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27?/09?/2000 L'opposition péruvienne dénonce la fuite de M. Montesinos ... nistre délégué aux affaires européennes a souligné



150 000 sans-papiers veulent régulariser leur situation

01?/11?/2014 ceau de l'entreprise à Saint-Etienne. Lire pages 13 et 14. LE DÉLAI de dépôt des dossiers de régularisation des sans-papiers.



revue HISTOIRE DE LEDUCATION

vice-présidente de la Société de la charité maternelle Adélaïde de L'expression garderie-école - des inspecteurs français parlent même.



BNP

21?/08?/2021 de pays ainsi que des biologistes de la société ... greffes le Comité national français d'éthique ... développement)



Profits records pour les entreprises

20?/09?/2000 Profits records pour les entreprises b Les vingt premiers groupes français ont réalisé en six mois autant de bénéfices que pendant.



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25?/04?/2002 SOCIÉTÉ. Les accidents de la route première ... du marché français



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30?/06?/2002 ONZE CANDIDATS ambition- ... nellement lié à François Bayrou M. Ferry n'a ... négociant avec les syndicats



BNP

20?/07?/2021 mondial de la Société Dante prévu pour l'an prochain. ... pour ambition d'accentuer la libéra- ... français sont installés dans ce pays.



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29?/06?/2002 deux bâtiments de guerre français en océan Indien ... développement d'un climat favora- ... reconstitution des stocks des entreprises.



Extrême droite : ce nest pas fini

30?/05?/2021 bDans la micro-Silicon Valley des Ulis les entreprises ne ... b Les Français semblent décomplexés vis-à-vis de l'extrême droite depuis son ...

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e er

JUILLET 2002

DÉFIANCEdes épargnants

et crise du modèle américain de gouvernance des entrepri- ses, après les scandales sur les trucages comptables.

LE 3 JUILLET 1962,après huit

ans d"une guerre atroce, le prési- dent de la République française reconnaissait l"indépendance de l"Algérie.Le Mondeconsacre son

Grand Dossier du week-end à

l"histoire sanglante de cette décolonisation.

Des historiens reviennent sur

les 130 ans de tutelle féroce de la

France sur un pays qui ne s"en est

pas relevé. Depuis la conquête, en 1930, jusqu"à la guerre de 1954

à 1962, puis les débuts chaotiques

de l"indépendance, les relations entre la France et l"Algérie ont toujours été marquées par une violence extrême, la haine et le mépris. Les plaies de la guerre ne sont pas encore cicatrisées, même si Français et Algériens commen- cent à affronter le travail de mémoire.

Nos envoyés spéciaux sont

allés à la rencontre des héritiers de l"indépendance, des deux côtés de la Méditerranée. Ils ont recueilli les témoignages de jeu- nes désorientés qui, comme le comédien Fellag, "vivent l"évolu- tion du pays depuis 1962 comme une trahison ». Dans un entretien,l"historien Benjamin Stora analy- se l"amnésie qui a frappé les deux pays depuis 1962.

Il salue les récentes révélations

sur l"usage de la torture par les

Français pendant la guerre,

notamment dans nos colonnes.

Mais il ajoute qu""il ne suffit pas

d"établir des vérités pour que les mémoires cessent de saigner ».

Lire pages 13 à 20

et notre éditorial page 21 JAMAISl"Allemagne de Miroslav Klose et le Brésil de Roberto Car- los (photo montage) ne s"étaient rencontrés en Coupe du mon- de. Dimanche 30 juin, les deux géants devaient combler cette lacune en jouant la finale du Mondial 2002. Lire notre supplément

Allemagne-Brésil, une première

La Boursedans " TheNY Times »

Algérie 1962-2002

International.............. 2

France......................... 6

SociØtØ...................... 10

Carnet........................ 12

Abonnements.......... 12

Horizons.................... 13Entreprises............... 22

AujourdÒhui.............. 23

MØtØorologie........... 26

Jeux........................... 26

Culture...................... 27

Radio-TØlØvision...... 31

LE MOBILIERdu prince Henri dÒOrlØans et nouveau comte de Paris ne sera pas vendu de force par un huis- tions avec lÒadministration fiscale, lÒhØritier dØsargentØ du trûne, ì qui la Mairie de Paris rØclamait plus de

