Plus généralement, les tendances pré-crise ont repris de plus belle dans la

gestion d'actifs et le choc engendré par la pandémie n'aura été finalement que temporaire. Par exemple, la chute

des encours gérés au printemps 2020 a vite été compensée par une collecte soutenue qui a porté les encours à de

nouveaux records fin 2020 (plus de 50 000 milliards d'euros sous gestion au niveau mondial, 17 700 en Europe).

Ce mouvement se retrouve pour les fonds monétaires français où la décollecte de mars 2020 a été suivie d'un

rebond qui a rapidement fait plus que la compenser. La liquidité de ces fonds monétaires a été honorée

mais les

banques centrales ont dû intervenir, notamment sur le marché sous-jacent des instruments monétaires (comme

sur tous les marchés de dette), ce qui conduit maintenant à des réflexions internationales sur la nécessité de

renforcer le cadre réglementaire existant. Les fonds actions français ont quant à eux collecté pendant la crise alors

que leur valorisation s'effondrait, une contra-cyclicité rassurante au niveau global mais qui n'empêche pas une

grande diversité de situations individuelles. Le développement de l'industrie de la gestion passive se poursuit, une

tendance accentuée dans un contexte de taux bas qui exerce une pression croissante sur les coûts et les frais. Il

s'accompagne de la promotion de produits innovants notamment d'ETF de sous-jacents souvent étroits ou peu

liquides porteurs de risques propres.

Sans incident majeur lors de la transition, le Brexit laisse ouvertes les questions de compétitivité et de

souveraineté de l'Union européenne alors que la dépendance aux marchés étrangers de dérivés ne se réduit pas.

Une multiplication des incidents opérationnels sur les infrastructures de marché montre par ailleurs leur

vulnérabilité même en dehors de toute malveillance, tandis que des événements a priori idiosyncratiques

(Archegos, Gamestop, etc.) renouvellent les questions sur la régulation des marchés. Le développement des

SPAC pourrait traduire une évolution plus structurelle des marchés primaires boursiers, et il pose la question de

la valorisation des sociétés cibles.

Sur les marchés, l'impact de la pandémie semble désormais relever du passé, les indicateurs montrant une

normalisation, parfois rapide (volumes échangés, volume des ventes à découvert, marges appelées par les

chambres de compensation) parfois un peu plus longue car il a fallu attendre début 2021 pour le retour à des

niveaux habituels pour la liquidité sur les marchés actions. Les tendances antérieures semblent dorénavant

reprendre, à l'exemple de la forte part des volumes échangés durant le fixing de clôture par rapport à la séance en

continu sur Euronext. Le Brexit a engendré comme attendu un report massif des transactions sur actions des

émetteurs de l'Union vers l'Europe continentale, sans modifier l'équilibre par type de lieu d'exécution (plates-

formes transparentes, gré à gré, etc.) ; il a également engendré un report du Royaume Uni vers les États-Unis d'une

partie de l'activité sur dérivés, notamment en raison des contraintes résultant des approches contradictoires

imposées par l'Union et le Royaume-Uni en matière de Derivative Trading Obligation. - 6 -

La sortie du Royaume-Uni pose dorénavant la question de la divergence réglementaire future avec l'Europe

continentale, de la compétitivité de cette dernière, et de sa souveraineté alors que les infrastructure

s britanniques

demeurent incontournables pour certaines activités de compensation dont le maintien au Royaume-Uni - comme

le rapatriement brutal en Europe continentale - présenteraient des risques. Au-delà de ces enjeux de moyen

terme, la transition vers de nouveaux taux sans risque de référence, avec la disparition des IBOR, reste un élément

de risque pour les mois à venir. La succession d'incidents opérationnels graves depuis un an, hors toute action

malveillante, rappelle enfin les vulnérabilités permanentes des infrastructures de marché un peu partout dans le

monde. Concernant la France, Euronext et le système de règlement de la Banque centrale européenne Target 2

ont tous deux connu en octobre 2020 des dysfonctionnements majeurs. Les affaires Wirecard,

Archegos, ou encore

Gamestop et Robinhood rappellent aussi l'existence de risques significatifs et les limites de la régulation : absence

de données disponibles pour disposer d'une vision holistique des risques, qualité de la formation des prix de

marché dans un contexte où un titre est massivement vendu à découvert, où les investisseurs particuliers peuvent

se fédérer via les réseaux sociaux et où ils ont accès à un mode de négociation innovant apparemment gratuit.

Description des risques

Niveau mi-

2020

2020-2021

Niveau

mi-2021

Perspectives

2022

1. Relèvement des primes de risque, fragilisant les acteurs endettés ou ayant des actifs dont

les prix, ne reflètant pas leurs données fondamentales, pourraient être brutalement corrigés

Niveaux de valorisations élevées avec primes de risque très faibles, malgré la permanence

d'aléas importants

2. Manque de coordination internationale des politiques

Désynchronisation des cycles économiques entre grandez zones (Etats-Unis en avance) et au sein de grandes zones (hétérogénéité de la zone euro) Hausse des taux d'intérêt mondiaux sous l'influence de la montée des taux américains Divergence réglementaire, en particulier post Brexit, dans une logique de lutte pour la compétitivité

3. Risque de crédit, trajectoires de dette insoutenables, prêts non performants

Accroissement de la dette tant privée que publique du fait de la crise COVID19

Défauts restant à constater en raison des politiques publiques de soutien les ayant retardés

4. Volatilité, variations brutales des conditions de la liquidité, mouvements de grande

ampleur des investisseurs d'une classe d'actifs à l'autre

Résistance à la correction en 2020

Soutien des autorités (banques centrales, superviseurs...)

5. Fonctionnement des infrastructures de marché et post-marché

Résistance à l'épisode de 2020

Mais multiplication des incidents opérationnels même en dehors de toute attaque malfaisante Chambres de compensation britanniques post Brexit : incertitude sur l'équivalence accordée par l'UE

6. Profitabilité des institutions financières confrontées à un environnement remettant en

cause leur modèle économique

Remontée des taux d'intérêt

Mais hausse attendue des prêts non performants et risque de persistance de taux d'intérêt trop bas remettant en cause les modèles d'affaires

Transitions climatique et numérique

7. Accès difficile des entreprises, et notamment des PME, aux financements

Financements assurés pendant la crise

Mais limites au financement par la dette

Difficultés à orienter les investisseurs vers des produits en capital dans la phase de retournement Difficultés à financer en fonds propres les investissements de long terme (transition climatique)

8. Manque de protection des épargnants en cas de mauvaise information sur les risques

associés à certains placements ou certains canaux de distributionquotesdbs_dbs22.pdfusesText_28
[PDF] La réglementation AMF - CFPB

[PDF] application amia - Rectorat de l 'académie de Besançon

[PDF] A Guide of Fulbright Foreign Student Program Activities - Amideast

[PDF] la transformation de l 'amidon pour usages industriels et alimentaires

[PDF] Chapitre 10 : Les amines I) Définitions et rappels

[PDF] Demande d 'adhésion - amith

[PDF] Systèmes de réfrigération fonctionnant ? l 'ammoniac - CNESST

[PDF] 7 Transferts de protons Equilibres acide-base

[PDF] 10indrill press manual(FR) - Canadian Tire

[PDF] Ammoniémies

[PDF] Fiche de Données de Sécurité: Solution d ammoniaque - Carl Roth

[PDF] ammoniaque (alcali) - Kaliptis

[PDF] 8 - Amniogénèse et urogénèse - PharmaEtudes

[PDF] Rapport D 'activités ANAM Volet AMO 2015

[PDF] assurance maladie obligatoire de base - CNSS