150 000 euros de loyers impayØs, aurait trouvØ une solu-

tion. Selon lÒun de ses avocats, il sÒapprOEterait ì cØder au carrosse peintes par Nicolas Poussin »contre lÒefface- ment de sa dette. SÒil existe un musØe des carrosses au de chaise ì porteurs offerts par le roi Louis XVI ì Marie- Antoinette qui figurent au patrimoine du prince. Elles reprochait dÒavoir divorcØ pour se remarier civilement en 1984, lÒhØritier du trûne de France a accumulØ les det- tes. De 1989 ì 1997, il nÒa ainsi jamais pu rØgler le loyer dÒun pavillon du hameau Boileau, dans le 16 e arrondisse- ment de Paris, appartenant au domaine privØ de la Ville

de Paris. La facture sÒØlevait ì plus de 1 million de francsquand le prince a quittØ les lieux. En 1995, une saisie de

ses meubles a ØtØ prononcØe, mais la procØdure est res- tØe lettre morteÄ jusquÒau 14 mai 2002. Ce jour-lì, un lier sÒil avait pu trouver un officier de police disponible. Et le comte avait rØpliquØ :" SÒils croient pouvoir saisir mes meubles, ils rOEvent ! »La nouvelle Øquipe municipale ignorait tout de lÒaffaire, et le directeur de cabinet du maire, Bertrand Delanoº, a reñu cette semaine le comte pour trouver un arrangement ì lÒamiable. Le feuilleton nÒest pas terminØ. Avocat dÒHenri dÒOr- lØans, M e Michel Gaudart de Soulages a dØposØ plainte, le 9 avril, notamment pour" escroquerie ». Car, long- temps persuadØ dÒappartenir ì lÒune des familles les plus riches dÒEurope, le prince avait dØcouvert ì la Øtait infØrieur ì 80 millions de francs et le parquet de Paris a donc ordonnØ le 27 juin lÒouverture dÒune infor- la fortune disparue de la famille dÒOrlØans, ce carrosse devenu citrouille.

Alexandre Garcia

montage-afp gamma

REBAPTISÉE" Marche des fier-

tés lesbiennes, gaies, bi et trans » pour intégrer les revendications des bisexuels et transsexuels, la

Gay Pride devait réunir plusieurs

dizaines de milliers de personnes, samedi 29 juin à Paris. Derrière une banderole de tête exigeant l""égalité !», les associations de gays et lesbiennes appellent à la vigilance depuis le retour de la droite au pouvoir. Certains mili- tants craignent que les préoccupa- tions sécuritaires du gouverne-ment ne débordent sur les minori- tés sexuelles. Ils veulent aussi rap- peler à Jacques Chirac ses engage- ments de campagne concernant la préservation du pacs.

Comme l"an passé, la marche

devait être ouverte par Bertrand

Delanoë, maire (PS) de Paris. La

droite devrait aussi être présente par le biais de l"association fondée par Jean-Luc Romero, conseiller régional (RPR) d"Ile-de-France.

Lire page 10

supplément

LA NOMINATIONde cinq minis-

tres issus de la " société civile » manifeste la volonté du président et de son premier ministre d"un gouvernement" ouvert ». Selon

Jean-Pierre Raffarin, ce choix de

personnalités "inclassables »per- mettrait de sortir" des situations et des rapports de force tradition- nels ».Luc Ferry, qui a présidé le

Conseil national des programmes

(CNP), possède, ajoute le premier ministre, non seulement"un savoir-faire politique »mais aussi une bonne connaissance de l"édu- cation nationale et de son adminis- tration. Dans un entretien auMon- de,l"écrivain Alexandre Jardin explique qu"il espère lever les blo- cages de la société en créant une " agence des pratiques »valorisant des initiatives originales. Depuis plusieurs années, les patrons du

Medef affichent leur volonté

d"être" les acteurs essentiels de la société civile ». jacques brinon ap afp supplément 0123

ARGENT

Comment les gays

gèrent leur patrimoine

DISPARITION

Franñois PØrier

p. 27

JUSTICE

1 er juillet : Cour pØnale internationale p. 2

HÉBRON

Le QG palestinien

dØtruit p. 5

TOURISME

Reprise en 2003, selon

les voyagistes p. 22

Gay Pride, la marche de l"égalité

aanalyse

Alain Juppé, le don d"ubiquité

L"ORDRE CHIRAQUIENrègne

sur la démocratie française. Confor- tablement réélu, doté d"une majo- rité écrasante à l"Assemblée natio- nale comme au Sénat, le président de la République est désormais libre de présider à sa guise. Il a, pour cela, choisi un premier minis- tre bonhomme et habile communi- cant, qui a visiblement pour mis- sion de mettre en musique - et en images - la politique décidée à l"Ely- sée. Il a imposé à ses troupes réti- centes la constitution d"un grand parti voué à le soutenir. Il a même, ces jours-ci, organisé la désigna- tion, au Palais-Bourbon, d"un pré- sident à sa dévotion, consommant au passage sa vengeance contre

Edouard Balladur, sept ans après la

trahison d"une amitié trentenaire. Cet ordonnancement politique nou-veau, outre qu"il est plus univoque que ceux que le général de Gaulle lui-même ait jamais connus, recèle aussi une figure inédite : pour la pre- mière fois sous la V e

République, le

couple qui concentre et exerce le pouvoir n"est pas celui que forment le président et son premier minis- tre, mais bien le duo Chirac-Juppé.

Ce n"est pas au chef de son gou-

vernement mais à son plus fidèle lieutenant, de fait, que le président de la République a confié les des- tinées de sa majorité. Non pour gagner les élections législatives - M. Chirac s"en était déjà, pour l"essentiel, chargé lui-même, avec le concours de Jean-Pierre Raffarin - mais de toute évidence pour prépa- rer l"avenir, c"est-à-dire sa succes- sion. En 1988, après sa seconde défaite présidentielle, M. Chiracl"avait chargé de garder le RPR. En

1995, après son élection à l"Elysée, il

lui avait remis les rênes du gouver- nement. Inscrite dans la logique de ces missions de confiance, la préé- minence aujourd"hui dévolue à

Alain Juppé est pourtant paradoxa-

le à plus d"un égard : homme fort de la République chiraquienne, il dirige une troupe victorieuse qu"il n"a pas conduite à la bataille, joue le rôle d"une éminence grise sans se tenir dans l"ombre, se pose en pilier du nouveau régime sans y détenir la moindre fonction officielle. Il est tout à la fois leshadow-premier ministre de la droite et le super- mentor du président.

Hervé Gattegno

Lire la suite page 21

fComment le premier ministre entend utiliser lesnon-professionnels de son équipe fIls permettent " de sortir des rapports de force traditionnels » fLuc Ferry, " un regard neuf » fLe Medef et son " droit d"ingérence »

Lire pages 6 et 7

Ce qu"attend Raffarin desministres venus d"ailleurs

Ferry, Mer, HaignerØ, Lenoir, Mekachera : ces " inclassables », gages dÒun gouvernement " ouvert »

dossier spécial mondial 2002 Henri d"Orléans, les Poussin du carrosse et la citrouille LE 1 er

JUILLETentre vigueur le

traité qui dote la communauté internationale d"un tribunal pénal permanent compétent pour juger les auteurs des crimes internatio- naux les plus graves : crime de génocide, crimes contre l"humani- té, crimes de guerre. C"est une date historique, et un beau motif de satisfaction pour les militants des droits de l"homme qui, pendant des années, ont porté ce projet à bout de bras : cette Cour, qui apparais- sait-il y a dix ans encore comme une utopie de doux rêveurs, va exis- ter d"ici quelques mois, lorsque auront été désignés le procureur, les juges et les autres personnels nécessaires à son fonctionnement.

La date du 1

er juillet marque le début de sa compétence dans le temps : les crimes qui seraient com- mis à partir de cette date pourront lui être soumis s"ils entrent dans le champ de sa juridiction.

Mais si la date est historique, la

bataille est bien loin d"être termi- née et les ONG en sont les premiè- res conscientes. La juridiction de la

CPI ne peut en effet s"exercer (à

l"exception d"une saisine par le Con- seil de sécurité) que si le pays où se sont produits les faits criminels a adhéré au traité ou si l"auteur pré- sumé des crimes est le ressortissant d"un pays adhérent. Le but ne sera donc atteint que quand la Couraura accédé à un semblant d"univer- salité et bien du chemin reste à par- courir, si l"on examine la liste des pays qui ont ratifié le traité, à ce jour au nombre de soixante-treize. impulsion européenne

La géographie de la CPI est pour

l"instant à forte dominante euro- péenne (trente-trois pays euro- péens sont parties au traité), parce que l"impulsion pour faire aboutir le traité est, dans une large mesure, venue de l"Europe occidentale. Or ce n"est a priori pas l"Europe qui a le plus besoin de la Cour, sauf à envisager une réédition de déchire- ments semblables à ceux qu"ont connus les Balkans pendant la der- nière décennie. Quant à la Russie, elle a signé le traité mais ne l"a pas ratifié et nul n"espère qu"elle le fera avant que soit réglé le conflit en

Tchétchénie.

L"Afrique est honorablement

représentée parmi les pays adhé- rents, ce qui traduit à la fois l"impor- tant travail mené par les ONG ces dernières années, en Afrique de l"Ouest notamment, le désir de cer- tains dirigeants africains de s"adap- ter aux normes internationales les plus avancées, mais aussi le souci de certains de chercher protection auprès de la CPI. Le fait, par exem- ple, que la République démocrati- que du Congo (RDC) ait adhéré autraité lui permettrait, le cas

échéant, de poursuivre devant la

Cour internationale des responsa-

bles politiques et militaires étran- gers dont les troupes se livreraient

à des exactions en RDC. Reste que

seize pays adhérents sur quarante- trois Etats africains, c"est encore trop peu.

L"Amérique latine est assez bien

représentée, par des pays qui sont sortis des années noires des dictatu- res, mais qui ne sont pas tous à l"abri du crime à grande échelle. La

Colombie - pays dont on imagine

qu"il pourrait, malheureusement, alimenter la Cour en dossiers - n"a pas encore déposé ses instruments de ratification, bien que le prési- dent Pastrana ait promulgué, début juin, la loi d"adaptation du code pénal qui était le préalable nécessaire.

L"Asie brille par son absence, hor-

mis le Cambodge, la Mongolie et, en Asie centrale, le Tadjikistan. Un seul Etat arabe, la Jordanie, a ratifié le traité, même si plusieurs autres l"ont signé. Israël s"aligne sur lesEtats-Unis ; il avait signé le traité dans la foulée de Bill Clinton, mais refuse de le ratifier aujourd"hui.

Enfin l"administration Bush a

non seulement fait savoir que les

Etats-Unis n"ont pas l"intention de

ratifier le traité, mais elle a engagé, sous la pression de l"aile dure de la droite parlementaire, une guerre ouverte contre l"institution interna- tionale. Même s"il est peu probable que la Cour, quand elle sera opéra- tionnelle, ait à souffrir de chômage technique, cette hostilité que lui vouent désormais les Etats-Unis ris- que de ralentir encore le laborieux processus des ratifications : les

Etats réticents y puiseront un puis-

sant encouragement à ne pas se hâter.

Cette guerre américaine connaît

aujourd"hui un épisode aigu, témoi- gnant que le souci des Etats-Unis n"est pas uniquement de protéger leurs soldats de la justice internatio- nale, mais surtout d"affaiblir d"em- blée la CPI, qui semble les gêner pour d"autres raisons. Ils redoutent en fait que la justice internationalepuisse un jour ou l"autre compli- quer ou contrarier leur gestion des affaires internationales. menaces des états-unis

Une négociation extrêmement

dure est en cours au Conseil de sécurité où les Etats-Unis, bien que totalement isolés, menacent de rétorsion à l"ONU si les autres pays membres ne se plient pas à leurs exigences. Ils demandent au Con- seil de décréter l"immunité par rap- port à la CPI pour tous les person- nels des forces de maintien de la paix sous mandat de l"ONU. Une telle décision porterait atteinte austatut de la CPI, qui ne reconnaît aucune immunité. Si, comme le réclament les Etats-Unis, elle pre- nait la forme d"une résolution du

Conseil de sécurité, elle serait un

précédent juridiquement très fort dont la Cour aurait du mal à se remettre. Seuls contre quatorze lors du débat de vendredi, les Amé- ricains menacent d"opposer leur veto au renouvellement du mandat des forces internationales déployées en Bosnie, qui arrive à expiration le 1 er juillet, le jour même de l"entrée en vigueur de la

CPI. Iront-ils jusqu"à assumer la res-

ponsabilité politique lourde d"un retrait général des forces de Bos- nie ? Les autres membres du Con- seil iront-ils jusqu"à les acculer à ce choix ? La France, vendredi, tenait bon sur" la défense de l"intégrité du statut de la CPI », tout en cherchant une porte de sortie pour les Améri- cains.

Cette bagarre au Conseil de sécu-

rité éclipse quelque peu le rappelquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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